À l'encre Russe

Bon moment de lecture, on retrouve le style de l'auteur avec plaisir.

Un peu déçue. Il me semble qu'il manque quelque chose. Un livre qui ne tient pas ses promesses. Dommage

Un livre pas agréable à lire, très lourd avec beaucoup (trop à mon goût) de description, souvent inutile (selon moi) à l'histoire.

Je n'ai pas aimé la façon d'insérer des flash back qui prennent un chapitre et qui nous coupent du fil de l'histoire.

Seule la fin m'a intrigué légèrement, mais je suis restée sur ma faim puisqu'une fois que Nicolas trouve (enfin) le sujet de son nouveau livre, on ne nous en dit presque rien alors que toute l'intrigue tourne autour de ce fameux livre qui doit être écrit. Ce n'est que dans les derniers chapitres qu'il se passe réellement quelque chose d'intéressant et de nouveau.

De plus, je n'ai pas trouvé le personnage de Nicolas très attachant, à l'exception de la fin. Le personnage de Malvina est devenue intéressant Spoiler(cliquez pour révéler)après l'annonce de la grossesse, c'est dommage que cette intrigue ne soit pas allée plus loin. Par ailleurs, certains personnages sont présentés puis plus rien ensuite, comme Ed par exemple.

En bref, j'ai eu beaucoup de mal à livre ce livre.

A l'encre russe n'est pour moi ni un coup de coeur, ni une déception. Je n'ai pas accroché à l'histoire, mais l'écriture était fluide et le personnage était attachant au fil de l'histoire.

Ce livre fait partie de mes lectures qui ne me laissent que peu de souvenirs (voire aucun) à long terme.

J'ai eu un peu de mal au début à rentrer dans l'histoire. Il faut dire que le personnage principal, Nicolas, est loin d'être attachant : écrivain qui a pris la grosse tête, il est vaniteux, ingrat et superficiel, trop m'as-tu-vu et égocentrique, irrespectueux envers (toutes) les femmes.

Nicolas mène une vie de rêve et de luxe depuis la sortie de son roman qui a un succès énorme. Mais plus on avance dans notre lecture, plus on se rend compte que cette vie n'est finalement pas toute rose. Les travers de Nicolas lui retombent dessus petit à petit (et j'avoue que ce n'était pas pour me déplaire...). Et surtout, on apprend que son roman est tiré de sa propre histoire familiale, basé sur un secret de famille inavouable.

L'autrice a finalement réussi à titiller ma curiosité en gardant une part de mystère tout au long du récit. Ce n'était pourtant pas très bien parti, mais ça a été une lecture plutôt agréable, bien écrite et très bien menée. Certains passages ne servent pas à grand-chose, il faut bien le dire, mais dans l'ensemble je peux dire que j'ai apprécié.

Ce livre n'a pas que de bonnes critiques, loin de là et je peux le comprendre. Je ne peux comparer avec ses autres romans, puisque je ne l'avais encore jamais lue jusqu'à aujourd'hui. "Elle s'appelait Sarah" et "Boomerang" sont dans ma pal, ils ont tout deux de bien meilleures critiques et c'est pour cela que j'ai choisi de lire "À l'encre russe" d'abord, justement pour éviter les comparaisons et une éventuelle déception.

Un très beau livre, qui montre l'envers du décors du métier d'écrivain. On est plongé dans la vie du personnage Nicolas, et on a l'impression de vivre avec lui toutes ses aventures te mésaventures, dans sa vies personnelle ou professionnelle, en quête d'inspiration. Très bien écrit, c'est un livre que j'ai dévoré jusqu'à la dernière page.

J’ai bien accroché à l’idée de base, et apprécié le fait que l’on suive à la fois le week-end présent du personnage et ses déboires, et par flash-backs le processus d’écriture qui l’a mené jusque là. Mais le tout est malheureusement un peu « fouillis », part parfois dans tous les sens et nous égare.

C’est dommage car le mystère des origines de Nicolas est plutôt bien amené, on ne sait pas vraiment à quoi s’attendre comme surprises du passé de sa famille. L’avancée du récit commence en amenant un certain nombre de promesses, mais qui finalement se révèlent décevantes. Certaines interrogations ne sont pas résolues ; même la révélation finale n’en est pas vraiment une, elle est juste comblée par des hypothèses.

L’écriture de l’auteure est plutôt agréable à lire, malgré quelques mauvais points ; on tombe par exemple sur beaucoup de répétitions, certains événements sont rappelés dans plusieurs chapitres, parfois quasi mot pour mot.

Mais l’ambiance luxueuse de l’hôtel est très bien décrite, on s’y croirait. L’auteur nous donne envie de se trouver dans ce beau cadre italien chaleureux, on sent la chaleur, la douceur de l’air, les parfums estivaux…

Nicolas n’a pas grand-chose d’attachant, il est prétentieux, débordant d’égo, infidèle et en plus fier de l’être, vraiment irritant dans ses comportements et ses pensées.

Même lorsqu’une part de lui finit par commencer à prendre conscience de quelques défauts – après tout de même que TOUS ses proches lui en aient fait la remarque – , il ne s’améliore pas vraiment, il ne fait pas grand-chose pour bonifier son image, si ce n’est sa dernière action la toute fin du livre.

Le reste des personnages n’apporte pas beaucoup plus de sympathie. Les seuls qui pourraient avoir l’air à peu près agréables sont ceux qui sont juste évoqués dans les souvenirs et qu’on ne rencontre jamais vraiment.

C’était une lecture pas trop mal, avec de bons points intéressants, mais pas assez bien exploités et ponctués d'un certain nombre de défauts qui diminuent le plaisir et l'intérêt que l'on pourrait avoir avec cette lecture, dommage.

Terriblement déçue par ce livre. Je découvrais cet auteur et je m'attendais à être surprise ou du moins passer un bon moment. Peut être que ce style d'écriture n'est pas fait pour moi tout simplement.

Je suis moi-même étonnée d'avoir mis un livre de Tatiana de Rosnay dans ma pile : "je n'ai pas apprécié" et pourtant, c'est véritablement le cas.

Je crois ne pas avoir très bien compris le but de ce récit ? Il est long, tellement long que j'ai mis presque deux semaines à le finir tant l'envie n'était pas là. Je n'ai pas accroché à Nicolas, le personnage principal. Je n'ai pas accroché avec l'histoire narrée. Je pense que ce livre n'était pas fait pour moi, tout simplement.

Très décevant, la 4 ème de couverture présageait un joli moment que neni quelle déception, le premier Tatiana qui me déçoit à ce point