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Extrait ajouté par Saph 2015-01-29T15:04:12+01:00

« Je déteste les maths, mais je souris. Nous arrivons à l’hôtel.

– Alors, tu aimes lire aussi ?

– Oui, plus ou moins. Mais pas des romans.

– Oh… Pourquoi ?

Je ne peux m’empêcher de lui poser cette question.

– C’est juste que je ne les aime pas trop.

Il bondit hors du taxi et me tend la main.

– Comment est-ce possible ? Ce qu’il y a de divin avec la lecture, c’est qu’on peut s’évader, on peut vivre des centaines de milliers de vies. Seuls les romans ont ce pouvoir, il n’y a qu’eux pour te changer de cette manière.

– Te changer ?

– Oui, te changer. Si tu n’es pas ému, pas même un tout petit peu par ta lecture, c’est que tu ne lis pas le bon livre. J’aime à penser que chaque roman  que j’ai lu est devenu une partie de moi, qu’il m’a façonnée d’une certaine manière. »

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Extrait ajouté par Folize 2015-02-08T10:18:42+01:00

– Non, Maman… (Je baisse la tête pour tenter de garder mon calme.) C’est sérieux cette fois. Je l’aime. Je l’aime vraiment.

Je regarde ma mère, si gentille et si bonne, qui, je le sais, a dû endurer tant d’atrocités.

– Je l’aime plus que je ne saurais te le dire parce que je ne le comprends pas moi-même. Je n’aurais jamais cru ressentir ça un jour. Tout ce que je sais, c’est qu’elle est ma seule chance d’être heureux. Si elle me quitte, je ne m’en remettrai jamais. Je le sais, Maman. Elle représente mon unique chance de ne pas rester seul le restant de mes jours. Je ne sais pas ce que j’ai fait pour la mériter – putain, j’en sais rien –, mais elle m’aime. Tu sais ce que ça fait d’avoir quelqu’un qui t’aime malgré toutes les conneries que tu fais ? Elle est trop bien pour moi et elle m’aime. Et putain, je ne sais pas pourquoi.

Ma mère s’essuie les yeux du revers de la main, m’interrompant un instant. C’est dur de continuer, mais je reprends :

– Elle est toujours là pour moi, Maman. Elle me pardonne toujours, même quand elle ne devrait pas. Elle dit toujours ce qu’il faut. Elle me calme, mais elle me challenge : elle me donne envie de devenir un homme meilleur. Je sais que je suis une merde, j’en suis conscient. J’ai fait tellement de conneries, mais Tessa ne peut pas me quitter. Je ne veux plus être tout seul et je ne le serai plus : elle est là, pour moi. Je le sais. Elle est mon plus grand péché, Maman et j’irai avec joie en enfer pour elle.

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Extrait ajouté par Moustache9740 2015-02-02T18:07:56+01:00

« Je ne suis même pas gentil.

Je ne peux pas te promettre que je ne te ferai plus jamais mal, mais je peux te jurer que je t’aimerai jusqu’à mon dernier souffle. Je ne suis pas un mec bien et je ne te mérite pas, mais j’espère que tu me permettras de me racheter à tes yeux. Je suis désolé de t’avoir causé tant de peine et je comprendrais que tu ne puisses pas me pardonner.

Désolé. Cette lettre n’était pas censée être aussi longue. J’imagine que j’ai plus merdé que je ne le croyais.

Je t’aime. Pour toujours. »

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Extrait ajouté par leilamouacher 2015-02-20T01:00:29+01:00

Elle est jolie.

Il murmure dans ses mains en coupe.

– Ouais, c’est vrai, hein ?

Je hoche la tête et regarde Tessa, les cheveux tirés dans une sorte de nid au-dessus de sa tête, son pantalon de yoga et un t-shirt tout con. J’acquiesce à nouveau. Elle est belle et elle n’a même pas à essayer de l’être.

Je sais qu’elle peut nous entendre et je la surprends en train de sourire avant de retourner dans la cuisine pour finir son truc. Je ne sais pas pourquoi elle sourit comme ça ; et alors, qu’est-ce que ça fait si je parle à ce gamin ? Il est toujours chiant, comme toutes les autres demi-portions.

– Oui, vraiment jolie.

– Ok, on se calme, le merdeux. Elle est à moi.

Il me regarde et sa bouche forme un O avant de répondre.

– Comment ça elle est à toi ? C’est ta femme ?

– Non, putain, non !

– Putain, non ?

– Merde, dis pas ça !

Je tends la main de l’autre côté du canapé pour couvrir sa bouche.

– Je ne dois pas dire « merde » ?

Il se débarrasse de ma main.

– Voilà. Tu ne dis ni « putain » ni « merde ».

C’est l’une des raisons pour lesquelles on ne devrait pas me laisser en présence de gamins.

– Je sais que ce sont des gros mots.

Je hoche la tête et lui rappelle :

– Alors, ne les dis pas.

– C’est qui, si c’est pas ta femme ?

Bordel, ce petit merdeux est bien curieux.

– C’est ma petite copine.

Je n’aurais jamais dû commencer à le faire parler, en fait. Il pose ses mains l’une sur l’autre et me regarde comme un prêtre ou un truc dans le genre.

– Tu veux qu’elle devienne ta femme ?

– Non, je ne veux pas qu’elle devienne ma femme.

Je lui réponds doucement en articulant pour qu’il puisse m’entendre et peut-être me comprendre ce coup-ci.

– Jamais ?

– Jamais.

– Et vous avez un bébé ?

– Non ! Putain, non ! Tu les sors d’où, tes conneries ?

Rien que de l’entendre dire ça, ça me stresse.

– Pourquoi tu…

Il commence à poser une autre question, mais je le coupe en plein vol.

– Arrête de poser autant de questions.

Il hoche la tête et me prend la télécommande des mains pour changer de chaîne.

Tessa n’est pas venue nous voir depuis quelques minutes, je décide donc d’aller dans la cuisine pour voir si elle a terminé.

– Tess… Tu as bientôt terminé, parce qu’il parle beaucoup trop.

J’attrape un morceau de brocoli dans le plat qu’elle prépare.

Elle déteste quand je commence à manger alors que le repas n’est pas près, mais il y a un gamin de cinq ans dans mon salon, alors je peux manger un putain de morceau de brocoli.

– Ouais, dans une minute ou deux.

Elle ne me regarde pas. Son ton est étrange, quelque chose ne va pas.

– Tout va bien ?

Elle se tourne vers moi, les yeux brillants de larmes.

– Oui, tout va bien. Ce sont les oignons.

Elle hausse les épaules et se tourne vers l’évier pour se laver les mains.

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Extrait ajouté par anapmaia 2015-02-13T22:42:39+01:00

"Tu es mon souffle, ma douleur, mon cœur, ma vie!"

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Extrait ajouté par Luxnbooks 2015-02-02T22:41:07+01:00

Si tu n’es pas ému, pas même un tout petit peu par ta lecture, c’est que tu ne lis pas le bon livre. J’aime à penser que chaque roman que j’ai lu est devenu une partie de moi, qu’il m’a façonnée d’une certaine manière.

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Extrait ajouté par Moustache9740 2015-02-02T17:21:17+01:00

« – Comment as-tu pu dire à Tessa de partir ? De me quitter ?

Je savais qu’elle serait déçue, mais ça, c’est trop.

– Parce que, Hardin… tu n’es pas bon pour elle. Tu sais que c’est vrai. Tu ne veux pas qu’elle finisse comme Natalie ou les autres.

Ma mère secoue la tête.

– Tu sais ce qui va se passer si elle me quitte, Maman ? Je ne pense pas que tu comprennes… Je ne peux pas vivre sans elle. Je sais que je ne suis pas bon pour elle et je regrette mon passé chaque fois que je la regarde, mais je peux être bien pour elle. Je sais que c’est possible.

J’arpente le séjour de long en large.

– Hardin… Es-tu certain de ne pas simplement alimenter ton propre délire ?

– Non, Maman… (Je baisse la tête pour tenter de garder mon calme.) C’est sérieux cette fois. Je l’aime. Je l’aime vraiment »

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Extrait ajouté par AnneSoH 2015-02-05T18:45:35+01:00

Je n’aurais pas pu imaginer une telle scène, jamais dans mes putains de cauchemars les plus tordus je n’aurais pu imaginer ressentir cette douleur. J’ai entendu dire que ça s’appelait la douleur de la disparition. Je n’ai jamais eu quelque chose ou quelqu’un à aimer,jamais eu besoin de posséder une femme,de la faire mienne complètement, et je n’ai jamais voulu m’accrocher à quiconque avec autant de force. La panique, cette putain de panique totale à l’idée de la perdre, n’était pas dans mes plans. Rien ne l’était. C’était censé être facile: la baiser, récupérer mon blé et foutre les boucles à Zed. Facile. Sauf que ça ne s’est pas passé comme ça. Au lieu de ça, cette fille blonde en jupe longue, qui fait de longues listes pour tout et n’importe quoi, s’est doucement insinuée en moi. Je suis tellement tombé amoureux d’elle que je n’arrivais pas à le croire. Je ne m’étais pas rendu compte à quel point je l’aimais jusqu'à ce que j’en gerbe dans un lavabo après avoir montré à mes connards de potes la preuve que j’avais volé son innocence. J’ai détesté ça, j’ai détesté chaque instant...mais je ne me suis pas arrêté.

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Extrait ajouté par Saph 2015-01-31T22:59:44+01:00

« Landon et moi traversons la foule en bataillant un peu.

– Non mais bordel, pourquoi il y a déjà autant de gens ?

Il m’adresse un petit regard de mec habitué.

– Parce qu’à cause de toi, nous sommes en retard.

– Le match ne commence que dans un quart d’heure.

– D’habitude, j’arrive une heure à l’avance.

– Évidemment. Même quand je ne suis pas avec Tessa, elle est là, elle te déteint dessus ! »

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Extrait ajouté par Elysouw 2015-03-13T21:55:45+01:00

À peine Landon a-t-il fini sa phrase qu’il tourne brutalement la tête... Et je les entends aussi, ces pas précipités dans l’escalier. Pas simplement des pas, d’ailleurs,plutôt le bruit de lourdes bottes claquant contre les marches de bois à un rythme d’enfer. L’espace d’un instant, je pense même à me cacher dans le placard, mais nous nous exclamons d’une même voix :

– C’est lui !

Le visage de Landon est devenu grave.

– Tu veux le voir ?

Je secoue la tête frénétiquement et Landon esquisse un mouvement pour fermer la porte juste au moment où la voix d’Hardin me transperce.

– Tessa !

À l’instant où Landon tend le bras, Hardin franchit le pas de la porte, le bouscule et passe devant lui. Il s’arrête au milieu de la pièce en même temps que je me lève du lit. Peu habitué à ce genre de scène, Landon reste planté là, interdit. Hardin soupire en se passant la main dans les cheveux.

– Tessa, Dieu merci. Dieu merci tu es là.

Le voir me fait mal, je détourne le regard pour me concentrer sur le mur.

– Tessa, Bébé. Il faut que tu m’écoutes. S’il te plaît, juste...

Sans dire un mot, je m’avance vers lui. Ses yeux s’illuminent d’espoir et il tend la main vers moi, mais je poursuis mon chemin. Je sens une vague d’espoir s’écraser contre lui. Bien fait.

– Parle-moi, me supplie-t-il.

Mais je ne fais que secouer la tête et m’installe aux côtés de Landon avant de lui crier :

– Non. Je ne te reparlerai jamais.

– Tu ne peux pas dire ça...

– Éloigne-toi de moi !

Il m’attrape le bras. Landon s’interpose entre nous et place sa main sur l’épaule de son demi-frère avant de dire :

– Hardin, il faut que tu y ailles.

Hardin serre les dents et promène son regard de lui à moi avant de l’avertir :

– Landon, casse-toi !

Mais Landon reste campé sur sa position. Je connais suffisamment Hardin pour savoir qu’il est en train d’évaluer si ça vaut la peine de tabasser Landon sous mes yeux. Semblant décider que le jeu n’en vaut pas la chandelle, il prend une grande inspiration en essayant de garder son calme :

– S’il te plaît... Donne-nous une minute.

Landon me regarde et je le supplie du regard. Il se retourne vers Hardin :

– Elle ne veut pas te parler.

– Ne me dis pas ce qu’elle veut, putain !

Hardin crie et lance son poing contre le mur, fissurant le plâtre. Je saute en arrière et recommence à pleurer. Pas maintenant, pas maintenant. Je répète ces mots silencieusement pour essayer de gérer mes émotions.

– Va-t’en, Hardin !

Maintenant, c’est Landon qui crie juste au moment où Ken et Karen franchissent le pas de la porte. Oh non ! Je n’aurais jamais dû venir ici.

– Nom de Dieu, qu’est-ce qui se passe ici ? demande Ken.

Personne ne répond. Karen me regarde avec empathie et Ken réitère sa question.

Hardin jette un regard meurtrier à son père avant de répondre :

– J’essaie de parler à Tessa, et Landon ferait mieux de s’occuper de son cul plutôt que de mes affaires !

Ken regarde Landon, puis se tourne vers moi et reprend :

– Qu’est-ce que tu as fait, Hardin ?

Son ton a changé. Il est passé de l’inquiétude à... la colère ? J’ai du mal à savoir.

– Rien ! Putain ! s’exclame Hardin en levant les bras.

– Il a tout foutu en l’air, voilà ce qu’il a fait et maintenant, Tessa n’a nulle part où aller, résume Landon.

Je voudrais parler, je ne sais juste pas quoi dire.

– Elle a quelque part où aller, elle peut rentrer à la maison. Là où est sa place...

avec moi, répond Hardin.

– Hardin s’est joué de Tessa tout le temps de leur relation, il lui a fait des choses innommables, laisse échapper Landon.

Karen s’approche de moi, le souffle coupé. Je rentre dans ma coquille, littéralement. Je ne me suis jamais sentie aussi nue et petite. Je ne voulais pas que Ken et Karen soient au courant... mais ça ne va plus changer grand-chose puisque, dans quelques heures, ils ne voudront certainement plus me voir. Interrompant cette spirale infernale, Ken me demande :

– Est-ce que tu veux rentrer avec lui ?

Je secoue faiblement la tête.

– Je ne pars pas d’ici sans toi.

Hardin parle d’un ton tranchant, il s’approche de moi mais j’esquisse un mouvement de recul. Ken me surprend en s’interposant :

– Je crois que tu devrais y aller, Hardin.

Le visage d’Hardin prend une teinte rouge sombre, empreint de ce que je ne peux qualifier que de rage.

~~ Chapitre 1

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