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Chacun ses faiblesses. Il y a des gens qui fument. Moi, je collectionne les pingouins en peluche. Si on ne me dénonce pas, je ne dénoncerai personne non plus.

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"-Ça ne peut pas être juste un boulot pour vous, Anita. Il doit y avoir une meilleure raison.

Je démarrai et levai les yeux vers lui.

-J'ai peur d'eux, avouai-je. C'est une caractéristique trés humaine: détruire ce qui vous fait peur.

-La plupart des gens préfèrent fuir ce qui leur fait peur. Vous, vous courez après. Vous devez être un peu folle."

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Il me tendit la main.

Je secouai la tête, refusant de la prendre.

- C'est obligatoire, Anita. Sinon je ne te l'aurais pas demandé.

- Pourquoi faut-il que je vous prenne la main ?

- La police ne doit pas savoir que nous nous sommes vus cette nuit. Prends ma main et fais comme si tu étais transie d'amour pour ton vampire d'amant. Ça expliquera le sang sur ta chemise. Et ça indiquera aussi où nous allons, et pourquoi.

Son bras était toujours tendu. Il ne tremblait pas, comme s'il avait eu la capacité de me tendre éternellement la main.

Et peut-être le pouvait-il.

Je finis par obéir. Ses longs doigts se replièrent aussitôt sur les miens. Nous avançâmes, son pouls battant contre ma paume. Le rythme des pulsations s'accéléra pour s'accorder aux miennes …

- Vous vous êtes nourri, ce soir ? demandai-je d'un ton faussement détaché.

- Tu n'es pas capable d'en juger par toi-même ?

- Avec vous, je ne suis jamais sûre de rien.

Du coin de l'œil, je vis qu'il souriait.

- Tu me flattes.

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" - Anita Blake, me demanda Zachary

- L'exécutrice... oui

- Vous n'êtes pas assez grande pour être l'Exécutrice

- Moi aussi, ça me déçoit."

Anita Blake et Zachary

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Il est difficile de porter un flingue à Saint Louis en plein été. À l’épaule ou à la hanche, le problème reste le même. Si on met une veste pour le dissimuler, on fond littéralement de chaleur. Si on le range dans son sac, on se fait tuer, parce que aucune femme n’est capable de retrouver un truc dans son sac en moins de douze minutes. Une loi universelle.

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"- Vous avez déjà utilisé un lance-flammes contre des vampires?

- Non, mais je l'ai vu faire.

- Mon Dieu. (Il secoua la tête.) Et ça a fonctionné?

- Très bien, oui. Mais ça a incendié la maison où nous étions. J'ai trouvé ça un peu exagéré."

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Page 219 :

" Nos poitrines se touchaient presque. Je levai les yeux vers lui et le regardai sévèrement. Il est difficile de faire de le mariole quand on doit se tordre le cou pour dévisager quelqu'un. Mais, ayant toujours été petite, j'ai de l'entrainement.

Il passa un bras autour de mes épaules. Je voulus le repousser, mais ses mains se nouèrent dans mon dos.

- Arrête ça.

Je posai mes mains à plat sur sa poitrine pour le maintenir à distance.

Sous le T-shirt humide, son coeur battait la chamade.

- Tu es tout mouillé

Il me lâcha si brusquement que je titubai en arrière. D'un mouvement fluide, il enleva son T-shirt. Sa poitrine aurait été si appétissantes, sans les cicatrices...

Il fit un pas vers moi.

- On ne bouge plus ! criai-je. Qu'est ce qui te prend ?

- Tu me plais. Ca ne te suffit pas ?

Je secouai la tête.

- Non.

Il laissa tomber son T-shirt et se plaqua contre moi. Je n'avais pas beaucoup de place pour esquiver. Alors, je vis la seule chose qui me vint à l'esprit : j'entrai dans la baignoire. Pas facile avec des talons hauts, mais au mois, je n'étais plus serrée contre lui.

- Quelqu'un nous regarde, dit-il

Je me retournais au ralentie, comme dans un mauvais film d'horreur. Un visage était pressé contre la vitre, de l'autre côté du rideau en voile. Harvey ! La fenêtre était trop haut pour qu'il ai les pieds par terre. Il avait dû monter sur quelques choses pour admire le spectacle.

Phillip me tendit la main pour m'aider à sortir de la baignoire

- Tu crois qu'il nous as entendus, chuchotai-je

Il secoua la tête.

- On est censés être amants. Tu veux vendre la mèche ?

- C'est du chantage.

Il me fit un sourire ravageur, et mon estomac se noua. Quand il se pencha vers, je ne me débattis pas.

Ses lèvres se pressèrent sur les miennes, douces, humides et brûlantes. Ses mains mes massèrent le dos jusqu'a ce que je me détende et me laisse aller contre lui.

Il embrassa le lobe de mon oreille, puis je sentis sa langue suivre le contour de ma mâchoire. Sa bouche se posa sur la veine de mon cou. Ses dents se refermèrent dessus.

- Äie, criai-je en le repoussant de toutes mes forces.

Tu m'as mordue !

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- Si vous voulez bien me suivre...

Je déteste cette expression. Comment aurait-elle réagi si j’avais dit non ?

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Moi, je regardais le visage radieux de Jean-Claude et nos deux cicatrices jumelles : son torse, mon bras.

Jean-Claude me força à saluer. Alors que les applaudissements diminuaient, il chuchota :

— Il faut que nous ayons une petite conversation, Anita. La vie de Catherine dépend de ton attitude.

Soutenant son regard, je lâchai :

— J’ai tué ceux qui m’ont fait cette cicatrice.

Son sourire s’élargit, dévoilant brièvement ses canines.

— Quelle charmante coïncidence... Moi aussi !

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Et merde ! Il était sur le point de m’embrasser, et je n’étais pas d’accord. Mais je n’avais pas envie non plus que les flics nous tombent dessus. Expliquer les taches de sang et ma chemise déchirée ne me disait rien.

Les lèvres de Jean-Claude hésitaient à se poser sur ma bouche. Les battements de son cœur résonnaient dans ma tête et je haletais, emportée par son ardeur.

Ses lèvres étaient douces comme de la soie. Mais sa langue humide se darda. Tentant de m’écarter, je m’aperçus que sa main était plaquée contre ma nuque, pressant ma bouche sur la sienne.

Le faisceau du projecteur passa sur nous sans s’attarder. Je me laissais aller contre Jean-Claude, acceptant son baiser.

Quand ma langue caressa ses crocs lisses, je reculai. Il me plaqua le visage sur son torse, me serrant très fort contre lui. Il tremblait et ce n’était pas à cause des gouttes de pluie.

Son souffle était court et son cœur s’affolait contre ma joue. Je sentis sa cicatrice sur ma peau, telle une étrange scarification.

Sa faim me submergea à la manière d’une lame de fond. Jusqu’à maintenant, il m’en avait préservée.

— Jean-Claude ! criai-je sans chercher à dissimuler la peur qui faisait trembler ma voix.

— Chut !

Il frissonna et poussa un énorme soupir. Puis il me lâcha si brutalement que je manquai perdre l’équilibre.

Il s’éloigna, s’adossa à une voiture garée un peu plus loin et leva la tête, laissant la pluie baigner son visage.

Je sentais encore son cœur battre en moi. Jamais je n’avais été aussi consciente des pulsations de mon propre cœur et de la circulation du sang dans mes veines.

Tremblant malgré la pluie chaude, je repris lentement le contrôle de moi-même.

La voiture avait disparu dans l’obscurité, au bout de la rue.

Jean-Claude se redressa. Je ne sentais plus son rythme cardiaque et mon propre pouls était lent et régulier. Quelque chose s’était produit, mais c’était bel et bien terminé.

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