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Le bientôt trentenaire Takashi Aoki, employé dans la compagnie d’import-export Goshima de Tokyo, est appelé à un brillant avenir professionnel. Ne manque à son bonheur qu’une épouse avec laquelle fonder une famille. Il résiste aux propositions de mariage arrangé qu’on lui présente car il est très attiré par la réceptionniste de sa société. Alors qu’il parvient à obtenir un rendez-vous avec elle, son supérieur lui annonce qu’on lui offre un poste important dans une succursale à l’étranger.
Je ne l'ai pas fini. J'aime le style d'écriture mais ce n'est pas un thème et une sorte d'histoire qui me plait. Je vais quand même tester les autres saga de l'autrice car je ne veux pas m’arrêter à celui-ci.
PS: j'ai lu au moins 4-5 chapitres avant d'en avoir marre et de lire le dernier. Donc oui, j'aurais pas vraiment aimé le type d'histoire faite dans cette saga.
Ce petit livre qui se lit en un après-midi relate l'histoire de Takashi Aoki, un shosha-man qui tombe amoureux d'une réceptionniste de sa boîte. Une histoire courte, une plume économe et pourtant tellement de choses raconté. Shimazaki m'a transporté à Kobe, Tokyo et Montréal. Un vrai plaisir de suivre cette histoire et hâte de découvrir la suite mais surtout d'autres ouvrages de cette Autriche prometteuse.
Après avoir lu la saga le Poids des secrets j'avais envie de continuer dans ma lancée. Je me suis donc pris le coffret Au cœur du Yamato sans vraiment savoir cela parlait de quoi mais pourtant sachant très bien que l'écriture de Aki shimazaki me transporterait comme elle le fait si bien a chaque fois. C'est plein de lyrisme,de poésie et de belles images. Et c'est comme a l'accoutumée une fresque mêlant plusieurs personnages, cadres de vies, situations familiales etc.
Une très jolie couverture pour les éditions Babel Actes Sud, relativement sobre, qui rappelle le minimalisme de l'art japonais qui consiste à réduire à l'essentiel une chose pour mieux apprécier ce qu'il en reste. On y trouve représenté le fameux trèfle Mitsuba (signifiant "Trois feuilles" en japonais), qui prend une place particulière au cours du roman. Les racines pourraient faire songer à l'enracinement du héro au Japon, rappelant les us et coutumes. Le trèfle à la tige cassée fait ressortir l'émancipation dont va faire preuve notre héro ou la fracture qu'il va subir.
Petit topo sur l'histoire : Année 80's à Tokyo. Takashi Aoki est un shosho-man, littéralement un employé d'une grande firme japonaise qui a su s'élever à force de persévérance. Fière d'être salarié de père en fils de la société Goshima, il s'y dévoue corps et âme, prenant son métier et ses missions d'atendo (service d'accueil des clients étrangers) très à cœur. Au cours de son travail, il fait la rencontre d'une jeune femme, Yûko Tanase de profession standardiste, envers laquelle il développe des sentiments amoureux. Jour après jour, il parvient à nouer le contact et à établir une relation avec cette jeune femme. Mais dans un pays dominé par la réussite professionnelle pourra-t-il espérer que son travail soit compatible avec ce nouvel amour, emprunt de liberté ? N'est-il pas lieu de respecter les codes hiérarchiques et sociaux imposés par une société japonaise toujours plus partagée entre tradition et modernité ?J'ai énormément apprécié l'écriture de l'auteure. Elle propose une plume aérienne, légère et pourtant puissante dans ses émotions. On y découvre avec facilité les us et coutumes des japonais, avec les mots typiques (le lexique en fin de roman m'a enseigné quelques petits mots très utiles ,) ). J'ai appris de nombreuses choses sur la façon de vivre des Japonais, la place qu'ils donnent à leur travail et au maintien des codes professionnels notamment ceux plus ou moins imposés après le travail comme aller boire un verre ou manger au restaurant avec les collègues, au détriment de sa famille. L'auteur l'explique avec subtilité, en décrivant du mieux possible et sans jugement apparent. Tout est décrit d'une façon tellement simple, tellement souple qu'on s'y plonge sans difficulté.
Le personnage principal, Takashi, acquiert au fil des pages une certaine liberté qui marque l'évolution des mœurs. D'expériences en expériences, il ouvre les yeux sur les intentions de ses supérieurs, sur le sens de la vie et des coutumes. Les personnages représentent tous un pan des coutumes, comme par exemple Nobu, ce collègue de travail qui est l'image l'Aïsaïka, un salarié qui préfère rentrer chez lui après le travail pour retrouver sa femme, au détriment de ses relations professionnelles (une pratique qui semble assez mal vu).Ce roman, c'est un peu une ode à la liberté, au dépassement des codes établis qui peuvent instaurer des barrières à l'amour ou encore à la réussite professionnelle.
En conclusion, si vous souhaitez découvrir avec douceur les coutumes professionnelles du japon et le devoir social ancré dans les esprits, je vous conseille ce premier roman qui tient toutes ses promesses. Un dépaysement garanti :)
Après avoir dévoré la pentalogie "le poids des secrets" de la même autrice,me voici donc avec le tome 1 d'une nouvelle série.
Cette fois, nous sommes dans le Japon contemporain, dans les année 80, où un jeune homme d'affaire, Takashi Aoki revient tout juste d'une mutation à Singapour. Il a à peine le temps de se poser qu'il rencontre Yuko Tanase au café Mitsuba ( Trois feuilles, en référence au Trèfle). Convaincus d'être amoureux l'un de l'autre, ils font des projets de fiançailles, mais bientôt, Takashi apprend qu'il a un rival. Le fils du président d'une banque renommée a eu un coup de foude pour la jeune femme et on comprendra rapidement qu'on ne dit pas non à ce genre d'homme, et ce d'autant plus quand on apprend que son père était découragé de le voir rejeter les femmes qui lui étaient proposées. Quand Yuko refuse, les choses prennent alors une tournure dérangeante.
Le début m'a semblé long, essentiellement sur Takashi et la compagnie, ce n'était pas très prenant. Cependant, une fois rendu à la moitié, quand on apprend les fiançailles secrètes de Takashi avec Yuko, les évènements s'enchainent et le drame se profile.
On retrouvera dans cette série plusieurs éléments similaires à celle du "Poids des secrets", notamment l'écriture efficace, l'univers épuré, le nombre retreint de personnages, le drame familial et le dévoilement progressif d'une société d'apparence révélant un versant obscure. Dans ce premier tome, on apprendra ce qui sera la trame des autres, les protagonistes et l'enjeu principal.
Shimazaki nous offre donc une nouvelle fresque, de nouveaux tabous, de nouvelles dénonciations sociales, dans un décor moderne où le Japon côtoie le Québec.
C'est d'ailleurs un élément que j'aime bien: on entend relativement peu parler de Montréal et du Québec, comparativement à Paris, Londres et New York, alors c'est agréable d'entendre parler d'un lieu connu.
En très peu de pages, l'autrice réussit à porter une histoire mêlant société japonaise, entreprise et mariage. Sans connaître davantage l'histoire personnelle des personnages, on s'attache très facilement à eux et à leur personnalité. Difficile de ne pas s'émouvoir face à l'injustice de leur situation !
Le ton n'est cependant pas polémique, et le narrateur lui-même accepte la situation, ce qui donne beaucoup plus de force que s'il en avait conçu de l'amertulme.
Au final, j'ai bien aimé la vision de l'amour qui est présentée : plutôt qu'un amour éternel et romantique, l'autrice nous le montre comme un sentiment évolutif, capable de se transformer en tendresse. Il apparaît ainsi comme très relatif, relié à un âge et une période donnée. Ce qui délivre finalement un message très positif.
On m'a prêté les deux premiers tomes et comme ils sont très faciles à lire, je n'ai pas hésité à me lancer. J'ai beaucoup aimé l'histoire de Mitsuba (sa représentation de la société japonaise, sa fin) mais je l'ai trouvée trop superficielle. Ce livre est court, non en raison du nombre de pages - qui peut suffire - mais parce que l'histoire me semble plus effleurée qu'autre chose. Elle pourrait être approfondie, à mon sens, sans l'allonger considérablement. Du coup, bien que j'ai apprécié la lecture, j'ai un léger arrière-goût de regret. Enfin, ce n'est pas vraiment une surprise désormais.
Cette rencontre au café Mitsuba aura un impact majeur sur la vie de Takashi et Yûko. Dans une culture où les émotions ne sont pas toujours dites ouvertement, où les mariages sont souvent arrangés bref, nous suivons le court parcours de ces deux personnages et assistons à l'amour qui naît entre eux. Cet amour qui se développe tout en douceur à l'abri des regards. Pourront-ils vivre leur amour au grand jour?
Je suis une fan incontestée de la plume d'Aki Shimazaki. Elle a une façon bien à elle de faire passer les émotions de ses personnages. Les phrases sont courtes et pourtant les émotions nous touchent et nous bouleversent profondément. Il y a de la puissance dans son écriture. J'aimerais tellement avoir une infime partie de son talent pour l'écriture!
Dans ce court récit, l'auteure nous fait découvrir le Japon des années 70-80 avec les us et coutumes de l'époque. Il y a certaines traditions et valeurs instaurées au sein de ce pays qui nous sont dévoilées tout en délicatesse. Les non-dits, l'honneur et le pouvoir bref, il est intéressant d'entrer dans ce monde masculin des hommes d'affaires.
Ce premier tome nous fait vivre à la fois de la joie, mais également de la tristesse. Il y a même une petite dose de suspense qui nous garde bien accrochés au récit et qui nous promet une suite intéressante.
Résumé
Le bientôt trentenaire Takashi Aoki, employé dans la compagnie d’import-export Goshima de Tokyo, est appelé à un brillant avenir professionnel. Ne manque à son bonheur qu’une épouse avec laquelle fonder une famille. Il résiste aux propositions de mariage arrangé qu’on lui présente car il est très attiré par la réceptionniste de sa société. Alors qu’il parvient à obtenir un rendez-vous avec elle, son supérieur lui annonce qu’on lui offre un poste important dans une succursale à l’étranger.
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