Alessandro Baricco
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Note moyenne : 7.51/10Nombre d'évaluations : 518
20 Citations 251 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Une très bonne œuvre que nous livre Alessandro Baricco sur le monde et la société actuelle.
Dans cet ouvrage, il nous livre une analyse faite à travers sa vie, son vécu et ses recherches de ce qu'est le Game.
Le Game est l'objet central de son ouvrage. Dedans, il nous explique ce qu'est le Game et le définit pour nous en montrer en grande partie ces facettes.
Un ouvrage vraiment réflexif et intéressant.
Afficher en entierIl y a un je ne sais quoi dans ce court roman et dans ce personnage en particulier qui m'a attiré, sans savoir exactement quoi... J'ai aimé suivre ce pianiste qui n'a jamais quitté son bateau, ses moments avec les autres... la poésie de l'ensemble.
Une bonne découverte.
Afficher en entierIndescriptible, très court, vraiment unique, j'ai tellement aimé
Afficher en entierJ'ai longtemps été partagé: le style est original voire hypnotique, mais l'histoire est si ténue, si inconsistante, qu'on peut refermer le livre avec un arrière goût d'amertume. Il aura fallu que je le relise trois fois pour l'apprécier à sa juste valeur. Après un premier moment de déception (j'ai même employé les mots "supercherie", "prétentieux", "vide") la seconde puis la troisième lecture m'ont enfin révélé la subtilité des phrases, des mots, des répétitions, des figures de style, des symboles Il y a une grande charge poétique et sensuelle dans cette histoire d'amour.
Pour moi ce n'est pas un chef d'oeuvre mais un livre inclassable, un ovni, une sorte d'étoile filante, que certains voient, d'autres pas.
Afficher en entierAlors je dois dire que dès les premières pages de ce roman, je suis tombée dans une grande perplexité. J'ai tout trouvé bizarre et obscure et j'ai vraiment craint de ne pas accrocher. On se serait cru un peu dans un rêve, quand ce qui est absurde est normal. Même les phrases sont étranges, qui s'arrêtent parfois brutalement, sans point, et changent de ligne…
Et puis il y a eu les lettres de Ismaël Bartleboom et je suis tombée sous le charme de cette étrange histoire… et puis j'ai continué de ne rien comprendre.
Mais j'ai persisté ! Page 90 je ne savais toujours pas ce que je lisais. Je me suis dit que ça viendrait, mais ça n'est jamais venu. Mes yeux lisaient les lignes mais mon cerveau était ailleurs. Pourtant j'ai persisté.
Il y a beaucoup de poésie dans ces lignes, des moments d'une grande beauté. Mais la multiplicité des personnages m'a égarée autant que l'absurdité des dialogues et des situations, selon mes propres critères bien sûr. Je sais que ce roman est considéré par beaucoup comme une sorte de merveille, mais moi je me suis demandé tout le long de ma lecture dans quel univers vivait le bonhomme. Je me suis ennuyée, mais tellement !!!
Je me demande même comment ma fille a pu aimer ce livre au point de tenir absolument à ce que je le lise.
Au fond, je crois que ce roman est une longue métaphore qui m'a totalement échappée. Mais même ça je n'en suis pas sûre.
J'avais bien aimé Soie, mais celui-ci pas du tout. Je l'ai trouvé tellement onirique et abscons ! Je suis passée totalement à côté.
Premier roman lu dans le cadre du #bookclub du @prixbookstagram pour #unétéenitalie et pour moi c'est un fiasco total, un long chemin de croix jusqu'au mot fin.
Afficher en entierQue dire de ce livre ? C'était une vraie claque, un coup de poing dans le ventre. Le genre de livre qui m'a fait fixer le mur après l'avoir reposé en me disant "wow". Il est à lire, absolument.
Afficher en entierJe ressors de cette lecture perplexe et navrée. Ce roman que l'on m'a, à plusieurs reprises, chaudement recommandé et encensé par bon nombre de lecteurs, je ne l'ai pas aimé.
Je n'ai pas beaucoup de positif à dire sur ce roman, je serai donc brève.
Il n'y a aucune description. Ok, l'auteur veut sans doute faire travailler notre imagination, soit. Mais pourquoi nous décrire l'itinéraire détaillé de ses voyages et nous le resservir encore et encore ?
J'ai trouvé le personnage principal irritant dès le départ. Je ne saurais pas trop vous dire pourquoi, mais je n'ai ressenti qu'antipathie à son égard.
Ce roman est très court, 142 pages et 65 chapitres dont certains ne comportent que quelques lignes. Il se lit très vite, même pour la lectrice, lente, et qui prend son temps, que je suis.
J'ai l'impression de ne pas avoir compris ce que l'auteur voulait me transmettre. J'ai trouvé tout cela extrêmement froid. Sa poésie ne m'a pas touchée et j'en suis désolée.
Je n'ai pas aimé grand-chose dans ce livre, ni l'histoire, ni les personnages, ni le style de l'auteur. Pour être franche, je n'ai aimé qu'une seule chose et je ne peux pas vous en parler sans spoiler.
Je suis passée totalement à côté de ce livre. Peut-être n'étais-je pas réceptive au moment de sa lecture ou peut-être que cet auteur n'est tout simplement pas fait pour moi.
Je vous invite comme toujours à vous faire votre propre avis.
https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé le style et l'écriture, qui font de ce petit livre un conte poétique qu'on survole. Je le vois comme une sorte de court roman, qui percurte légèrement et trotte dans un coin de la tête pour un peu de temps. La fin est nette, et conclut comme il faut, l'histoire d'Hervé Joncour. Je le relirai sûrement, comme une pause le temps d'un après midi.
Afficher en entierC'est le second livre de l'auteur que je lis et je suis encore une fois impressionné de voir qu'en si peu de pages, il a su écrire une histoire qui fait voyager dans tous les sens du terme.
J'ai apprécié ces allers-retours au Japon, cette relation lointaine entre cet homme et cette femme mystérieuse et cette surprise finale d'une personne qui était présente sans qu'on y prête vraiment attention et qui donne encore plus de force à ce récit.
Un très bon Baricco et je vais continuer à découvrir ces textes avec plaisir.
Afficher en entierCourt récit initiatique, économe de ses mots mais pas de ses émotions. Un auteur habile au style finement travaillé qui pousse votre imagination à combler les ellipses. Des métaphores qui vous enveloppent doucement comme un ultime acte d'amour. Une lecture indispensable qui imprime un signe inconnu au fond de votre mémoire que vous déchiffrerez plus tard.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Alessandro Baricco
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 25 livres
Feltrinelli : 6 livres
Albin Michel : 4 livres
Fandango Libri : 2 livres
DTV Deutscher Taschenbuch : 2 livres
Futuropolis : 1 livre
Tishina : 1 livre
Folio : 1 livre
Biographie
Alessandro Baricco (né le 28 janvier 1958 à Turin) est un écrivain, musicologue et homme de théâtre italien contemporain. Ses romans ont été traduits dans de nombreuses langues. Il vit présentement à Rome avec sa femme et ses deux fils.
Après des études de philosophie et de musique, Alessandro Baricco s'oriente vers le monde des médias en devenant tout d'abord rédacteur dans une agence de publicité, puis journaliste et critique pour des magazines italiens. Il a également présenté des émissions à la télévision italienne (RAI) sur l'art lyrique et la littérature. Il est un des collaborateurs du journal La Repubblica où il a publié en 2006 un feuilleton, intitulé I Barbari (Les Barbares).
En 1991, il publie, à 33 ans, son premier roman « Châteaux de la colère », pour lequel il obtient, en France, le Prix Médicis étranger en 1995. Il a également écrit un ouvrage sur l'art de la fugue chez Gioachino Rossini et un essai, L'Âme de Hegel et les Vaches du Wisconsin où il fustige l'anti-modernité de la musique atonale.
En 1994, avec quelques amis, il fonde et il dirige à Turin une école de narration, la Scuola Holden - ainsi nommée en hommage à un personnage de J. D. Salinger - une école sur les techniques de la narration, où l'on peut « apprendre à écrire » dans un premier temps ; à « écrire comme lui » dans un second temps.
Passionné et diplômé en musique, Alessandro Baricco invente un style qui mélange la littérature, la déconstruction narrative et une présence musicale qui rythme le texte comme une partition. Sa traductrice, Françoise Brun, écrit, à propos de son style : « Mais ce qui n'appartient qu'à lui, c'est l'étonnant mariage entre la jubilation de l'écriture, la joie d'être au monde et de le chanter, et le sentiment prégnant d'une fatalité, d'un destin. »
Désireux de méler ses textes à la musique pour les enrichir (puisqu'il les construit dans cet esprit), il demande au groupe musical français Air de composer une musique pour City (2001). Il s'ensuit un concert dans lequel Air joue la musique en live et Baricco lit ses textes en public.
En 2008, il écrit et réalise son premier film qui sort le 17 octobre. Il s'agit de Lezione 21
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