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Antoine Volodine

Auteur

France Né(e) le 1950-01-01 ( 74 ans )
101 lecteurs

Activité et points forts

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Biographie

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Quelques chiffres

Note moyenne : 5.71/10
Nombre d'évaluations : 31

0 Citations 20 Commentaires sur ses livres

Alias et noms de plume

  • Elli xKronauer
  • Lutz Bassmann
  • Manuela Draeger

Dernier livre
de Antoine Volodine

Sortie France/Français : 2021-08-19

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Poow 2015-07-15T22:50:09+02:00
Lisbonne, dernière marge

Je suis contente de l'avoir lu, même si c'est dans le cadre des cours. Cependant on se perd parfois et l'histoire est un peu complexe.

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Commentaire ajouté par Mietje 2016-09-02T16:36:04+02:00
Terminus radieux

Si je classe ce livre dans la rubrique "argent" c'est surtout pour rendre justice à la beauté du style d'Antoine VOLODINE. Par contre pour le fond, ??? science fixion, littérature fantastiqye ??? Trois chapitres peuvent quand même se dégager: l'évocation de la Russie avant, de la russie après une catastrophe nucléaire et des survivants pas très alléchants, enfin la prolongation d'une vie pendant des siècles, avec des histoires à faire frémir, la méchanceté, la cruauté et surtout l'incompréyhension de cette histoire et du but philosophique recherché !!!

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Commentaire ajouté par zoeynight 2021-01-03T23:47:37+01:00
Un oeuf dans la foule

Rien à dire

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Commentaire ajouté par Lolotte2003 2021-11-24T13:28:45+01:00
Les filles de Monroe

Tout commence par une nuit silencieuse, une rue délabrée, des railles des tramways et une fille en tenu commando.

Le monde est détruit. Il ne reste que des policiers, des médecins et des malades traînant dans hôpitaux psychiatriques délabrés, dirigé par un Parti qui semble sur le point de s’effondrer. Certains se cachent, d’autres préfèrent attendre la mort ; et les morts, eux, se lève pour détruire ce Parti corrompu, pour Monroe leur leader assassiné, pour redresser un monde qui n’existe déjà plus.

Un récit intriguant dès le début, et difficile à cerner dans son ensemble. Rien ne nous prépare pour comprendre cet univers, pas de contexte ; c’est seulement en le lisant en entier que l’on peut le comprendre : un monde post-apocalyptique mené par un Parti survivant qui lutte contre les morts qui se réveillent. On ne s’attend pas à se trouver dans un monde comme celui-ci. Un livre original qui se démarque par son écriture et son script en lui-même. En effet, ce n’est pas une histoire entière que l’on nous raconte, seulement une partie : on ne connaît pas réellement le début (que seul les personnages ont vécu), n’y la fin. Nous ne sommes que des observateurs à travers les yeux de Breton : un homme schizophrène aux multiples personnalités.

Le rythme donné est lent, très lent avec peu d’action : un récit de contemplation qui n’hésite pas à nous décrire tous ces lieux artificiels détruits remplacés peu à peu par la végétation, à nous donner une description physique réel et non romancé des personnages (laideur, corps en décomposition des mort-vivants).

L’originalité du récit se ressent également par des thèmes peu à pas aborder comme le chamanisme, ou des thèmes revisités qui diffère bien des clichés (monde parallèle, « zombies », société post-apocalyptique).

Je ne dirais pas que je l’ai adoré, mais je l’ai trouvé bon dans l’ensemble. Un livre atypique et bien surprenant.

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Commentaire ajouté par ZouzouZouzou 2022-04-01T19:39:10+02:00
Des anges mineurs

Je ne comprends pas l'intérêt d'inventer ce post-exotisme et tous les écrivains qui y sont liés. Que d'inventions pour un si piètre résultat ! Il y en a vraiment qui ont du temps à perdre.

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Commentaire ajouté par booknwool 2023-06-03T16:56:35+02:00
Frères sorcières

Un livre très étrange, trop même pour moi.

Ça commençait bien : un entretien en discours libre entre une comédienne de théâtre itinérant et une personne dont on a aucune information.

On découvre que le théâtre itinérant dans la campagne rurale d'un pays sous régime totalitaire (y a un petit côté Russie communiste) est une vie difficile. Surtout après s'être fait attaquer par des bandits. Mais la protagoniste survit à tout en répétant des phrases étranges qu'elle a héritées de sa mère et de sa grand-mère.

Deuxième partie, sur une centaine de pages, la totalité des phrases "sorcières".

Troisième partie : Récit en une phrase de 150pages ! C'est clairement la partie la plus bizarre (même si la litanie n'avait déjà pas de sens). C'est une partie "métaphysique" ou les gens (esprit?) évolue dans la matière noire et quand ils ont suffisamment d'énergie reviennent sur terre, homme ou femme et même une fois sur terre peuvent se transformer ou utiliser d'autres corps.

Dans le monde de la matière noire et même sur terre deux choses semblent très importantes : les phrases magiques car elles permettent de créer, de se faire obéir, de maudire et surtout de vivre éternellement; mais aussi la sexualité.

C'est là que j'ai eu un malaise. Sur la 4ème de couverture il est écrit "sexualité délirante" OK ça peut être marrant mais en réalité 90% des rapports sexuels sont des viols. C'est une édition de 2019 comment on peut qualifier le viol de sexualité délirante? Bref édition du Seuil je modifierai le résumé.

En résumé : lecture rapide, sans but, sans poésie, certainement un concept pour une élite dont je ne fais pas partie.

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Commentaire ajouté par Henrxy 2023-07-13T20:58:15+02:00
Terminus radieux

Steppe sans limites. Blanc clair en hiver. Et en été les graminées, mutantes, se balançant caressées par le vent. Un monde contaminé, rendu invivable par les explosions de réacteurs nucléaires en fuite, fierté d'une Seconde Union soviétique au bord du gouffre. La seule exception à ce vide dominé par la nature est Terminus Radieux, un kolkhoze où la vie continue de s'écouler autour d'un empilement atomique enfoncé dans le sol.

La guerre est perdue, bien que les généraux aient tenté de reconquérir « Orbisa » (capitale de la Seconde Union soviétique) avec des forces « démoniaques, extraterrestres et kamikazes ». Vétérans de la grande bataille finale, les trois soldats Eli Kronauer, Iliuchenko et Vassilissa Marachvili, mourants après le dernier combat et en quête d'un abri, rentrent en contact avec cette nouvelle réalité. Parti en éclaireur, Eli trouve « Terminus Radieux » et nous découvrons ainsi que tout n'est pas perdu et que certaines communautés de personnes survivent aux radiations.

« Terminux Radieux » semble être un petit village dans une clairière dans les bois où une petite communauté alimente (au sens propre du terme) sa propre source d'énergie, c'est-à-dire une pile atomique qui un beau jour a décidé de s'enfoncer à des kilomètres dans le sol.

Dans le village, en plus de la culture et de l'entretien de la pile atomique, il y a une importante bibliothèque d'où l'on ne verra que des textes féministes, des brochures de propagande et des romans post-exotiques !

Et y vivent de sacrés personnages :

« Nonna Udgul », à qui les radiations ont donné une sorte d'immortalité récupéré par le régime puis devenu héroïne immortelle rejetée par celui-ci, elle a atterri à Terminus Radieux où elle s'est taillé le rôle important de vestale de la divinité ktonienne radioactive (alias la pile), en gérant les opérations de stockage des déchets radioactifs…

Mais le véritable « monstrum » (en latin, prodige) du kholchoz est « Soloviei », un terrible magicien, sorcier et homme de lettres, qui gouverne la petite communauté sur la base de sa propre interprétation anarchiste des règles de l'Orbisa ou comme président autoproclamé il guide les quelques survivants avec ses pouvoirs surnaturels dans une atmosphère de rêve aux contours du cauchemar. Car il a la capacité de ramener les morts à la vie avec une manipulation non spécifiée et qui fait de lui le principal représentant de cette partie du réalisme magique qui est un ingrédient du post-exotismeclairement la référence est au Bardo Todol, le livre tibétain

Dans ce roman, les morts marchent et font partie d'un autre ensemble de créatures humaines : D'un côté les morts qui connaissent le secret de cet état, de l'autre les vivants qu’à moitié qui grâce aux radiations sont souvent d'étranges êtres mutants et à l’intersection les morts-vivants qui sont un peu l'un et un peu l'autre. Volodine décrit les morts comme faisant partie du Bardo référence au livre des morts tibétains des morts que même Philip K. Dick appréciait et pillait pour des idées (tant pour la relation entre post exotique et post post-moderne). Soloviei n'est pas seulement un véritable être magique et malfaisant, mais c'est le père qui, par son pouvoir de contrôler les rêves, ne laisse aucun répit à ses filles/amantes : Myriam Umarik, Samiya Schmidt et Hannko Vogulian.

Et puis les siècles passent, les survivants se dispersent, le voyage du train qui sillonnait les voies à la recherche d'un camp de travail s'est terminé il y a, on ne sait combien d'années. Jusqu'au jour où des milliers de corbeaux s'envolent. Et puis tout continue, encore une fois, dans la réalité parallèle et piégé du Barde « Soloviei », dans une fin infinie, mais qu'importe.

Dans cet univers – singulier, visionnaire, violent – le temps et l'espace sont des dimensions liquides où les vivants, les morts et autres errent dans un futur immense et éternel. Un univers hallucinant, traversé par l'humour du désastre. Ici, le temps et l'espace sont des dimensions liquides où les vivants, les morts et autres errent dans un futur immense et éternel. Un univers hallucinant, traversé par l'humour du désastre.

Tout cela vous renvoie à la culture malaise d'un franco-russe qui décrit une réalité magique dans la steppe après la fin de la Seconde Union soviétique.

Le dernier chapitre où la post-apocalypse prend des tonalités d'éternité, devenant une post-post apocalypse (je sais ça paraît confus mais moins que le roman), est la cerise sur le gâteau. La délicatesse avec laquelle sont abordées des questions telles que la mort, l'éternité, l'écriture, la vengeance, la connaissance, l'humanité en général est typique de la grande littérature.

Mais ici c’est encore quelque chose de vraiment nouveau. Ce roman est une est une sorte de boîte de Pandore qui contient des joies qu'une fois rencontrés ne peuvent plus être oubliées

Livre puissant, hypnotisant difficile et à mon avis trop long. Je pense qu'il est impossible et improbable de décrire l’impression que l'on a en lisant ce roman. Il est puissant parce qu'il contient tout : la vie, la mort, les limbes, le sommeil, la veille, les cauchemars, les désirs, les histoires, le pouvoir et l'impuissance, le temps et l'éternité. Tout cela est soutenue par une belle écriture souvent très poétique. Difficile parce que c'est un de ces livres qui font réfléchir à chaque phrase ce qui détourne de lecture proprement dite. Difficile parce qu’il fait bien admettre qu’on n’y comprend pas tout ce qui est je suppose une volonté de l'auteur.

On nage entre rêve et réalité et parfois on coule. Toujours à un pas du cauchemar (un tas atomique qui ne demande qu'à se remplir en permanence entre fantômes et morts vivants entre humains et post humains

On s’y perd parfois (ou c'est juste que l'on voyage) et là selon le type de lecteur que vous êtes vous choisirez de continuer ou d’arrêter les frais.

Antoine Volodine a été très clair là-dessus : c'est un roman post-exotique et tous les critiques doivent le considérer comme tel. Un divertissement qu'il faut prendre très, très au sérieux : cette littérature est en fait quelque chose de nouveau. Alors qu'il s'agisse de dérision ou de narcissisme, le « post-exotisme » est une avant-garde intéressante.

Le roman enfin se transforme en manifeste programmatique : la référence au raisonnement sur l'écriture, les livres et la littérature est constante. Le style et l'imagerie de Terminus Radieux pourraient facilement remonter à une veine littéraire sauf qu’en réalité elle en invente une : Dans le monde de Volodine même les vagabonds se transforment en rhapsodes, la "princesse" est bibliothécaire et le grand "monstre" de toute l'histoire déclenche ses nécromancies avec des artifices littéraires rassemblés dans un corpus, dont des extraits entiers sont cités plusieurs fois.

Enfin, impossible de ne pas remarquer que le post-exotisme est un leitmotiv du livre lui-même ! Le succès de ce courant est l'une des prophéties auto-réalisatrices les plus brillantes que la littérature ait produites ces derniers temps, après tout Volodine invente le terme « post exotisme » en 1990 et Terminus Radieux (2014) en est le point culminant.

Un indice du sens de ce « post-exotisme » : Il est extrêmement luxuriant. Mention spéciale aux graminées de la steppe et de la taïga radioactives qui entourent et composent Terminus Radieux. Volodine étant un admirable inventeur de noms : La « belle dame », la regrinella, la mortaccina à la grosse touffe, la godifoglia, la spingistorta, la sterpafina, la majdahara, la soffisplendida, la barbe de pèlerin, la mère des lépreux, la rinceuse, la biattola des vagabonds et la puante campanule Aldenga » composent ainsi un herbier très original. Je ne suis jamais allé en Sibérie pour étudier la botanique mais je sais que ces herbes n'existent pas, du moins pas dans notre univers.

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Commentaire ajouté par Kid_A 2024-01-22T21:04:04+01:00
Contre la littérature politique

À travers six textes aussi différents sur le fond que sur la forme, les autrices et auteurs illustrent ce qu'est la littérature politique, ce qu'elle n'est plus dans beaucoup d'oeuvres auxquelles le terme est associé et totalement dissous, car quand tout est politique, plus rien ne l'est.

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Commentaire ajouté par Kid_A 2024-01-31T23:35:32+01:00
Des anges mineurs

En 49 narrats, Antoine Volodine écrit ceux qui restent à la fin du monde, ceux qui restent quand il ne reste plus rien. On y croise des chamanes, des cannibales, des compagnons de bord, des immortelles et immortels, des qui veulent repeupler le monde... 49 trajectoires, 49 regards traversés par une histoire à raconter, une petite histoire de fin du monde, traversée par un ange mineur.

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Commentaire ajouté par Kid_A 2024-01-31T23:43:39+01:00
Vivre dans le feu

Sam voit le napalm tomber du ciel, vers ses camarades et inévitablement vers lui. Alors qu'il ne lui reste plus que quelques secondes à vivre avant de s'enflammer, il décide de déclamer, de hurler à pleins poumons, un roman.

On trouve, dans ce roman familial, les étapes et les épreuves vécues pour apprendre à vivre dans le feu. On y croise des femmes hautes en couleur, aux histoires farfelues, aux destins insolites, et une touche de drôlerie, pour surmonter les flammes, comme Sam peut-être ?

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On parle de Antoine Volodine ici :

Dédicaces de Antoine Volodine
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Seuil : 12 livres

Denoël : 5 livres

L'Ecole des loisirs : 5 livres

Verdier : 5 livres

Points : 3 livres

Gallimard : 2 livres

Les Editions de Minuit : 2 livres

Editions de l'Olivier : 2 livres

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