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Antonio Muñoz Molina

Auteur

36 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Antonio Muñoz Molina (né le 10 janvier 1956 à Úbeda en Andalousie) est un écrivain espagnol, membre depuis 1995 de la Real Academia Española fondée en 1713. Il réside à Madrid et à New York, où il a dirigé l'Institut Cervantes jusqu'en 2006.

Après des études d'histoire de l'art à l'université de Grenade et de journalisme à l'université de Madrid, Antonio Muñoz Molina travaille comme fonctionnaire à Grenade et écrit des articles dans le quotidien Ideal qui seront réunis et publiés sous le titre El Robinson urbano en 1984.

Il publie en 1986 son premier récit, Beatus Ille, entamant une carrière brillante d'écrivain couronné par de nombreuses récompenses littéraires. Son deuxième roman, Un hiver à Lisbonne, reçoit le Prix de la Critique et le Prix national du roman, et est un hommage aux romans noirs américains, à ses héros et au jazz. Ce roman policier aux personnages forts et typés conte l'histoire de Santiago Biralbo, un pianiste de jazz, emporté dans une histoire dangereuse de tableau d'une valeur inestimable volé par la femme de sa vie et qu'on cherche à récupérer par tous les moyens. La fin du roman suggère que Biralbo surmontera sa solitude finale " dans la certitude obscure qu'il n'y a ni souffrance ni bonheur mais un destin inscrit dans la douceur sauvage et âpre de la musique, et qu'il importe peu, dès lors, d'être mort ou vivant." (Éditions du Seuil, octobre 2001, quatrième de couverture).

Le Royaume des voix reçoit le Prix Planeta et Pleine Lune le Prix Femina étranger en 1998.

Dans un court roman, En l'absence de Blanca, hommage à Flaubert et fine analyse des ressorts profonds de l'amour passion, Antonio Muñoz Molina montre l'amour fou fait de renoncement de soi et de dépendance d'un homme simple, Mario, fonctionnaire dans une petite ville d'Andalousie, pour Blanca, sa femme, sorte de madame Bovary entichée d'art contemporain. Après une fugue fugitive et ratée de Blanca, Mario reconnaîtra-t-il la femme qu'il aimait ? et même la voix de Blanca ? "... plus chaude que jamais,dépourvue de cette pointe subtile d'éloignement et de froideur dont il s'était toujours refusé à accepter l'existence, tout comme il s'était refusé à voir, à entendre et à comprendre tant de choses, tant de mensonge infime, tant d'infidélité passée sous silence." Son amour n'a-t-il pas disparu avec sa souffrance ?

Antonio Muñoz Molina est marié à Elvira Lindo, écrivain et journaliste espagnole. Il est père de trois enfants : deux garçons et une fille.

wikipédia.fr

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Note moyenne : 7.4/10
Nombre d'évaluations : 10

1 Citations 9 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Antonio Muñoz Molina

Sortie France/Français : 2023-10-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Dans la grande nuit des temps

OUI !!! Oui je suis allé jusqu'au bout de ce livre, de ce pavé littéraire (près de 1000 pages en édition poche). Le contraire aurait été dommage. Mais que ce fut difficile, parfois laborieux. Monsieur Munoz Molina écrit très bien, envoûte le lecteur, mais son style est à mon sens bien trop ardu parfois. J'ai lu auparavant le roman "Pleine Lune" dont la structure m'avait particulièrement ravi. Mais déjà, à la lecture dudit roman, j'avais été confronté à des "décrochages" : phrases un peu longues, descriptions trop denses. Mais, comme je l'ai avancé plus haut : dommage de passer à côté ! l'histoire est belle. Attention cependant ! s'attaquer à ce bloc romantico-historique ou historico-romantique, l'un des thèmes prenant autant de place que l'autre, nécessite un certain besoin ou une certaine envie de découvrir un fragment fondamental (l'année 1936 !) de l'histoire de la nation espagnole. Pour vous représenter cet effort de plongée, imaginez-vous être espagnol(e) ou d'une autre nationalité, et lire plusieurs centaines de pages d'un roman ayant pour cadre la France de Vichy avec toutes les personnalités qui étaient à sa tête... Pas aisé, n'est-ce pas ? Sachez également lecteurs potentiels, que cette longue balade que vous vous apprêtez à faire risque, à vos yeux, de se faire dans une brume légère mais tenace, sans oublier ces nuages de plus en plus menaçants que représentent la terreur de la guerre civile qui enserre progressivement Madrid. Heureusement ! l'amour est là avec ses joies (et ses désillusions).

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Commentaire ajouté par Henri-1 2017-12-04T16:39:32+01:00
L'Hiver à Lisbonne

Ce livre réveille de vieilles et confuses réminiscences de films noirs (en noir et blanc). Un bar enfume, une morne chambre d’hôtel ou traînent des bouteilles, une arme délicatement caressée, un rideau qu' entrouvre a peine, un homme poste dehors dans le crachin, et des voyages. Des voyages de fuite, des voyages de retrouvailles. Des voyages de peur, des voyages d'espoir. Des trains fusant dans la nuit. le tout dans une constante musique de jazz. C'est une jam-session. Munoz Molina écrit comme un musicien de jazz, qui abandonne la mélodie, improvise, et revient a elle pour finir en beauté.

Dans cette ambiance noire et jazzy, c'est une histoire d'amour qui nous est contée. Un amour impossible. Un amour poursuivi d’année en année, de bar en bar, de ville en ville. Jusqu’à Lisbonne, ultime rêve, ultime espoir, la ville ou nous sera donne une sorte de dénouement. Ou tout sera –définitivement? – rate. Un dernier accord de jazz désabusé. Mais Lisbonne est peu décrite. d’ailleurs dans son dernier roman Molina raconte entre autres la genèse de ce roman. Et effectivement à l'époque il n'était jamais allé à Lisbonne. Il y a aussi Madrid et ses rafales de vent qui s'engouffrent dans les portails des vieux hôtels de la Gran Via, et surtout San Sebastian. Pas le San Sebastian d’été bourre de touristes se dorant au soleil. le San Sebastian d'hiver, dans la bruine, au ciel de plomb surplombant bas une mer vert fonce qui s'acharne contre l’île de sa baie, avec pour seule défense les tenailles de fer que le sculpteur Chillida planta dans ses rochers. Une ville esseulée ou les taxis roulent vite dans des rues vides de piétons. Ou des autochtones transis se retrouvent dans des bars mal éclaires pour écouter un pianiste et se chauffer au bourbon, ou a la bière ou aux deux. Un San Sebastian parfait pour l’atmosphère ou veut nous plonger Munoz Molina.

Il faut dire que l'auteur n'a surement pas choisi San Sebastian par hasard. Les amateurs de musique se rappellent que ça a été la première ville a créer un festival de jazz en Espagne (en 1966! Franco dormait?), suivie de Vitoria, autre ville basque. Les basques aiment le jazz, et Munoz Molina aussi, bien qu'il ne soit pas basque. San Sebastian est le berceau du jazz espagnol,

Je reviens au livre. Une histoire d'amour désespéré, une histoire d'amour sans avenir et avec un passe brumeux. Dans une atmosphère oppressante de vieux film noir, racontée en un rythme jazzy casse, nourri des élancements douloureux d'un saxo.

Munoz Molina n'a pas l'habitude d’écrire des thrillers, des romans noirs, mais la il montre qu'il aurait pu s'y consacrer brillamment. Tous ceux qui aiment les romans obscurs et humides, ancres dans les poursuites, les tirs dans la nuit, les larges verres de whisky et les cigarettes entamées jonchant le sol, seront happes par ce livre. Une grande réussite du genre. Et pourquoi seulement du genre? Une grande réussite de Munoz Molina. Il y en aura beaucoup d'autres.

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Commentaire ajouté par Biquet 2018-07-11T16:12:06+02:00
Le Sceau du secret

No me recuerdo porque compré este libro pero temo que no compre otro del mismo autor.

Describe el ambiente engañoso al final del régimen franquista. Es presentado como los recuerdos del autor cuando en 1974, de estudiante de 20 años llegó en Madrid para estudiar periodismo. Describe sus relaciones con dos personas. La primera era su paisano Ramonazo, maoista que se le unió en Madrid, la segunda era el abogado Ataúlfo, secretario General de la federación Anarquista Ibérica.

Me parece que hable con frecuenccia de su verjiga y de los pocos bocadillos que comía

Come he dicho antés pensaba que no leería otro libro de este escritor hasta un comentario encontrado en el WEB. Este aconsejaba que no empezara con este título del escritor. Razón: no es su mejor obra. Sea qué sea, es posible que cambie de opinión

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Dans la grande nuit des temps

Sur recommandation j'ai essayé de le lire. Les phrases plus de 50 mots je n'y arrive pas. Comme celles qui font 1/2 page. En plus perdue dans les descriptions et autres remplissages, on en arrive à se demander qui est Abel et ce qu'il lui arrive. Ah oui c'est de lui qu'il s'agit.

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Dans la grande nuit des temps

C'est mon premier roman de cet écrivain. Je suis d'emblée intéressé car concerné par la guerre d'Espagne. Mais malgré cela, j'ai trouvé le rythme de ce roman véritablement trop lent avec des descriptions qui se répètent et j'ai fait un effort pour ne pas décrocher avant la fin. J'ai d'ailleurs lu d'autres livres en même temps. Il est à l'image de son personnage ... Je trouve intéressante la description de l'état de déception, de confusion, de désordre et de cruauté partagée dans lequel la guerre civile s'installe.

Malgré cette pesante lenteur, j'ai apprécié le style d'écriture et les sujets qu'aborde cet auteur dont je vais essayer de lire un autre roman en espérant un rythme plus soutenu.

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Un promeneur solitaire dans la foule

Ecriture extrêmement dense , parfois volontairement confuse et soulante, voir obsessionnelle. Plus qu'une lecture L'auteur propose une expérience de lecture singulière.

Pour moi une expérience forte ,presque inoubliable ou Muñoz Molina sur un rythme lent de sonate, propose des images qui dénoncent la destruction du monde livre un chant poétique à l'écologie non sectaire à amour de la vie, tout en nous donnant des indices sur la façon dont il est devenu lui même écrivain par rapprochement avec Poe, Pessoa, De Quincey, Whitman, Dickens, Lorca...

tout cela donne certes un livre clivant, difficile, que vous pourrez détester ou adorer.

J'essaye quand même de raconter les grands traits de cette narration:

C'est un livre qui ouvre de nombreuses portes, et qui nous mènera à une multitude d'auteurs que, probablement, nous n'avons pas encore lus. L'auteur nous raconte l'histoire d'un narrateur qui suit un marcheur anonyme à travers la ville, qui prend des notes, mémorise toutes sortes de stimuli audiovisuels (j'achète de l'or et de l'argent, par exemple, des matériaux de démolition purs) et fouine les gros titres des journaux des gens à côté de lui dans le métro. On ne connaît pas le nom du narrateur ou du marcheur, mais on sait ce que ressentent Thomas de Quincey, Charles Baudelaire, Fernando Pessoa, Edgar Allan Poe, James Joyce, Walter Benjamin, Herman Melville, Federico García Lorca ou Walt Whitman. Tous ces écrivains, justement, sont des descripteurs et ils nous pont parlé, dans de nombreux cas, de villes qu'ils ne connaissaient pas ou qu'ils affrontaient pour la première fois, et c'est là que réside une grande partie du secret de ce livre, car souvent le la nous ne savons plus très bien de quelle ville il nous parle, car ce qu'il veut, c'est que nous comprenions comment nous ne connaissons pas nos propres villes et comment nous sommes des étrangers dans notre propre monde. Nous portons un téléphone portable qui nous fait baisser la tête qui nous isole du monde qui nous entoure et nous ne lisons pas dans la rue ce que la ville nous propose comme écritures : Nous ne lisons pas les publicités sur les murs qui cachent des vies entières. En marchant isolément, nous avons perdu la merveilleuse habitude d'écouter des conversations au coup par coup et d'imaginer d'où vient cette phrase et où elle va. Si nous analysons seulement la moitié d'une conversation téléphonique - celle de l'interlocuteur qui est à côté de nous - nous pouvons imaginer quelle était la question ou quelle aurait été la réponse. Les écrivains ne tirent-ils pas souvent de ces ficelles et ces bribes de conversations entendues pour construire leur propre monde? créer son propre monde à partir de celui de quelqu'un d'autre à peine entraperçu fait partie du génie de l' écrivain. c'est tout le contraire. Il sait que nous ne jouissons pas tous de son plaisir quotidien, et plutôt il nous dit qu'il est heureux comme ça, et que nous l'aimons aussi. Il est heureux ainsi, malgré une légère rechute d'une vieille dépression. Il a réalisé, dans la vraie vie, un cahier avec des coupures de presse et des publicités, des dessins et des photographies et peut être vu partiellement entre le texte. Et il semble qu'il ait passé un merveilleux moment avec cette expérience. Muñoz Molina mainie le langage avec tant d talent et d' habilité, que l'on peu lire ce livre de façon relativement fluide et facile malgré son étrange format.

S'il pouvait passer pour un vieux bougon ressassant que le "monde c'était mieux avant", et que "maintenant il va trop vite", ce n'est finalement pas l'impression qu'il nous laisse; au contraire. Il est un peu dépressif certes, mais il aime ça et nous dit que nous aussi on pourrait s'exercer à ce curieux exercice et en fin de compte aimer ça

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Dédicaces de Antonio Muñoz Molina
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Editeurs

Seuil : 17 livres

Points : 8 livres

Actes Sud : 3 livres

Seix Barral : 1 livre

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