Bernard Werber
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Note moyenne : 7.76/10Nombre d'évaluations : 7 712
16 Citations 3 878 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Quel voyage à travers notre cerveau et quel suspens avant de découvrir l(ultime secret. Roman superbement mené de main de maître l'auteur extrêmement bien documenté nous donne plein d'explications scientifiques sur la chimie de notre cerveau qui reste encore mystérieux aux yeux des scientifiques.
Afficher en entierCertaines histoires sont très intéressantes et nous demande d'adopter un point de vue différent de ce que l'on peut avoir d'habitude.
Afficher en entierAvec Werber, c’est rarement neutre. Soit j’adore, soit je peine à le finir. Ici j’ai peiné… L’idée de base est pourtant intéressante mais l’écriture est trop lacunaire. Les personnages manquent de profondeur, les ellipses sont bien trop nombreuses (et parfois gigantesques) et les scènes d’exposition sont trop fréquentes ce qui provoque de la lassitude à la lecture. J’aurai aimé peut-être des personnages et surtout des chimères plus creusées et développées et des intrigues menées dans leur intégralité sans la facilité scénaristique de l’ellipse. Un flop pour moi donc, malgré une quatrième de couverture qui m’avait enthousiasmée.
Afficher en entierJ'ai adoré ce livre de Berenard Werber !
L'histoire est prenante, les chapitres s'enchaînent. Le livre remémore les conflits mondiaux et la nature humaine (forcément pas fameuse).
Comme à chaque fois que je lis un livre de cet auteur je suis ravie de ce mélange philosophie - sciences - imaginaire qui pour moi est très agréable à la lecture.
Afficher en entierLecture intéressante qui nous fait se mettre à la place des chats et revoir différemment certains de nos comportements à leur égards que l’on considère normal
Afficher en entierMon conjoint à lu ce livre, il a bien aimé ! c'est un 15 ou 16 / 20 pour lui ! Il aime beaucoup les livres de l'auteur en général, celui-ci est aussi bien que les autres qu'il a pu lire de Bernard Werber !
C'est toujours sont auteur préféré ! ^^
Afficher en entierAgréable et original un bon mélange entre le monde du visible et de l'invisible
Afficher en entierTreize auteurs sollicités par les "Restos du Coeur" proposent chacun une nouvelle sur le thème du repas. Cela donne un recueil vendu au profit de l'association caritative. Dans l'ensemble, le résultat n'est pas mal et très variable en fonction de la personnalité de l'écrivain.
"Olympe et Tatan" de Françoise Bourdin aborde le repas de Noël en famille, imposé, obligatoire et surtout pénible. C'est amusant car c'est très parlant : tout le monde a subi un jour ou l'autre ces réunions familiales fastidieuses. Personne ne voudrait y assister mais personne ne peut s'y soustraire.
"Maligne" de Maxime Chattam met en scène un homme obsédé par les repas au point de tout dévorer... Et si la boulimie était due à une sorte d'alien qui hante les gens atteints ? Cette histoire de monstre est bien convenue.
"Nulle, nullissime en cuisine" d'Alexandra Lapierre décrit une héroïne incapable de préparer un repas. L'un de ses dîners catastrophique se révèle la clé du succès. C'est cousu de fil blanc.
"Un petit morceau de pain" d'Agnès Ledig se base sur la faim. Un petit garçon attend sa mère à l'extérieur d'un magasin à midi. Soudain, un inconnu lui donne un morceau de sa baguette et de là, une amitié naît. L'homme finit par épouser la maman célibataire et l'enfant a un beau-père. Plus tard, grâce au pain, l'enfant devenu adulte trouve l'amour. C'est le conte de fée qui s'achève.
"Mange le dessert d'abord" de Gilles Legardinier recueille les confidences d'un homme. Celui-ci raconte une histoire d'enterrement et du repas de funérailles où l'un des participant dit à une fillette de manger le dessert qu'elle aime d'abord car elle ne sait pas ce qui peut arriver ensuite. C'est long et pénible... et bien lourd.
"Une initiative" de Pierre Lemaître montre un octogénaire veuf qui s'engage sur un coup de tête. Alors qu'il vit seul, il décide d'inviter six membres de sa famille pour une fête. Mais comment faire pour préparer un repas alors qu'on n'a pas l'habitude. Le pauvre homme vit un véritable cauchemar. Heureusement, la petite-nièce le sauve in-extrémis en lui demandant de changer d'avis. Elle l'invitera... C'est amusant en raison de la "prise de tête" du vieil homme torturé par l'idée de repas.
"Dissemblance" de Marc Lévy st hors sujet. On ne trouve pas de repas mais un dialogue entre un Israélien et un Palestinien. Ils échangent sur l'absurdité de la guerre et de la haine aveugle entre deux peuples. Tous deux en sont les victimes. Deux fantômes discutent. Et si c'était vrai ? On attend toujours le repas.
"Fantôme" de Guillaume Musso est une enquête policière. Une inspectrice atteinte d'un cancer part aux Etats-Unis afin de trouver une cure ultime. Dans la clinique, elle y croise le fantôme d'un médecin assassiné qui lui conseille un repas. Intriguée, elle enquête et découvre l'assassin mais au final se fait tuer par le coupable. Ce n'est pas trop mal mais trop convenu.
"Jules et Jim" de Jean-Marie Périer parle de l'amitié de deux hommes devenus rivaux car l'un avait séduit la petite-amie de l'autre (avant de se faire abandonner à son tour). Lors d'un repas, les deux anciens amis se rencontrent. Lorsque tous les invités partent, l'un des deux revient sonner à la porte de l'autre. Les deux amis se réconcilient. Or, l'un des deux vient de mourir. C'est lourd et très banal.
"Le Parfait" de Tatiana de Rosnay peint le mariage de Mathilde. Sa mère, veuve, est chargé d'organiser le repas de noce. Sa grand-mère paternelle décide de mettre son grain de sel et de n'en faire qu'à sa tête. Cette odieuse "Tatie Danielle" gâche tout et impose un parfait comme gâteau. La vieille dame finit par être punie. Cette nouvelle amusante est l'un des clous du recueil.
"La part de Reine" d'Eric-Emmanuel Schmitt joue avec l'émotion. Le narrateur est un petit garçon qui a un chien, Tao. Grâce à celui-ci, il se lie d'amitié avec un clochard du nom de Clovis dont la chienne se nomme Reine. Le partage, le repas, les sentiments sont au rendez-vous. Ce n'est pas mal.
"Gabrielle' de Franck Thilliez s'étend sur la nourriture de deux photographes convoitée par les ours (qui assiègent leur campement). Mari et femme étudient les fauve depuis 25 ans et se retrouvent en danger. Là encore, il y a une histoire de fantôme à la clé. A croire que plusieurs auteurs de ces nouvelles se sont donnés le mot pour choisir la même thématique (celle du revenant qui résout tout).
"Langouste blues" de Bernard Werber donne la parole au repas lui-même : une langouste. Celle-ci raconte sa vie et explique aux humains qu'il ne faut pas la considérer comme un met à déguster mais comme un être vivant sensible. Avec beaucoup d'humour et d'ironie, la langouste livre ses considérations justes et raconte sa vie. Alors que tout semble perdu pour elle, le destin tourne en sa faveur. Cette nouvelle est très sympathique, intéressante et fait bien réfléchir. Elle est également l'un des clous du recueil.
Dans l'ensemble, cet ouvrage en vaut la peine. Un livre acheté permet la distribution de trois repas aux Restos du Coeur et l'on passe un bon moment à la lecture des nouvelles. Je conseille cet achat utile.
Afficher en entierUn grand classique à ne pas rater
Afficher en entierCe deuxième tome continue de nous plonger dans le monde des chats en ajoutant peu à peu pleins d’espèce et nous faisant voir sous un autre œil notre façon de traiter les animaux au sens large
Afficher en entierOn parle de Bernard Werber ici :
2019-03-16T14:39:01+01:00
2018-04-14T20:17:22+02:00
2018-03-17T13:33:29+01:00
2018-02-26T10:01:29+01:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2015-03-20T16:09:23+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Bernard Werber
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
LGF - Le Livre de Poche : 65 livres
Albin Michel : 51 livres
France Loisirs : 9 livres
Le Livre de Poche : 5 livres
Pocket : 5 livres
Livraphone : 3 livres
Glénat : 2 livres
Fleur Sauvage : 1 livre
Biographie
Après des études de criminologie, Bernard Werber intègre une école de journalisme à Paris. Il fait d'abord ses preuves dans la presse locale de Cambrai, puis devient un collaborateur régulier du Nouvel Observateur. En 1991, il publie son premier roman, 'Les Fourmis', et l'ouvrage fait une irruption remarquée sur la scène littéraire. Le roman suivant, 'Le Jour des fourmis' est traduit en vingt-deux langues. Il obtient le Prix des lectrices de Elle et se retrouve propulsé sur le pupitre des lycéens. Ce succès est en partie dû au fait que Werber a repris un genre ignoré en France mais dans lequel excellent les Anglo-Saxons, celui du roman scientifique, auquel l'auteur ajoute des considérations plus philosophiques portant sur l'organisation de nos sociétés humaines. Werber s'est également fait un nom dans le cinéma, avec la réalisation de 'La Reine de nacre'. En 2006, il sort son premier long métrage, 'Nos amis les Terriens'. Capable de se renouveler sans cesse, il propose aussi pour la rentrée littéraire un nouveau roman très attendu, 'Le Papillon des étoiles' (3 octobre 2006). Ecrivain talentueux, il a su imposer son style avec audace et détermination
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