Catherine Millet

Cette auteure a de la chance d'être connue du milieu des arts sinon elle n'aurait pas vendu 1 exemplaire de ce livre.

Reconnaissance à Chantal Thomas.... et patati et patata, tout se petit monde se pourlèche la patte, pourvu qu'on en parle.

On dit que pour être édité il faut déjà avoir un nom et une plume. Madame Millet, vous avez la chance d'avoir le nom, c'est déjà pas mal. Mais vous n'avez vraiment rien d'autre.

Heureusement que je n'ai pas eu à payer pour accéder à ce phénomène de marketing éditorial ! Le style plat tant vanté de cette auteure se prête mal à la descriptions d'agapes et d'orgies sexuelles. Il ne peut, éventuellement, que servir de prétexte à des hypocrites qui voudraient lire du pornographique sans s'autoriser à descendre si bas, sans avouer leurs perversions lubriques.

Quant à prendre cela pour un témoignage sincère, il faudrait être naïf. C'est juste une idée de plus pour vendre des livres, faire le buzz. Et cela a marché.

J'ai été déçu... ou j'en attendais trop ! Elle raconte sa vie sexuelle, oui mais bon ! Tout s'enchaine sans sentiment, sans ressenti, ni état d'âme. Dans un livre érotique, il y a de l'envie, du désir, j'ai trouvé le livre plat !

Un livre avec des passages très crus, pas seulement érotiques mais carrément pornographiques, le tout n'est pas très intéressant.

J'ai trouvé l'écriture intéressante, pas trop crue, et finalement assez peu sulfureuse pour ce type de publication. Mais sans plus.

Un livre qui n'a rien d'érotique. L’héroïne enchaine les mises en situation pornographiques. L'ensemble est sans âme et assez décevant.

Ayant lu ces derniers temps des livres plus ou moins érotiques, plutôt moins que plus !!! j'ai voulu lire ce livre dont on m'avait beaucoup parlé ... Surprenant ! On ne s'y attend pas. C'est frontal. Du sexe d'un bout à l'autre de l'ouvrage. La plume de Catherine Millet est un scalpel, sa précision est chirurgicale, son récit est honnête.. Elle fait rarement dans la dentelle quand elle parle de sexe, encore moins quand elle évoque le sien et ceux qu'elle a connus. En piochant dans ses souvenirs obcènes, elle se délecte de baises éphémères et sans implication, "suce" gouluement les mots, dévore les images des milliers de corps qu'elle a sentis en elle, arrose ses phrases de giclées de "foutre" inconnu, fait jaillir des "queues" étrangères, son "con" sans cesse dilaté et son "trou" exploré, avec une liberté déconcertante.(ce n'est pas mon vocabulaire !!! je cite !) Elle ne manque pas de crudité dans ses évocations, ni de jusque-boutisme dans la description de la consommation nymphomane, même si l'exhibition de sa sexualité hyper-active et quelque peu déséquilibrée tombe de temps à autre dans l'indécence, la surcharge forcée et donc l'ennui dans la mesure où il n'y a guère de réflexion de fond. La Vie sexuelle de Catherine M. est un roman en miroir volontairement à double tiroir : les lecteurs pétris de préjugés n'y verront qu'une nauséabonde série de sessions de baises à la limite de la prostitution consentie, les autres trouveront un large panel d'émotions et d'affects qui les troubleront et les feront réfléchir aussi sur eux-mêmes...

Je pense que ce qui choque le plus, ce n'est pas tant le sexe si obscène soit-il (qui est très utilisé en littérature) ni même l'aspect pornographique, que le fait de voir une femme se permette d'en parler sous son angle mécanique et technique comme nombre d'hommes en n'hésitant pas à se faire passer pour une salope en confondant expérience, plaisir, danger, sexe et rapport...

Ouh là là... chaud devant ! Comment peut se dévoiler ainsi ? C'est fort.

Lu il y a 2 ans. Livre plat, sans vie.

Aucun sentiment, aucun plaisir, elle fait les choses a la 3eme personne sans âme.

Bonjour,

Lecture surprenante, qui nous entraîne dans la pornographie et perversité.

Langage cru, descriptions précises.

Quelques moments de dégoûts , quand même.

A vous...