Chuck Palahniuk
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.32/10Nombre d'évaluations : 283
2 Citations 141 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Peste décrit la naissance, la vie, la mort et la vie posthume de Rant Casey. Le fil de celle-ci est présentée dès la 3e page, par le biais du père de Rant alors qu'il est en route pour aller chercher le corps de son fils. Fruit du viol de sa mère, Rant grandit dans un trou paumé du nom de Middletown, gagne la ville, rejoint une secte de chauffards nocturnes, devient le vecteur d'une pandémie, meurt dans un accident de voiture en direct à la télé, et devient une icône de la jeunesse.
Dans le récit de la jeunesse de Rant, on retrouve le Chuck des précédents livres : anecdotes et faits divers émaillent un récit peuplé de rebondissements surprenants et de personnages déjantés. le microcosme de Middletown donne l'occasion de critiquer certains travers de la société américaine. Rant enfant est déjà sérieusement barré : piqué par une araignée dans son enfance, il devient accro au poison et passe son temps à fourrer ses membres dans tous les trous, tanières, crevasses, qu'il peut trouver. Il récolte quantité de morsures et maladies, dont la rage, dont il devient porteur sain et qu'il refile à toute la ville. Car Rant est populaire et, ado, sait reconnaître toutes les femmes de la ville rien qu'en reniflant leurs serviettes hygiéniques usagées. Peste reste assez cru, et on retrouve ces références constantes aux sécrétions corporelles (urine, salive, sueur, sperme, sang, mucus, etc.). Chuck conduit sur le corps de ses personnages les mêmes outrages que sur la société qu'il dépeint, en en exposant les tripes et viscères.
Afficher en entierEn répondant à cette mystérieuse annonce, les vingt-trois protagonistes d'A l'estomac s'imaginaient couler des jours tranquilles dans un endroit de rêve. Oui, mais voilà, l'endroit en question, un théâtre délabré est... terrifiant. Isolés du monde, maltraités, privés petit à petit de toute ressource - chauffage, lumière et surtout nourriture -, nos écrivaillions s'affolent. Convaincus qu'ils sont l'objet d'une mise en scène propre à nourrir le best-seller de l'année ou le scénario d'un reality-show a succès, tous se lancent dans une compétition acharnée pour survivre. A mesure que se dégradent les conditions de vie, leurs manigances pour sortir indemnes de ce lieu infernal se font plus cruelles, et leurs écrits, qui composent le livre, plus déviants.
Afficher en entierL'histoire en tant que telle est intéressante, mais il manque sérieusement de cohérence dans la chronologie et l'équilibre des scènes. On dirait qu'on saute d'une péripétie à l'autre sans lien entre elles.
Afficher en entierTrès décevant malgré quelques pages intéressantes. Le récit s’enlise et apparaît parfois brouillon. Au final on cherche parfois ce que l’auteur veut laisser passer à travers ses lignes..
Afficher en entierUn Palahniuk comme je les aime : complètement barré, carrément crade... Un tout petit peu déçu de la toute toute fin, mais rien de méchant...
Afficher en entierAutant j'adore le film, autant le livre j'ai eu énormément de mal, en particulier avec la façon dont s'est écrit. Je pense que ça vaut le coup de le lire pour se faire une idée, mais je ne le conseillerais pas à tout le monde.
Afficher en entierOn m’en a tellement parlé (ceux ayant vu le film), on m’a dit que la fin était tellement incroyable etc., bref il fallait que je le lise. Sachez que je n’ai rien compris, c’est la première fois que ça m’arrive… il se passe des choses vraiment très étranges. Vache hindoue. Il y a des scènes sans lien entre elles. Singes de l’espace.
Non vraiment trop de questions en suspens, vraiment RIEN n’a de sens.
Spoiler(cliquez pour révéler)Ok ça montre la folie, mais ça ne mène à rien. Enfin toutes ces scènes à ne pas comprendre le but pour ne jamais le comprendre au final. Et les dialogues mais quelle horreur, ça se répond à soi-même (même les autres personnages), jamais écrits de la même manière… bon bref.
D’ailleurs je ne vois pas le rapport avec la surconsommation, malgré tout ce que jai lu dans vos commentaires.
Le pire c’est que j’ai bien aimé le lire, mais j’ai été tellement déçue. Je regarderai le film et j’espère qu’il sera meilleur.
Le point positif du livre c’est qu’il y a certaines phrases fortes qui claquent. Mais noyées au milieu du chaos.
Spoiler(cliquez pour révéler)D’ailleurs tellement tout est bizarre, il y a des choses que j’ai du mal comprendre, notamment les singes de l’espace, on dirait que le narrateur est juste FOU et DÉLIRE. Je n’arrive pas à distinguer le réel de la folie.
Afficher en entierLe livre apporte plus de détails au film, on en append plus sur les personnages et l'histoire est plus poussée. Mais si comme moi vous voulez lire FIGHT CLUB car vous pensez lire un chef-d'oeuvre comme le film passer votre chemin, le film est et restera largement mieux (par contre Tyler Durden reste toujours aussi charismatique)
Afficher en entierLe principe de la lecture à rebours m'avait séduit mais je ne suis jamais rentré complètement dans l'histoire.
Afficher en entierJ'ai aimé l'humour caustique avec lequel l'auteur traite des possibilités de manipulations psychologiques en lien avec la religion et les médias. Le protagoniste , d'une naïveté confondante , est d'abord la proie de l'éducation qu'il a reçu , dans laquelle la religion n'est qu'un prétexte à dominer autrui . Puis il se retrouve pris au piège d'une autre forme de manipulation : celle de son " agent" , qui voit en lui , en tant que seul survivant de la secte suicidaire dont il est issu , une opportunité d'en faire un objet commercial, déclinable à souhait en multiples produits dérivés . Malgré quelques longueurs , c'est grinçant à souhait et le suspens reste maintenu jusqu'à la fin.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Chuck Palahniuk
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Biographie
Charles Michael « Chuck » Palahniuk (né le 21 février 1962 à Pasco, dans l'État de Washington) est un romancier satirique américain et un journaliste indépendant vivant près de Vancouver, Washington[1]. Après des études de journalisme qui ne lui permettent pas de vivre de ce métier, il devient mécanicien pendant 10 ans. Il écrit à cette époque Monstres Invisibles qui est refusé par les éditeurs en raison de son contenu trop provoquant. Il entreprend alors l'écriture de Fight Club qui rencontre un succès notable et est porté à l'écran en 1999 par David Fincher. Il est assimilé au mouvement dit d'Anticipation sociale.
Afficher en entier