Daniel Clowes
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Note moyenne : 6.72/10Nombre d'évaluations : 39
0 Citations 12 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un super graphic novel, des dessins très précis et réalistes, une histoire contemporaine très réaliste aussi, de l'humour, des personnages attachants voire parfois un peu fous. Un très bon moment de lecture !
Afficher en entierDe jolies couleurs acidulées pour une bande dessinée de science fiction...
Afficher en entierVraiment fantastique! un univers comme seulement Clowes peut le faire! en tout c'est un grand coup de cœur pour ma part :)
Afficher en entierUn très bon comics dépeignant parfaitement l'époque charnière entre l'adolescence et l'âge adulte. Les deux protagonistes sont à la fois agaçantes, car elles se moquent beaucoup des gens et portent un regard froid sur ce qui les entoure, et attachantes. La couleur vert pâle, présente dans tout le comics, donne un côté très télé à l'ensemble. D'ailleurs, les filles critiquent souvent les gens et refont le monde derrière une vitre, ce qui ajoute cette déconnexion et donc ce côté télé. J'ai vraiment apprécié cette lecture, entre humour et émotion. Même si l'histoire se déroule dans les années 90, on peut souvent se reconnaître. Bref, je vous conseille ce comics. Bonne lecture !
Afficher en entierEncore un très bon comics de Daniel Clowes, avec une histoire déjantée et immersive. Ce n'est pas simple à comprendre mais le tout est tellement bien écrit qu'on est très vite plongé dans ce récit bizarre d'un homme cherchant son ex-femme vue dans une espèce de "snuff movie". Je vous conseille chaudement ce comics avec sa galerie de personnages déroutants et ses situations étranges. Le dessin de Clowes est également très intéressant, avec des éléments parfois peu réalistes voire cauchemardesques (la voiture utilisée par le personnage principal ou la chambre dans laquelle il dort, par exemple). Bonne lecture !
Afficher en entierUn comics intéressant qui met en avant les portraits de neuf personnes. Ceux-ci sont tirés du magazine "Eightballs", pour lequel Daniel Clowes a travaillé. Chaque portrait a son propre style et montre des personnages confrontés à leur solitude et à leur désespoir. Cependant, j'ai trouvé certains portraits un peu décevants. Pour avoir une vue d'ensemble de ce qu'a pu faire Clowes dans ce magazine, je vous conseille ce comics. Mais je trouve qu'il manque un peu de profondeur (sûrement à cause du format). Bonne lecture !
Afficher en entierOn me l'a offert, alors je l'ai lu, mais je n'ai pas aimé. A vrai dire, je me souviens peu de ce dont ça parle, mais me rappelle d'un sentiment de malaise en lisant.
Afficher en entierUn grand classique, aussi bien le film de Terry Zwigoff avec Steve Buscemi et Thora Birch que la bande dessinée, dont la fin m'évoque une nouvelle d' E. M. Forster (The Celestial Omnibus, de mémoire, je ne sais pas si elle a été traduite). Pour en revenir à Ghost World, en dehors du graphisme de Clowes, on note l'attention portée aux marginaux, l'ironie avec laquelle sont traités nombre de clichés, au premier rang desquels le rêve américain.
Afficher en entierAvec son humour sarcastique et glaçant, Ghost World nous plonge dans le quotidien de deux adolescentes dans le paraître plus que dans l'être. La qualité des dialogues et l'universalité du propos en font un classique de la bande dessinée américaine.
Afficher en entierLa couverture me faisait envie, et pourtant dès les premières pages j'ai eu du mal à accrocher au style des illustrations et la colorisation de celle-ci.
Et ce n'est malheureusement pas l'histoire qui aura réussi à me faire passer outre.
Je ne l'ai même pas fini... Sûrement que ce n'était juste pas le bon moment pour le lire !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
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Biographie
Né en 1961 à Chicago, ville réputée pour ses abattoirs, ses gangsters et ses tueurs d'enfants, Daniel Clowes apprend à lire dans les comic books hérités d'un frère aîné. Au terme d'une enfance timide et solitaire, des études d'art dans une école de New York achèvent de le démoraliser. Trouvant dans le dessin le moyen d'exprimer ses angoisses et ses frustrations, il publie en 1989 le premier numéro de Eightball, que Chris Ware considère aujourd'hui comme le plus grand comic book de la fin du XXe siècle. La jeunesse des années 1990 se reconnaît dans son ton désabusé et volontiers cynique, dans ses récits d'aliénation misanthropes et mélancoliques, dans sa chroniques d'une Amérique suburbaine à la banalité mortifère et dans ses personnages que tourmentent la difficulté du passage à l'âge adulte. Le succès public vient avec Ghost World, publié en 1999 et adapté au cinéma en 2001 par Terry Zwigoff et Clowes lui-même. On retrouve alors les dessins de celui qui est devenu, à son corps défendant, une icône de la contre-culture et du post-modernisme, décorant des pochettes de disques, des planches de skate, et jusqu'à des canettes de soda. Sacré "romancier graphique" par la critique en mal de dénominations, Daniel Clowes a quitté Chicago pour la Californie. Il a troqué ses cheveux contre un chien et un enfant, et dessine à présent pour le très sérieux New York Times Magazine des histoires dont les cigarettes et les obscénités sont bannies par contrat. Son style très construit, mêlant observations cliniques du quotidien, dérapages fantastiques et satires grotesques, ont fait de lui le conteur le plus atypique et précis que la bande dessinée ait enfanté depuis longtemps.
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