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Tous les livres de Félix Niesche

« Féministes, avorteuses, chiennerie, Moires fileuses de la Nuit noire, ont détricoté l’antique tissus du monde, laissant voir sa trame sanguinolente pleine de sanies, sans fard, sans charmes, sans ces illusions brodées qui seules soutenaient la surface vélique de notre vaisseau cosmique. Cet échouage hideux donne définitivement raison aux plus ombrageux misogynes, même les faisant paraître des modérés. »

C’est sous ces sombres couleurs, mêlées de vitriol, que Félix Niesche dépeint, et raille, en ce deuxième opus, ce qu’il nomme notre « gynécocratie. »

« Les nouvelles de la Porcherie s'amoncèlent, chaque jour apportant son lot d'épluchures et de rogatons; « l’actualité » crépite, et ces nouvelles sont autant de crachats sur nos visages pâles… » C’est par ces mots que s’ouvre le premier volume des textes politiques de Félix Niesche, poète et pamphlétaire, anarchiste et réactionnaire, qui collabore depuis 2007 au site de l’association d’Alain Soral, Egalité & Réconciliation.

Libelliste dans feu Flash, journal gentil et intelligent, avec son Coup de Griffe, il tient aussi depuis 2008, un blog littéraire : Le petit Quimonte illustré.

« Il me faut ici faire ce détestable aveu : je suis atteint de révisionnite aiguë, je suis un compulsif de la révision, je donne même des conseils de révision.

Hyper-négationnisme nerveux, tel fut le diagnostic, qu'un jour, un ponte plein de tics pondit sur mon cas. Je devins un révisionniste primaire, secondaire et même quaternaire, bien que je ne crusse nullement dans l'existence de ces prétendues ères géologiques, trias, jurassiques et même crustacés, et encore moins à ceux-là qui remplissaient soi-disant leur vacance de leur pesanteur : les dinosaures.

Je crois dur comme fer à l'Âge de Fer mais suis le pyrrhonien du précambrien. »

Dans toute l’Arabie la foule gronde, houle à l’assaut des régimes poussifs des poussahs corrompus. Au dessus de l’unité tumultueuse de cette Onde qui moutonne, les vagues successives. Au dessus des vagues, les friselis d’écume, arabes eaux arabesques qui ne se ressemblent pas. Le long martyre de la Palestine, l'intrépide Hezbollah héroïque, la fronde de la République islamique d’Iran; mais aussi la racaille Al-Qaïda en train de mutiler le Kadhafi, Allah Ouakbar et téléphones portables, les porcs Al saoud vautrés dans leur soue; l’immigration afro-maghrébine d'Ex-France, avec ses Muzz patriotes, avec ses Chances, avec ses Indigêneurs et autres niqueurs… Arabesques.

« Tout de même, ai-je insisté, ces strings perpétuels, ces périnées, ces culottes disparues, quelle avalanche, on sent dans vos poèmes comme une delectatio morosa dans des fragrans feminae.

- Qui le nie ? J’adorais, peccamineusement, la féminité, et n’ai jamais été un de ces pères-la-pudeur… qui se sont d’ailleurs reconvertis de nos jours dans l’apologétique des débauches de charcuteries, les plus avariées et les plus contre-nature. Ce qui ne sera un paradoxe que pour les faibles : c’est toujours même la vision malsaine, le même type de malvenus, puritanisme et pornographie sont sœurs. Le puritanisme étant la jumelle grincheuse de la pornographie….

Pour moi, je me suis fait « funèbre oiseau noir », par dégout. Un Don Juan, de nos jours, se reconnaît aux femmes qu’il dédaigne, comme un lettré aux livres qu’il ne lit pas. Cependant mon drap funèbre est davantage celui de l’anarchiste que celui du dévot du parti clérical. »

Préface de l'abbé Tymon de Quimonte

« L'ancienne humanité aussi n'est plus qu'un vain fantôme. Celle qui la remplace est vouée à la Mort, elle en porte le signe, sa destination suprême est le grand Barbecue, rien ne renaîtra plus de sa cendre », telles sont les deux dernières phrases qui vont clore ce livre. Que l'on pourrait du coup croire un nouveau « Traité du désespoir », à se laisser trop hanter par un vain fantôme. Mais CCCP aurait pu tout aussi bien s'intituler « Mémoires d'un anarchiste ». D'un ex-anarchiste endolori, et hypocondriaque, qui connaît ses classiques et ne les a pas reniés : « La liberté n'est qu'un vain fantôme, quand une classe d'hommes peut affamer l'autre impunément. L'égalité n'est qu'un fantôme, quand le riche, par le monopole, exerce le droit de vie et de mort de son semblable. La république n'est qu'un vain fantôme, quand la contre-révolution s'opère de jour en jour par le prix des denrées auquel les trois quarts des citoyens ne peuvent atteindre sans verser des larmes. » 1793. Manifeste des Enragés.

« S’en était fait de l’idylle entre François-Marie Arouet et moi : Adieu Zadig, adieu Candide, adieu Micromegas ! Mon ancienne admiration je l’assigne à résidence en mes plus noirs souterrains, chargée de fers. Les ricanements squelettiques venus du tréfonds de mes oubliettes me laisseront de marbre. Je resterai inflexible sur ma plus haute tour de guet antisémite. Au loin, de sombres lueurs rougeoient les murs du château de Ferney, comme s’il était un Four crématoire champêtre, du sang suinte de ses murs sous les doigts crochus du lierre, le Zyclon sue par ses fentes et ses fissures, et les bougies des grands candélabres que l’on aperçoit l’été par les croisées ouvertes, exsudent une abjecte odeur de suif. »

Telle sera la condamnation sans appel que la Révélation de l’antisémitisme de Voltaire fera prononcer par l’auteur qui, naguère encore, louait l’élégance, la finesse et l’ironie d’une œuvre qu’il jugeait irremplaçable pour combattre l’imbécilité, la platitude, la vulgarité irrationnelle de nos temps. Mais l’antisémitisme de Voltaire passe la mesure ! La plupart de ses œuvres en sont remplies, le Dictionnaire philosophique croule littéralement sous un flot d’antisémitisme continu. Voltaire n’est pas un peu antijuif sur les bords, antijudaïque par dessus le marché, mais il est ontologiquement, radicalement antisémite, au sens moderne du mot. Dans l’Essai sur les mœurs, il déplore que les Juifs « furent punis, mais moins qu’ils ne le méritaient, puisqu’ils subsistent encore ». Donc un authentique regret qu'il n'y eût point une Shoah avant la lettre.

C’est ce Voltaire interdit que vous allez découvrir. « Les textes, les voici, dans leur vérité et effectivité, humiliant les non-dits et les minables travestissements par la révélation écrasante de leur éblouissante horreur. »

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