Florian Zeller

Humf...comment dire...en lieu et place d'un résumé sur la quatrième de couverture se trouvait des commentaires ronflants de "cultivés reconnus".

Ça aurait dût me mettre la puce à l'oreille.

C'est objectivement bien écrit mais...d'un ennui.

D'ailleurs si résumé il y avait eu...je ne l'aurais point lu ce livre.

Si l'avertissement de primo page : "Ce livre est une fiction : la plupart de ce qui y est dit est faux; le reste, par définition, ne l'est pas non plus." est juste géniale, le propos qu'elle appuie ne l'est pas.

On se demande donc ce qui est fidèle aux pensées de l'auteur...car si la polémique qui se défend sous des faux-semblants permets à la mayonnaise éditoriale de monter, elle ne régale pas le lecteur !

Au programme : écrivaillons en Égypte, frustration prétendument "religieuse", attitude fort malaisante, islamophobie, mort martyr (provoquée ?!)...et un narrateur qui se veut lisse. Réfléchi mais non investi, interrogateur mais officiellement bien pensant...et dont on doute de la légitimité à s'insurger en fin.

Le soupçon étant habilement semé.

Il y a du à prendre et du à laisser dans "La fascination du pire" (joli titre...mais qui n'est pas mon credo je suis trop positive pour y être sensible) mais n'étant pas assez "culturelle" je passe mon chemin pour rejoindre du fictionnel plus palpitant et moins d'actualité.

Pièce lue d'une traite lors d'un trajet en train. Et j'en suis ressentie bouleversée. L'auteur nous transporte dans les méandres de situations dramatiques, mais aussi dans la psychologie d'un personnage touchant. A lire absolument !

Le résumé donne envie de lire, l'histoire est sympa, mais hélas gâché par le style d'écriture, lourd, trop lourd...

Je ne sais quoi penser de ce livre...!! Un exercice de style, une tentative de démonstration ? un pamphlet ? Où l art de la manipulation par les mots...!

Une pièce intéressante dans l’ensemble, c’est décalé, surprenant.

Tout ne s’explique pas forcément – soit on prend ça comme une invitation à réfléchir, soit comme un exercice de style sans fondement…

Des dialogues sympas mais il manque un petit truc qui rende l’ensemble franchement universel ou attrayant pour tout le monde.

lu et étudié en cours.

Une histoire qui semble banale, car justement elle appartient à chacun de nous. Une écriture simple, limpide, et un rythme haletant. Facile à lire, et une fois commencé dfficile de décrocher. Pour ceux qui ont lu Kundera, l'influence se ressent facilement, mais cela n'implique pas un manque d'originalité pour autant car quoi qu'on en dise, un auteur mets toujours de lui dans ce qu'il écrit qu'on le veuille ou non. Pour ma part, j'ai passé un agréable moment à lire ce livre et je le conseille vivement à tous ceux qui ne voient pas l'amour comme un long fleuve tanquille, et aux autres...

Une lecture dans laquelle j'ai eu beaucoup de mal à m'immerger avec ces situations qui vont et viennent, ces personnages qui apparaissent et disparaissent.

Un style particulier et qui sort des sentiers battus, mais qui ne l'a pas fait avec moi

Dommage car les thèmes abordés sont très bons.

Zeller a une manière d’écrire spéciale. Ce qui est tout à fait appréciable

J'ai détesté, vraiment dès les première pages j'ai trouvé Tristan insupportable, je déteste sa vision des femmes, j'en suis venu à me dire que l'auteur avait un problème avec elles... D'autant qu'en plus d'avoir un personnage masculin exécrable (Spoiler(cliquez pour révéler)il trompe la femme avec qui il est, trop lâche pour la quitter avant les dernières pages, ne pense qu'à faire souffrir les autres et j'en passe) Amélie (le personnage féminin) ne relève pas du tout la barre...

Elle critique les autres femmes et dit qu'elle est "différente", j'ai été frappée par la misogynie de ce livre... Heureusement qu'il était court...