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Frédéric Gros

Auteur

56 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par mlsuriv 2011-02-05T20:11:00+01:00

Biographie

Frédéric Gros est professeur de philosophie à l’université Paris-XII. Il a travaillé sur l’histoire de la psychiatrie (Création et folie, PUF), la philosophie de la peine (Et ce sera justice, Odile Jacob) et la pensée occidentale de la guerre (Etats de violence, Gallimard). Il a édité les derniers cours de Foucault au Collège de France.

Source: www.carnetsnord.fr

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.54/10
Nombre d'évaluations : 24

0 Citations 13 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Frédéric Gros

Sortie France/Français : 2023-01-11

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Tango 2018-05-09T15:10:43+02:00
Possédées

D"après une histoire vraie, ce livre raconte l'histoire d'un prêtre accusé à tord d'être à l'origine d'une possession satanique des religieuses.

Je n'ai pas été emballé par cette lecture et j'ai trouvé la façon d'écrire difficile.

Je n'ai apprécié que les derniers chapitres où l'auteur donnait plus de vie au roman.

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Commentaire ajouté par Jelews 2020-01-09T23:04:21+01:00
Désobéir

Livre philosophique qui nous permet de réfléchir sur plusieurs thèmes. L'auteur s'est efforcé d'illustrer cette notion de "désobéissance" et "obéissance". Quelques procédés utilisés un peu lourd parfois mais dans l'ensemble c'est un bon livre.

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Le Guérisseur des lumières

Intéressante découverte de la vie de cet homme, et des débuts du magnétisme à une époque où un scientifique l'a éprouvé !

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Commentaire ajouté par yvgheem 2021-04-08T09:33:27+02:00
Désobéir

Une écriture simple sans être simpliste pour un sujet tout à fait d'actualité. Une étude clair sur les différents types d'obéissance et l'évolution de cette typologie dans l'histoire de la philosophie (sans être un livre d'histoire de la philosophie). Et une réflexion sur la désobéissance.

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Commentaire ajouté par lalaye69 2021-04-22T10:13:26+02:00
Marcher, une philosophie

Un recueil de diverses pensées et méditations autour de la marche.

Rempli de fraîcheur et de bienveillance.

Fascinant de voir qu'on puisse trouver des mots aussi précis pour parler d'une activité aussi "banale".

Une belle évasion!

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Commentaire ajouté par Jean-Daniel21 2022-08-05T22:36:19+02:00
Marcher, une philosophie

De Jacques Lacarrière, auteur de Chemin faisant, à Sylvain Tesson ou Jacqueline de Romilly, les écrivains ont souvent mis en avant les joies sensorielles de la marche et les rencontres qu'elle permet de faire. La destination n'apparaît souvent que comme un prétexte. C'est le voyage lui-même qui importe. Déjà dans l'antiquité maîtres et disciples marchaient régulièrement. Socrate questionnait et apprenait au cours de ses promenades, et de nombreux dialogues de Platon s'ouvraient sur l'évocation d'une rencontre imprévue, la marche favorisant une quête de vérité.

Frédéric Gros est un adepte de la randonnée, bien différente de la promenade. Son parcours croise ceux d'auteurs itinérants qu'il nous présente au fil des chapitres dans lesquels il invite tour à tour Rousseau, Raimbaud, Thoreau, Kant, Nietzsche, Gandhi et d'autres qui ont fait l'éloge de la marche. « Seules les pensées que l'on a en marchant valent quelque chose », écrit Nietzsche. Selon lui la marche crée et favorise une disponibilité à certaines pensées et les pensées nées en marchant sont plus authentiques. Frédéric Gros propose également des chapitres plus personnels où on entend la voix de l'auteur qui entraine son lecteur dans ses pas.

La vitesse n'intéresse pas Frédéric Gros : « Nietzsche marche, il marche comme on travaille, il travaille en marchant » ; « Les journées à marcher lentement sont très longues : elles font vivre plus longtemps, parce qu'on a laissé respirer, s'approfondir chaque heure, chaque minute, chaque seconde, au lieu de les remplir en forçant les jointures. »

Rousseau, dans ses "Rêveries du promeneur solitaire" au nom si évocateur, dit ne pouvoir penser qu'en marchant et en éprouver une grande joie. « Jamais je n'ai tant pensé, tant existé, tant vécu, tant été moi, si j'ose dire ainsi, que dans les voyages que j'ai faits seul et à pied. » Frédéric Gros l'oppose aux marches ascensionnelles de Nietzsche, toujours en direction des sommets, comme la pensée qu'il recherchait.

Le temps consacré à la marche est celui qui nous ouvre à notre liberté. Pour Frédéric Gros : « le secret de la promenade, c'est bien cette disponibilité d'esprit, si rare dans nos existences affairées », il nous engage à relire les pages où Proust évoque ses promenades.

Marcher, une philosophie. Dans ce petit livre inclassable, Frédéric Gros nous propose une réflexion philosophique sur la marche qui est à la portée de tous et offre un sentiment de liberté et d'humanité. Avec des mots simples mais bien choisis, associés à une belle écriture, Frédéric Gros nous donne une belle leçon et nous invite sur les chemins à regarder les paysages se dérouler devant nos yeux. « Tout grand paysage est une invitation à le posséder par la marche », écrit Julien Gracq. La marche serait donc un art de vivre, un exercice spirituel et philosophique. du coup… on marche !

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Commentaire ajouté par orane_echris 2023-04-13T16:32:05+02:00
Désobéir

Une invitation à penser, un aperçu de ce qu'est la philosophie, sa puissance, sa nécessité.

Mon premier essai de philosophie, offert par mon professeur de terminale, et je ne me lasserai jamais de le recommander à toute personne intéressée par les mécanismes du pouvoir, ou tout du moins ce que la philosophie a à dire sur le sujet du conformisme, du progrès et de la liberté.

Merci à Frédéric Gros pour cet ouvrage clair et passionnant, qui m'a agréablement fait frétiller les méninges comme aucun autre auparavant.

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Commentaire ajouté par MathildeHug 2023-05-27T12:06:32+02:00
Désobéir

Ce livre est d'une écriture déplorable. Ce ne sont que formules journalistiques dans l'air du temps avec au plus un léger vernis pseudo-philosophique. Dès la deuxième page, paginée 10, "gavés à mort", puis, page suivante, "fourgon de licenciés", et encore "redépart", "projet d'avenir" (sic !), plus loin "salaud", etc.

De surcroît, cette prose est au service d'une idéologie de gauche archaïque, marxiste, mâtinée d'altermondialisme, et d'écologisme.

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Commentaire ajouté par DimitiV 2023-06-28T07:44:53+02:00
Désobéir

Ce livre m'aura donc permis de consolider mon opinion -opinion et non « conviction »- sur un certain nombre de choses qui ne sont pas indépendantes les unes des autres mais qui se renforcent même mutuellement. Il faut avoir le courage de le reconnaître : on ne peut logiquement prendre position vis-à-vis de l'une des facettes du problème si on tient à « ignorer », volontairement ou involontairement, toutes les autres.

A lire donc pour confronter ses « interprétations » personnelles à celles de l'auteur... et peut-être pour aller un peu plus loin que lui ! Le sujet est grave, il mérite donc qu'on l'analyse en profondeur. Malgré son relatif intérêt je n'ai pas personnellement aimé.

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Commentaire ajouté par Jean-Daniel21 2023-12-14T15:08:19+01:00
Désobéir

« Ce livre pose la question de la désobéissance à partir de celle de l'obéissance, parce que la désobéissance, face à l'absurdité, à l'irrationalité du monde comme il va, c'est l'évidence. »

Dès les premières pages, Frédéric Gros s'interroge sur les raisons qui nous font accepter l'inacceptable dans un monde qui va mal. Il décrit les motifs qui auraient dû et devraient encore susciter notre désobéissance. Pourquoi avons-nous laissé faire ? Pourquoi cette passivité collective ? Pourquoi chacun d'entre nous obéit ?

«Affirmer qu'une fois les lois votées par la majorité, elles ne peuvent être contestées sous peine de trahir la volonté populaire est une mystification», prévient Frédéric Gros. «Etre un sujet politique, assure-t-il, c'est d'abord se poser la question de la désobéissance».

Frédéric Gros reprend la provocation de Howard Zinn qui affirmait : le problème ce n'est pas l'obéissance, le problème c'est l'obéissance…

Toutefois, au lieu de se demander pourquoi on désobéit, Frédéric Gros analyse les mécanismes de l'obéissance. Il questionne non seulement notre volonté de désobéir mais également notre malaise à le faire. «Les raisons de ne plus accepter l'état actuel du monde sont presque trop nombreuses. Et pourtant rien n'arrive, personne ou presque ne se lève. » Son propos, tout au long de l'essai, est de démontrer que la désobéissance est justifiée, ainsi ce qui le choque c'est l'absence de réaction et la passivité qui sont les conséquences de l'obéissance. Désobéir est un acte par lequel l'individu exprime sa dignité en affirmant sa liberté par son refus d'obéir.

Le premier chapitre s'intitule : « Nous avons accepté l'inacceptable ». Pourquoi et comment obéissons-nous ? Pourquoi sommes-nous si soumis, alors que les motifs de rébellion sont de plus en plus nombreux ? Désobéir prend plusieurs formes et Frédéric Gros explore quatre styles d'obéissance : la soumission, la subordination, le conformisme et le consentement.

La soumission est un rapport de force contrainte car elle repose sur le sentiment d'une impossibilité de désobéir. Nous devons pourtant apprendre à ne plus accepter l'inacceptable car les circonstances devraient nous amener à réagir : injustice sociale, accroissement des inégalités, privilèges injustifiés d'une minorité, dégradation de notre environnement. L'essai défend l'idée d'une démocratie critique, la désobéissance civile ne doit être ni délinquance, ni anarchie.

Le conformisme est la principale cause de la servitude volontaire, c'est la coutume qui entraine l'inertie passive, la peur de sortir du rang et de se singulariser. Chacun aligne son comportement sur celui des autres, on obéit par conformisme. La soumission à l'autorité s'est longtemps imposée par la force de la tradition. La désobéissance civile est pour Frédéric Gros un des moyens d'action les plus pertinents dans notre démocratie, aussi, tout au long de son essai le philosophe nous incite à abandonner les conduites conformistes qui sont si confortables et sécurisantes.

« Désobéir » nous entraine ensuite du conformisme au consentement qui est une obéissance libre, une aliénation volontaire, une contrainte pleinement acceptée.

Frédéric Gros ne défend pas la désobéissance à tout prix, ce serait aussi dangereux que de faire de l'obéissance une vertu inconditionnelle. Il s'agit pour lui de toujours savoir à quoi l'on obéit ou désobéit.

L'obéissance est confortable car on laisse les autres décider et penser à sa place, la responsabilité est un fardeau et l'obéissance permet de se décharger auprès d'un autre du poids de sa liberté.

Frédéric Gros interroge ce que signifient la démocratie et la désobéissance pour le sujet politique. Pour illustrer ses propos, il cite de nombreux auteurs et philosophes, de l'antiquité à nos jours, en s'appuyant sur des exemples concrets et réels afin de dégager une ligne de conduite à tenir.

Le philosophe américain Thoreau refuse de payer ses impôts au nom d'une certaine conception de la justice, il ne veut rient verser au fisc d'un état qui admet l'esclavage. La désobéissance civile, dont il va rédiger le manifeste, est l'acte réfléchi d'un homme chez qui l'éthique et le sens de l'avenir entrainent l'insoumission.

Il convient de s'interroger sur la nature de l'obéissance et de son illégitimité. C'est ce qu'expose Hannah Arendt dans son ouvrage, « Eichmnan à Jérusalem », où ce dernier apparait plus comme un exécutant contraint que comme un décideur antisémite. D'un point de vue philosophique Eichmann obéit illégitimement à une morale détestable. le danger est que chacun peut en rajouter dans son obéissance, ce qu'on appelle la surobéissance qui fait tenir le pouvoir politique mais les expériences totalitaires ont fait apparaitre des monstres d'obéissance. L'histoire nous apprend ainsi que la démocratie est plus souvent menacée par l'obéissance aveugle des citoyens que par leur désobéissance. Avec leurs procès, leur obéissance apparait inhumaine et la désobéissance comme une démarche d'humanité.

Frédéric Gros est souvent provocateur dans le but de réveiller les consciences et d'attiser la réflexion du lecteur pour le confronter à sa propre expérience. Finalement, dans cet essai qui est toujours clair, abordable, passionnant et qui comporte de nombreux textes et références historiques, le philosophe souligne combien le choix entre obéissance et désobéissance tient principalement à une affaire de responsabilité éthique. Il explique avec habileté les mécanismes de la soumission et de la résignation. La désobéissance civile, loin d'être une posture commode ou immature, est un moyen de questionner et de faire évoluer les lois sous une forme d'action politique acceptable ; elle n'affaiblit pas la démocratie mais au contraire la protège et la renforce. « Désobéir » n'est pas un essai faisant appel à la désobéissance mais il interroge sur ce que signifient la désobéissance et l'obéissance pour le sujet politique, comment s'opposer à ce qu'on estime être de mauvaises décisions. On peut donc accorder une valeur morale à l'acte de désobéissance. Cette responsabilité éthique doit conduire le citoyen à choisir ce qui offre le plus de possibilités de favoriser la justice et la liberté dans le monde. Cet essai a pour objectif de nous faire réfléchir et de nous inciter à garder une certaine distance critique par rapport à sa propre docilité et à rester attentif.

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Dédicaces de Frédéric Gros
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Flammarion : 5 livres

Albin Michel : 3 livres

Gallimard : 2 livres

Presses Universitaires de France - PUF : 2 livres

Carnets Nord : 1 livre

France Loisirs : 1 livre

Le Livre de Poche : 1 livre

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