Gess

La Brigade chimérique n'est pas uniquement le pendant français des Watchmen, il est aussi et avant tout une déclaration d'amour pour un genre que l'intelligentsia hexagonale a trop longtemps écarté des cercles culturels, trop longtemps dénigré avec un mépris incompréhensible, noyant dans l'oubli des auteurs courageux, brillants et visionnaires auxquels les créateurs de la BD rendent un vibrant hommage avec une classe impressionnante.

Il y a une jolie ambiance dans ce tome, de bonnes idées et l’ensemble est globalement bien mené.

Mais au final, un peu comme les dessins, l’histoire m’a parue confuse.

Pourtant, elle est claire et bien mené mais l’ensemble m’a semblé tentaculaire (normal pour un conte de la Pieuvre…).

J’ai donc avancé dans le tome avec un mélange de plaisir parce que c’est bien fait et de moins de plaisir parce qu’il fallait que je me force un peu pour continuer.

Ce second tome est tout aussi particulier que le premier, je n'arrive pas à accrocher au style de cette BD. Je vais donc m'arrêter là !

Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ! Je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture. Je vais essayer de lire la suite pour voir si cela s'éclaire mais je reste septique !

J’ai aimé la seconde partie, après l’agression car avant la présentation des personnages était vraiment trop longue. J’ai trouvé que même ensuite il y avait beaucoup de longueur. L’univers steampunk ne suffit pas à vraiment me faire apprécier ce premier tome, de plus il n’apprend pas grand-chose sur la suite de l’histoire, du moins je ne vois pas trop où ça va et ne me donne pas envie de lire la suite. Graphiquement c’est très beau, c’est d’ailleurs ce qui m’a le plus plu, les couleurs aussi sont belles et donne une ambiance particulière à cette bande dessinée.

Un sacré coup de pieds aux fesses!

Quelle histoire!

J’ai adoré.

Bien sûr, être fan d’Alan Edgar Poe, ou Lovecraft ca aide, mais pas obligé.

Je suis d’accord avec la 4ème de couverture, c’est hallucinant.

Les cases sont quasiment toutes en deux couleurs , cela nous plonge dans une ambiance… un univers même.

Car c’est le but, nous faire plonger dans son univers et Gess y est arrivé avec ce livre.

L’histoire n’est pas incroyable (au final) mais elle est racontée d’une telle façon que l’on est pris entre chaque case et chaque texte.

On plonge de case en case, et de texte en texte pour arriver à la fin.

Je n’ai pas réussi à m’arrêter. Je l’ai lu d’une traite.

J’ai vu qu’il y avait deux autres « récit des contes de la pieuvre », je les mets dans mes envies direct!

Une belle découverte je trouve …

Ambiance fascinante ! Un tueur qui aurait pu être crée par Jean-Patrick Manchette parce qu'il tue de sang froid sur commande. Il a quand même deux particularités : polyglotte et surtout un grand passionné des vers de Baudelaire. J'ai été attirée par la couverture originale de cette BD et la coloration des pages internes où le style n'est pas linaire. L'ouvrage démarre par Gustave Babel qui s'est pris une balle dans la peau. de son lit d'agonisant, il fera le bilan de sa vie. L'ambiance et les dessins du Paris de l'époque sont une pure merveille. Difficile d'exprimer pourquoi j'ai aimé, peut-être parce que cette sensation de chef d'oeuvre !

Ça faisait un certain temps que je n'avais pas lu de BD et celle-ci a été très rafraîchissante et agréable à lire en plus d'être poétique !

J'aime beaucoup l'univers de cette saga de BD, c'est très agréable et poétique en un sens, malgré la violence qui peut y être représentée. J'ai également beaucoup apprécié qu'on nous présente des femmes fortes !

Une BD très agréable à lire avec son univers particulier et le vieux Paris.