Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 706
Membres
1 013 471

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Javier Cercas

Auteur

108 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par lelette1610 2016-11-30T15:50:13+01:00

Biographie

Javier Cercas est né en 1962 à Caceres et enseigne la littérature à l'université de Gérone. Il est l'auteur de romans, de recueils de chroniques et de récits. Ses romans, traduits dans une trentaine de langues, ont tous connu un large succès international. Anatomie d'un instant a été consacré Livre de l'année 2009 par El Pais.

Du même auteur, Actes Sud a publié : Les Soldats de Salamine (2002), À petites foulées (2004), À la vitesse de la lumière (2006), Anatomie d'un instant (2010), Les Lois de la frontière (2014) et L'Imposteur (2015) source : Actes Sud

Afficher en entier

Classement dans les bibliothèques

Diamant
14 lecteurs
Or
38 lecteurs
Argent
34 lecteurs
Bronze
19 lecteurs
Lu aussi
37 lecteurs
Envies
46 lecteurs
En train de lire
2 lecteurs
Pas apprécié
7 lecteurs
PAL
54 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.29/10
Nombre d'évaluations : 48

0 Citations 42 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Javier Cercas

Sortie France/Français : 2023-04-05

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Celine-579 2023-02-22T16:55:46+01:00
Terra Alta, Tome 1

Une écriture un peu lente qui ressemble parfois à une mise en scène de théâtre.

Une intrigue intéressante.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par BeautyP 2023-05-09T17:07:39+02:00
L'Imposteur

Biographie analytique d'une imposture qui a fait grand bruit en Espagne. Cercas s'intéresse à la personnalité de Eric Marco, imposteur presque génial et en vient à analyser en profondeur les mécanismes, les raisons et la psychologie de l'imposteur. In-fine il approfondit également ses pensées sur le vrai et le mensonge, sur la réalité et la fiction. L’ouvrage est écrit avec tout le talent de l'auteur, presque comme une thérapie personnelle.

Le sujet est tout de même un peu aride pour s'étaler sur 400 pages et il me faut bien dire que c'est avant tout le talent de l'auteur plus que la thématique de l’ouvrage qui permet de le lire en totalité.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Abyssos 2023-05-14T18:56:31+02:00
Le Mobile

Seule nouvelle rescapée d’un recueil de cinq nouvelles sorti en 1987, “Le mobile” est l’une des premières œuvres littéraires de l’auteur espagnol Javier Cercas, rééditée en 2003.

Nous suivons le quotidien d’Alvaro, narrateur de ce récit à la troisième personne et homme fauché et solitaire dont le métier de conseiller juridique ne l’occupe que des demi-journées. Le reste de son temps, il le dédie à son projet de livre. Après avoir fait un point sur le paysage littéraire et ses ambitions personnelles, il décide de se lancer dans la forme littéraire qu’il juge la plus noble : le roman. Mais Alvaro est obsédé par le désir de créer un roman unique et ambitieux, celui de ceux capables de bouleverser l’histoire de la littérature. Ce sera du niveau de Flaubert ou rien. Pour ancrer ses personnages dans le réel et résorber son manque d’inspiration (n'est pas romancier qui veut !), Alvaro décide d'utiliser ses voisins, un couple et un vieillard, comme personnages principaux. Quoi de plus authentique que de se baser sur la réalité pour écrire le roman parfait ? Il se rapproche d’abord de la concierge pour en savoir plus sur eux, les étudier, avant de les aborder et de se lier d’amitié avec eux.

Véritable “roman dans le roman”, cette mise en abyme décrit avec une grande acuité la naissance, l’évolution et les travers des relations humaines. Très vite, fiction et réel se mélangent, se répondent et se confondent dans un cocktail dangereux et jubilatoire. Par un processus intelligent et une routine maîtrisée, Alvaro déshumanise ses voisins, s’intéresse à leurs passions ou à leurs problèmes pour les manipuler et les rendre malléables afin d'obtenir d’eux de la matière exploitable. Ce ne sont plus des humains mais de véritables pantins dont le démiurge tire les ficelles pour nourrir et orienter sa fiction.

L’écriture ciselée de Javier Cercas et jamais dénuée d’humour rendent la lecture de cette nouvelle agréable et rafraîchissante. Malgré la tension palpable, le lecteur prend autant de plaisir à voir Alvaro progresser simultanément dans la réalité et dans son roman qu’à le voir peu à peu devenir la victime collatérale de sa machination. Alvaro, ne finit-il pas par devenir lui-même un personnage de son propre roman ?

Malgré sa petite centaine de pages, “Le mobile” est un thriller intelligent et caustique qui pose des questions pertinentes et concrètes sur l’art d’écrire : qu’est-ce qu’un bon roman ? Peut-on écrire sans en avoir la vocation ? Le manque d’inspiration est-il un crime ? Faut-il nécessairement bousculer le réel pour vaincre le syndrome de la page blanche ? Une belle expérience littéraire qui apporte un vent de fraîcheur et du grain à moudre.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Aline-100 2023-05-27T15:15:44+02:00
À petites foulées

Dans ce court roman, Javier Cercas prend pour cible l'univers académique américain et les absurdités d'une bureaucratie lourde et souvent inutile. Avec humour et concision, Cercas tente de prouver que les exigences imposées à son personnage principal, Mario Rota, loin de le rendre plus performant et d'améliorer le prestige de son département, ne font que compliquer son quotidien de jeune professeur.

Ce roman se lit rapidement et son ton est plaisant. Il y a de nombreuses répétitions, mais celles-ci sont un jeu stylistique de la part de l'auteur et elles n'alourdissent en rien le récit.

L'ambiance générale du campus décrit et les relations entre professeurs m'ont un peu rappelé les fictions de David Lodge, en particulier la trilogie du campus (constituée des romans Changement de décor, Un tout petit monde et Jeu de société) car Cercas utilise le même ton mordant que Lodge : ces deux auteurs ne sont pas tendres avec le monde universitaire et leurs héros ne se font aucune illusion sur le système auxquels ils appartiennent et sont bien forcés de participer.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Tara99 2023-06-15T14:59:40+02:00
Terra Alta, Tome 1

M’étant rendue il y a peu en Catalogne du Sud et ayant fort apprécié mon voyage, il m’a paru intéressant de poursuivre l’exploration, par la littérature, de ces terres oubliées de la Generalitat (gouvernement catalan) et de découvrir cet écrivain controversé qu’est Javier Cercas.

Terra Alta s’est révélé un vrai page-turner, que j’ai dévoré en quelques jours seulement (une des raisons pour lesquelles le roman se lit si vite est qu’il est rempli de dialogues, ce qui rend la lecture particulièrement fluide).

J’ai beaucoup aimé la description des paysages, qui m’ont rappelé mes impressions (notamment l’effet d’optique qui se crée à cause de la chaleur sur les routes : « l’asphalte de l’autoroute, où le reflet du soleil crée des flaques tremblotantes d’eau illusoire) et la mention de lieux où je m’étais rendue : Benifallet, Xerta, Tortosa, Riumar, Miravet… L’auteur excelle à retranscrire les ambiances, notamment celle du petit village où habitent les personnages, avec le bar sur la place du village où se croisent les différentes générations, et notamment les petits vieux.

Le roman est particulièrement ancré dans le réel et notamment dans la politique : l’écrivain fait référence au referendum sur l’indépendance de la Catalogne d’octobre 2017 (le fameux « 1 d’octubre ») à et à Carles Puigdemont, aux moyens limités de la police et au mauvais salaire des fonctionnaires qui y travaillent…

Le personnage principal est un peu caricatural des policiers que l’on retrouve dans les polars : torturé, hanté par son passé et épris de justice. Le lecteur fait donc la connaissance de Melchor, qui porte ce prénom car lorsqu’il est né sa mère a trouvé qu’il ressemblait à un roi mage. Fils de prostituée, ancien taulard et héros des attentats islamistes, Melchor est envoyé en Terra Alta par ses supérieurs, soucieux de le protéger des conséquences que pourraient avoir son acte de bravoure à Cambrils. Il commence à travailler dans un petit commissariat où la plupart de ses collègues sont indépendantistes. Il y fait la connaissance d’Olga, une ravissante bibliothécaire, de quinze ans son ainée, et, après quelques discussions littéraires (qui portent principalement sur des romans français, Javier Cercas semblant particulièrement passionné par la littérature française : Hugo, Perec, etc) tombe vite sous son charme. Il finit par se marier avec elle et avoir une fille, nommée Cosette en l’honneur du personnage des Misérables

L’intrigue commence in medias res, comme souvent dans les romans policiers : un couple de personnages âgées, les Adell, est retrouvé mort dans leur propriété. La particularité de ce meurtre : la torture, ce qui conduit les enquêteurs envoyés sur les lieux à écarter la piste du vol. Sur la liste des principaux suspects, on trouve leur fille, leur gendre et le gérant de l’entreprise dont ils étaient propriétaires. L’enquête piétine rapidement et au bout de quelques semaines, l’affaire est classée, au grand dépit de Melchor, qui se met à bosser sur l’affaire en dehors de ses horaires de travail, ce qui lui vaut un rappel à l’ordre de sa hiérarchie. Melchor se voit alors forcé d’arrêter son enquête officieuse, pour un temps du moins. Il la reprend rapidement à la mort (supposément accidentelle mais rien n’est moins sûr) de sa femme, qui, il en est persuadé, a un lien avec les assassinats des Adell survenus quelques semaines plus tôt. Spoiler(cliquez pour révéler)La mort d’Olga, par son côté violent et inattendu, m’a fait penser aux romans de Nesbo. Parviennent alors à Melchor des messages mystérieux qui l’orientent sur une piste qu’il n’avait pas identifiée plus tôt, et qui lui permettent de recoller les pièces du puzzle, et donc de coincer l’assassin.

Le choix d’alterner chapitres au présent et au passé fonctionne bien, mais j’aurais apprécié un peu plus de passages sur la guerre civile, qui est présente dans le roman (et surtout son dénouement) mais qui gagnerait à être développés, ne serait-ce que pour la gouverne du lecteur étranger. D’un autre côté, l’action du roman se situant de nos jours, il est logique que la plupart des acteurs de la guerre ne soient plus de ce monde (c’est d’ailleurs pour ça que l’auteur a choisi comme victimes des nonagénaires), et donc que la mémoire « directe » de la guerre s’efface progressivement de la conscience collective . J’aurais aimé que l’auteur crée une sorte de huis-clos villageois étouffant, alimenté par de vieilles rancunes et des histoires de famille. Car si c’est bien de vengeance familiale qu’il s’agit, et si le motif des assassinats se trouve dans le passé, le lecteur vient presque à regretter qu’il n’y ait pas de flash-back plus anciens que l’arrivée de Melchor en Terra Alta, qui remonterait à la guerre civile ou au début de la dictature.

Le dénouement n’est pas très original, sans doute par le nombre de suspects, somme doute assez réduit, mais il a le mérite d’être réaliste.

J’ai hâte de me plonger dans le deuxième tome de cette trilogie, « Indépendance », qui s’annonce assez politique.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par fannylectora 2023-08-19T19:07:28+02:00
Terra Alta, Tome 1

Très bon. Des personnages sympas. Des références culturelles et lieux attrayants.

Afficher en entier
Terra Alta, Tome 2 : Indépendance

On s'attache encore plus au personnage que dans le premier, et on a envie d'une suite. Javier Cercas nous exaucera!

Afficher en entier
Terra Alta, Tome 3 : Le Château de Barbe Bleue

Cosette a bien grandi! cela fait un peu bizarre par rapport au 1er tome. Un peu de "déjà vu" dans une série espagnole (La caza, Tramuntana), mais globalement sympa. Lecture assez rapide et agréable.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par fannylectora 2023-08-31T19:21:51+02:00
Les Soldats de Salamine

Une manière assez originale d'aborder un thème délicat, difficile. De mémoire, j'avais eu du mal à le lire. à remettre dans ma PAL!

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Plassans 2023-10-17T09:25:15+02:00
L'Imposteur

L'histoire de la possibilité d'une imposture telle que nous la raconte Cercas ne laisse aucun doute sur le fait que celle-ci ne peut exister sans le besoin d'une société toute entière de se choisir un héros afin de s'identifier à lui et en tirer les bénéfices secondaires.L'Espagne de la transition démocratique puis celle de la movida s'est dispensée d'une analyse en profondeur du franquisme,a opté pour le 'kitsch mémoriel' aux dépens du véritable travail historique:ce temps est encore à venir.

Ce livre passionnant qui questionne également le rôle du romancier et celui de Cercas lui-même dans la fascination-rejet qu'exerce sur lui Enric Marco qui incarne la fiction à l'état pur exige toutefois une bonne connaissance de l'Espagne et des courants politiques qui l'ont traversée depuis la guerre civile et les répétitions lancinantes peuvent parfois décourager le lecteur voire sembler artificielles ou pur exercice de style.

Afficher en entier

On parle de Javier Cercas ici :

Dédicaces de Javier Cercas
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Actes Sud : 11 livres

Tusquets : 3 livres

LGF - Le Livre de Poche : 2 livres

Literatura Random House : 2 livres

Delbolsillo : 1 livre

Planeta : 1 livre

Tusquets Editores S.A : 1 livre

Tusquets Editores S.A. (3 mars 2021) : 1 livre

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode