Jay Bonansinga

J'ai eu du mal à accrocher. Mais c'est devenu captivant au moment de retrouver des personnages de la bande dessinée.

J'ai préféré ce tome aux précédents. Je trouve qu'il était plus intéressant de voir cet affrontement que l'on connaît du point de vue du camp adverse.

J'ai plus accroché à ce tome qu'aux premiers. L'histoire n'est pas mal. J'espère juste que ça ne va pas tourner en rond.

Personnellement j'ai moins aimé ce tome. Trop de violence gratuite. Trop de questions sans réponse sur les nouveaux personnages. Mais quand même bien écrit.

j'ai aimé lire ce livre . J'aime beaucoup cette auteur. Je le recommande... Tout part d'un quiproquo.... Je vous laisse à votre lecture!!!!!

Plutôt pas mal. Sans être exceptionnel. Ça se lit facilement.

Le début est un peu long à mon goût. Mais après, l'histoire prend un tournant intéressant et inattendu.

Personnellement, je n'ai pas apprécié ce tome. L'obsession de Lilly pour Woodbury est illogique et mène les autres à la mort. Quant au nouveau méchant, il n'est pas au niveau des autres.

Une très bonne novellisation qui révèle encore une fois l'inextinguible talent de Robert Kirkman, qui s'associe ici avec l'écrivain américain Jay Bonansinga pour nous livrer des révélations plus que croustillantes sur le passé du Gouverneur, Philip Blake de son véritable patronyme (enfin, cette affirmation est discutable XD).

Au niveau de l'écriture, je suis partagée. En découvrant les premières pages de ce premier tome, j'ai été agréablement surprise par la qualité de cette dernière, mais au fil des pages, ce sentiment s'est inversé : les incursions dans les passés respectifs des frères Blake prennent parfois un peu trop de place dans le récit actuel, ce qui m'a fait parfois perdre le fil, même si j'avoue que ma période de lecture pour ce livre a été assez agitée.

Spoiler(cliquez pour révéler)Le personnage de Brian est très intéressant. De pleutre, ce frère aîné qui se cachait derrière son cadet vindicatif est devenu un monstre tout aussi sanguinaire, affamé de sang, de violence et des pires bassesses que porte l'humanité que celui qu'il admirait tant.

Je préfère de loin cette version du passé du Gouverneur que celle introduite dans l'adaptation télévisée. On nous y cache le fait que le décès de Penny ait entraîné le véritable Philip dans un abysse de désespoir, dans son apocalypse personnel, et qu'à partir de cet instant-là, plus rien ne pourrait le faire reculer, ni l'humaniser à nouveau. Le monstre est déjà né, et sa figure est perpétuée par Brian.

Prenez pas en compte j’essaye juste de l’avoir gratuitement qq part