John Lawton
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Note moyenne : 6.71/10Nombre d'évaluations : 7
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Je n'ai adhéré à presque rien. Il y a des points positifs, mais ils furent trop peu nombreux pour moi, je me suis juré de tenir pour avoir un avis des plus juste possible. Malheureusement, plus la fin avance et moins je suis enthousiaste, j'ai donc eu une lecture fastidieuse et longue pour plusieurs raisons.
La première, c'est l'intrigue en elle-même. Excepté le rebondissement final et un retournement, une vérité que je n'aurais jamais soupçonnée, je me suis grandement ennuyée. L'histoire n'a rien de captivant, elle est plate et linéaire, simple et déroutante.
L'immersion en 1944 est complètement réussie. Un gros travail de réalisé pour nous immerger dans le Londres de la Seconde Guerre mondiale, dans ses peurs, dans l'avènement du Jour J (le débarquement de Normandie). Ce que j'ai bien aimé, c'est la plume. Elle est travaillée, forte et fluide. La plume est sympathique et les chapitres sont d'une bonne durée, soignée pour donner envie d'avancer.
Quant aux protagonistes, je ne me suis pas attachée à eux. Ils sont obscurs et ne m'ont pas donné envie de leur faire confiance. Troy, notre enquêteur est peu crédible, à cause de son super pouvoir de médium. Il est un brin antipathique et son côté froid finit par être très désagréable.
Afficher en entier« Allez racontes nous ta mission Anne-Ju. »
Tout d’abord, je tenais à vous rassurer que je n’ai fait aucune infidélité à James ! Il vient juste d’avoir son permis de tuer il y a 3 ans. Avec cette guerre froide, il est un peu débordé ! Donc, j’ai fait appel à l’inspecteur Freddie Troy. Il n’a pas le style « pudding » mais plutôt « vodka ». Hey oui, du russe immigré en Angleterre qui travaille pour Scotland Yard. C’est tordu vous ne trouvez pas
Afficher en entierJe me suis ennuyée avec ce roman. La quatrième de couverture et les critiques m'avaient donné envie moi qui suis fervente de la seconde guerre mondiale mais l'ensemble reste plat sans grand relief.
Le personnage principal ne donne pas du tout envie de s'attacher à lui. Le suspens peut présent, ça tire en longueurs !!!!
Bref une déception.
Afficher en entierJ’ai découvert ce roman grâce à un groupe de lecture ;) et je dois dire que je n’ai pas été déçue.
Outre la période qui fait partie de mes préférées de l’Histoire, les personnages et la plume de John Lawton ont su me captiver. Ils sont véridiques et sans fioritures.
Amatrice de romans d’espionnage, j’ai eu ma période Jack Higgins entre autres, je ne peux que conseiller ce roman. L’auteur nous entraîne à la suite de Frederick Troy, inspecteur à Scotland Yard dans une enquête captivante et un complot dont la complexité de la trame ne va faire que se développer à notre plus grand bonheur.
C’est un récit qui nous situe dans une période particulière de la guerre avec le Black-out et qui lui donne ainsi une ambiance tout à fait particulière, noire et lourde de méfiance. Il permet aussi aux lecteurs de se plonger dans une description de Londres sous les bombardements assez peu brossée dans les autres romans de cette période.
Un très bon roman d’espionnage à emporter sur la plage ou garder sur la table de nuit pour les soirées d’hiver.
Afficher en entierJ ai bien aime l histoire et l intrigue en générale. Mais les personnages ne sont pas assez decrit a mon gout, on a pas le temps de s y attacher et il y a beaucoup trop de descriptions qui pour moi n amene rien a l histoire.
Mais j ai bien aimé la maniere dont c est ecrit j ai eu envie de rapidement savoir la fin.
Afficher en entier♫ Excuse-me Sir mais j'entends plus Big Ben qui sonne, les avions bourdonnent, c'est la folie à London !
♫ Et les allemands bombardaient, et les allemands bombardaient…
Un roman qui me colle encore au coeur et au corps ♪ (mes excuses à Voulzy pour le détournement de sa chanson !) tant je viens de vivre une époque que je n'ai pas connue mais dont l'auteur nous a brillamment rendu compte !
Encore un peu et j'allais fermer mes rideaux spécial black-out moi… et planquer du bon café en prévision de la diète qui sévit et sévira encore après la guerre à Londres.
C'est fou ce que les gosses peuvent trouver comme ossements en jouant ! Dans « La femme en vert » d'Indriðason c'était un bébé qui mâchouillait un ossement humain, ici, c'est un chien, qui, en tant que bon chienchien, dépose un bras humain au pied d'un des gosses qui regardait ses amis jouer à la marelle.
Une enquête qui se révèlera pas facile pour le lieutenant Frederik Troy de Scotland Yard, qui, tout comme l'inspecteur Linley d'Elizabeth George provient d'une bonne famille.
Comme je le disait, l'ambiance « guerre » est bien décrite, bien rendue. Nous sommes en février 44 et notre inspecteur aura l'impression qu'un Jack The Ripper (pour hommes) a sillonné les rues car il y avait eu un autre cadavre l'année d'avant, une disparition ensuite et des tas de trucs louches qui vont se passer devant les yeux de Troy qui ne verra pas toujours la vérité dans les ténèbres.
On alterne souvent les moments moins drôle tels les bombardements où l'extrême misère dans laquelle vivotent certaines personnes, avec des touches d'humour, notamment en la personne du légiste haut-en-couleur, Ladislav Kolankiewicz, de la culture générale avec des références littéraires, politiques, militaire,…
Du sexe aussi, parce que oui, Troy ne fait pas que travailler ses petites cellules grises, mais aussi son engin – bien qu'on reproche aux Anglais d'être coincé du cul, même si, en cette période où l'on peut mourir à tout moment, le sexe à tout-va et avec le(la) premier(ière) qui passe soit devenu sport national.
Non seulement, Troy paiera de sa personne en étant moult fois blessé, mais il fournira aussi quelques millilitres de liquide séminal à deux femmes. Pourtant, c'est un grand coincé qui fait l'amour toutes lumières éteintes…
La Luftwaffe ne nous laisse pas répit, les morts, le chef et les femmes en chaleur non plus… Heureusement que pour nous réjouir, nous avions les personnages dont j'ai ressenti de l'attachement pour eux, surtout pour Troy, son adjoint, Wildeve et le légiste.
Un mélange de polar historique, sur fond de guerre et d'espionnage, sans pour autant verser dans un roman de John le Carré.
Un enquête difficile, des preuves qui n'arrivent pas à la pelle, malgré le côté Holmes du légiste (une monographie sur les boutons de manchettes allemands, cher Ladislav ?), de l'humour, du sexe, des morts, une plume qui nous entraine au fil des pages et, hélas, quelques longueurs à un moment donné.
Pas au point de gâcher la lecture, mais il y avait moyen de passer outre, je pense. Notamment, cette enquête sur le crime du Black Swan n'était pas indispensable. Sans ces quelques longueurs, j'aurais mis un 4/5, mais là, ce sera un 3,5 et ce n'est en rien une punition, j'ai passé un super moment sous les bombes.
Dans ce roman, tout le monde en prendra pour son grade grâce à quelques petits détails piquants insérés dans le récit. Que ce soit envers les Américains, les Anglais, leurs collèges huppés, les flics pas très malins, l'homosexualité (du moins, comment elle été tolérée), les moeurs débridés des femmes en ces temps de guerre, les clichés…
Y'en aura pour tout le monde !
Afficher en entierC'est un roman fort sympathique, pour les amateurs de livres d'espionnage situés au temps de la Guerre Froide.
Tout y est : rivalités entre entre la police et les services secrets, barbouzes internationales, femmes fatales.
Le bémol est le renvoi fréquent à des notes situées en fin du livre qui complique un peu la lecture.
Sinon, j'ai apprécié l'inspecteur en chef Troy et sa famille dont ses deux soeurs qui sont un peu "déjantées".
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