Commentaires sur ses livres

Bien écrit. Un peu long à démarrer. Donc au début on accroche pas vraiment. Personnage du père manquant un peu de psychologie vu sa formation et sa profession.

J’ai adoré cette série, les personnages m’ont attirés et faites sentir des émotions, surtout ce Célestin ❤️

Quel plaisir que de retrouver la plume de Louise Tremblay D’Essiambre. Les années passent et j’ai toujours autant de plaisir à lire ses romans. Cette fois-ci, nous nous retrouvons au centre d’une famille irlandaise et ce n’est pas la richesse qui aide les enfants à vivre convenablement. Richesse matérielle, mais également richesse de câlins et d’amour! Cela manque terriblement chez les Fitzgerald.

Il m’a fallu très peu de temps pour tomber sous le charme de ce roman. En premier lieu, j’adore lire des romans où mes origines irlandaises me permettent de mieux connaître le vécu de ces familles à une époque où je n’étais pas encore née. Et laissez-moi vous dire que la vie chez les Fitzgerald versus la vie chez les O’Brien est totalement différente.

Je me suis rapidement attachée à notre héroïne. Marjolaine s’est beaucoup sacrifié pour sa famille et elle continue de le faire. Je la trouve tellement généreuse. Elle et son jumeau sont les deux enfants qui tiennent la famille à bout de bras et qui apportent un peu de joie et d’amour dans la vie des plus jeunes. Je ne passerai aucun commentaire sur les parents!

Et puis, chez les O’Brien, c’est tout simplement le type même de famille que tout le monde voudrait. Ils sont unis, les parents aiment leurs enfants et ça paraît. Il y a une joie de vivre au sein de cette famille qui permettra à Marjolaine de retrouver le sourire. Enfin, un peu de soleil au sein de ce roman!

Comme à son habitude, l’auteure nous permet de découvrir la vie d’une autre époque. Je trouve cela bien intéressant. Et puis, l’intrigue est captivante. J’ai pris plaisir à suivre les personnages et à me sentir partie prenante à leurs mésaventures. J’aurais eu le goût de donner un câlin à tous ces jeunes enfants qui ont terriblement besoin d’amour et d’attention!

Encore une fois, ce fut un réel plaisir de lire un roman de cette auteure, malgré le côté sombre, et de découvrir de nouveaux personnages attachants, une époque révolue, mais combien intéressante et une intrigue qui m’a fait vivre beaucoup d’émotions. Bien hâte de lire la suite, surtout avec cette finale surprenante!

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Bonjour,
voilà, Saga terminée...
Pas de surprise, pour ce quatrième tome.
Je ne dirai rien pour ne pas dévoiler mais tellement prévisible...
Je ne me suis pas ennuyée mais je n'aurais pas lu le tome suivant, si il y en avait eu un.
Mon erreur a sans doute été de les faire suivre.
A vous ...

Bonjour,
Tome 3, suite des femmes de la saga.
Il restera le 4ème tome, j'espère que ça bougera un peu plus...
C' est certain qu'on a bien vu l'évolution de tous mais sans surprise, une routine s'installe.
J'aime les surprise!
A vous...

Bonjour,
2ème tome aussi attachant.
Un peu moins captivant pour moi, ce qui ne m'empêchera pas d'écouter le 3ème tome ... Qui est déjà en cours.
Je dois savoir !
A vous ...

Bonjour,
2ème tome aussi attachant
Un peu moins captivant pour moi, ce qui ne m'empêchera pas d'écouter le 3ème tome ... Qui est déjà en cours.
Je dois savoir !
A vous ...

Bonjour,
Une saga québécoise 1er tome sur 4.
Immergé dans le cœur canadien des années 20. La lectrice a cet accent chantant qui nous plonge profondément dans cette histoire.
Impossible de ne pas poursuivre le 2ème tome de suite.
A vous ...

Me voilà au dernier tome de cette saga, je suis bien contente d’avoir persévéré jusqu’à la fin puisque cet ultime volet termine bien la série. Je dois dire cependant que je l’ai trouvé un peu trop longue à mon goût. C’était la première fois que j’embarquais dans un univers de Louise Tremblay d’Essiambre et je ne crois pas que ce sera la seule occasion.
L’écriture est très imagée et très enchanteresse, le livre se lit donc comme un charme et il est aisé de passer un bon moment de détente. Il est aussi facile de s’imprégner de l’époque à laquelle elle fait référence. Pour ce qui est des personnages, la majorité, sont très attachants et j’ai bien aimé suivre leur évolution. De voir que tout finit par s’améliorer avec un peu de bonne volonté, même ceux que j’avais un peu détestés dans les tomes précédents ont réussi par me séduire. C’est alors avec le sourire et le cœur léger que je referme ce roman.

Eh bien la boucle vient de se refermer avec ce sixième et dernier tome de la saga. Une partie de moi ressent déjà une petite nostalgie à l’idée de perdre certains personnages, et une autre partie qui me dit que Louise Tremblay D’Essiambre sortira une nouvelle saga en avril donc l’attente sera de courte durée.

Après avoir lu près de vingt livres de cette auteure, assurément elle fait partie de mes petits chouchous. Je me souviens au tout début des difficultés que j’avais à lire le premier roman de cette auteure en raison du «parlé» de ses personnages et suivant l’époque où ils se situaient. Ce n’était pas évident du tout. Malgré tout, j’ai persévéré et j’ai finalement adoré. L’auteure a une plume fluide, agréable à lire et tout de même assez détaillée. On peut facilement s’imaginer faire partie de l’histoire.

Comme vous pouvez le constater en lisant mes chroniques précédentes, j’ai vraiment bien aimé cette saga. Malgré tout, j’ai trouvé que six tomes, alors que c’était supposé être que trois, cela fait long, longtemps. C’est ma plus longue saga de cette auteure et je dois avouer que malgré mon attachement à la Place des Érables, il n’en reste pas moins que je suis heureuse d’arriver à la fin!

Ce sixième tome m’a fait vivre bien des émotions. Je ne pouvais pas demander un tome meilleur que celui-ci pour clore cette saga. L’auteure n’a rien oublié et tous les problèmes ou embûches sont rentrés dans l’ordre… sauf peut-être pour Mme Lamoureux! Malgré que l’auteure finalise sa saga avec ce tome-ci, elle le fait tout en délicatesse et subtilité. Du coup, on n’a pas l’impression de se retrouver devant une finale trop courte.

Encore une fois, j’aurai été touché par certains personnages dont le grand-père Picard. Un homme d’une belle et grande sagesse. Le petit Arthur que l’on voit grandir et devenir un homme bref Louise Tremblay D’Essiambre a le tour pour rendre ses personnages attachants. Encore une fois, j’ai pris plaisir à lire ses livres et j’ai déjà hâte à avril pour lire sa nouvelle saga!

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Une bonne série . J’ai bien aimé la plupart des personnages .

J’aime bien cette série avec ses personnages haut en couleurs .

Dernier tome de cette saga.
Un vrai régal cette saga ! une petite lecture doudou que je termine le coeur gros ... triste de ne plus retrouver tous ces personnages si attachants ❤

Tome 1 sur 4 ... Une saga québécoise très charmante. Les personnages sont très attachants ! Le manoir respire la bonne humeur et la fraîcheur ... Eleonore, une vraie femme de coeur qui sent la tarte aux pommes ! Un vrai bon moment de lecture, je n'ai qu'une seule envie, poursuivre avec le tome 2 😃 D'ailleurs, il est prêt ! J'enchaîne de suite ...

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2022/09/15/les-heritiers-du-fleuve-t-1-1887-1914-louise-tremblay-dessiambre/

Ce premier tome des Héritiers du fleuve couvre une période de presque deux décennies, de 1887 à 1914. Les joies, les peines, les naissances, les deuils… se succèdent de part et d’autre du Saint-Laurent, dans les familles d’Emma, Alexandrine et Victoire, trois amies de longue date.

Ce roman n’a pas de fleuve que son titre. C’est une longue histoire pleine de personnages divers, qui s’étire dans le temps et en nombre de pages pour… pas grand-chose. Imaginez un livre qui détaillerait la vie de votre quartier, le quotidien insipide de vos voisins, et ce sur plus de vingt ans. Eh bien, vous obtiendrez Les héritiers du fleuve.

Les personnages ne sont pas vraiment voisins, et il y a une dimension historique puisque l’intrigue (si on peut appeler cela une intrigue), se déroule à cheval entre le XIXème et le XXème siècle, mais ce n’est pas passionnant pour autant. Ou seulement si on veut découvrir la vie de trois familles lambda au Canada à cette époque.

Et qui dit Canada dit évidemment patois local. J’avais déjà eu du mal avec le Pinocchio de Maude Royer, mais cette fois, je me suis résignée à survoler la plupart des dialogues, qui ne sont de toute façon pas les plus palpitants qui soient, à l’instar du récit en lui-même.

Si encore j’avais pu m’attacher aux personnages, j’aurais peut-être apprécié un tant soit peu ce roman, mais ce n’est pas le cas. Ils sont beaucoup trop creux. Dès qu’un évènement survient dans leur vie, on part sur une ellipse de plusieurs années. Difficile alors de partager leurs sentiments. Le deuil d’Alexandrine ? Hors-champ. La félicité de Victoire ? Hors-champ. La maladie de Lisbeth ? Hors-champ.

Tout ce qui pourrait être intéressant est survolé, tandis que l’auteur s’appesantit sur des éléments qui, à l’inverse, ne mériterait pas qu’on leur consacre plus de quelques lignes. On est vraiment à des lieues d’une œuvre aussi fascinante que Les oiseaux se cachent pour mourir.

Ce fut une lecture très monocorde, que je ne recommande pas.