Minetaro Mochizuki

ce tome ne m'a pas apporter tellement d'expliquer au niveau de l'histoire. J'ai été toujours autant perdu, les personnages ne sont pas très expressifs. Je n'ai pas trop compris le but de l'histoire et la fin est déroutante.

De ces 4 volumes me restera surtout une sensation de délicatesse poétique. Y figure une bonne partie des thèmes de la vie : l'enfance, l'éducation, le travail, les amours, la mort, ceux qui restent, le bonheur. Des dessins aux corps et visages qui parlent plus que les mots. Je veux encore me laisser emporter par l'auteur sur ses chemins. Espérons donc d'autres traductions.

Shigeji et Ritsu vivent, en quelque sorte, en cohabitation et partagent des moments avec les orphelins. Ceux-ci ne sont pas de tout repos et quand l'un deux sera ramené par les gendarmes, Shigeji aura une attitude qui donnera de belles planches sur les différences de générations et la tolérance. Difficile de parler d'un série qui n'est pas terminée au risque de dévoiler l'histoire ! A savourer pour la qualité.

Poursuivons sur Shigeji à la tête de Lennon et/ou Jésus. Peut-être ce dernier car, comme lui, ses parents étaient charpentiers. Assez plaisanté… Sa vie est partagée entre son travail, la jeune fille qui est chez lui avec les cinq orphelins et ce qui en incombent et celle qui leur fait la scolarité. Pour laquelle va-t-il craquer ? Une histoire où les choses de la vie sont distillées par petites touches et l'érotisme est présent tout en douceur.

Shigeji, 26 ans et marginal, apprend la mort de ses parents dans l'incendie de leur entrepôt et va donc devoir reprendre l'entreprise de charpente. Une jeune fille qu'il a connut dans son enfance est embauchée pour les tâches de la maison. Quelle sera sa réaction quand il apprendra qu'elle élève cinq orphelins dans les murs ? Manga adapté d'un célèbre roman japonais. Dessins et textes épurés. Un peu gênée par le rôle principal dont le visage et les cheveux cachent son visage. Voyons les 3 autres tomes…

Un chef d'œuvre !

Tant psycho qu'horreur. Et impossible de poser le livre sans le finir avant

Une lecture décevante car si le trait de Mochizuki est sublime, cette adaptation du film du même nom de Wes Anderson ne raconte vraiment pas grand chose, surtout en comparaison du film. En 75 pages on a une petite histoire sympathique sur l'amitié entre le jeune Atari et les chiens, mais il faut voir le film pour savoir comment on arrive à la dernière page, et pour 15€ cela fait cher pour pas grand chose... Dommage.

Thriller a Huis clos réedité, tout d'abord j'aime le grand format, ensuite le trait, certes le style de dessin est particulier mais je trouve que ça colle tees bien a l'histoire. J'ai bien aimé l'ambiance bizarre et un peu glauque. Je m'attendais a flipper quand même un peu plus, ce titre nous mets quand même dans l'angoisse. On est très vite dans l'histoire et les personnages sont tous bien travaille et credibles. J'ai passé un bon moment de lecture

Un bonne petite histoire "d'horreur" sympathique. Spoiler(cliquez pour révéler)Le pauvre a vraiment pas eu de bol sur ce coup là. Après coup, il aurait peut-être dû aller se faire exorciser dans un temple, mais comment aurait-il pu s'en douter? Je me demande comment l'autre gars a fait pour lui échapper ...

Très (vraiment trop) court. Dans la bande-dessinée on arrive a la fin sans comprend comment les choses se sont mis en place Spoiler(cliquez pour révéler)Atari est devenu maire donc les chiens sont sauvés par la même occasion. Heureusement pour moi j'avais déjà vu le film, une bien belle histoire pour les amoureux des chiens, (n'empêche Spots est légèrement lâcheur a la fin.)