Olivier Berlion
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Note moyenne : 6.68/10Nombre d'évaluations : 44
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Les derniers commentaires sur ses livres
Alors franchement là bof bof, car je ne sais pas quoi dire d'autre ... Le début est carrément ennuyant, et entre le côté archi-banal de l'histoire et la description très stéréotypée des personnages qui passent plus pour des pantins meublant un décor (qui parait aux yeux de l'auteur plus important qu'eux), je ne sais plus où chercher pour trouver des aspects positifs. Les dessins sont corrects, la fin est accrochante mais contraste trop avec le reste du récit pour que le scénario garde une cohérence convenable. Les références aux précédents tomes est une bonne idée. A lire dans le cour de la série.
Afficher en entierJe ne sais trop que penser de cette BD…
D’abord, je me suis senti floué. D’abord, on nous vend une histoire de malédiction, une famille où les aînés meurent à 33 ans… Et puis après deux pages, plus rien – ou quasi (y’a bien l’historique mais ça n’apporte pas grand-chose). L’impression d’avoir été alléché par un sujet pour m’en fourguer un autre qui ne m’intéressait pas de prime abord.
Parce que oui, bon, c’est comme ça mais la révolution espagnole, la guerre entre fasciste et communiste, ce n’est pas ma passion.
D’ailleurs, ce n’est pas celle du héros qui s’y retrouve un peu comme un chien dans un jeu de quille. Mais il a beau tenter de s’impliquer, il n’est pas convaincu.
Et moi non plus.
Parce qu’on nous vend également une romance, une histoire d’amour et, finalement, c’est juste du drame et de l’injustice au fil des pages. Moi, je veux bien, quand c’est bien fait, quand c’est beau. Mais là, c’est juste pour faire pleurer dans les chaumières ou pas loin.
Les dessins sont beaux, on se demande forcément ce que deviendra le fils dans le second opus mais j’ai tout de même l’impression de m’être fait escroquer sur l’histoire. Et je n’aime pas trop ce sentiment. Du coup, je n’aime pas trop la BD non plus...
Afficher en entierLa malédiction est encore vaguement utilisée mais déjà plus que dans le premier tome. Et puis cette histoire est bien plus intéressante que la première.
D’après les remerciements en début d’ouvrage, elle a été plus documentée et, en effet, elle sent le vécu, l’authentique, le réaliste.
C’est donc très intéressant de se plonger dans le monde ouvrier des années 50, ces baraques, ces gens qui tentent de s’en sortir.
Les dessins de Delaporte m’ont encore plus emporté dans cette décennie et le scénario fonctionne bien, juste et pourtant extrême.
Félix ne recule devant rien, emmène ses personnages au bout – même si je ne suis pas bien sûr d’avoir saisi où il voulait en venir avec la fin de l’histoire (du curé, pas l’épilogue)…
L’histoire raconté en petits morceaux de quelques pages, parfois avec des situations en parallèle, donne du rythme au récit et on ne lâche pas. Très sympa.
Afficher en entierVoilà enfin un volume où la malédiction dont nous parle depuis le début prend tout son sens !
Elle est pour une bonne partie la base de l’histoire et donne son intérêt aux deux précédents opus comme au suivant.
Elle permet, comme les autres, de décrire une époque, un style de vie, mais c’est déjà plus prenant.
L’utilisation des Ramones était utile au déplacement pour les Etats-Unis mais ça aurait pu être n’importe quoi et c’est un peu trop (d’autant qu’ils n’ont pas écrit de chanson « Malédiction » et ne sont pas à l’origine du slogan « no future ») mais bon, c’est sympa tout de même de les voir dans l’histoire…
Les dessins restent dans la lignée, clair, simple mais aussi bourré de petits détails réussis et réalistes qui retranscrivent bien l’ambiance de l’époque.
Reste le lien de parenté final (avec Antonio) qui m’échappe un peu mais à suivre…
Afficher en entierEncore un prétexte à traiter un sujet – le massacre au Rwanda.
C’est très bien montré, c’est bref mais suffisant pour faire comprendre un paquet de trucs qui se sont passées.
Ajouter l’histoire de la malédiction dedans, pourquoi pas, mais à quoi cela sert-il vraiment ? Pas d’explication sur celle-ci, sa raison, sa véracité…
On a une bonne liaison avec l’épisode précédent (avec deux personnages), des liens avec le premier tome, aucun avec le second (ou je ne l’ai pas vu…).
Du coup, cette malédiction donne vraiment le sentiment d’une excuse à ces quatre tomes – faire comme Zola et expliquer la vie d’une famille sur quatre générations aurait été pleinement suffisant…
Mais l’histoire du Rwanda est là, forte, bien plus que celle de la sœur peintre, utile uniquement pour rassembler tout le monde.
Les dessins sont efficaces, dans la lignée des précédents, même si ce sont des dessinateurs différents…
Pas désagréable à lire.
Afficher en entierQuel joie de retrouver les aventures de Soupetard !
J'avais étudié cette BD au collège, que de souvenirs me sont revenus lorsque j'ai ouvert l'intégrale !
C'est que du bonheur !
Ça me fait rappeler au "Petit Nicolas", "La Guerre des boutons" et Marcel Pagnol...
Afficher en entierLe procès est l'une des suites de Paranoïa.
Dans cet album, on suit, d'une part, le ressenti et les observations d'Ellen et d'autre part, les actions des différents intervenants du procès. Par exemple, la défense pour alléger au maximum la peine d'Ellen, les hommes du shérif pour mettre à mal la défense et certains membres du jury qui communiquent avec l'extérieur alors que c'est interdit.
Afficher en entierCe tome se lit très vite et est instructif quant à l'histoire d'Ellen. J'ai bien aimé voir l'aboutissement des précédents tomes et pas juste une histoire "pour passer le temps" comme le tome 8...
Par contre, le travail des personnages n'est pas super profond... Les revirements de situation arrivent sans cesse, les personnages sont increvables.
Afficher en entierMagnifique graphisme et histoire classique de mafieux mais captivante
Afficher en entierPACOTILLE est une histoire courte, normal puisque c'est un album jeunesse mais j'ai appris quelques informations, le reste,puisque ça se passe sur mon île, La Martinique, je le savais déjà.
Par exemple, je ne connaissais pas le jargon de la traite (que ce soit pour les bateaux ou les fonctions/postes que ce soit du côté des colons ou des esclaves). En tout cas, je le recommande vivement !!!!!!Vous me connaissez, je vous dis toujours de vous tourner vers des livres écrit au mieux par des concernés, au pire, au moins par des historiens. Ainsi, je peux vous dire que l'histoire est raccord avec ce que je connaissais sur le passé de mon île/ancêtres et aussi de ceux qui habitaient sur l’île bien avant nous donc foncez !
Les illustrations sont très belles et bien que l'histoire ne soit pas joyeuse, normal vu le sujet, c'est important de l'apprendre. Mention spéciale à la fin de l'album où il y a plein d'informations. Là aussi j'ai appris beaucoup de choses.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Olivier Berlion
et autres évènements
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Editeurs
Dargaud : 13 livres
Glénat : 9 livres
Casterman : 7 livres
Grand Angle : 4 livres
Emmanuel Proust : 1 livre
Phileas : 1 livre
Biographie
Dessinateur fidèle d’Eric Corbeyran, il mène aussi une carrière d’auteur complet avec sa série Tony Corso après avoir réalisé Histoires d’en ville dont l’intégrale vient de sortir en petit format chez Glénat. Originaire de Lyon, Olivier Berlion y suit les cours de l’école Émile Cohl et obtient un DEUG de culture et communication. Après plusieurs années de travaux dans l’illustration et la publicité, il rencontre Eric Corbeyran au Festival international de bande dessinée d'Angoulême en 1992. Commence une collaboration, qui se poursuit toujours, avec la série le Cadet des Soupetard (10 volumes de 1994 à 2004), puis Lie-de-vin (un one-shot dans la collection Long Courrier - 1999) chez Dargaud, Sales mioches (8 tomes de 1997 à 2005) chez Casterman, Rosangella (one-shot en 2007) et Garrigue (diptyque en 2008) à nouveau chez Dargaud. Il a réalisé un album Cœur tam-tam avec Tonino Benacquista chez Dargaud en 2003. Parallèlement, Olivier Berlion écrit ses propres histoires et déclare en avoir en stock pour les dix prochaines années. De 2000 à 2002, il débute comme auteur complet du scénario aux couleurs avec le triptyque Histoires d’en ville aux éditions Glénat qui viennent de sortir une intégrale dans le cadre de la collection des 40 ans de la maison d’édition. Il termine le prochain épisode de Tony Corso. Le tome 5, Vendetta, de la série sortira en 2009 en même temps qu’une intégrale en petit format et couverture souple des 4 premiers épisodes. Installé près d’Uzès dans le Gard, Olivier Berlion allie un graphisme réaliste très maîtrisé et des intrigues fines et bien construites.
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