Prosper Mérimée

Quatre petites nouvelles, toutes charmantes à leur manière. Si je devais parler de l’ensemble du recueil, je dirais que le choix de l’assemblage n’est pas mauvais, puisqu’exceptée la première nouvelle (que j’ai tout de même beaucoup appréciée pour sa simplicité), elles abordent toutes mort et amour. Une fois de plus, Mérimée nous montre ses qualités de conteur, avec des récits qui s'avèrent souvent être les récits d’autres récits, mais aussi avec une certaine fatalité dans la plume. L’amour tue, et l’amour – quand trop passionnel – est irrémédiablement ponctué par la mort. Du moins c’est ce que j’en conclus, et c’est ce que j’aime avec Mérimée ; cette manière de tout le temps briser nos désillusions. Même quand tout semble aller pour le mieux, il faut forcemment que certaines ombres viennent obscurcir notre tableau. C’est comme ça, c’est la vie.

Je n’ai cependant pas trop compris pourquoi la nouvelle qui - selon moi - était la plus courte et la moins « intéressante » a donné son nom au recueil. L’une des deux dernières aurait peut-être été plus appropriée, mais il ne s’agit là bien évidemment que de mon modeste avis.

quelle étrange histoire que celle-ci, j'attends de lire d'autres livres de prosper mérimée pour me faire une opinion sur l'auteur

Lecture classique, rapide. Qui pose la question de la superstition face à la science.

J'ai dû lire ce livre dans le cadre de ma scolarité il y a bien des années maintenant, et bien que j'en garde peu de souvenirs (sans parler des autres nouvelles présentes dans le recueil), je me souviens tout de même d'une sensation désagréable à cette lecture, l'aspect horrifique m'avait atteinte à l'époque et j'en avais peur ! Ça reste une lecture assez intéressante, comparée à tout ce qu'on a pu nous faire lire à l'école.

Relecture de ce petit recueil de nouvelles. Elles sont toutes différentes, avec une pointe de fantastique. C'est rapide et facile à lire, mais ce qui m'a gênée c'est que certaines apparaissent déjà dans d'autres recueils que j'avais lu il y a longtemps.

Lecture plutôt intéressante. J'ai pu d'écouvrire une facette de la Corse que je ne connaissais pas.

C'est la première fois que je lis du Mérimée et la plume était plutôt bonne (quoiqu'un peu complexe par moment)

Dirigé par Cosimo Campa et appartenant à la collection Les Grandes Œuvres du Fantastique, Histoires de Loups-garous regroupe des récits du XIXe siècle, écrits par des auteurs connus et moins connus (dont les noms sont à retrouver dans les tags), notamment des auteurs québécois que j'ai découvert ici.

Ce recueil regroupe 9 récits, dans une belle édition reliée, et nous entraîne dans les confins de l'Europe de l'Est ou du Canada à la poursuite de mythes, de croyances ou de familles maudites, qui ont au final une explication rationnelle… Ou non.

Sans vraiment faire peur comme peuvent le faire certains récits fantastiques classiques, ces histoires sont tout de même intéressantes pour s'imprégner du vocabulaire et des mœurs de l'époque. Je vous le déconseille cependant si vous n'êtes pas amateurs de littérature classique ou folklorique.

Je l'ai principalement lu pour ma culture. Il est rapide et facile à lire.

Le personnage de Carmen est intéressant : elle est libre et elle le restera.

Spoiler(cliquez pour révéler)C'est peut-être ma vision moderne des choses, mais je n'ai vraiment pas aimé tout le côté avec José qui veut Carmen sous excuse qu'elle ne l'aime plus. Cette partie-là laisse un goût amer dans la lecture.

Un excellent livre pour une introduction au style fantastique (pas fantasy).

Sympatique à lire mais ce n’est pas un chef d’œuvre