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Raymond Daniel Manczarek (il enleva le «c» lorsque les Doors devinrent célèbre) est l’ainé d’une famille d’origine polonaise du milieu ouvrier de Chicago. Raymond, jeune, partage son temps entre l’école, le sport (basket, base-ball) et la musique.
Après-guerre, dans le Mid West Américain, l’accordéon jouit d’une grande popularité et Ray y échappe de peu, ses parents préférant meubler leur sous-sol d’un piano afin qu’il en fasse l’apprentissage. Il n’a pas neuf ans et, quoique très enthousiasmé, est prêt à tout laisser tomber dès sa première leçon, le système de notation musicale lui paraissant totalement indéchiffrable.
Mais l’élève est doué et sa progression rapide. En évoluant vite vers les rythmes accrocheurs du boogie-woogie, il acquiert un doigté qui allait être déterminant dans le style des Doors. À treize ans il découvre tout le génie du blues afro-américain et, durant les quatre à cinq années suivantes, va se nourrir des musiques de Jimmy Reed, Muddy Waters, Willie Dixon... pour aborder ensuite les grands du rock n’roll, Elvis Presley en tête. Brillant élève du conservatoire de Chicago, il vit, après ses années de lycée, une période d’intense épanouissement artistique, s’intéressant au cinéma, au théâtre, à la peinture, à la musique classique et au jazz, devenant un fanatique du pianiste et compositeur français Claude Debussy.
Promis à une belle carrière dans la banque, il quitte pourtant en 1964 l’Illinois pour s’inscrire à l’UCLA de Los Angeles, dans le département de cinématographie. Il y rencontre Jim Morrison, avec qui il se lie vite d’amitié. Parallèlement à ses études, il joue dans un groupe de surf music appelé Rick And The Ravens en compagnie de ses frères Jim et Rich. En mai 1965, un fois leurs diplômes obtenus, les élèves se séparent, mais il rencontre par hasard Jim Morrison, deux mois plus tard, sur la plage de Venice. Jim dit avoir écrit quelques chansons, et, sous l’insistance de Ray, lui en déclame trois dont « Moonlight Drive ». Ray est médusé et lui propose de monter un groupe de rock. Le cercle de Doors venait de se former, il serait bientôt complété par John Densmore et Robby Krieger. Débute alors l’ascension du groupe vers les plus hauts sommets, qui trouvera son apogée en 1967, et se termina en 1973.
Dans les années qui suivent la séparation, Ray Manzarek se cherche. Il se laisse tenter par une première expérience en solo avec The Golden Scarab, qui se vendit peu, mais son second album, «The whole thing started with rock n’roll, now its out of control» se classa 150ième au BillBoard début 1975. Dans les années 80 il travaille en collaboration avec divers artistes dont le groupe X en 1980. En 1983, il enregistre une version de Carmina Burana de Carl Orff. En 1993, il mène à bien un projet avec son ami le poète Michael McClure qui aboutit au disque Michael McClure & Ray Manzarek : The Lion Love.
1998 voit la parution de son autobiographie Light my fire My life with Jim Morrison aussi attendue que controversée. Une version française paraîtrait l’année suivante The Doors, La véritable histoire.
Biographie
Raymond Daniel Manczarek (il enleva le «c» lorsque les Doors devinrent célèbre) est l’ainé d’une famille d’origine polonaise du milieu ouvrier de Chicago. Raymond, jeune, partage son temps entre l’école, le sport (basket, base-ball) et la musique.
Après-guerre, dans le Mid West Américain, l’accordéon jouit d’une grande popularité et Ray y échappe de peu, ses parents préférant meubler leur sous-sol d’un piano afin qu’il en fasse l’apprentissage. Il n’a pas neuf ans et, quoique très enthousiasmé, est prêt à tout laisser tomber dès sa première leçon, le système de notation musicale lui paraissant totalement indéchiffrable.
Mais l’élève est doué et sa progression rapide. En évoluant vite vers les rythmes accrocheurs du boogie-woogie, il acquiert un doigté qui allait être déterminant dans le style des Doors. À treize ans il découvre tout le génie du blues afro-américain et, durant les quatre à cinq années suivantes, va se nourrir des musiques de Jimmy Reed, Muddy Waters, Willie Dixon... pour aborder ensuite les grands du rock n’roll, Elvis Presley en tête. Brillant élève du conservatoire de Chicago, il vit, après ses années de lycée, une période d’intense épanouissement artistique, s’intéressant au cinéma, au théâtre, à la peinture, à la musique classique et au jazz, devenant un fanatique du pianiste et compositeur français Claude Debussy.
Promis à une belle carrière dans la banque, il quitte pourtant en 1964 l’Illinois pour s’inscrire à l’UCLA de Los Angeles, dans le département de cinématographie. Il y rencontre Jim Morrison, avec qui il se lie vite d’amitié. Parallèlement à ses études, il joue dans un groupe de surf music appelé Rick And The Ravens en compagnie de ses frères Jim et Rich. En mai 1965, un fois leurs diplômes obtenus, les élèves se séparent, mais il rencontre par hasard Jim Morrison, deux mois plus tard, sur la plage de Venice. Jim dit avoir écrit quelques chansons, et, sous l’insistance de Ray, lui en déclame trois dont « Moonlight Drive ». Ray est médusé et lui propose de monter un groupe de rock. Le cercle de Doors venait de se former, il serait bientôt complété par John Densmore et Robby Krieger. Débute alors l’ascension du groupe vers les plus hauts sommets, qui trouvera son apogée en 1967, et se termina en 1973.
Dans les années qui suivent la séparation, Ray Manzarek se cherche. Il se laisse tenter par une première expérience en solo avec The Golden Scarab, qui se vendit peu, mais son second album, «The whole thing started with rock n’roll, now its out of control» se classa 150ième au BillBoard début 1975. Dans les années 80 il travaille en collaboration avec divers artistes dont le groupe X en 1980. En 1983, il enregistre une version de Carmina Burana de Carl Orff. En 1993, il mène à bien un projet avec son ami le poète Michael McClure qui aboutit au disque Michael McClure & Ray Manzarek : The Lion Love.
1998 voit la parution de son autobiographie Light my fire My life with Jim Morrison aussi attendue que controversée. Une version française paraîtrait l’année suivante The Doors, La véritable histoire.
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