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Sarah Cohen-Scali

Auteur

3 690 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Chevalerie 2020-02-14T08:50:29+01:00

Biographie

Nationalité : France

Né(e) à : Fès, Maroc , le 16/10/1958

Biographie :

Sarah Cohen-Scali est une écrivaine française.

Elle écrit également sous le pseudonyme de Sarah K.

Titulaire d'une licence en philosophie, elle a suivi des études d'art dramatique avant de commencer à écrire pour les enfants.

Elle a publié une quarantaine de romans et nouvelles pour la jeunesse mais aussi pour adultes, en particulier des romans noirs.

Sarah Cohen-Scali remporte en 2013 le Prix Sorcières, catégorie Roman pour adolescents, et le Prix jeunesse des libraires du Québec, avec "Max", publié chez Gallimard Jeunesse dans la collection Scripto, en 2012. Cet ouvrage reçoit douze prix littéraires au total.

Elle vit à Paris avec sa famille.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 8.11/10
Nombre d'évaluations : 1 247

0 Citations 780 Commentaires sur ses livres

Alias et noms de plume

  • Sarah K.

Dernier livre
de Sarah Cohen-Scali

Sortie Poche France/Français : 2020-09-02

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Eweww 2023-12-07T11:31:35+01:00
Max

Livre plutôt prenant et à caractère très éducatif. Nous apprenons énormément de choses sur le programme Lebensborn et par conséquent, un peu plus encore sur les atrocités nazies pendant la guerre. Face de l'histoire méconnue, ce triste programme est ici dépeint pour tous. C'est une sorte de justice qui est rendue aux victimes de cette idéologie barbare. Le livre est simple, bien écrit et pédagogique. Je le conseille pour tout le monde.

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Commentaire ajouté par mlles007 2023-12-26T18:29:25+01:00
Max

Un livre sur un thème dérangeant mais méconnu de l'histoire, le récit est édifiant mais intéressant et instructif à connaitre.

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Commentaire ajouté par BooksFan-ny 2024-01-06T01:02:40+01:00
Max

1) Les Lebensborn étaient des maternités où des femmes donnaient naissance à des enfants dits « parfaits » de race aryenne, selon les critères de l'idéologie nazie. Au total, on estime que 20 000 enfants seraient issus de ces dispositifs.

2) Pendant la Seconde Guerre mondiale, environ 200 000 enfants polonais, ainsi qu'un nombre indéterminé d'enfants d'autres nations, ont été arrachés à leurs foyers et transférés de force en Allemagne nazie à des fins de travail forcé, d'expérimentation médicale et de germanisation.

3) Les Napola étaient des internats de l'enseignement secondaire et étaient destinés à devenir les écoles de l'élite du Reich.

4) À la fin de la guerre, l'Allemagne est dévastée et occupée : elle capitule le 8 mai 1945 après la prise de Berlin par les soldats soviétiques. De nombreuses villes allemandes ont subi des dégâts considérables et Berlin est détruite à 40%.

À travers l'histoire de Max, ou plutôt de Konrad von Kebnersol ainsi baptisé par le Fürher en personne, l'autrice reprend ces quatre aspects de l'histoire de l'Allemagne nazie, de sa toute puissance à son effondrement. Max, ainsi je préfère l'appeler, est le premier bébé issu du programme Lebensborn, né un 20 avril comme le Fürher. Comme un fait exprès, il répond à tous les critères de la race nordique. Il est l'échantillon type de la race supérieure. Avec sa gueule d'ange (blond, yeux bleus, peau très clair et crâne dolichocéphal) et son "draufgängertum", il est le modèle à suivre.

Ainsi, nous suivons cet enfant, endoctriné dès sa naissance, sinon avant. Non pas orphelin, puisque sa mère est l'Allemagne et son père le Fürher. Il est fier de ce qu'il est et on le lui rend bien. Il n'hésite pas à dénoncer les traîtres à sa patrie, collabore du mieux qu'il peut, se donne à fond dans toutes les missions qu'on lui octroie. Il déteste les Juifs et les Tsiganes, comme on le lui a bien appris. À priori, il n'est pas un personnage très attachant, et pourtant je n'ai pas aimé le détester. Mais il évolue, petit à petit, jusqu'à penser quelque peu par lui-même et se poser des questions. Sa relation avec Lukas y sera pour beaucoup et lui ouvrira les yeux... Je n'en dirai pas plus, à vous de le découvrir.

Nous sommes bien évidemment dans une fiction, mais la dimension historique est si bien fournie qu'on pourrait se croire dans une histoire vraie. J'y ai cru en tout cas, j'y étais parmi ces gamins endoctrinés. J'ai suivi leur éducation, emplie de propagande et de haine envers les Juifs. C'est affolant mais je n'ai pas voulu en perdre une miette, d'autant qu'au fur et à mesure que l'Allemagne nazie s'affaiblit, un autre aspect de l'histoire finit par prendre le dessus : le relationnel et l'humain.

La narration étant à la première personne, nous vivons les événements en direct. Nous sommes dans la tête de Max, au plus près de sa conscience et de son état d'esprit. Nous grandissons avec lui, doutons avec lui. On finit par s'en sentir très proche, d'autant que nous l'accompagnons depuis qu'il est dans le ventre de sa génitrice (sa mère pourrait-on dire mais il n'en a plus de souvenirs). Avec lui, on assiste à certaines horreurs dont ont été capables les nazis.

Je n'ai rien appris de plus que ce que je savais déjà, pourtant ce roman est foisonnant de détails historiques. Encore une fois, les mêmes interrogations demeurent : Comment peut-on devenir à ce point inhumain et perpétrer de telles atrocités à ses semblables ? Comment peut-on devenir à ce point haineux et cruel ? Comment a-t-il réussi à ce qu'autant de gens le suivent ? [Mais aussi pourquoi décréter blond aux yeux bleus, grand et élancé comme critères de la race supérieure quand on est soi-même petit aux cheveux et yeux foncés ? Rien qu'avec ses propres caractéristiques, qui ne répond en rien aux critères, comment a-t-il fait pour se rendre crédible ? S'il avait suivi ses propres principes, c'est dans un camp qu'il aurait dû finir...]

"Max" est un livre que je voulais lire depuis longtemps, qui m'attendait bien sagement sur une étagère depuis aussi longtemps, j'ai enfin sauté le pas et je ne regrette qu'une chose, comme bien souvent, c'est de ne pas l'avoir ouvert plus tôt. C'est un roman enrichissant, abouti, très bien documenté, original par le choix de son point de vue (celui d'un enfant né nazi), mais aussi captivant et saisissant, qui ne laisse pas indifférent. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le programme Lebensborn, les Jeunesses hitlériennes et la germanisation, je vous le conseille fortement.

J'ai cru comprendre qu'il avait été maintes fois récompensé, et c'est amplement mérité.

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Commentaire ajouté par Nooemie 2024-01-08T09:01:58+01:00
Max

Des années que ce livre est dans ma PAL, et il m’aura fallu une lecture commune sur ce forum pour enfin le sortir !! Et j’en suis bien contente !

Nous sommes en Allemagne pendant la 2nde guerre mondiale et le pays a décidé de mettre en place la naissance des enfants aryens, les Lebensborn. Ces enfants vont naître dans le plus grand des secrets. On suit Max / Konrad depuis sa conception (oui, oui il a déjà la faculté de penser, de parler dans le ventre de sa mère). Mais, vous comprenez, c’est un enfant un peu prodige. Il va être le premier à naître de ce programme et qui plus est, le jour de l’anniversaire du Führer ! Et il en est fier.

Matrixé dès son plus jeune âge par le nazisme, il aura à coeur de se tenir aux règles édictées par le Führer. Mais Max reste un enfant et il peut parfois manquer de discernement car il voit avec ses yeux d’enfant justement. Il y a des moments assez particuliers, comme celui où Max va dénoncer aux SS, des mères qui veulent récupérer leurs enfants avant qu’ils ne montent dans les trains. Mais Max ne les dénonce pas pour la raison que l’on imagine, il les dénonce car pour lui, retourner avec leur mère, signifie vivre dans la pauvreté, la misère, la faim … Il pense que la vie sera meilleure pour eux, s’ils prennent le train. Et puis, comme on lui dit qu’on est fier de lui, alors il se dit qu’il a bien agi et prend cela un peu pour une espèce de jeu dont il finit immanquablement par se lasser !

Ensuite, il grandit, va à l’école, mais une école un peu particulière car on y envoie les polonais pour qu’ils apprennent à devenir de bons petits allemands et Max doit leur montrer l’exemple. Alors il le fait, sans réfléchir, car pour lui, c’est une fierté d’être allemand.

Par la suite, il va faire des rencontres qui vont un peu lui bouleverser sa vie et sa vision des choses. Il va évoluer, réfléchir différemment, il va douter de lui-même et de toutes ces valeurs ancrées en lui. J’ai eu ma petite larme sur la fin à plusieurs reprises. Ce livre était très dur par moments mais également bouleversant. Il est vraiment très bien écrit, on ressent les multiples recherches qu’a pu faire Sarah Cohen-Scali.

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Commentaire ajouté par Azrhyca 2024-01-17T19:04:55+01:00
Max

J'avais déjà entendu parler de ces programmes de naissance mais jamais de ce livre. Bien contente de l'avoir lu.

L'écriture du point de vu d'un enfant, qui grandit dans ce milieu et donc le cheminement de sa pensé, son évolution, ses décisions, tout ça est vraiment très réussi. C'est assez rare de lire un livre sur cette époque dans lequel le protagoniste est "nazi", un peu dérangeant aussi, je doit avouer. Très intéressant de voir comment les jeunes étaient endoctrinés, comment certains comportements étaient encouragés et comment d'autres étaient punis.

Le jeune Max évolue dans ce monde et, malgré tout, développe sa capacité de raisonnement et fini par douter, remettre en question tout ce qu'il connaît.

Très bonne lecture, je recommande à tout ceux que l'époque intéresse.

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Commentaire ajouté par sophie22 2024-01-29T00:56:28+01:00
Max

J'avais des attentes et j'ai été un peu déçue. Je l'ai trouvé long. Beaucoup de descriptions, trop en fait à mon goût. Les propos de Max sont souvent venus heurter mes valeurs, ce qui est normal dans le contexte su livre, mais je n'ai pas réussi à m'attacher ai personnage, sauf à la fin, après l'incident qui le bouscule. Au moment où il m'a semblé devenir humain quoi.

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Commentaire ajouté par Hanayu 2024-01-30T23:58:17+01:00
Max

Chapitres 1 à 4

Terriblement grinçant...dès les premiers mots.

Est-il possible d'être embrigadé par un courant de pensée, avant même sa propre naissance, avant même sa propre conception ?! Si l'on en croit le "Petit Empereur" la réponse est oui.

Et vu le gourou choisi c'est d'autant plus affolant : le "Führer" himself.

Naître précisément à la même date que l'instigateur de ce "Heim" (en grand fanatique de la race aryenne) va être le premier accomplissement de Max. Ses réussites suivantes me font trembler par sombre anticipation. Son absence d'empathie, d'entrée, à l'état de nouveau-né est inquiétante.

Si je connaissais l'existence des "Fermes à bébé", naïvement je n'en avais retenu que le projet consenti très carré (et déjà bien abherrant)...les différentes versions des "mères porteuses" m'ont scié.

Chapitres 5 à 8

Très franchement je suis fort impressionnée par les recherches qu'a fait l'auteure. Et la façon pédagogique, très bien amenée, qu'elle a de partager ses connaissances. Par le biais de K.K on a ainsi tout le déroulé de l'endoctrinement programmée de la jeunesse hitlérienne. Non pas qu'il en ait déjà l'âge mais parce que c'est le but qu'il souhaite atteindre : rejoindre les rangs !

Les "codes" nous hérissent d'effroi.

Sous couvert de fiction c'est un documentaire que l'on lit. Le chapitre 8 est assez perturbant car crédible concernant la réalité des "détenues" et de ce qui découle de leurs traumatismes.

Chapitres 9 et 10

Excursion éclair dans le côté cobaye qu'ont eu certains nourrissons.

Si Max nous l'avait évoqué précédemment...c'est forcément plus détaillé quand il le subit lui-même !

Ensuite l'ellipse temporelle, si elle m'a surprise, est toutefois de bon aloi ! On ne va pas rester dans les langes pendant tout le roman.^^

La deuxième partie m'intrigue donc grandement !

Chapitres 11 à 15

J'avoue que plus j'avance dans le roman, plus je le dévore. Mais en mode "lapin en plein phare". (Étourdie par ma propre naïveté concernant les rapts en série d'enfants "nordiques".) C'est assez fou car il y a plein d'informations que l'on connaît, mais dont on n'a jamais pris le temps de les creuser. Les procédés employés, le rôle qu'a pu avoir un (ou plusieurs) "Konrad" dans tout ça, nous assomment littéralement.

La privation de "pensée libre" est une arme qui serre la gorge et le cœur. Malgré quelques soubresauts (d'interrogation interne légitime), la loyauté de "Klein Kaiser" reste toujours solide comme le roc. C'est donc très dur à digérer. Hitler s'y est entendu pour créer de très jeunes monstres à gueule d'anges.

Chapitres 16 et 17

À force de voir l'horreur en restant aux côtés de Max (tout en faisant fi de l'ampleur qu'elle a en la jetant sous le tapis), on oublie en partie à quel point la folie est partout dans cet endoctrinement.

Le PAN m'a statufié. Comme notre protagoniste je ne m'y attendais pas.

Je l'annonce : ma lecture suivante sera moins sérieuse. Car là je me sens de plus en plus nauséeuse.

Chapitres 22 et 23

Le ver est dans le fruit.

Bien malgré lui, le cerveau de Konrad est de plus en plus en ébullition. Ses convictions vascillent. Ses neurones enfin connectés ont bien du mal à le conserver vaillant. Il se met "à la place de", ce qui réveille une empathie jusque là absente chez lui. Sonnant le Glas de son aveuglement.

Le "savon" est un coup de tonnerre qui nous vrille l'entendement.

Chapitre 24

Oh Pu.... ! Oo

Disons qu'en temps de guerre, tous les coups sont permis.

Ce qui est terrible dans cette lecture c'est que (même sans être revanchard) on en arrive à voir des actions (réellement abominables) comme un juste retour des choses.

Chapitres 25 à 29

Comme on suit, bien évidemment, la chronologie historique..cela commence à sentir le sapin en dehors des murs de la Napola.

Même en ayant foi dans le père de la nation, des signes alarmants ne trompent pas. (Professeurs et élèves envoyés en front qui ne reviennent pas, denrées qui se tarissent, hystérie de certains surveillants.)

Lukas fidèle à lui-même déterre des secrets qui l'épouvantent...le laissant exsangue.

Le sort des Juifs était bien camouflé sous le régime hitlérien. Seuls les initiés savaient...autant dire que le découvrir restera toujours glaçant.

J'attaque à présent la quatrième partie, la dernière.

Je serre les dents d'avance.

Chapitres 30 à 33

Où Konrad s'aperçoit qu'à la Napola il était protégé d'une réalité extérieure de plus en plus troublée (1945 se profile)...où les nuits des "Ivan" sont ce que l'on sait (des orgies à vomir)...et où la révélation du chapitre 33 ne m'a nullement surprise (j'en étais sûre) mais m'a fait mal tout de même.

Chapitres 34 à 38 FIN

Comme prévu...pas de Happy-end. L'injustice de dernière minute est un crève-cœur.

Je vais rester marquée par cet ouvrage. Et si je ne suis pas certaine de le relire, je vais par contre le faire tourner.

Il mets en lumière les zones d'ombres de la seconde guerre mondiale.

Et ce qui est bien moche (le mot est faible) ne doit pas pour autant être oublié.

Une lecture uppercut qui est un mal nécessaire.

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Commentaire ajouté par vanitalia 2024-02-05T20:06:31+01:00
Max

Je découvre l'autrice avec ce roman, qui est surprenant. Max baptisé Konrad von Kebnersol, premier bébé du programme "Lebensborn" endoctriné dès le berceau, est convaincu de la supériorité de la race aryenne, et qui pourrait lui en vouloir, l'esprit des enfants étant si malléable. Max au court des pages nous raconte les neufs premières années de sa vie, sa fierté, ses doutes .... Ce personnage que l'on devrait haïr est plutôt touchant et l'on en vient à l'apprécier, enfin ce fut mon cas. Un très agréable moment de lecture.

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Commentaire ajouté par ninzaaa 2024-02-24T20:49:31+01:00
Max

Ce livre a été rapide à liren dérangeant mais je ne voulais pas le relacher.

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Arthur Rimbaud, le voleur de feu

J’ai eu ce livre à lire par ma prof de français, personnellement je n’ai pas adoré mais il était pas mal. Si vous voulez le lire pour tester mais que habituellement vous ne lisez pas ce type de livre, je ne vous conseille pas trop de le lire. Vous n’allez pas adorer ( sauf si vous aimez Arthur Rimbaud !)

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Editeurs

Casterman : 6 livres

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Flammarion : 4 livres

Magnard jeunesse : 3 livres

Hachette Jeunesse : 3 livres

Gallimard Jeunesse : 3 livres

Casterman Jeunesse : 2 livres

Le Livre de Poche Jeunesse : 2 livres

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