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Sébastien Hoët

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Note moyenne : 8.45/10
Nombre d'évaluations : 11

0 Citations 12 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Sébastien Hoët

Sortie France/Français : 2015-08-31

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Colombe-de-lesperance 2015-08-31T19:53:40+02:00
La contre-heure

"En conclusion, c’est une lecture déception pour moi, même si j’avoue voir maintenant des facettes que je n’avais pas trouvées durant ma lecture. Gilles est un personnage qui saura vous faire réagir – en bien ou en mal – et réfléchir, tout en vous apportant une critique de la société avec un humour qui n’est peut-être pas forcément accessible à tous. Ceci dit, je pense que c’est un bouquin qui pourra trouver son public, d’autant que la plume est mûre et qu’on sent le style particulier de son auteur, ce qui est sans conteste une richesse.

En revanche, le contenu ne m’aura pas emballée. Ce sera un 12/20 pour moi !"

Chronique entière ici :

http://leden-des-reves.blogspot.fr/2015/08/la-contre-heure-sebastien-hoet.html

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Commentaire ajouté par myriam667 2015-09-10T10:06:15+02:00
La contre-heure

Bonne surprise de cette rentrée s’agissant « premiers romans », La Contre-heure révèle un écrivain déjà mûr, tant par le style que par la personnalité littéraire. Si Sébastien Hoët s’autorise d’ailleurs plusieurs charges aussi virulentes que jubilatoires contre certains littérateurs contemporains, avalisons le fait qu’il peut largement se le permettre, une seule de ses pages où l’écriture est toujours fine, ciselée, nerveuse, corrosive, renvoyant à son énigmatique nullité toute l’« œuvre » d’une Christine Angot, par exemple, dont la démence égolâtre, la vacuité agressive et illuminée, ravagent actuellement l’entièreté du panorama… Bref, passons. Gilles (hommage à Drieu ?), professeur de philosophie dans un lycée de Lille, il promène son regard cocasse et cruel, amer et cinglant, sur ce qui l’entoure : collègues ou élèves, enfants, jeunes ou vieux, productions culturelles diverses, et plus généralement tout ce qui constitue l’esprit d’une époque qui, sans doute, s’illustrera dans l’Histoire pour l’ampleur inédite de sa médiocrité satisfaite. Excellent satiriste, Hoët ne rate jamais une cible ; cette attaque du groupe The Kills, par exemple, est savoureuse : « Une lycéenne énervée, hurlant dans un micro, cachée sous ses cheveux, avec un vieux skater vendeur de fruits et légumes qui faisait ding-ding sur une guitare électrique mal branchée, et on s’extasiait là-dessus. » Le masque de Gilles, séducteur désabusé, homme d’esprit braqué contre son temps, aussi dédaigneux qu’étiolé, se figerait également aisément dans la grimace, n’étaient deux êtres qui viennent insidieusement le bouleverser. D’abord une lycéenne, suicidée en se jetant dans la cour depuis le troisième étage le jour de la rentrée, dont il semble d’abord ignorer le drame mais qui hante le livre en entrecoupant l’histoire du ressassement de ses derniers instants. Ensuite, Esther, collègue d’anglais dont Gilles s’éprend tout en méprisant son milieu bobo, prévisible et inculte. Sauf qu’Esther se révélera plus fine que Gilles ne l’imaginait, et lui servira ses quatre vérités. Si l’on peut trouver un peu faible les scènes de la jeune suicidée et insuffisamment développée la progression et les interactions entre les personnages, ce premier roman n’en constitue pas moins une réussite remarquable, qui tranche avec éclat sur la fadeur ambiante.

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Commentaire ajouté par rattattrac 2015-09-10T10:11:07+02:00
La contre-heure

Armé d'une intrigue aussi simple qu'efficace et sous des airs faussement tranquilles, Sébastien Hoët se paie la médiocrité ambiante et les idoles de l'époque à travers les états d'âme de Gilles, un professeur de philosophie à la dérive, mécontent de tous et mécontent de lui – antihéros désabusé se débattant péniblement dans les couloirs de l'Éducation Nationale.

Dans la région de Lille, en arrivant au lycée, Gilles apprend que Victoire, une élève de première, s'est suicidée en se jetant du troisième étage de l'établissement. Dans la salle des profs, on découvre un homme dans un décalage intellectuel évident, tâchant tant bien que mal de faire bonne figure, moins ouvertement offensif qu'en phase de saturation intérieure. Autour de lui : Arsène, un type bavard dont Gilles semble tolérer la compagnie, et Esther, une jeune femme remarquablement bobo, mais dont le charme ne laisse pas indifférent. Une invitation pour assister à l'adaptation d'une pièce ouvrira les hostilités, avec notamment la description d'un microcosme théâtreux débordant de nullité.

Entre deux cuites où Gilles laisse éclater son mépris pour les productions actuelles, un nouveau drame semble prendre forme de façon nébuleuse. Une chose est sûre, trop jeune pour appartenir à la vieille garde des enseignants, Gilles se reconnaît encore moins dans la nouvelle génération. C'est aussi l'occasion d'une peinture au vitriol d'élèves toujours plus incultes et végétatifs, avec leurs variantes, leurs particularités, leurs exceptions et leur génie abyssal parfois. Dans un équilibre fiévreux, le professeur dresse alors un état des lieux, tente d'envisager une suite, la possibilité d'une cohabitation pacifique avec son environnement direct, mais le vertige s'accentue. En écho, Victoire répète ses derniers instants.

Au-delà du lycée, si l'auteur tire dans le tas, rien de gratuit dans les portraits sévères dressés tout au long du livre : figures emblématiques ou imposées du monde culturel, médiatique et académique tel qu'il domine de façon quasi exclusive depuis des années, malgré une perte de crédibilité exponentielle et quelques plombs dans l'aile depuis peu. Son approche est assez bien sentie, flirtant avec le burlesque parfois, n'épargnant pas non plus son antihéros dont il trace d'emblée les limites et les contradictions en le confrontant notamment au ridicule de la pose – autre fléau d'actualité – ce qui participe d'ailleurs à rendre Gilles plutôt attachant.

Avec ses petites humiliations et dans une lassitude sous tension, l'année scolaire va ainsi s'écouler, les dents serrées, à deux doigts du naufrage ou de l'explosion. D'un bout à l'autre, la voix spectrale de Victoire se fera entendre, rejouant son ascension fatale dans une étrange symétrie avec l'errance de Gilles embarrassé par son enveloppe charnelle, ses désirs, son passé, sa quête de sens et ses références. Bref, sans complaisance pour son temps, avec humour et intelligence, déployant un éventail d'images percutantes, ce premier roman tranche avec un éclat certain.

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Commentaire ajouté par lestiennepignon 2015-09-10T10:15:44+02:00
La contre-heure

Une histoire de prof de philosophie, un sujet que connait bien l'auteur, qui est justement professeur de philosophie ! Brillant, cet enseignant, comme beaucoup d'autres subit un certain mal de vivre dans notre période actuelle, marquée par une envahissante médiocrité ambiante.

D'autant plus que cette nouvelle rentrée scolaire est marquée par Victoire, une élève de première qui a sauté du troisième étage du lycée où enseigne Gilles, personnage central de ce roman.

"Il faisait beau pourtant." C'est la première phrase de ce premier roman réussi. Très vite, l'auteur nous donne le ton, faisant surgir le portrait de cet enseignant pleinement conscient du décrochage d'une grande partie de ses élèves, et surtout maniant un humour corrosif.

Avec un acharnement tout à fait plaisant, Gilles passe en revue les diverses tares bien ancrées dans notre société actuelle. Pour lui, la débâcle est généralisée, et ce n'est pas nous qui dirons le contraire. Gilles nous parle avec un certain réalisme, parfois un peu désespéré, de notre société de consommation ou les apparences dominent, où le paraître a remplacé l'être, ou le manque de culture s'étale chez les élèves, reflet de la nullité crasse des médias. Un beau personnage ce Gilles, conscient, lucide, sensible, trop sensible (?) qui le rend différent, avec une dose de souffrance. Ce qui entraine des rapports pas vraiment simples entre Gilles et les femmes. Et pourtant une jeune femme aux yeux verts pourrait...

Sébastien Hoët, né à Lille, nous offre donc un premier roman réussi, bien dans l'air du temps, dans le bon sens du terme. Cet enseignant en philosophie n'en est pas à sa première publication, puisqu'il est déjà l'auteur de recueils de poésie, notamment chez L'harmattan, ce qui est une bonne référence. Il contribue également à l'excellente revue cinéphile Tausend Augen où il a supervisé un dossier sur l'un de nos cinéastes favoris, David Lynch. La contre-heure donne d'ailleurs l'envie de découvrir ses autres écrits.

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Commentaire ajouté par loradelaune 2015-09-10T10:21:47+02:00
La contre-heure

J'ai du mal à identifier mes sentiments à l'issue de ce roman, sinon que j'en ressors avec une sorte de mélancolie. La satire est féroce, toujours contrebalancée par des valeurs positives fortes. Face aux pseudo-écrivain(e)s qui sont démonté(e)s à coups de plume aiguisée sont opposés des plumes réelles, qui sont nombreuses et citées avec joie, cela va de Malcolm Lowry à Guy Viarre, de Djuna Barnes à Joyce Mansour, etc. Il en est de même pour les personnages, dont la médiocrité est reprise au sein de la thématique plus large de la déliquescence d'un monde qui pourtant a les armes pour vivre pleinement la vie. Que se passe-t-il donc ? La contre-heure peut-être. L'heure où il faut se retirer du plein jour et méditer, parce que tout est comme sorti de sa place. Le fabuleux tour des diverses situations sociales rend cependant justice au désir d'une vie continuée, bien que flotte l'ombre de Victoire. Victoire, la morte partie dès la première page, soeur secrète et mystique de Gilles, dit qu'il faut continuer à vivre. A la mélancolie du roman s'ajoute alors, non une résignation, mais une sorte de courage têtu. Un roman clair, littérairement et humainement, que je recommande vivement à tout bon lecteur.

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Commentaire ajouté par Mangepoing 2015-09-10T10:25:52+02:00
La contre-heure

Ce roman, dont le personnage principal se prénomme Gilles - et dont l'auteur se distingue nettement - établit une sorte d'arc temporel entre les années 30 - et le Gilles de Drieu la Rochelle - et notre temps de houellebecquisme triomphant. L'auteur réussit le tour de force consistant à détruire la médiocrité ânonnante ambiante tout en renversant le négativisme du surface en éthique de premier ordre. Tour de force aussi que d'écrire un roman formellement hors normes, incluant de la plus pure poésie en même temps qu'une satire des plus bernhardiennes. Hoët apparaît ici comme l'antidote à une époque dominée par le symptomatique et déliquescent Houellebecq dont la poésie de mirliton épouse docilement un niveau analytique situé quelque part entre les fiches Wikipédia qu'il pompe et un Zemmour qu'il bégaie. Il faut absolument lire cette Contre-heure, un opus d'une maturité et d'une lucidité sereines que les lecteurs peu préparés, amateurs de Houellebecq et de Nothomb, ne peuvent que honnir. Enfin une œuvre, non pas un simple livre, et une œuvre cinglante, émouvante, précise.

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Commentaire ajouté par passionlectriceamateur 2015-09-10T10:34:57+02:00
La contre-heure

Gilles, un personnage nocturne et lumineux, passe au peigne fin les fausse valeurs contemporaines, les inconsistances idéologiques du moment, les simulacres d'existence et rencontre une morale dure et haute qui sauve tout de même ce qu'une époque a de plus vivant et émouvant : l'enfance, l'amour, l'authenticité de certains êtres.

Citation : « Gilles écrivait aussi, pas seulement de la poésie. Des proses. Un exercice, un entraînement de haut vol. Il retirait de ces pages écrites tard dans la nuit une plus grande sensibilité aux autres, à lui-même comme être humain, il voyait mieux, il écoutait mieux, il goûtait mieux, dans la surprise d'une langue qui semblait tout comprendre. Après, le monde brillait davantage… » (p. 71).

Livre vital, dont on ressort plus fort, plus lucide, mieux armé.

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Commentaire ajouté par cieldorage 2015-09-10T11:13:18+02:00
La contre-heure

Et je m'attendais à un roman très axé sur le milieu scolaire, le lycée, mais cet univers est vraiment uniquement la trame de fond, le décor.

Parce qu'à la lecture des différents résumés que j'avais pu lire, je pensais vraiment que ce roman tournait autour du lycée, du suicide de la jeune Camille, et du quotidien de prof de Gilles. Je m'attendais vraiment à un roman un peu comme Entre les murs, de François Bégaudeau.

Au final, c'est plus la vie 'côté' personnelle de Gilles qui est mise en avant au fil des pages, avec certes des passages avec ses collègues, les profs, avec des instantanés sur l'(in)culture des élèves, avec ses rapports un peu particuliers avec les femmes.

Le sujet principal est vraiment le style blasé de Gilles, le personnage central vraiment anti-héros avec sa personnalité qui en veut à la terre entière, et qui part parfois le soir dans des délires très bizarres...

Certains passages sont assez drôles, avec des clins d'oeil (Je cite : Comment pouvait-on publier un"livre" intitulé Les moineaux de Versailles roucoulent le dimanche soir ? Et ça se vendait par pelleteuses dans le monde entier...), d'autres vraiment très crus (les amatrices et amateurs de Cinquante nuances de Grey auront quelques paragraphes rien que pour eux)...

La jeune Camille suicidaire revient ponctuer régulièrement le récit, avec des chapitres en rupture avec les autres, ce qui casse bien le rythme du livre pour lui donner un petit côté original en mode flash-back. Comme des explications pour justifier son geste.

L'auteur a écrit des recueils de poèmes, et je trouve qu'on le ressent bien dans certains des chapitres de ce livre. On sent vraiment la touche du poète, l'amoureux des mots. Il y a des phrases très longues, d'autres très courtes. Il y a du rythme. Il y a des métaphores, des allusions, des références, que je n'ai sans doute pas toutes saisies.

Petit détail, il faut attendre la page 173 pour avoir la signification du titre, La contre-heure, en mode explication de texte.

C'est un premier roman surprenant, qui nous apporte des choses que l'on n'attendait pas forcément. Avec un style agréable à lire, des beaux mots, de jolies tournures. Et auquel personne ne restera indifférent. Je pense que selon l'état d'esprit dans lequel on se trouve quand on lit ce livre, on peut le percevoir de différentes façons. Une chose est sûre en tout cas, il a un vrai style et des personnages plus qu'originaux.

Merci aux Editions Kero pour l'envoi de ce roman !

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Commentaire ajouté par sariahlit 2015-09-25T18:07:59+02:00
La contre-heure

J'attendais beaucoup de ce livre au vu des nombreux avis plutôt élogieux écrits dessus que j'ai pu parcourir. Et le résumé proposé sur la quatrième de couverture m'a tout de suite intriguée pour me donner envie de le lire. Une histoire qui semblait au premier abord nous mettre en avant le suicide d'une jeune femme et d'un professeur. Pourtant, il n'en est rien. Et c'est là que le bât blesse : ce livre ne correspond pas du tout à ce qu'il nous laisse entrevoir.

Avis complet : http://sariahlit.blogspot.fr/2015/09/la-contre-heure.html

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Commentaire ajouté par marine_livraddict 2015-10-05T18:16:47+02:00
La contre-heure

Merci à Babelio et aux Éditions Kéro pour ce livre.

Je ne vais pas mentir. Je n'ai pas aimé ce livre. Tellement que j'allais à reculons pour le lire. Une page par-ci, une page par-là (alors que le livre ne fait qu'environ 200 pages et que ça aurait dû être lu vite.)

Le résumé était plutôt accrocheur, intriguant. Et pourtant, j'ai eu l'impression d'avoir été bernée. En effet, dans le résumé, on parle de Victoire, une lycéenne s'étant défenestrée. Je pensais que ça allait tourner autour de ce tragique événement. Eh bien, non. Pas du tout. Tout ne tournait qu'autour de Gilles, personnage que l'on suit tout du long. Victoire n'a été cité brièvement dans le roman que 4 fois!

Giles ne m'a pas plu. Je serais incapable d'exprimer ce que je pense de ce personnage. En tout cas, il ne cesse de critiquer, de décrypter la société, l'Education Nationale, la littérature, ses collègues de travail, les femmes...

Les seuls moments que j'ai apprécié dans le livre, ce sont les petits chapitres en deux ou trois pages, qui étaient éloignés de la trame principale, où j'y ai vu une certaine beauté, une certaine poésie, où j'ai pu réfléchir aux passages écrits.

Je n'ai pas accroché au style de l'auteur. C'est très spécial. On adhère ou non. Pour ma part, ça ne l'a pas fait. Peut-être que le côté très réfléchi, philosophique a fait que je n'ai pas pu m'imprégner du texte. Il y a très peu de dialogue, voir quasiment pas. Certaines choses m'ont choqué mais je n'en dirais pas plus. ça partait trop dans tous les sens, j'avais l'impression que c'était décousu, sans queue ni tête, je ne voyais pas où voulait en venir l'auteur en fait.

Il arrive qu'on ne peut accrocher à un livre, c'est normal. On ne peut pas tout aimer et heureusement!

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