Shūzō Ōshimi

Il se passe beaucoup de chose dans ce tome sur ce onde, ce qui se passe ainsi que les problèmes. Vers la fin du tome, on voit que beaucoup de temps sont passer. A voir ce qui est arriver à Makoto, Nora et Yuki après ce qui est arriver dans ce futur.

J'ai énormément aimer cette fin, elle se finit bien pour tout le monde sauf pour Yuki mais au moins il rejoint Nae. Chacun à vécu de nombreuses années et sont mort de vieillesse heureux. C'est une très bonne fin pour les proches humain de Makoto car ils on fait leurs vie, leurs familles et ils meurent heureux et Makoto n'est pas seul.

Ce fut une très belle découverte ! J'ai adoré !

ça m'étonne pas que les notes ne soient pas friandes parce que si o n'a pas lu la 4e de couverture, on peut ne pas forcément apprécié l'histoire.

Pour ma part, j'ai adoré les interactions qu'il y avait entre les trois, je ne saurais même pas dire si Kei a des sentiments pour le héros, j'aurais pensé que oui mais c'est difficile de savori ce qu'il pense.

Le héros correspond au prototype du garçon timide qui n'a pas trop confiance en soi, il m'a touché à sa manière et j'aime énormément la relation qu'il pourra entretenir avec Kei dans le futur.

Tellement de possibilités s'engage à travers cette histoire, j'ai très hâte d'en savoir plus.

Une fois de plus, Shuzo Oshimi nous entraîne dans un tourbillon aussi malsain que prenant. Le sujet du genre est original et la postface du tome 1 nous fait découvrir un peu plus les malaises de l'auteur.

J'aime cet auteur, son coup de crayon réaliste, le peu de dialogues, la malaise qu'il arrive à instaurer dans ses histoires, malsaines et dérangeantes. C'est toujours avec une boule au ventre que j'ouvre un de ses titres, et une sensation de j'en veux plus quand je les referme. Et Welcome Back Alice n'échappe pas à la règle.

J'ai hâte de lire la suite.

Perturbant, passionnant, malaisant, voilà ce qu'on peut dire de ce nouveau tome.

Les interrogations de Yohei sur ses sentiments mettent au moins autant mal à l'aise que le comportement de Kei, qui n'hésite pas à rentrer dans le lard de son ami d'enfance.

Dans la postface, l'auteur semble se libérer de ses pensées et de ses secrets, c'est touchant et ça renforce l'attachement que j'ai envers cet auteur particulier qui met toujours brillamment en scène des histoires sombres et glauques.

Au bout de 2 tomes, j'adore déjà et j'ai trop hâte de lire la suite.

Un premier tome qui met du temps à démarrer mais qui évolue vers une fin renversante… Le quotidien banal de cette famille ne laisse pas vraiment un sentiment d'étrange à vrai dire si bien que l’inattendu de cette scène finale a sonné comme le commencement de quelque chose de plus sombre. Très envie de lire la suite !

Une suite très perturbante, le malaise grandit au fil des pages jusqu’à cette scène finale où on tombe franchement dans la perversion. À suivre…

Ce troisième tome est une véritable montée en escalade vers la folie et le malaise est si grandissant que la lecture se fait plus difficile et même embarrassante au fil des pages. À ce stade on pourrait même parler de psychopathie. Et bien sûr, à la hauteur des précédents tomes, la scène finale est tout aussi inattendue et choquante.

L'idée de base est intéressante. J'aime le fait que Kei dise que ce n'est pas parce qu'il a arrêté d'être une garçon qu'il doit être une fille.

Et ça s'arrête là...

Pourquoi ça doit tourner comme ça? Pourquoi dès les premières pages on doit voir un gars se masturber? Pourquoi Kei doit embrasser ses deux amis d'enfance l'un après l'autre dans la même pièce et après demander à Yôhei "alors tu bandes?" ? Pourquoi?! Pourquoi insister auprès de Yôhei en lui demandant s'il se masturbe toujours en pensant à Mitani?

Le malaise est présent... Ca pouvait être intéressant sans qu'il y ait autant de tension sexuelle...

Je suis déçue

Quel malaise ce sixième tome ! Le jeu malsain de manipulation instauré par la mère se fait évident, s’en est glaçant et la dépendance du fils est terrifiante. Le dessin est remarquable, la déformation des visages sous le coup de la folie ou du désespoir est à couper le souffle. Je poursuis la lecture avec une certaine appréhension me demandant jusqu’où ira le sadisme du personnage…