Suzanne Fisher Staples

Un livre que j'avais lu il y a quelques années et en le revoyant à la bibliothèque je n'ai pas hésité.

Livre à la fois accessible et agréable à lire, il nous plonge en Inde aux côté de Parvati, une jeune fille ayant appris à danser avant de savoir courir ou même marcher, dit-on dans ce roman.

La danse orientale est le thème central mais autour de lui gravite d'autres thèmes comme le rejet ou les traditions, ce qui rend l'ensemble très bien.

Un livre accessible qui peut être lu par tous, je pense.

Cependant les thèmes de cette histoire la rendent encore mieux. Puisqu'elle se déroule dans un pays que l'on connaît tous pour différentes raisons et qu'on apprend à mieux connaître.

Dans ce roman, on découvre la vie de deux femmes, bien différentes mais semblables. L'une est une jeune fille afghane, l'autre est une étrangère ayant "adopté" le pays.

C'est une histoire intéressante que je conseille à tous.

Un bon livre que l'on m'avait conseillé comme étant un livre super intéressant, je n'irai pas jusque là.

La suite de "Shabanu. J'ai un peu plus aimé car il se passe plus de chose et plus rapidement.

J'ai lu ce livre il y a déjà plusieurs années, et il ne m'avait pas laissé un grand souvenir. Mais j'ai aimé lire un livre sur la danse.

Un livre que j'ai lu après ma maman il y a longtemps mais je ne me souviens plus vraiment ce que j'en ai pensé. Le parallèle entre les deux femmes était intéressant.

Le résumé m'avait vendu une belle histoire sur le bharata natyam, avec les différentes étapes pour devenir une devadasi (une servante de dieu, danseuse du temple), mais tout ce qui est décrit dans le résumé n'arrive qu'à la fin. LE FEU DE SHIVA avait donc pour moi beaucoup de potentiel.

Tout ne commence pas avec Parvati mais avec sa mère Minakshi, jeune femme vivant dans le village fictif d'Anandanagar. Elle s'apprête à fêter l'anniversaire du maharaja quand trois événements importants bouleversent son quotidien: Parvati naît et au même moment son mari est tué par un cyclone frappe l'état du Nandipuram. Les quelques villageois qui y ont survécu se réfugient sur la colline devant le palais du raja et doivent subirent la faim, la pluie incessante mais aussi la mort. Mais tout est plus dur pour Parvati et Minakshi qui font aussi face à la haine des survivants qui pensent que la cause de leur malheur a une seule origine: la naissance de Parvati.

Pendant les 100 premières pages Parvati grandit à l'écart des autres, surtout à cause des différents miracles qui arrivent en sa présence. Sa seule source de bonheur et de danser comme le Shiva Natarajah que sont père avait sculpté.

Finalement elle arrive à intégrer un des prestigieux gurukulam de Madras où elle passera de longs mois à apprendre le tamoul et le placement du corps. Mais j'ai trouvé cette partie très peu développé, on survole vraiment son apprentissage qui, évidemment, s'achève bien plus rapidement que celui des autres élèves. C'était quelque chose que j'avais beaucoup aimé découvrir dans A TIME TO DANCE.

Et quant à la "rencontre avec un garçon exceptionnel va faire basculer sa vie" (citation du résumé), cela n'arrive que dans les dernières pages du livres. Alors c'était certes touchant et mignon mais pas aussi bouleversant que je l'aurais cru...Spoiler(cliquez pour révéler)surtout que je m'attendais à ce que ce soit Rama et qu'il ait lui aussi des pouvoirs.

Avant de pouvoir parler de la fin il faut s'intéresser à la plume de l'auteur: elle est vraiment poétique et légère même alors que Parvati se retrouvent dans des situations difficiles. C'était exactement ce qui fallait à cette histoire, surtout pour se plonger dedans et accepter la magie qui entoure la vie de Parvati. Ça ne m'aurait donc pas dérangée que le livre se finisse sans qu'on n'en sache plus sur ses pouvoirs mais que l'auteure décide d'écrire toutes ses questions deux-trois pages avant la fin sans y répondre...J'ai trouvé ça très frustrant. Tout comme les nombreux problèmes qu'elle amène et qui sont en partie résolues, Spoiler(cliquez pour révéler)son destin qui se retrouve bouleversé pendant quelques jours/heures, si elle a vu Nalini., deviennent au final assez inutiles.

Pour autant j'ai trouvé que c'était une lecture agréable, et si on se détache de ce que vendait le résumé ça reste un très bon livre. Et le glossaire à la fin permet d'apprécier d'autant plus les éléments qu'on y peut retrouver.

Je dois dire que je n'ai gardé aucun souvenir de ce roman...

Cette histoire lu à l'école m'avait marqué, car entre traditions et thématiques sous-jacentes (discrimination, rejet, etc..) sur base de danse orientale, on suit Parvati au fil de son évolution.

Dans mes sombres années collège, j'avais choisi ce livre pour la lecture du trimestre et être interrogée dessus. L'autre (dont le titre m'échappe) ne m'attirait pas plus que celui-ci mais, sa couverture m'attirait bien plus. Je n'ai absolument pas accroché à l'histoire, bien différente de ce que je lisais habituellement. Je n'irais pas à dire qu'il est incroyable, non, il est seulement à lire au moins une fois.