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Toutes les séries de William Golding

3 livres
4 lecteurs

Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie. Tout au long de la traversée, il tient un journal où il raconte, d'une plume alerte et réaliste, les menus incidents du microcosme où évoluent passagers, officiers et équipage: Mr Brocklebank, artiste peintre, et sa « fille » Zenobia, aux mœurs faciles, Miss Granham et Mr Prettiman, couple inattendu, le capitaine Anderson, farouchement attaché à ses prérogatives... En contrepoint de ce journal, une lettre du révérend Colley à sa sueur éclaire d'un jour différent les événements et les personnages.

Dans Rites de passage, premier volet de la Trilogie maritime, William Golding choisit de faire vivre son lecteur à bord d'un grand voilier en présentant une vision des êtres et des faits à la fois comique et sévère, frivole et puritaine.

Tous les livres de William Golding

De ce livre paru en 1955, immédiatement après Sa Majesté des Mouches, Arthur Koestler a dit qu'il était « ...un tremblement de terre dans les forêts pétrifiées du roman anglais».

Avec Les Héritiers, William Golding remonte dans le temps et conte la lutte inégale d'une tribu néandertalienne, encore au stade de la pensée prélogique, contre une tribu plus évoluée, et partant plus cruelle, qui sortira victorieuse du combat.

L'étrange poésie qui se dégage de cette œuvre où l'auteur fait la preuve – s'il en était encore besoin – de sa grande imagination se mêle à une vision réaliste qui donne une singulière présence au problème du Mal, toujours au centre des préoccupations de Golding.

Avec un sujet aussi particulier, William Golding, grâce à son originalité, sa puissance d'évocation, son intérêt profond pour l'homme et la condition humaine, a écrit une œuvre à la fois étonnante et émouvante.

Nouvelle DescriUn homme à la mer lutte pour ne pas mourir. Le destroyer à bord duquel il était officier vient d'être coulé. Pareil au ludion dont l'image le hante, l'homme se débat dans les vagues qui l'emmènent à la dérive. Soudain, une forme imprécise surgit de la brume : on pourrait croire l'étrave d'un navire. Pourtant, quel bateau aurait pareille proue? Ce navire est une Ile, ou plutôt un rocher perdu, un point minuscule sur la carte de l'Atlantique. Porté par le courant, Chris Martin y aborde. Meurtri, inconscient, il doit d'abord reprendre possession de son corps où brûlent les mille feux de la douleur. Il doit retrouver son individualité curieusement évadée de son enve­loppe charnelle, avant de pouvoir organiser les quelques heures qu'il compte vivre sur le rocher. Mais les jours passent, et les nuits. Les fantômes du passé, au début peu exigeants, s'imposent de plus en plus à l'esprit du naufragé. Des femmes qu'il a connues : Helen, Sybil et Mary ; des hommes dont il a pris les femmes : George, Pète, et surtout Nathaniel, intellectuel à tendance mystique dont le destin se trouve singulièrement lié à celui de Chris. Bientôt la réalité s'estompe au profit des phantasmes. Les visions nocturnes envahissent graduellement les heures réservées à la pensée consciente et à l'action, au fur et à mesure que diminue l'espoir d'un sauvetage. Les préoc­cupations matérielles qui avaient maintenu le contact avec la réalité deviennent prétexte à des cauchemars éveillés. C'est la terrifiante invasion de la folie, tandis qu'accourent de l'horizon la tempête et l'orageption

As in Lord of the Flies, Golding pits intelligence against irrationality, but this time the battleground is Caesar's summer home. In bursts Phanocles, an Egyptian inventor, and his sister Euphrosyne, secretly a Christian. Phanocles has invented a steamboat and a cannon. The rational Phanocles bemoans the irrational nature of man, Caesar invokes Jupiter and others try to use reason. Via a combination of all of these, a happy climax is finally reached.

Sammy Mountjoy est un peintre connu.

Enfant naturel d'une prostituée, il a été élevé à la mort de celle-ci par un pasteur. Quelques années plus tard, il fréquente une école de dessin et flirte passagèrement avec le parti communiste. Taraudé par le désir quasi obsessionnel de posséder Béatrice, il est déçu par cette expérience sexuelle et épouse Taffy. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le capitaine Mountjoy est fait prisonnier et, indirectement mêlé à une évasion, se trouve confronté aux méthodes nazies. Or, Sammy découvre qu'un jour, quelque part, il ne sait ni où ni quand, il a irrémédiablement perdu sa liberté.

Cette prise de conscience induit une quête ardente et douloureuse dont chaque péripétie éclaire et approfondit la singularité de son caractère. Un roman émouvant où l'auteur aborde le problème du choix avec la vigueur et l'originalité qui sont la marque de son œuvre.

On l'appelle La Folie Jocelin : c'est une tour, une flèche immense que, au temps des bâtisseurs des cathédrales, un faux mystique, un halluciné, le doyen Jocelin, fait construire. Bien que dépourvue de fondations, elle atteindra le point vertigineux où un clou sacré, soi-disant rapporté de Rome, la fixera au firmament... Mais de combien de drames sera payée l'incroyable gageure ?

A dazzling collection of occasional writings by the Nobel Prize-winning novelist on subjects ranging from Thermopylae to the English Channel, and from Coral Island to Jules Verne.

'A book of occasional essays which afford us many fascinating insights into Golding the man . . .It is highly individual yet profoundly modest; it has an unusual, slightly angular candour, full of painful knowledge and a beautiful humanity . . . event the slightest piece bears the mark of his rare, austere mind, his remarkable imagination . . . Even these occasional essays are enough to remind us that . . . there is not, at the moment, a writer to touch him.' New Society.

Trois récits sont groupés dans La Pyramide. Ils sont liés entre eux par la personnalité du narrateur et par l'unité de lieu : un petit village, Stillbourne, où le narrateur a vécu jeune homme.

C'est l'évocation de la vie provinciale anglaise avec ses tabous sociaux, son «cant», ses ridicules, ses drames. Ils illustrent les aspects de cette vie étriquée et dramatiquement comique ou grave.

William Golding a choisi de transporter le lecteur dans un passé légendaire où son imagination joue en toute liberté : il se sert de la relativité historique pour montrer la pérennité du cœur humain. Un Pharaon arrive au bout de son destin (Le Dieu scorpion). Un homme préhistorique, Crac-Crac, ainsi surnommé parce qu'il a une cheville déboîtée qui produit un double claquement, retrouve sa dignité grâce à une femme. Un empereur romain récompense un génial inventeur, l'envoyé extraordinaire, qui lui propose plusieurs inventions dont celle de la machine à vapeur et de l'imprimerie. L'empereur lui préfère celle de la cocotte-minute...

Parade sauvage est le huitième roman de William Golding. Comme ceux qui l'ont précédé, il se singularise par l'originalité de la pensée et de l'expression. Mais plus encore que les autres, il s'éloigne du banal et de l'ordinaire pour plonger au cœur d'un univers fantastique où le réel est illusoire et l'illusion réalité.

Qui est, en réalité, ce Matty, né des flammes du Blitz et personnage clé du roman? Un être psychotique en quête de son identité, ou bien un prophète inspiré? Dans le monde que l'auteur nous dépeint, où l'amour est sans cesse détourné de son objet véritable, où Sebastian Pedigree aime les petits garçons, Sophy son père et Sim Goodchild ses petites voisines..., les personnages se détruisent les uns les autres et s'autodétruisent avec fureur. Leurs vies se confondent dans un tourbillon de cruauté, de terreur et de mystère.

Parade sauvage est une œuvre troublante, complexe, où se mêlent réalisme et poésie. Comme toujours, Golding y exprime l'intérêt profond qu'il porte à l'homme ; mais, cette fois, il mène ses personnages au bout de leur destin, dans le climat lourd et maléfique d'un monde décadent.

Ce recueil de textes rassemblés sous le titre Cible mouvante propose une série d'articles, d'allocutions, de conférences, d'essais dont certains ont été écrits dès 1962. L'auteur l'a scindé en deux grandes parties. Dans la première qui s'intitule «Lieux», il promène le lecteur du Wiltshire à l'Égypte, en passant par la Hollande et la Grèce. Dans la seconde partie, «Idées», il rassemble des réflexions philosophiques et critiques qui non seulement éclairent son œuvre et son environnement personnels, mais permettent de pénétrer dans l'intimité de sa pensée créatrice.

Au fil de ces textes, et sans jamais tomber dans le piège facile du narcissisme, William Golding esquisse un autoportrait plein de fraîcheur et de sincérité. Mais il aborde aussi des sujets variés qu'il traite en profondeur, bien que l'humour et l'esprit n'en soient jamais exclus. Quel que soit son propos, quels que soient ses lecteurs ou son auditoire, l'homme Golding est omniprésent. Quant à l'écrivain, il demeure cet auteur brillant, l'un des plus importants d'aujourd'hui, dont l'œuvre a été couronnée par le prix Nobel de littérature 1983.

Wilfred Barclay, écrivain célèbre, alcoolique, en proie au démon de midi, se raconte sans complaisance et nous fait partager l'itinéraire difficile qu'il parcourt afin d'échapper à la poursuite implacable de Rick L. Tucker, jeune professeur américain bien décidé à devenir son biographe officiel et l'unique spécialiste de son œuvre.

Leurs rapports complexes et destructeurs, teintés de sadomasochisme, les entraînent inéluctablement vers un dénouement inattendu. Tandis qu'une sorte d'osmose s'opère entre les deux protagonistes, un petit nombre de personnages jouent un rôle déterminant dans le déroulement de l'intrigue : Liz, l'ex-épouse toujours présente, Mary Lou la tentatrice, Johnny, un écrivain homosexuel, et Mr Halliday, l'homme invisible, le deus ex machina qui pourrait bien être l'envoyé du destin, sinon le destin lui-même.

Avec Les hommes de papier, William Golding a écrit une œuvre puissante et originale, où la satire est souvent féroce, où la dérision tient, plus encore peut-être que dans ses romans précédents, une place de première importance.

Avec Journal égyptien, William Golding propose le récit d'un voyage en Égypte «pas comme les autres». Sans les contraintes qu'imposent le roman, ses structures et ses personnages, c'est au fil du Nil que l'auteur, devenu le héros de ses propres aventures, nous livre un carnet de bord plein de verve et d'esprit. L'anecdote y trouve une place de choix sans que, pour autant, soient gommées observations et réflexions. Jamais didactique, jamais pontifiant, il procède par petites touches et nous fait partager ses expériences – souvent drôles – de touriste privilégié.

Cette œuvre légère, proche du reportage et pourtant différente, présente un double intérêt : d'une part, elle nous fait apprécier une Égypte vraie et sincère que ne déguisent pas les faux-semblants d'un tourisme aguicheur et, de l'autre, elle met en évidence l'humour et la fantaisie d'un écrivain trop souvent considéré comme sévère voire hermétique.

Quand un empereur romain décadent et un inventeur de génie se rencontrent, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de canons, de machines de guerre, de bateaux à vapeur ? Non, la seule chose qui intéresse l'Empereur, c'est l'invention de la cocotte-minute pour pouvoir enfin manger de la viande cuite comme il l'aime...

Une histoire à l'humour débridé et fantaisiste, un conte philosophique cruel par l'auteur de Sa Majesté des Mouches.

Durant la Seconde Guerre Mondiale, un avion s'écrase sur une île du Pacifique. Il transportait des collégiens britanniques. Pas un seul adulte n'a survécu. Rescapés de ce désastre, les enfants décident de s'organiser et d'abord d'élire un chef. Ce sera Ralph, qui croit encore en la nécessité des lois pour survivre. Mais il a un rival, le chasseur Jack, qui, lui, s'exalte d'être enfin libre de toute autorité. Quand la nuit tombe, les cauchemars se déchaînent. Bruits étranges, visions effrayantes d'un monstre. Et très vite tout bascule. Entre le groupe de Ralph et celui de Jack, c'est la guerre. Et elle sera sans merci.

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