Xavier De Moulins

J'ai trouvé ce livre très touchant et assez poétique. L'auteur nous fait apercevoir la place plus qu'importante que le petit chat avait pris dans leur vie. Son décès est un crève cœur.

Un texte aussi bref qu'émouvant, qui en quelques pages parvient à proclamer haut et fort tout l'amour qu'un homme peut avoir son chat et à en tirer de superbes messages sur la condition humaine. J'ai été conquise par la plume de l'auteur, par les émotions qui s'en dégagent, et par ce petit chat que j'aurai aimé rencontrer.

Je viens vous le faire à chaud donc encore rempli d'émotions. En lisant ce récit j'ai revécu toutes les étapes que j'ai vécu avec ma minette qui est morte y a même pas un an, tous les souvenirs sont remontés à la surface. Ce qui est le plus surprenant c que ma minette est morte de la même chose que le petit chat dont on se connait pas le nom.... La mienne aura vécu plus longtemps que lui le pauvre .. Bref l'auteur a su faire passer le message, les émotions l'amour pour les bêtes et la façon dont il décrit glisse tellement bien, il arrive à faire ressentir tout ce qu'il a vécu et ressenti lui même. J'ai vraiment bcp aimé... Il m'a fait comprendre que je n'avais pas encore fait mon propre deuil de ma minette....

Un peu déjà-vu et pas très intéressant mais touchant, Mon Garçon est un livre qui traite de ce que les premiers amours laissent dans nos vies qui grandissent puis vieillissent et du lien filial entre un père et un fils. C'est un peu lisse et convenu, pas désagréable car plutôt bien tourné et bien écrit mais parfois pompeux. Il se lit très vite et ne restera pas bien longtemps dans ma mémoire ; après on ne peut pas retirer que le récit possède quelques qualités mais celles-ci ne révolutionnent pas le genre de la mélancolie ou du spleen. Une lecture en demi-teinte.

Paprika attend cette journée avec impatiente, aujourd'hui elle organise les fêtes de Pâques ,cela fait déjà longtemps que sa famille a pour coutume de se réunir pour la fête du printemps.Ses deux fils Max et Marc viennent avec femme et enfants,mais aussi leur père son ex mari qui s'est remarié avec une femme de vingt cinq ans son aînée.

Mais cette année est particulière,Max vient seul avec ses filles et il se demande comment faire face aux répliques de son frère.Ce frère moralisateur fière de sa grande carrière qui s'impose à tous y compris son épouse qui n'ose plus s'affirmer.

Paprika avec son côté excentrique oeuvre pour que cette journée soit inoubliable,mais les confidences de certains pourraient bien tout remettre en question.

Entre secret, rêves,espoirs et désillusions,la famille de Paprika risque de connaître ses premières désillusions.

Comment cette famille aux faux-semblants va t'elle pouvoir faire face ?

Ici l'auteur nous plonge dans un huit-clos familial,il est facile de s'identifier aux chacun de nous cache des déceptions,des angoisses ou des chagrins pour ne pas décevoir ou ne pas inquiéter nôtre famille.Mais malheureusement parfois le destin s'en mêle et les secrets sont voués à être dévoilé.

En voulant protéger ceux qu'on aime l'effet inverse se produit,ne doit-on pas faire face ensemble aux difficultés de la vie ?Pour moi c'est dans ces moments que le mot Famille y prend tout son sens.

Ce roman est une ode à la vie, même si j'ai "bloqué"au début sur la plume de l'auteur, beaucoup de thèmes sont abordés,l'amour,les déceptions,les nons-dits,la fragilité,les sacrifices et bien d'autres encore,tout ce que l'on peut vivre lorsque l'on est une famille.

Je me suis attachée au narrateur,un homme en souffrance qui veut protéger sa famille mais aussi à Paprika cette maman et grand-mère qui fait face à son désarroi à sa façon.

Chacun de nous se protège comme il peut afin de surmonter les épreuves de la vie,il faut savoir accepter nos différences face à ça.

📚Paprika attend cette journée avec impatiente, aujourd'hui elle organise les fêtes de Pâques ,cela fait déjà longtemps que sa famille a pour coutume de se réunir pour la fête du printemps.Ses deux fils Max et Marc viennent avec femme et enfants,mais aussi leur père son ex mari qui s'est remarié avec une femme de vingt cinq ans son aînée.

Mais cette année est particulière,Max vient seul avec ses filles et il se demande comment faire face aux répliques de son frère.Ce frère moralisateur fière de sa grande carrière qui s'impose à tous y compris son épouse qui n'ose plus s'affirmer.

Paprika avec son côté excentrique oeuvre pour que cette journée soit inoubliable,mais les confidences de certains pourraient bien tout remettre en question.

Entre secret, rêves,espoirs et désillusions,la famille de Paprika risque de connaître ses premières désillusions.

Comment cette famille aux faux-semblants va t'elle pouvoir faire face ?

📚Ici l'auteur nous plonge dans un huit-clos familial,il est facile de s'identifier aux chacun de nous cache des déceptions,des angoisses ou des chagrins pour ne pas décevoir ou ne pas inquiéter nôtre famille.Mais malheureusement parfois le destin s'en mêle et les secrets sont voués à être dévoilé.

En voulant protéger ceux qu'on aime l'effet inverse se produit,ne doit-on pas faire face ensemble aux difficultés de la vie ?Pour moi c'est dans ces moments que le mot Famille y prend tout son sens.

Ce roman est une ode à la vie, même si j'ai "bloqué"au début sur la plume de l'auteur, beaucoup de thèmes sont abordés,l'amour,les déceptions,les nons-dits,la fragilité,les sacrifices et bien d'autres encore,tout ce que l'on peut vivre lorsque l'on est une famille.

Je me suis attachée au narrateur,un homme en souffrance qui veut protéger sa famille mais aussi à Paprika cette maman et grand-mère qui fait face à son désarroi à sa façon.

Chacun de nous se protège comme il peut afin de surmonter les épreuves de la vie,il faut savoir accepter nos différences face à ça.

Une belle et forte histoire de résilience entourée de chevaux.

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Le titre m’a interpelée, l’auteur m’a donné envie de me le procurer, je me suis lancée sans attendre dans l’aventure et … j’ai savouré cette histoire de résilience parmi les chevaux, devenus refuge d’un homme abîmé par la vie.

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Les métaphores de la vie décrites ici au travers des relations homme/cheval m’ont énormément plu, j’ai passé un excellent et très beau moment de lecture (au rythme d’un galop je doit bien l’avouer, j’ai dévoré ce bouquin!).

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J’ai aimé les passages sur le héros Alexandre et son coeur empli de douleur et de culpabilité, mais également ceux dans lesquels l’on suit sa mère, qui étouffe d’amour et d’inquiétude pour lui depuis toujours (et parle aux morts, sauf à Joseph, il ne mérite pas…) , tous deux très touchants chacun à leur manière.

J’ai aimé découvrir l’histoire de Tony et de son cheval Magnolia.

J’ai aimé les liens créés entre tous les personnages entre la vie et la mort.

Et j’ai détesté Joseph, le père violent bien sous tout rapport en extérieur, bien sûr.

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Ce livre nous parle de fantômes du passé, de deuil, de résilience, de douleur, de la pression que l’on s’inflige dans certaines situations qui marquent à vie.

Il nous parle de l’influence parentale des années d’enfance qui se répercutent dans l’âge adulte : de l’amour mais aussi des exigences et des peurs qui vont souvent avec la soumission et la violence.

Il nous parle de culpabilité, de crainte, des représailles, de souvenirs, de plans, de renaissance.

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Et puis les chevaux thérapeutiques quoi ♥️

Pour les passionnés vous ne pourrez que comprendre : l’odeur des bottes de paille, des box, les flots, le temps passé dans la carrière, les haut parleurs et le jury, les plaques, les parcours à mémoriser, le galop dans le vent qui fouette le visage … et les chevaux, ces partenaires d’émotions, de confidences, de douceur, de douleur, de vie.

Pour les autres, si vous n’êtes jamais montés à cheval, je vous invite à le faire déjà (et oui, c’est tellement bien!), mais aussi à ouvrir la première page de ce livre car il se pourrait bien que ces chevaux et leurs mots invisibles murmurent à votre oreille leur douce mélodie, qui panse bien des maux.

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En bref : un superbe moment de lecture autour de la résilience et la culpabilité, entouré du pouvoir des chevaux.

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« le cœur a besoin d’amour pour guérir, et cet amour doit avant tout émaner de soi. »

Je suis un vieux machin, et les vieux machins ont plusieurs vies : nous avions trente ans, ma femme et moi, en camping dans les Landes, debout à six heures pour être à sept, le pied à l’étrier au club hippique de Dax. Un jour, on m’avait attribué un animal gigantesque (environ 1,80 m au garrot). En fin de reprise nous avions obligation de doucher les jambes de notre monture. D’où une file d’attente devant la douchette et des chevaux impatients retenus par les rênes. Ma montagne ne cessait de piaffer sur place, attendant nerveusement son tour (croyais-je). En fait, il n’avait pas dû apprécier mes exceptionnels talents de cavalier et, rancunier, cherchait … mon pied ! La preuve : quand son sabot a trouvé la pointe de ma botte, non seulement il s’est arrêté de trépigner, mais il s’est légèrement déporté à droite pour appliquer le maximum de poids sur mon malheureux gros orteil ! Et plus je m’arcboutais sur son flanc pour me dégager, plus, l’air de rien (s’il avait pu lire le journal, il l’aurait fait !), il augmentait la pression. Cinquante ans plus tard, l’ongle de mon pouce est toujours fendu et sensible pour me rappeler que je devais vraiment être un bien piètre écuyer ! « Le comportement d’un cheval dépend de la perception qu’il a de vous. » (p.18) Il exagère Xavier de Moulins de me rappeler mes inaptitudes… Je suis assez grand pour me servir moi-même !

Deux ans plus tard, ma femme signait l’arrêt de nos exploits équestres en se fracturant le coude. Mais ceci est une autre histoire. Aucun ressentiment, un amour des chevaux d’autant plus fort qu’il est contrarié.

Xavier de Moulins (plus exactement Xavier de Moulins d'Amieu de Beaufort) est né en juillet 1971 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il obtient une maîtrise de lettres (Paris-IV-Sorbonne) et un DESS de télécommunications (Paris-Dauphine). De 1994 à 201 il débute une carrière dans la presse écrite (La Croix, le Guide du routard, le Monde, L'Expansion, Vogue, Les Inrockuptibles). Depuis 2001 il poursuit une carrière à la télévision (Canal+, Paris Première, M6). En 2011 sort son premier roman Un coup à prendre (porté à l'écran dans le film Tout pour être heureux de Cyril Gelblat, sorti en 2016).

La nuit des pur-sang (2023) est son dixième roman.

La nuit des pur-sang nous transporte dans l’univers des chevaux de course et des entrainements à l’aube… Non, ce n’est pas ça…

La nuit des pur-sang, c’est l’histoire d’Alexandre, la quarantaine, ingénieur informaticien, fou amoureux de sa femme Ava… Non, ce n’est pas seulement ça…

La nuit des pur-sang, c’est Alexandre amoureux des chevaux responsable d’un centre hippique pour "enfants différents"… Oui, c’est ça, mais pas uniquement…

La nuit des pur-sang, c’est la vie de de Tony, un ancien jockey trop abimé pour continuer les courses, alors, dans son camion il conduit les cracks… Non, c’est autre chose en plus…

La nuit des pur-sang, c’est Elisabeth, la maman d’Alexandre qui se mortifie de n’avoir pas quitté son mari violent, physiquement et moralement, pour protéger son fils… Non, ce n’est pas tout…

La nuit des pur-sang, c’est tout ça à la fois. C’est surtout Alexandre hanté par le remort, par la culpabilité, la haine de soi et le mépris d’un père, pervers narcissique et destructeur, qui l’empêche de se reconstruire en remontant en selle. Parviendra-t-il à se libérer de cette mainmise accablante ?

Pour arriver à ses fins, l’auteur use et abuse de subterfuges irrationnels n’hésitant pas à faire dialoguer morts et vivants. Un temps, mon moi cartésien s’est rebiffé, puis s’est acclimaté, et a fini par entrer dans le jeu (jusqu’à un certain point). C’est une pirouette qu’a choisi l’auteur pour exprimer sa relation avec la mort d’un proche. Pirouette parfois osée qui, pour ma part, limitera ma note à 7/10, alors que j’ai bien aimé ce roman malgré quelques longueurs et redites.

P.S. : Je ne peux quitter cette chronique sans citer le "Dr. Peyo" (le cheval qui parle à l'oreille des patients) https://www.infirmiers.com/profession-ide/peyo-le-cheval-qui-parle-loreille-des-patients https://creapills.com/docteur-peyo-cheval-hopital-20210628

Dans ce court livre de 123 pages, Xavier de Moulins raconte la vie et la mort du petit chat. Son petit chat. Mais pas que. Il y a la famille, les amis, les souvenirs. Ce n'est pas un roman, c'est du vécu.

Alors autant prévenir tout de suite, c'est beau, c'est très bien écrit et dès la première page mon nez a piqué et je me suis dit que j'allais pleurer à cette lecture. Car j'ai tant de deuils de petits poilus dans ma vie et là, c'était bien parti pour remuer tous ces chagrins. Mais je suis maso alors j'ai poursuivi… Non, en réalité c'est qu'à chaque fois que ma douleur est réactivée pour eux, ça les fait revenir plus près…

Xavier de Moulins le dit tellement bien le néant dans lequel on tombe quand notre amour de chat meurt.

Pourtant il n'aimait pas les chats, ou il croyait ne pas les aimer. le petit chat est entré dans sa vie pour lui prouver qu'il se trompait.

Tête de prince et démarche de gangster, ces mots d'amour de Xavier de Moulins pour son petit tigre, il nous les partage, avec son petit chasseur de spleen, attrape-coeur délicieux, masseur de l'âme, bête à chagrin. Au contact de son chat il a tout compris, notamment qu'un chat n'est pas qu'un chat, contrairement à ce que pense les boiteux, les lacuneux, ceux qui n'ont pas la chance de savoir, ceux qui ne savent pas ce qu'ils ratent, ceux qui ignorent qu'un animal n'est pas qu'un animal et qui osent dire "Ça va, c'est qu'un chat". Ces idiots du coeur qui font que souvent on n'ose pas dire qu'on pleure son petit poilus qui vient de mourir.

Aimer un animal, lui faire une place dans la famille, ça n'enlève rien à personne. C'est un plus. Plus d'amour, de sagesse, de tendresse, de joie, de rires, de partage. Alors définitivement non, un animal n'est pas qu'un animal.

Et ce pauvre petit chat là est mort à un an et demi à cause d'un coeur trop gros. Trop tôt, trop jeune, toute une vie tronquée, d'autant plus insupportable.

C'est émouvant, jamais gnangnan, c'est un bel hommage que Xavier de Moulins rend à son chat mais aussi à tous les chats mais au fond à tous les quadrupèdes qui partagent notre quotidien et le rendent plus beau.

"Un animal qui s'en va, ça parle à l'âme des hommes autant que la mort des hommes."

"Mieux vaut ne pas parler de la mort d'un chat avec tout le monde. On risque une autre blessure et la septicémie du chagrin."

Merci.

Scipion, Brembo, Poopy, Cacao, Nirvana, Diabolo, Night, Tigresse, Roublard, Gavroche, Finger, Méphisto, Granite, Filou, Féline, pour toujours dans mon coeur ❤️

Je referme ce livre totalement désœuvrée. J'ai passé toute la première partie du livre à me demander ce que je lisais, où @xavierdemoulins voulait m'emmener. Et je l'ai suivi jusqu'au château.

Ce château, cette maison, c'est un personnage à part entière du récit. C'est le centre du roman, tout tourné autour, à commencer par Luigi.

Tout n'est qu'opposition dans ce livre. Luigi et Ludo s'affrontent, chacun essayant de gagner du terrain. C'est un combat entre passé et présent, entre Édouard et sa mère. C'est celui d' une famille qui sait tout mais ne dit rien.

J'ai adoré la plume de l'auteur, l'alternance des points de vu. J'ai aimé être dans la tête de Luigi, j'ai essayé de deviner son prochain mouvement avant lui. Et cette fin ! Ces fins ! Les derniers chapitres sont dingues et toutes les pièces du puzzle finissent par s'emboîter dans ces quelques dernières pages.

Xavier de Moulins devient une "valeur sur" de ma bibliothèque.