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Toutes les séries de Xavier-Laurent Petit

168 livres
19 lecteurs

Luke n'aurait jamais dû croiser le regard de la statuette aztèque! Maintenant sa vie est en danger...

5 livres
16 lecteurs

J’ai rencontré Snowball un jour où je n’avais pas très envie d’aller à l’école. Je traînais le long de la digue d’Industrial Canal avec un hameçon au bout d’un fil de pêche, et j’avais dans l’idée de revenir à la maison avec un poisson ou deux. Quand je l’ai pris dans mes bras, il était si léger que j’ai eu l’impression de soulever une boule de coton. La petite langue rose de Snowball me chatouillait les doigts, et j’ai tout de suite compris que plus rien, jamais, ne pourrait nous séparer. Pas même un ouragan de catégorie 5.

Tous les livres de Xavier-Laurent Petit

" - À vous entendre, on croirait que Suburba est une prison ! Vous n'avez pas tout ce qu'il faut peut-être ? Des cinémas, des salles de concert, des stades et je ne sais quoi encore... ". Réfugiés dans un monde souterrain depuis 2028 pour échapper aux grandes pollutions terrestres, les habitants de Suburba sont pour la plupart parfaitement adaptés à cette vie organisée pour eux. Certains pourtant s'interrogent: est-il vraiment impossible de retourner vivre à l'air libre ?

Qu’est-ce qui peut sortir un enfant des rues, de la misère et de la peur ? Depuis la disparition de ses parents, Saturnino lutte pour survivre et protéger sa petite soeur, Luzia. Un jour qu’il manque de se faire embarquer par les Macacos, la milice du dictateur Ayanas, un vieil homme lui sauve la mise. Il se présente comme chef d’orchestre et invite Saturnino, sa soeur et ses amis de fortune à le retrouver dans une grande maison des quartiers chics : l’Escuela Municipal de Mùsica. C’est ainsi qu’une étrange troupe de cireurs de chaussures, de vendeurs à la criée et de laveurs de voitures se pressent chaque jour pour écouter le “vieux” jouer La Marche de Radetzky, de Johann Strauss et découvrir Mozart, Bach ou Vivaldi. Sous l’oeil bienveillant du musicien, les enfants choisissent un instrument et se mettent au travail, jusqu’à donner corps à un drôle d’orchestre en guenilles. Dans une dictature pas si imaginaire que ça, l’auteur réussit, malgré son sujet, à se tenir à une distance appréciable du mélo.

Galshan, une jeune fille, est inquiète car son père, conducteur de camions aurait du rentrer il y a maintenant six jours.

Elle va rendre visite à son grand-père et ensemble, ils vont emmener son troupeau au pâtures d'hiver.

Baytar, son grand-père, va l'aider à résoudre le rêve étrange que Galshan fait toutes les nuits...

La maman de Galshan doit rester alitée 5 mois, jusqu'à la naissance du bébé. Pour faciliter la vie quotidienne déjà assez rude, Ryham, son père, l'emmène faire un long séjour chez Baytar, son grand-père qu'elle connaît à peine. Celui-ci vit sous une tente, élève des moutons, passe son temps à cheval et chasse avec un aigle... un style de vie rude et passionnant à la fois, auquel la petite fille n'est pas habituée. D'autant plus que cet hiver là va se révéler particulièrement éprouvant.

Galshan doit partir vivre chez son grand-père: elle le connaît à peine car il vit isolé loin de chez elle. Alors que la nature se déchaîne au coeur des steppes mongoles, Galshan et son grand-père ont cent cinquante-trois jours pour se découvrir et apprendre à s'aimer. (roman senior dès 11 ans)

Dans les années 1990, dans les Balkans, une petite fille naît avec une tache de vin sur le bras. Elle s'appelle Nahalia, et comme elle est née pendant la sécheresse et juste avant les premiers bombardements et le début de la guerre, les gens du village ne l'acceptent pas car elle porte soi-disant malheur avec sa tache. Ils l'appellent "La Tachée". A cause de ça, sa mère et ses deux frères, Tadéus et Jozef, sont chassés de leur village. Le cauchemar commence alors pour Jozef, 12 ans. Après la montagne, l'armée, la guerre, l'horreur... Il ne se remettra jamais complètement de ce cauchemar et de tout ce qu'il a vécu.

Elmir est un collégien lambda: il fait du troc avec ses copains dans la cour, va manger des beignets chez la vieille Nourrédia et en a marre de ses parents. Mais les "Combattants de l'Ombre" ne sont pas d'accord avec cette société, et veulent prendre le pouvoir. Le père d'Elmir, journaliste, est menacé, la bilbiothèque de sa mère est incendiée... Commence alors une période sombre pour Elmir, et pour son pays.

Comme chaque été, Galshan a quitté la ville pour rejoindre Baytar, son grand-père, dans la vallée. Hommes et troupeaux attendent désespérément les pluies d'été. Depuis des semaines, le soleil et le vent brûlent tout sur leur passage. Uugan décide de prendre la route du Nord avec les bêtes. Galshan l'accompagne pour veiller sur Toonejlig, une jument sur le point de mettre bas, laissant à regret son grand-père.

Un long voyage commence...

Toudoum… Toudoum… Chaque matin, Sisanda commence par compter les battements de son coeur et le nombre de jours qu’elle a vécus depuis sa naissance.

Puis, elle regarde sa mère se glisser hors de la case pour aller courir dans les collines : Maswala, sa Mamantilope, cavale pour le plaisir pendant des heures, pieds nus, là où même les bergers ne vont pas avec leurs troupeaux.

Sisanda, elle, ne peut pas courir. Ni sauter, ni jouer avec les autres, ni rien, à cause de son petit coeur imbécile et de sa maladie idiote. Le médecin lui a dit qu’elle avait beaucoup de chance d’être encore en vie. Vraiment beaucoup. Ici, il ne peut rien faire, il faudrait opérer Sisanda dans un hôpital spécialisé à l’étranger. Et ça coûte cher… Un million de kels ! Elle a compté qu’il faudrait à ses parents trente-huit ans, trois mois et vingt jours pour réunir autant d’argent…

Mais tous ces calculs sont faussés lorsqu’elle découvre que Maswala pourrait gagner la même somme en courant aussi vite qu’une antilope…

Il y a souvent une histoire vraie à l’origine d’un roman de Xavier-Laurent Petit. Ce dévoreur de journaux a découvert l’existence de Chemokil Chilapong dans un article de Courrier international qui racontait comment cette simple fermière avait pu financer la scolarité de ses enfants grâce à sa victoire au marathon de Nairobi. Il n’en fallait pas plus pour que son imagination s’emballe et nous entraîne dans les foulées de Maswala, la mamantilope d’une petite fille au coeur malade…

En ce vendredi d'octobre 1891, la gare grouille de monde. Mania Sklodowski vient seule en France rejoindre sa sœur Bronia. Elle part loin de la Pologne et de la domination russe vers une vie possible. Une vie d'études, le nez plongé dans les livres. A vingt-quatre ans, elle pourrait être comme n'importe quelle jeune fille avide de connaissances parmi les douze mille étudiants de la Sorbonne. Une jeune fille à nouveau perdue dans la foule. Mais cela serait mal connaître Mania. Elle s'appelle maintenant Marie, elle accumule les premiers prix universitaires, elle se marie avec un certain Pierre Curie et, à force de recherches, elle fait la découverte du radium. Toute son existence s'emballe. Les honneurs pleuvent, les journalistes du monde entier souhaitent l'interviewer, la gloire ne lui laisse plus de répit. Marie Curie veut seulement vivre pour son travail. Toujours aller plus loin. Alors que la Première

Guerre mondiale éclate, elle décide de mettre en place un système de radiologie mobile. Il lui faut de l'argent, des moyens. Alors Marie Curie découvre le pouvoir de son nom.

On ne vit pas à Santa Arena, où tout est sec, pauvre, désolé, sans espoir. On survit, et encore. Si on veut vivre, il faut partir. Là-bas, de l’autre côté de la frontière, la grande ville des étrangers, les ranjeros, brille de tous ses feux. Là-bas, les hommes sont riches, les femmes ont la peau blanche et les yeux verts comme des dollars, et les cinémas racontent des histoires merveilleuses. Ils sont nombreux, ceux qui tentent le passage du cerco.

Et rares ceux qui réussissent. Moins de deux pour cent. Les autres sont abattus par la Border Patrol, ou bien s’en vont mourir de soif et d’épuisement dans le désert.

De toute façon, avant d’espérer partir, il faut gagner mille dollars, le prix d’un passeur, l’équivalent de deux ans de travail à gratter les cuves puantes de la Chemical & Petrological Corporation. Personne n’a encore jamais dit à Adriana qu’elle avait de la chance. Mama Yosefa, la reine du bidonville, lui a juste dit un jour en la regardant dans les yeux : « Toi, tu mérites mieux. » Et Adriana a décidé qu’un jour, elle aussi aurait les yeux verts.

Mais ce qui l’attend, de l’autre côté de la frontière, même un film des ranjeros n’aurait pas pu l’imaginer.

Louise vit dans une vallée loin de tout. Un nouvel élève arrive en classe, Chems. Il est différent des autres en plusieurs points, ce qui attire Louise. Mais pour les autres, un étranger n'a rien à faire dans la vallée. Chems va prouver qu'il aime cet endroit et qu'il y a sa place. ©Electre 2017

Gustin n'a pas vu son père depuis qu'il a... quatre mois ! Cet été, il va le retrouver, au coeur du Wyoming, dans le campement indien où Renard Rouge vit désormais. Mais la sérénité de cette existence sauvage cache une menace... La présence du jeune garçon suffira-t-elle à déjouer les plans de Willcox ?

Miée est une femme âgée qui a toujours le temps pour Anna, sa petite fille. Elles sont comme deux amies et Anna aime aller chez sa grand-mère pour fuir le rythme infernal de ses parents toujours pressés. Mais à la rentrée des classes, Miée a changé. Pendant ses moments de lucidité, elle avoue à Anna qu'elle commence à oublier et à perdre la tête. Tout d'abord, cela reste un secret entre elles, mais les trous de mémoire de Miée deviennent de plus en plus visibles et répétés. Anna décide de tout faire pour aider sa grand-mère et entretenir sa mémoire.

_______

Les parents sont toujours pressés. Miée, elle, a toujours le temps. C'est pour ça qu'Anna aime tant aller chez elle. Miée est douce, Miée est drôle, Miée fait comme personne les roudoudous de caramel à la fleur d'oranger dans sa tout petite casserole. Mais cette rentrée-là, Miée n'est pas comme d'habitude. Décoiffée, hagarde, elle ne reconnaît pas sa petite-fille. Au début, Anna croit que c'est un jeu, et elle le joue. Très vite, elle doit se rendre à l'évidence. Rien ne sera jamais plus comme avant. « La maladie que j'ai, dit Miée redevenue lucide, elle s'appelle la vieillesse, tout simplement, et crois-moi, ce n'est pas avec des petites pilules que ça va passer. » Anna décide pourtant de tout faire pour « reboucher les trous de gruyère de la mémoire » de Miée. Avec patience, avec amour, avec un entraînement intensif et quotidien, et dans l'odeur apaisante des roudoudous au caramel

Il y a deux types de gens sur terre : ceux qui font du sport et ceux qui le regardent à la télé. Avec ce recueil de nouvelles, on va enfin à la rencontre du troisième type. Il se compose de cinq auteurs qui ont choisi d’écrire sur ce thème. Avec humour, avec passion, avec colère, Colas Gutman, Xavier-Laurent Petit, Florence Seyvos, Ellen Willer et Valérie Zenatti nous parlent de courbatures, de sueur, de scores, de défaites et de victoires, d’accomplissement de soi et de conquête de l’autre. Sur les terrains et dans les gymnases, on se remet en question, on fait l’expérience de ses propres limites, on se dépasse, ou l’inverse : on découvre qu’on est une nouille… et on assume. Que ce soit à la course, au ping-pong, au beachvolley, au tennis ou à la natation, le lecteur, lui, sort toujours vainqueur.

Une fois encore, Mélie est toute seule dans la grande maison. Elle attend le retour de son père, médecin de garde aux urgences de l’hôpital un week-end par mois.

Mélie déteste cette vieille maison qui craque, grince et gémit de partout. Elle a horreur d’être seule. Elle est fatiguée d’être grosse. Elle ne sait pas quoi faire d’autre, pour vaincre ses angoisses, que d’allumer à fond tout ce qui peut meubler le silence, la chaîne hi-fi, la télévision, la radio. Elle ne trouve rien de mieux, pour se vider la tête, que de se remplir le ventre avec un tas de cochonneries. Ensuite, elle dort mal en rêvant qu’elle est belle, mince et aventureuse, par exemple : Florence Arthaud. Et puis, elle se réveille, seule, grosse et malheureuse, et tout recommence.

Sauf ce matin-là. Ce matin, il y a un corps étendu dans l’herbe du jardin. Un inconnu. Quand elle s’approche, il souffle son prénom : Mélie.

Alors, aventureuse, oui, ce matin, il va falloir que Mélie le soit pour de vrai.

En Chine, le barrage de Chang Jiang est terminé, toute la vallée va disparaître sous les eaux du fleuve. Les gens des villages ont été évacués, des soldats montent la garde, seule Liuxing, une fille de 15 ans, ose retourner dans la vallée. Son grand-père n'a toujours pas quitté sa maison. Et c'est le dernier jour...

"Je n'ai plus que quelques minutes d'électricité par jour et je ne pourrai certainement plus l'envoyer de nouvelles avant un certain temps. Mais não se préoccupe, Talia, tudo bem. Ne t'inquiète pas, tout va bien..."

Talia a beau relire le dernier mail de sa mère pour se rassurer, le «certain temps» s'éternise. Cela fait déjà un mois et demi que «tout va bien», quarante-huit jours exactement que Juana ne lui a plus donné signe de vie.

Quelle idée, aussi, de s'installer, seule, dans une baraque minable au coeur de la forêt amazonienne ! Lorsqu'elle a découvert qu'Itawapa était au centre d'un projet de forages pétroliers, sa mère a démissionné de son poste de professeur d'ethnologie pour voler au secours d'Último, le dernier survivant d'une tribu indienne décimée dans des circonstances mystérieuses. Est-il hostile ? Est-il amical ? Comment le savoir ? Personne n'a jamais réussi à le rencontrer.

Talia est bien décidée à tout faire pour retrouver sa mère. Quitte à s'enfoncer dans 200 kilomètres carrés de forêt vierge, de marais et de terres inexplorées et pas forcément hospitalières...

"L'homme à la tête éclatée était un type tout jeune, un gamin entre quatorze et seize ans, de type européen, le teint mat. Il avait dû mesurer un mètre soixante-quatre à l'époque où il avait sa tête. Le coup qui l'avait tué provenait d'une arme à gros calibre. En attendant l'expertise balistique, le rapport s'en tenait à des suppositions. Sans doute une Smith et Wesson ou une Remington. Des armes courantes pour la chasse au sanglier et au chevreuil, calibre 280 ou 300. La mort avait été immédiate. L'affaire avait dû se passer le vendredi 22 octobre entre 22 heures 30 et 24 heures." Un jeune adolescent a été tué, un autre disparaît, dans le même lieu, au même moment. L'identification de la victime est impossible. Parents, policiers et gendarmes vont se méprendre sur son nom, à plaisir pour le lecteur. Quant à l'assassin qui ne pouvait pas prévoir la simultanéité de ces deux événements, il n'a plus qu'à se réjouir : le crime est devenu presque parfait.

Emilienne Lelong est retrouvée assassinée à son domicile du 11ème arrondissement. Des meurtres sordides sont perpétrés contre des SDF en différents lieux de la capitale. Au même moment, Anne Manquiet, professeur d'histoire, recherche son grand-père, Marcel Mankiewicz, qui aurait survécu à la grande rafle du Vel d'Hiv. Trois enquêtes démarrent simultanément pour aboutir, toutes, curieusement, au même personnage... L'inspecteur Omnesse, chargé de l'affaire Lelong, nous précipite dans une folle course de chassés-croisés et de quiproquos, au coeur d'un Paris malade de ses banlieues, en nous replongeant sans cesse dans le passé trouble des années 40. Après le succès du Crime des Marots, Xavier-Laurent Petit nous donne un second polar, encore une fois époustouflant. Passage de la Main d'or salue le retour du personnage majeur du Crime des Marots, l'inspecteur Omnesse, baroudeur, drôle, séducteur et sensible, qui réussit là, magistralement, une nouvelle pirouette policière.

Sans boulot ni projet, Jeremy s'enrôle dans l'armée à 18 ans. Persuadée qu'il apprend surtout à construire des ponts, il se croit à l'abri d'un envoi en zone de guerre. Mais voilà, doué pour le tir de précision, il est expédié en plein conflit, en un lieu qu'on devine être l'Irak. Resté au pays, son frère (le narrateur), se réfugie dans la musique, tandis que son père, ancien tireur d'élite au Vietnam, culpabilise d'avoir laissé son aîné suivre ses traces.

Quelques empreintes de pattes dans la neige, une carcasse de daim abandonnée un peu plus loin... et Felitsa avait compris en un éclair à qui elle avait affaire. C était bel et bien une tigresse que sa mère et elle venaient de repérer. Et à y regarder de plus près, une tigresse qui attendait des petits. En dépit de la fatigue et de la température glaciale, Felitsa ne regrettait plus d avoir accompagné sa mère dans sa tournée d inspection. Alissa était garde forestière au bout du bout de la taïga russe, une zone de trafic intense avec la Chine voisine et un beau terrain de chasse pour les braconniers. De l autre côté de la frontière, la dépouille d un tigre de Sibérie valait des dizaines de milliers de dollars. Si Felitsa et sa mère avaient repéré la tigresse, les braconniers n allaient pas tarder à faire de même. Il fallait trouver le moyen de sauver sa peau...A partir de 12 ans.

Tout a commencé le samedi où Janin est allé faire des courses avec l’oncle Jean, et où l’épicier les a pris pour père et fils.

Comment ne s’était-il pas aperçu plus tôt qu’il est le seul à la maison à avoir le teint pâle et les cheveux blonds ?

Il commence à faire de terribles cauchemars. Le lendemain, il est au lit avec de la fièvre. Mais il a aussi une bonne idée pour se mettre à ressembler à ses parents et à son petit frère.

Quand on est le fils d'un montreur d'ours, d'un Ursari comme on dit chez les Roms, on sait qu'on ne reste jamais bien longtemps au même endroit. Harcelés par la police, chassés par des habitants, Ciprian et sa famille ont fini par relâcher leur ours et sont partis vers une nouvelle vie à Paris où, paraît-il, il y a du travail et plein d'argent à gagner. Cependant leurs rêves se fracassent sur une réalité violente. À peine installés dans le bidonville, chacun se découvre un nouveau métier. Daddu, le montreur d'ours, devient ferrailleur, M man et Vera sont mendiantes professionnelles, Dimetriu, le grand frère, est « emprunteur » de portefeuilles et Ciprian son apprenti. Un soir, Ciprian ne ramène rien de sa « journée de travail ». C'est qu'il a découvert le paradis, le jardin du « Lusquenbour » où il observe en cachette des joueurs de lézecheck. Le garçon ne connaît rien aux échecs mais s'aperçoit vite qu'il est capable de rejouer chaque partie dans sa tête. C'est le début d'une nouvelle vie pour le fils de l'Ursari.

Quand on est le fils d'un montreur d'ours, d'un Ursari comme on dit chez les Roms, on sait qu'on ne reste jamais bien longtemps au même endroit. Harcelés par la police, chassés par des habitants, Ciprian et sa famille ont fini par relâcher leur ours et sont partis se réfugier à Paris où, paraît-il, il y a du travail et plein d'argent à gagner. À peine arrivés dans le bidonville, chacun se découvre un nouveau métier. Daddu, le montreur d'ours, devient ferrailleur, M'man et Vera sont mendiantes professionnelles, Dimetriu, le grand frère, est «emprunteur» de portefeuilles et Ciprian son apprenti. Un soir, Ciprian ne ramène rien de sa «journée de travail». C'est qu'il a découvert le paradis, le jardin du Lusquenbour où il observe en cachette des joueurs de tchèquématte. Le garçon ne connaît rien aux échecs mais s'aperçoit vite qu'il est capable de rejouer chaque partie dans sa tête. C'est le début d'une nouvelle vie pour le fils de l'Ursari.

on est un troupeau déchiré poursuivi par des gravats et des corps et la terre dispersée ils essuyaient des larmes sur les pierres on est une barque étoilée un jourils berçaient les ombres des mères un jour ils marchaient le désert est un océan et les tempêtes sur la mer brassent des vagues d'encre salée on croit voir d'anciennes chevelures blanchies par l'effroi dans les paquets d'écume effilochés par le vent on écrit en noir outremer les noms de ceux qui sont effacés ils sont le temps écoulé (...)

Le 24 février, c'était le jour du mariage de ma soeur. Un jour à faire la fête... sauf qu'au même moment, Vlad-le-Mauvais, donnait à son armée l'ordre de nous envahir. La guerre venait de commencer. Quelques heures plus tard, les bombes des "Orques" s'abattaient sur la ville. Alors avec les parents on a tout abandonné et on est partis sur les routes. La vieille Babusja qui perd la tête nous accompagnait, sans oublier Zaku, mon chat et l'énorme contrebasse de maman.

On était des milliers à fuir la guerre. Mais pour aller où ? ...

Les dunes de sable, le désert de Mauritanie et son grand-père Hassen, le chamelier : Yani ne les avait jamais vus. C’est la première fois que sa mère l’emmène à la découverte du pays où elle a grandi, avant de partir étudier la médecine. Un monde si proche et si loin à la fois, que Yani imaginait à peine, avec sa chaleur écrasante et la beauté infinie du ciel étoilé. Mais le temps presse : Hassen veut à tout prix transmettre à Yani l’art ancestral de guider un troupeau à travers les mille pièges du désert, jusqu’à l’oasis bienfaitrice. Et voilà Yani à la tête de 114 chamelles…

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