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-Oh ! bordel ...

- Calme-toi. Personne ici ne fait attention à qui est qui. Ils ont déjà du mal à retenir mon prénom d'une semaine sur l'autre ...

- C'est faux, s'écrie Richie. Son prénom c'est Connard.

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Je me rassois en regardant Sara et Andy ensemble. Une vague de haine me submerge. Elle est le genre de femme à côté de qui les hommes rêvent de se réveiller tous les matins. Le genre de femme que l'on aime connaître mieux que personne et protéger. Pour qui on pourrait se battre ou se jeter sous un bus. Je regarde toutes les photos. Elle sourit si largement aux objectifs, surtout celles qui datent d'avril dernier. Elle est naturelle, l'éclat de son sourire reste intact avec les années.

Et ce connard l'a trompée -de nombreuses fois, si l'article dit vrai.

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-Déshabille-toi pour moi. Il plonge la main dans son sac et en sors un énorme appareil photo. "J'ai envie d'avoir des photos de tout ce soir."

Il me regarde à travers l'objectif. Le bruit de l'obturateur accélère mon rythme cardiaque. Je me sens étourdie, comme si j'allais faire un malaise.

-Même nos visages?

- Ouais, dit-il d'une voix rauque. Exactement.

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J'ouvre les yeux,cette découverte me déprime, alors que je suis totalement déconnectée de ces histoires. Avec Max je me sens si bien, alors qu'Andy m'a toujours rendue malheureuse. Il est temps pour moi de grandir et d'arrêter de m'en vouloir de m'amuser.

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– Tu es prétentieux, tu sais ça ?

– Je suis futé, corrige-t-il en riant.

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Le barman se retourne et jette un coup d’œil au type à côté de moi. Mon bel Anglais hausse à peine la voix. Grave et profonde, elle porte sans effort :

– Trois doigts de Macallan’s, Pete, et quelque chose pour mademoiselle. Tu l’as fait attendre !

Il se tourne vers moi, avec un sourire qui a pour effet d’infuser une chaleur suspecte dans mon ventre :

– Combien de doigts pour vous ?

Ses mots résonnent dans mon cerveau, et soudain, de l’adrénaline coule dans mes veines :

– Qu’est-ce que tu viens de dire ?Innocence. Il se concocte une expression d’un angélisme diabolique. Et ça fonctionne. Même si, aucun doute, on ne peut déceler chez ce type le moindre brin d’innocence.

– Est-ce que tu viens de m’offrir trois doigts ?

Il se met à rire, pose sa main immense sur le bar entre nous. Ses doigts sont du genre à pouvoir faire disparaître un ballon de basket :

– Deux devraient suffire pour commencer, princesse.

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Il me tourne vers lui, nous fait pivoter pour appuyer mon dos contre le mur. Il m’embrasse, d’abord doucement puis plus fort, comme aϱamé. Au moment où je pense m’asphyxier, il s’écarte, lèche ma joue, mon oreille, mon cou. Mon cœur bat follement. Ma robe est retombée sur mes cuisses, mais ses doigts caressent l’ourlet et le remontent lentement.

– Quelqu’un pourrait arriver à tout moment, fait-il remarquer.

Il me laisse une dernière chance de lui dire non, au moment où il baisse ma culotte.

Ça m’est égal. Totalement égal. Peut-être même qu’une petite partie de moi a envie que quelqu’un arrive ici et voie cet homme parfait en train de me toucher comme il le fait.

Je ne pense plus qu’à ses mains qui me caressent, à ma robe remontée sur mes hanches et à sa virilité dressée contre mon ventre.

– Je m’en fous.

– Tu es ivre. Trop ivre pour ça ? Je veux que tu te souviennes que je t’ai baisée.

– À toi d’en faire un moment mémorable.

Il relève ma jambe et m’ouvre, exposant ma peau nue à

l’air froid qui vient de la climatisation juste au-dessus de nous. Il bloque mon genou autour de sa hanche – je me félicite de porter des talons de vingt centimètres. Je glisse ma main entre nous et je déboutonne son jean, descends son boxer juste assez pour le libérer. J’enroule ma main autour de son érection et je la frotte sur mon sexe trempé.

– Putain, princesse. Laisse-moi continuer…

Son pantalon est ouvert mais coincé sur ses hanches. De dos, on pourrait croire que nous dansons, ou peut-être que nous ne faisons que nous embrasser. Je sens son pouls dans ma paume de main. La situation, si réelle, me rend totalement folle. Il va me prendre, ici, sans se soucier de la foule en bas. Où il y a des gens qui me connaissent comme la sage Sara, la responsable Sara, la Sara d’Andy.

Nouvel appartement, nouveau job, nouvelle vie. Nouvelle Sara.

Mon inconnu est lourd et tellement long dans ma main…

Je le désire, je suis en même temps terrifiée – et s’il m’empalait ? Je ne suis même pas sûre d’avoir jamais baisé

avec un mec qui bandait autant.

– Elle est grosse…

Il sourit, comme un loup sur le point de me dévorer

– pour de bon. Il déchire prestement l’emballage du préservatif avec ses dents.

– C’est la meilleure chose à dire à un homme. Tu peux même me dire que tu n’es pas sûre qu’elle va rentrer…

Je dirige son gland vers mon ventre, tremblante. Il est si chaud – la peau douce – et si dur à la fois.

– Putain. Je vais jouir dans ta main si tu n’arrêtes pas tout de suite.

Ses mains tremblent un peu – l’urgence –, il se retire d’entre mes doigts pour enfiler la capote.

– Tu fais ça souvent ?

Il est là, devant moi, plein d’assurance. Son sourire s’élargit :

– Faire quoi ? Baiser une belle femme qui ne veut pas me dire son nom et préfère que je la saute dans un couloir plutôt que dans un lieu adapté, un lit ou une limousine par exemple ?

Il commence à pousser pour entrer en moi, si lentement que c’en est presque douloureux. Ses yeux brillent d’une drôle de lueur. Nom d’un chien, je n’aurais jamais pensé que le sexe avec un inconnu puisse être aussi intime que ça. Il me dévisage :

– Non, princesse. Je dois admettre que je n’ai jamais fait

ça.

Sa voix est tendue, ses mots viennent de loin parce qu’il est enfoncé en moi, dans cette boîte chaotique, avec des lumières vivantes qui respirent, et la musique qui donne le rythme tout autour de nous, là où des gens déambulent sans savoir ce qui se passe juste au-dessus d’eux. Et pourtant, mon univers se réduit à ce lieu où il me remplit, où il frotte mon clitoris à chaque à-coup, où la peau chaude de ses hanches se presse contre mes cuisses.

Plus un mot, seulement sa pénétration, d’abord lente puis rapide, douce et brutale. Notre espace se remplit d’onomatopées admiratives ou pressantes. Ses dents sontdans mon cou, j’agrippe ses épaules, de peur de tomber, sur le côté ou ailleurs, pas sur la piste de danse mais dans un monde où je n’aie pas peur d’être exposée, de montrer mon plaisir à tous ceux qui m’observeraient – en particulier, cet homme.

– Dieu que tu es belle…

Il se penche en arrière, me regarde et accélère un peu.

« Je n’arrive pas à cesser de regarder ta peau parfaite et putain, là où je suis. »

La lumière arrive de son côté. Pour moi, il est dans l’obscurité. Seulement la silhouette de mon inconnu. Je ne distingue rien quand je baisse les yeux, que des ombres et la suggestion du mouvement : lui en moi, hors de moi, en moi

à nouveau. Glissant et dur, collé à moi à chaque mouvement. Et comme pour me rappeler que je n’ai pas vraiment besoin de le voir, les lumières diminuent pour faire presque le noir, pendant qu’un son répétitif envahit le club.

– J’ai pris une vidéo de toi en train de danser…

Je mets un moment à réaliser ce qu’il vient de murmurer.

Le temps que l’information supplante la sensation de lui, en train de me prendre :

– Qu… quoi ?

– Je ne sais pas pourquoi. Je ne vais pas la montrer. J’ai juste…

Il fixe mon visage en ralentissant, pour me laisser réfléchir, j’imagine.

– Tu étais comme possédée. Je voulais me souvenir.

Bordel de Dieu, j’ai l’impression de confesser mes péchés !

J’avale ma salive, il s’approche encore plus de moi, m’embrasse avant que je demande :

– Est-ce que c’est bizarre, que ça me plaise que tu l’aies fait ?

Il se met à rire, continue à me pénétrer plus lentement, plus fort aussi :

– Profite alors, hein ? J’aime te regarder. Tu dansais pour moi. Il n’y a pas de mal à ça.

Il relève mon autre jambe et l’enroule autour de sa taille avant de se mettre à bouger vraiment pendant quelques minutes parfaites. Rapide, plein de l’urgence du moment, il se laisse aller et gémit – délicieusement. Si quelqu’un arrivait maintenant dans notre petit coin, il n’aurait aucun doute sur ce que nous faisons. Et en imaginant que quelqu’un regarde cet homme me prendre si brutalement, je m’abandonne. Ma tête se pose contre le mur. Je sens monter monter monter tout au fond de mon ventre, si bas, si lourd, une boule presque douloureuse qui roule le long de ma colonne vertébrale avant d’exploser dans mon sexe, si fort que je ne peux m’empêcher de crier, sans penser une seule seconde qu’on pourrait m’entendre. Je n’ai pas besoin de lever les yeux pour savoir qu’il est en train de me regarder céder.

– Putain de merde.

Ses hanches ont des mouvements saccadés, brutaux. Il jouit avec un long gémissement, ses doigts enfoncés très fort dans mes hanches.

Je pense : Il pourrait me faire des bleus. Et puis : j’espère qu’il m’en fera.

Je veux conserver un souvenir de cette nuit et de cette

Sara quand je partirai. Pour mieux faire la diϱérence entre la vie que je laisse derrière moi et celle qui m’attend et que je désire.

Il s’arrête, pèse contre moi, ses lèvres plantées dans mon cou.

– Mon Dieu, l’Anglais. Tu m’as épuisée.

Je le sens battre en moi – les contrecoups de son orgasme – et je voudrais qu’il reste en moi pour toujours, bien au fond. J’imagine de quoi nous avons l’air de l’autre côté de la boîte : un homme plaque une femme contre un mur, et elle passe les jambes autour de lui – même si on ne les distingue pas clairement dans l’ombre.

Sa large main remonte le long de ma jambe, de ma cheville à ma hanche. Il se retire avec un petit gémissement et me remet sur mes pieds. Il recule et enlève la capote.

Putain, je n’avais jamais pensé que je pourrais faire quelque chose d’aussi fou. Un rictus étire mes lèvres tandis que mes jambes tremblent tant que je suis sur le point de m’effondrer.

Ne panique pas, Sara. Ne panique pas.

C’est parfait. Tout a été parfait, mais ça doit s’arrêter ici même. Tout faire diϱéremment. Pas de noms, pas d’attaches.

Pas de regrets.

Je lisse ma robe. Je monte sur la pointe des pieds pour l’embrasser sur les lèvres :

– C’était incroyable.

Il acquiesce en me rendant mon baiser.

– Oui. Est-ce que… ?

– Je vais descendre.

Je tourne les talons en lui faisant un signe de la main.

Il me fixe, désorienté :

– Tu…

– Tout va bien. Très bien. Tu vas bien ?

Il hoche la tête, médusé.

– Donc… merci !

L’adrénaline court toujours dans mes veines, je me retourne sans lui laisser le temps de répondre et je le laisse le pantalon déboutonné et les lèvres tordues dans une grimace de surprise.

Quelques minutes plus tard, je tombe sur Chloé et Julia, toutes les deux sur le point de rentrer. Bras dessus, bras dessous, nous quittons la boîte. C’est seulement quand nous nous asseyons dans la limousine que je revis silencieusement chaque seconde de ce qui vient de se passer avec cet homme

étrange et puissant. Je réalise que j’ai laissé ma culotte à ses pieds et, dans son téléphone, une vidéo de moi en train de danser.

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Spoiler(cliquez pour révéler)– Et alors, les nouvelles règles ? fais-je, un peu étourdie.

L’eϱet des verres ou de Max, je ne sais pas. Il sourit comme un prédateur.

– Je pensais que tu ne me le demanderais jamais…

– Est-ce que je dois craindre le pire ?

– Oh, oui…

Je frissonne, plus à cause de la chaleur dans mon ventre que parce que j’ai peur. Je pourrais toujours lui dire non…

Mais je sais que je n’en ferai rien.

– Règle n° 1 : les nuits du vendredi restent obligatoires, mais on peut en ajouter autant qu’on veut dans la semaine.

Tu peux dire non, mais grâce à ce scénario, je ne me sentirai plus comme un con si je te fais une proposition.

Et… Il se penche pour m’ôter une mèche de cheveux de devant les yeux… « Tu peux également m’en faire. Tu as le droit d’admettre que tu as envie de me voir davantage. Tu n’as pas à t’excuser de venir me voir quand tu es triste ou

énervée. Il n’y a pas que le sexe, tu sais… »

Je respire, tremblante et j’acquiesce.

– OK.

– Règle n° 2 : tu me laisses te baiser dans un lit. Un lit géant avec des barreaux où je peux t’attacher ou t’écarterles jambes en grand. Peut-être juste te baiser sur le matelas avec tes magniϧques chaussures à talons sur mes épaules.

Pas forcément le mien, pas forcément maintenant. J’adore te baiser en public – on y reviendra dans un moment –, mais je veux aussi t’avoir tout à moi par moment. Donne-moi du temps.

Il attend que je réponde. Je hoche finalement la tête.

– Je te promets de continuer à prendre des photos de toi parce que ça nous excite tous les deux. Je ne te demanderai pas de te montrer en public avec moi avant que tu sois prête. Pas de problème. Et si tu n’es jamais d’accord, pas de problème non plus. Tu me fascines, Sara. Ton besoin d’intimité et ton désir d’être matée. Je commence àcomprendre. Et j’adore ça. J’ai envie d’en jouer encore plus.

D’explorer ce que nous aimons tous les deux.

Il étend les mains devant lui et hausse les épaules. Il m’embrasse rapidement.

– D’accord ?

– C’est tout ?

Il demande en riant :

– Tu t’attendais à quoi ?

– Je ne sais pas. Je finis mon verre. La vodka glisse dans mon ventre et l’enflamme, je sens un foyer de chaleur entre mes cuisses. « Mais… je crois que j’aime ces nouvelles règes. »

– C’est bien ce que je pensais.

– Tu es prétentieux, tu sais ça ?– Je suis futé, corrige-t-il en riant. Et, Sara ?

Je cesse de regarder mes mains et rencontre ses yeux :

– Quoi ?

– Merci de m’avoir fait conϧance. D’avoir fait de moi ta première décision un peu folle.

Je le ϧxe, en regardant son expression qui passe du jeu à

la curiosité, puis à une angoisse légère. Peut-être est-ce cette expression ou la musique calme et rythmée. Peut-être est-ce ma nouvelle vision de Max – en profondeur, une histoire pleine de famille, de gens qu’il aime et qu’il garde près de lui à chaque moment de son quotidien. J’ai envie d’être plus proche de lui. Et pas seulement physiquement.

Je caresse son visage, je me penche et je lui dis :

– Pour corriger ma déclaration précédente : tu es merveilleux.Il sourit, hoche la tête.

– Et toi, tu es ivre.

– Je suis peut-être ivre, mais ça n’enlève rien à tes qualités. Je l’embrasse sur la bouche. « Ça me rend seulement plus expansive sur le sujet. »

Je lèche sa lèvre inférieure, je le goûte. Et putain, la plupart du temps je préférerais boire de l’essence plutôt que de la bière mais sur ses lèvres, la bière a un goût fabuleux.

– Sara… murmure-t-il.

– Dis-le encore. Putain, j’adore t’entendre dire mon prénom. Sahhhhrahhhhh.

– Sara, répète-t-il avec complaisance, avant de s’éloigner un peu. « Chérie, tu te rends compte que nous sommes dans un lieu public ? »

Je fais un geste vaguede la main :

– M’en fous.

– Tu ne t’en foutras peut-être plus demain quand tu seras un peu moins… expansive.

– Je ne suis pas ivre à ce point. Et franchement, je m’en fous. J’ai réalisé hier soir que j’avais été photographiée dans tout le pays avec un homme qui ne m’aimait pas – à

part mon nom de famille, bien sûr. Et tu es là, tu es gentil, tu veux me voir plus souvent et réviser mes règles stupides…

– Sara…

Je pose un doigt sur sa bouche.– Ne m’interromps pas, je suis inspirée.

Il sourit.

– J’ai bien compris…

– Ce que je veux dire, c’est que tu es merveilleux. J’ai envie de t’embrasser dans un bar. Je m’en fous si quelqu’un me voit et pense : Waouh ! Cette femme a envie de devenir madame Stella. Comme c’est pathétique ! Est-ce qu’elle sait qu’il baise une femme différente tous les soirs ?

– C’est faux.

– Certes, mais ils ne le savent pas et ce que je veux dire…

Je prends une grande inspiration, je pose les mains sur sa poitrine et je ϧxe ses yeux amusés. « Je me fous de ce que les gens pensent maintenant. Je suis fatiguée d’y penser tout le temps. Tu me plais. »

– Tu me plais aussi. Beaucoup. En fait…Je me penche et je l’embrasse. C’est le bordel : les mains dans les cheveux, je monte presque sur ses genoux dans ce bar stupide, sans y faire attention. Je m’en fous. Ses mains caressent mon visage, ses yeux – quand j’ouvre les miens –

sont ouverts et suppliants, j’y vois une étincelle. Que je ne parviens pas à identifier.

– Sara chérie, murmure-t-il. Allons-y doucement. Je te ramène.

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- Sara chérie. Je t'entends presque penser... crie George de son bureau. Trident et de plus en plus hystérique. "Calme tes sens. J'ai mis une flasque dans le tiroir de ton bureau. Elle est rose et pailletée mais ne tombe pas amoureuse : elle m'appartient".

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- Ce que je veux dire, c'est que tu es merveilleux. J'ai envie de t'embrasser dans un bar. Je m'en fous si quelqu'un me voit et pense : Wahou ! Cette femme a envie de devenir madame Stella. Comme c'est pathétique ! Est-ce qu'elle sait qu'il baise une femme différente tous les soirs ?

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