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Je la regarde remettre son jean, attacher son soutien-gorge, enfiler son pull. Mais je ne pense pas l'avoir désirée autant qu'à ce moment précis, quand je l'observe se rependre.

Je suis en train de tomber amoureux. Je suis vraiment baisé

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« Moi aussi, j'ai peur, Sara. J'ai peur de n'être que de passage pour toi. j'ai peur de faire le con et de tout gâcher. J'ai peur que tu te lasses. Mais le fait est que je ne désire personne d'autre. Tu as totalement détruit ma capacité à regarder une femme qui ne serait pas toi.»

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J’observe son visage : ses yeux se sont agrandis à l’extrême – ils ont à peu près la taille de deux assiettes à dessert. Franchement, je n’en ai jamais vu d’aussi grands. Ils pourraient quasiment appartenir à un lémurien.

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<< -On a environ dix minutes avant d'être servis. Tu penses pouvoir jouir dans ce laps de temps?

Ce n'est pas comme s'il avait déjà deux doigts en moi. Mais pour une raison ou une autre, il a dit ça. Je réalise où nous sommes. C'est un drame: savoir ce que je devrais faire dans un restaurant aussi calme - siroter mon thé, savourer mon déjeuner - et le désir de faire quelque chose qui ne me ressemble pas. Laisser cet homme me prendre avec les doigts alors que n'importe qui peut à n'importe quel moment débouler et nous surprendre.

C'est, encore une fois, le même fantasme fou que dans la boîte,: la possibilité de faire un break avec la réalité.

Il commence à caresser mon clitoris en gardant ses doigts enfoncés très profondément, sans les mouvoir. Son bras a à peine bougé sur la table. Dessous, là où la nappe frôle nos jambes, une explosions se prépare.

Je fixe son bras, sa chemise qui dépasse de sa veste, je sens qu'il me regarde, qu'il a conscience de chaque respiration, de chaque gémissement, qu'il me voit me mordre les lèvres pour éviter de gémir. Ses caresse ferme et sûres font monter une douleur sourde entre mes jambes et je m'empale sur ses doigts, j'en veux plus, et plus fort. Au fond, un plat vient de s'écraser par terre.

Max gémit doucement mon prénom.

Le garçon émerge de la cuisine et dirige vers nous.

-Regarde-toi, dit Max en se penchant pour m'embrasser dans le cou, juste sous l'oreille. Sa respiration est chaude sur ma peau et je suis déchirée entre deux désirs contradictoires: me concentrer sur ses doigts ou m'inquiéter du serveur qui se dirige vers notre table. La combinaison de ses caresses et de la peur d'être surprise me rend folle. Comme s'il le devinait, Max murmure:

-Personne ici ne sait que tu es sur le point de jouir entre mes doigts.

Je m'attends à ce qu'il s'interrompe, qu'il pose sa main sur la table... Max immobilise son pouce au moment où le serveur s'arrête à notre table et remplit son verre d'eau. Les glaçons s'entrechoquent contre le verre, une goutte de condensation glisse du rebord à la nappe, s'élargit en coulant. Comme si le verre se confondait avec moi. De la table, on peut croire que Max à seulement posé la main sur ma jambe. Il passe son doigt sur mon clitoris, encore une fois. Je gémis de plaisir.

-Vos plats arrivent dans une petite minute, annonce le serveur avec un sourire insipide.

Max presse mon clitoris, je mords l'intérieur de ma joue pour m'empêcher de crier tout haut. Il sourit au serveur:

-Merci.

Celui-ci tourne les talons et s'éloigne. Max me regarde, son espièglerie à peine masquée, un soulagement intense mêlé à une touche de déception. Je suis en fusion.

-Tu y es, murmure-t-il en tournant sa main contre moi. Il fait rentrer un troisième doigt. Il m'amène à la limite délicieuse de la douleur et je me sens totalement indécente, comme si je faisais quelque chose d'irrémédiablement obscène. Il me regarde le désirer.

<<-Oh putain, Sara, tu y es!>>

Mes ongles s'enfoncent dans le coussin de cuir sous mes fesses et il commence à bouger ses doigts, au risque d'être découvert. Ma tête tombe en arrière contre la banquette. Mon gémissement, à peine audible, est inversement proportionnel à l'orgasme totalement renversant qui prend possession de mon corps.

-Oh mon Dieu! Je soupire. Il prolonge le plaisir en enfonçant ses doigts encore plus loin. Je colle mon visage contre son épaule pour étouffer mon cri.

Il ralentit, s'immobilise avant d'embrasser ma tempe. Il retire lentement ses doigts et, avant des les essuyer sur sa serviette, il les passe sur sa bouche.

Il se lèche les lèvres en me regardant:

-Ta langue est sucrée, mais ta chatte a encore meilleure goût. Il se penche et m'embrasse profondément. <<Je veux sentir ma queue en toi la prochaine fois.>>

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Je retire mes ballerines bleues avec le drapeau anglais brodé sur le dessus, et j’enlève mon slim noir en grommelant :

– Tu n’as même pas fait attention à mes chaussures.

– Bien sûr que si. God save the Queen ! fait-il avec un clin d’œil. Je remarque tout sur toi, Sara.

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En finir avec ma vie passée à Chicago n'a pas été de tout repos. Une véritable déflagration.

Pour être honnête, j'y suis un peu pour quelque chose... En une semaine, j'ai vendu ma voiture, quitté ma maison et un petit copain sans intérêt. Et même si j'ai rassuré mes parents, super protecteurs, en leur assurant que je savais ce que je faisais, j'ai attendu d'être à l'aéroport pour appeler ma meilleure amie et lui dire que je la rejoignais.

Tout cadre parfaitement. Tout est parfaitement clair, maintenant.

Je suis prête pour un nouveau départ.

— Chloé ? C'est moi.

Ma voix tremble, je lance un regard circulaire dans le terminal. « Je pars pour New York. J'espère que ça tient toujours pour le job. »

Elle se met à hurler d'excitation, laisse tomber son téléphone. Je l'entends dire à quelqu'un, là-bas, que tout va bien.

— Sara arrive ! s'écrie-t-elle.

J'ai des papillons dans l'estomac à la simple idée de me lancer avec eux dans cette nouvelle aventure. « Elle a changé d'avis, Bennett ! »

On applaudit de l'autre côté du fil. Bennett grommelle quelque chose que je ne comprends pas.

— Qu'est-ce qu'il a dit ?

— Il a demandé si Andy venait avec toi.

— Non.

Je m'arrête un instant. Je repousse le malaise qui envahit ma gorge. Je suis restée six ans avec Andy. J'ai beau être heureuse d'en avoir fini avec cette histoire, le virage que prend mon existence est trop spectaculaire pour que j'y croie tout à fait.

— Je l'ai quitté.

Elle soupire :

— Et tu tiens le choc ?

— Ouais !

C'est vrai. Je ne me rends pas encore compte à quel point.

— Je pense que c'est vraiment une très bonne chose... Elle laisse la phrase en l'air, écoute Bennett parler. « Bennett dit que tu vas filer à travers le pays comme une comète. »

Je me mords la lèvre en retenant une grimace.

— Ne nous emballons pas. Je suis tout juste à l'aéroport.

Chloé pousse des petits cris stridents et puis me promet de venir me chercher à La Guardia.

Je souris et raccroche. Je tends mon billet d'avion à une hôtesse de l'air. Une comète, c'est trop déterminé, trop bien piloté. Je me vois plutôt comme une étoile un peu fatiguée, à court de carburant. Je me recroqueville sur moi-même sous l'effet de ma propre gravité. Je n'ai plus assez d'énergie pour ma vie trop parfaite, mon job trop prévisible, ma relation sans passion – épuisée, à seulement vingt-sept ans. Ma vie à Chicago s'est éteinte toute seule, comme une étoile morte. Il est temps de partir.

Les étoiles les plus importantes laissent des trous noirs derrière elles. Les petites, d'infimes traces blanches. J'abandonne à peine une ombre à Chicago. J'emporte toute la lumière.

Je suis prête à repartir comme une comète : me ravitailler, me rallumer et filer dans le ciel.

Chapitre 1

— Tu mets la robe argentée ou je te tue ! me crie Julia du coin-cuisine, comme je l'appelle. Un espace certainement pas assez grand pour le considérer comme une cuisine à part entière.

Je suis passée d'une maison victorienne pleine d'échos et de recoins, dans la banlieue de Chicago, à un appartement adorable de l'East Village. De la taille de mon salon. J'exagère à peine. Ça a l'air encore plus petit depuis que j'ai déballé mes cartons et tout installé, avec mes deux meilleures amies au milieu. Le salon-salle à manger-coin-cuisine est encadré par d'immenses baies-vitrées – mais ça fait plus aquarium que palace. Julia est en ville pour le week-end et la fête de ce soir, et elle m'a déjà demandé dix fois pourquoi j'ai choisi un appartement si petit.

À vrai dire, je l'ai choisi parce qu'il est différent de tout ce que j'ai connu jusque-là. C'est aussi la première chose qu'on trouve quand on arrive à New York sur un coup de tête.

Devant le miroir de la chambre, je tire sur l'ourlet de la minirobe à sequins. Mes jambes, qu'on voit dans leur intégralité, sont pâles à faire peur. Et je vais montrer ça ce soir ? Je me gifle intérieurement : mon premier réflexe a été de me demander si Andy trouverait ça trop voyant. En fait, je réalise que j'adore l'idée. Je dois absolument me débarrasser de ces vieux automatismes qui me renvoient à Andy. Au plus vite.

— Donne-moi une seule bonne raison de ne pas porter ça ce soir !

Chloé entre dans la chambre, sa robe d'un bleu profond flotte autour d'elle comme une aura. Elle est éblouissante, comme d'habitude.

— Je n'en vois aucune. On va boire et danser : montrer ses jambes, c'est la base.

— Mes jambes jusqu'en haut des cuisses ? J'en suis encore au stade « fille fraîchement célibataire et coincée ».

— Il y aura plein de filles là-bas qui se baladeront les fesses à l'air. Tu n'auras rien d'une extraterrestre avec une robe même ultra-courte, si c'est ce qui t'inquiète. D'ailleurs, il est trop tard pour changer d'avis : la limousine est en bas, conclut-elle, en jetant un coup d'œil à la rue, par la fenêtre.

— C'est toi qui devrais montrer tes fesses, après trois semaines en France à bronzer nue au soleil, un cocktail à la main !

Chloé me sourit avec un clin d'œil et serre mon bras :

— On y va, ma belle. J'ai passé ces dernières semaines avec BB1, je suis plus impatiente que jamais à l'idée de passer une soirée entre filles !

Nous nous installons dans la voiture qui nous attend et Julia débouche le champagne. Après une gorgée de bulles pétillantes, j'ai l'impression que le monde s'évapore. Rien n'existe plus à part trois jeunes amies dans une limousine qui dévale les rues à vive allure pour célébrer un nouveau départ.

Et, ce soir, on ne fête pas seulement mon arrivée : Chloé Mills va se marier, Julia est là en week-end et la nouvelle Sara célibataire doit vivre un peu.

~

La boîte de nuit est sombre, assourdissante de musique et pleine à craquer de corps en train de se tortiller – sur le dance-floor, dans les couloirs, contre le bar. Une DJ mixe sur une petite scène, des flyers placardés à l'entrée promettent qu'elle est la toute nouvelle et très sexy DJ Chelsea.

Julia et Chloé semblent être dans leur élément. J'ai passé la plus grande partie de mon enfance et de ma vie d'adulte dans des événements mondains calmes et formels. Je réalise que je suis en train de me débarrasser de mon existence sans vagues passée à Chicago, pour vivre le rêve new-yorkais.

C'est parfait.

Je me fraye un chemin jusqu'au bar – les joues rouges, les cheveux humides et les jambes douloureuses à force de rester debout. (Un lointain souvenir, où donc ai-je passé ces dernières années ? Certainement pas en boîte de nuit !)

Je crie : « S'il vous plaît ! » en espérant attirer l'attention du barman. Sans avoir aucune idée de ce qu'ils contenaient, j'ai déjà commandé un Slippery Nipple, un Orgasm et un Sex on the Beach. À cette heure-ci, la boîte est si bondée, la musique si forte, qu'il ne me voit même pas. OK, il ne sait pas où donner de la tête mais, quand même, faire des shooters aussi lentement, c'est agaçant. En plus, j'ai une amie tout juste fiancée en train de mettre le feu au dance-floor et une autre en manque d'alcool.

Je m'égosille en frappant le bar : « Hé ho ! »

— Il fait exprès de t'ignorer, hein ?

Je regarde par-dessus mon épaule (et plus haut encore) l'homme collé contre moi, au bar. Il a la taille d'un séquoia, ou presque ! Il désigne le barman d'un signe de tête pour être sûr de se faire comprendre.

— Il ne faut jamais crier sur un barman, princesse. Surtout s'il sait ce que tu vas prendre : Pete déteste faire des cocktails de fille.

Bien sûr. C'est bien ma chance de rencontrer un mec sublime alors que je viens de jurer que tout ça, c'est fini pour moi. Un type avec un charmant accent so british. Le destin se fout de ma gueule.

— Et comment sais-tu ce que je vais commander ?

Mon rictus s'élargit. Lui aussi me sourit, il a tout de même l'air moins ivre que moi. Sans tous les shooters que j'ai ingurgités, j'aurais à peine fait attention à lui. Une Sara sobre aurait répondu par monosyllabes et un hochement de tête gêné. Ç'aurait été tout.

— Je vais peut-être demander une pinte de Guinness. Qui sait ?

— Impossible. Je t'ai vu commander des petits verres violets toute la soirée.

Il m'a observée toute la soirée ? Je n'arrive pas à savoir si je trouve ça fantastique ou angoissant. Je pivote sur mes talons, il suit mes mouvements. Il a un visage carré à la mâchoire marquée, des pommettes saillantes et des yeux lumineux. Une fossette se creuse sur sa joue gauche quand il sourit. Ce mec mesure bien plus d'un mètre quatre-vingt-dix, explorer son torse pourrait me prendre des années.

Salut, Big Apple.

Le barman se retourne et jette un coup d'œil au type à côté de moi. Mon bel Anglais hausse à peine la voix. Grave et profonde, elle porte sans effort :

— Trois doigts de Macallan's, Pete, et quelque chose pour mademoiselle. Tu l'as fait attendre !

Il se tourne vers moi, avec un sourire qui a pour effet d'infuser une chaleur suspecte dans mon ventre

— Combien de doigts pour vous ?

Ses mots résonnent dans mon cerveau, et soudain, de l'adrénaline coule dans mes veines :

— Qu'est-ce que tu viens de dire ?

Innocence. Il se concocte une expression d'un angélisme diabolique. Et ça fonctionne. Même si, aucun doute, on ne peut déceler chez ce type le moindre brin d'innocence.

— Est-ce que tu viens de m'offrir trois doigts ?

Il se met à rire, pose sa main immense sur le bar entre nous. Ses doigts sont du genre à pouvoir faire disparaître un ballon de basket

— Deux devraient suffire pour commencer, princesse.

Je le fixe avec intensité. Ses yeux sont joueurs, il se tient près mais pas trop, suffisamment pour que je comprenne qu'il a choisi ce côté du bar pour me parler.

— C'est un sous-entendu ?

Le barman donne un coup sec sur le bar et me demande ce qu'il me sert. Je m'éclaircis la gorge pour affermir ma voix :

— Trois Blow Jobs.

J'ignore son sifflement irrité et je fixe de nouveau mon attention sur mon inconnu.

— Tu ne parles pas comme une New-Yorkaise, dit-il en cessant de sourire – mais la lueur dans son regard ne disparaît pas.

— Toi non plus.

— Gagné. Je suis né à Leeds, j'ai travaillé à Londres avant de venir ici, il y a six ans.

— Cinq jours ! fais-je en me pointant du doigt. Je viens de Chicago. L'entreprise pour laquelle je travaille a ouvert des bureaux ici et m'a offert la tête du département financier.

Waouh Sara. Trop d'informations d'un coup ! Et si c'était un serial killer ?

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" - Et comment vais-je t'appeler ?

- Comme tout à l'heure.

- Princesse ?

J'acquiese.

- Et comment vas-tu m'appeler quand tu seras sur le point de jouir ?

Il m'embrasse légèrement. Mon cœur bat très fort à la simple évocation de l'acte:

- Je ne pense pas que ça ait une grande importance. Je t'appellerai bien comme je voudrai.

- Ma foi, concède-t-il en haussant les épaules.

Je prends sa main et la dirige vers ma hanche :

- J'ai été la seule à me faire jouir pendant un an.

Je fais bouger ses doigts sur le bord de ma robe et murmure :

- Est-ce que tu vas arranger ça ? "

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J'ai admis que j’aurai du la prévenir et quelle a reconnu qu'elle avait exagéré. Mais son baiser se fait profond: elle tient mon visage entre ses mains, la bouche ouverte affamée. Finalement, elle monte sur mes genoux.

-Pourquoi es-tu si gentil? murmure-t-elle avant de m’empêcher de répondre en m’embrassant.

Mais j'ai envie de lui répondre. C'est trop important pour être passé sous silence. Je ne me vois pas fourrer ma main dans sa culotte ou la prendre sous un arbre. Je m'écarte un peu.

-Je suis gentil parce que je tiens vraiment à toi.

-Est-ce que ça t'arrive de mentir? demande-t-elle en me fouillant du regard.

-Bien sur. Mais pourquoi est-ce que je te mentirais?

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" - Quoi, tu penses que la cage d'escalier du dix-huitième étage, c'est mieux ?

Il tourne la tête vers Chloé :

- Sérieux, Chlo ? Tu lui as raconté ça ?

- Bien sûr !

Elle fait un geste d'impatience. Derrière elle, Max éclate de rire :

- Tu as fait ça Bennett ? Baiser ton assistante au boulot ?

- Et pas qu'une fois, murmure Chloé. "

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- A propos de ça. Ca reste entre nous, hein ?

- Bien sûr,répond-il, l'air offensé. Je suis peut-être un connard mais je suis un connard de confiance. Ca ne serait pas mieux que tu viennes chez moi pour qu'on, je sais pas, se fasse les ongles pendant qu'on discute de nos sentiments ?

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