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Commentaires de livres faits par Caly

Extraits de livres par Caly

Commentaires de livres appréciés par Caly

Extraits de livres appréciés par Caly

Dernier tome de la série, c'est avec crainte que je l'ai commencé suite à la déception du précédent tome. Si je n'irais pas jusqu'à prétendre à une révélation, ce tome 3 relève un peu le niveau après un second tome vraiment trop palot.
Ce dernier tome va mettre un terme quand au choix finaux de Madison et de la quête de son corps. Dommage que la encore, la mythologie de la série soit à peine survolé avec un univers angélique toujours aussi peu exploité. Et pas non plus de "grandes" révélations qui vont bouleversées la donne. Du coup, on lit un récit beaucoup trop lisse avec des personnages qui manquent toujours de profondeurs et des enjeux aux ambitions trop sommaire pour que le récit devienne additif.

Au final, l'inconvénient de cette série est de rester beaucoup trop en surface sans jamais réellement approfondir. Kim Harrison devrait faire attention de ne pas prendre le lectorat jeune comme une "proie" facile (surtout quand des auteurs comme Richelle Mead et son Vampire Academy sont passées par là). Une série sympathique mais trop courte (les livres ont très peu de pages) pour réellement exploiter l'univers et en donner pour son argent au lecteur. Je vous conseille plutôt de lire Rachel Morgan du même auteur et qui surpasse cette série en tout point.
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Un tome 2 qui m'a déçu. Si j'avais trouvé le premier tome sympathique, ce second tome manque cruellement d'ambition. Pour expliquer mon ressenti, c'est un peu comme être face à un épisode pris au hasard d'une série américaine à rallonge: une histoire comme on peut en faire des centaines d'autres et qui manque d'éléments perturbateurs pour relancer l'intrigue. Tel quel, on pourrait avoir 50 tomes de Madison Avery sauf qu'il s'agit bel et bien d'une trilogie. Du coup, on se demande donc si Kim Harrison n'a pas utilisé toutes ses cartes dés le premier tome.
Ce n'est d'ailleurs pas la seule déception car le livre, outre le manque d'approfondissement de l'univers "angélique", occulte presque entièrement la vie de Madison chez elle et dans son école pour se concentrer uniquement sur sa « mission » de prévention de fauchage. Du coup, on perd beaucoup sur les personnages tels le petit amis Josh qui reste toujours aussi palot et empêche le lecteur de vraiment ressentir la romance entre lui et Madison. La seule à tirer son épingle du jeu, c'est Nakita dont j'apprécie beaucoup le personnage mais même elle ne parviendra pas à palier l'absence d'évolution quand à la mythologie de la série. Du coup, on finit le roman avec le sentiment de vite lu et vite oublié.
Au final, une lecture anecdotique et c'est bien dommage car Kim Harrison nous a montré tellement plus de talent dans sa série phare Rachel Morgan. Reste maintenant à voir si le dernier tome relèvera le niveau après un tome 2 plutôt fade.
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Avant toute chose, il faut savoir que la trilogie de Madison Avery fait suite à une nouvelle qui se nomme : « Madison Avery et l’Ange des Ténèbres ». Cette dernière est disponible chez nous aux éditions Hachette (Black Moon) dans le recueil « Nuits d’Enfer au Paradis ». Ceux qui sautent cette nouvelle risquent donc d’avoir le sentiment d’avoir louper le début (ce qui sera effectivement vrai). Dommage de devoir faire appel à ce recueil pour avoir l’intégral de l’histoire mais il aurait été encore plus dommage de ne pas avoir cette trilogie chez nous. Il faut dire que Kim Harrison a déjà fait montre de son talent dans l’excellente saga Rachel Morgan (que je recommande chaudement) et que c’est donc avec plaisir que je retrouve la patte de l’auteur.

Cette série, écrite à la première personne nous mets dans la peau de Madison qui est morte lors de son 17éme anniversaire par un inconnu. Ce dernier, un ange des ténèbres, n’a cependant pas réussi comme il l’escompter à détruire son âme par la même occasion, offrant l’occasion à Madison de voler l’amulette de l’Ange, source de son pouvoir. Une amulette qui permet à Madison de donner l’illusion d’un corps et de rester vivre parmi les humains. Les anges de la lumière ont alors décidé de la protéger dans sa vie de tous les jours mais Madison ignore toujours la raison pour laquelle l’ange souhaite la tuer et pourquoi elle a réussi à s’approprier cette amulette.

Les anges semblent plutôt à la mode ces temps ci et je ne suis pas surpris de voir Castelmore s’y mettre eux aussi avec cette sympathique trilogie. Ce tome 1 s’axera avant tout sur la quête de la vérité pour Madison. Cette dernière est un personnage sympathique avec suffisamment d’originalité pour ne pas tomber dans les éternelles similis du genre. L’intrigue est plutôt prenante et je trouve les révélations assez bonnes. On évite le coté manichéens dont laissés penser le début du récit pour un aspect beaucoup plus complexe (je pense notamment aux deux factions, les Anges de la Lumière et celle des Ténèbres). La plus grosse ombres au tableau, c’est surtout un récit bien trop court alors que j’aurais aimé que Kim Harrison approfondisse l’univers des anges et la vie sociale de Madison (j’aime bien quand on mentionne son tallent de photographe). La fin de ce tome est quand à elle tout à fait bonne et répondra à toutes nos questions même si le tome 2 et 3 indique que les aventures de Madison ne sont pas finies pour autant (on peut donc tester le tome 1 sans crainte et prendre la suite que si on a aimé).

Ce tome 1 n’est pas un grand roman mais reste une aventure sympathique à suivre et assez courte. On n’atteint pas le niveau d’un Vampire Academy et la série ne devrait pas faire d’ombre à l’œuvre phare de son auteur, Rachel Morgan (que je recommande une fois de plus !). Cela n’est pas une raison pour bouder mon plaisir et cette série conviendra parfaitement à ceux qui ont déjà fait le tour des œuvres majeures pour jeunes adultes du moment.
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Déroutant, c’est le mot qui me vient à l’esprit quand j’ai lu ce tome 1 Démoniaque. Il faut dire que ce roman se trouve très loin de ce à quoi je m’étais attendu. D’ailleurs, ceux qui attendent un roman du style de Laurell K. Hamilton et autres Cassandra O’Donnell, le mieux est de passer son chemin.

Certes, le récit est à la première personne avec une héroïne au fort caractère dans un univers contemporain. Mais en premier lieu, sachez que j’ai trouvé le récit beaucoup moins accessibles que des romans du style Anita Blake. L’histoire avance à un rythme plutôt lent et l’action, bien que présente, manque cruellement d’intensité. Le plus frustrant revenant à l’intrigue en elle-même. Celle-ci se concentre sur l’héroïne, le passé que sa mère lui a fait oublier et les secrets de son statut. Sauf que chaque rencontre semble être un véritable calvaire car pour faire simple, tout le monde hormis l’héroïne (et donc le lecteur) semblent connaitre la vérité et les secrets qui concernent Maxime. Sauf que personne ne semble disposé à dire quoi que ce soit : « on a promit de garder le secret », « c’est quelque chose que tu devras apprendre par toi-même », « ce n’est pas à moi de te le dire »… On pourrait faire un roman de ce genre de situation dans le livre (d’ailleurs, c’est exactement ce que semble avoir fait Marjorie M. Liu !). Et quand on « lâche » quelques révélations, tout ce fait par énigmes et par bribes de discussions syllabiques. Du coup, on finit assez vite déconnecté de l’ouvrage et c’est dommage car l’auteur à de l’idée avec un style littéraire assez recherché.

L’intrigue n’est malheureusement pas le seul point négatif du livre avec des personnages qui manquent eux aussi de saveurs. Je ne me suis, pour ainsi dire, attaché à aucun personnage de ce livre. L’auteur traite les pensées de Max de manière bien trop analytiques pour en faire un personnage attachant et ce, malgré la situation désespéré a laquelle se trouve Max. Ce n’est pas faute d’avoir créées des situations émouvantes mais la sauce ne prend pas.
C’est tristement le même sort que subiront les seconds rôles sans la moindre exception. Que ces derniers meurent ne me fera pas tiré la moindre larme. Même sa relation avec Grant manque cruellement de panache et la romance du couple tombe complètement à plat (ne vous attendez d’ailleurs pas à beaucoup de romance, ce n’est clairement pas le sujet du récit).

Au final, Démoniaque se trouve être un récit peu accessible et assez irritant par ses trop nombreuses révélations syllabiques et des personnages qui manquent clairement de saveurs. Un coup dans l’eau et je ne pense pas prendre la suite des aventure de Max.
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Le premier tome n'avait aucunement brillé par son histoire et son originalité. On ne pouvait toutefois lui reprocher son manque de rythme ou son écriture fluide. Mais pour le tome 2, il fallait que l'auteur complexifie son œuvre et c'est bien le cas.
Sabina arrive en compagnie d'Adam à New York qui est détenue par les mages. L'heure pour elle de rencontrer cet énigmatique sœur jumelle et d'apprendre à utiliser les pouvoirs qui sont les siens. Et si l'accueil lui semble chaleureux, il ne faudra pas attendre longtemps pour qu'elle soit l'objet de tentatives d'assassinats.

Si l'auteur donnait quelques indications quand à la suite de sa série dans le tome 1, ce n'était clairement pas la dominance du récit. L'auteur s'attaque donc aux choses "sérieuses" à partir de ce tome qui révélera les véritables ennemis et les enjeux à long termes. Prophétie, élue, guerre à l'horizon... on ne peut pas dire que cela transpire l'originalité mais c'est sans compter sur le tallent de Jaye Wells qui, une fois de plus nous transmet un récit bien huilé et sans temps mort.
L'autre surprise venant de l'évolution de Sabina Kane. En pleine crise existentielle, elle nous apparaitra bien plus sympathique et fragile qu'elle ne l'était dans le tome 1. Quand à sa sœur Maisie, c'est simple, on l'aime dés les premières lignes ou elle apparait et l'on éprouve, tout autant que Sabina le besoin de la protéger. Mais n'oublions pas l'une des véritables stars du roman : le démon Giguhl. L'auteur l'a bien compris et nous offre sa présence à de très nombreux passages. La relation qu'il entretien avec Sabina est toujours aussi savoureuse et l'évolution de l'intrigue le concernant nous promet de beaux passages pour la suite des aventures de Sabina.

Un récit qui se trouve donc toujours aussi savoureux et addictive. Je regrette toutefois que l'auteur se sente investie de suivre la "tendance" en nous pondant une scène chaude la ou une ellipse aurait très bien pu faire l'affaire (d'autant plus que le premier tome en était dépourvu). Autre regret, la fin du tome (il ne s'agit pas tant d'un clifhanger que d'une situation houleuse) qui va maintenant nous pousser à attendre avec beaucoup d'impatience le tome 3. Cela n'enlève en rien le plaisir de la lecture mais je me dit que l'auteur aurait pu épargner le lecteur en faisant parvenir cette "situation" au début du troisième tome. Car maintenant, il ne reste plus qu'à prendre mon mal en patience dans l'attente du tome 3.
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L'histoire/univers :

Dans cette série qui se passe à notre époque, les sorcières existent même si elles restent dans l'anonymat. Elles vivent en groupe/famille dans leurs sanctuaires et se partagent le territoire d'un pays. Les guerres de pouvoirs sont monnaies courantes entre les différents clans. Pour se défendre, la sorcière en chef (la plus puissante) créée des Lames d'Ombres et des Lances Solaires qui acquiert l'immortalité et des forces surhumaines (les Lames d'ombres ne peuvent se déplacer à la lumière du soleil et inversement avec les Lances Solaires). En contre partie, chaque soldat créé se voit imposer un sort de contrainte qui l'oblige à obéir et protéger sa sorcière quoi qu'il arrive.
Max est une Lames d'Ombres et pas n'importe la quelle, c'est la Prime. A savoir donc qu'elle est en charge de toutes les Lames d'Ombres du sanctuaire Horngate et est la principale responsable de la protection de Giselle, sa sorcière. Poste plutôt enviable si Max n'avait pas l'ardent désir de tuer Giselle. Bien qu'anciennement amie, Max en veut énormément à cette dernière pour lui avoir voler sa liberté 30 ans plus tôt (et les énormes avantages qu'elle en dire n'y feront rien). Haine qui se voit tempérer pour l'amour qu'elle porte au sanctuaire et à l'amitié qu'elle entretien avec les autres Lames d'Ombres.
Les choses ne sont pas prêt de s'arranger pour Max puisque les Gardiens, des êtres surpuissants, ont décidé que pour préserver la terre (et la magie qui en découle), il fallait anéantir l'espèce humaine et que le mieux pour y parvenir était de demander aux sorcières de s'en occuper à leurs places!

Le style de l'ouvrage :

Comme il n'est pas toujours aisé de connaitre le style de chaque ouvrage, il faut savoir qu'il s'agit d'un récit écrit à la troisième personne mais que l'auteur ne conserve que deux point de vue durant tout le récit : Max et Alexander. Le roman se veut avant tout de l'Urban Fantasy et ne vous attendez pas trop à de la romance. Si Max exprime sa libido à quelques reprise, cela reste assez rare et le personnage se concentre avant tout sur sa quête. Un lien/romance va se créer entre Max et Alexander mais il ne s'agit pas de la dominance du récit et nous n'avons aucune scène d'amour ou même "chaude".

Mes impressions :

J'ai acheté ce premier tome par pure curiosité et je dois dire que je suis très agréablement surprit par celui-ci. Les événements s'enchainent sans temps mort et l'auteur créée un rythme haletant du début jusqu'à la fin.
L'héroïne Max tient beaucoup à mon attachement au bouquin. Il s'agit d'une guerrière et son statut de "leader" apporte un petit plus non négligeable. Véritable tête brûlé qui ne mâche jamais ses mots, il faut la voir tenir tête à sa sorcière ou contourner les sorts de contraintes pour faire comme il lui chante. La relation Max/Giselle est d'ailleurs assez ambigu car si Max éprouve de la haine à son encontre, Giselle quand à elle semble éprouver énormément de sympathie envers Max et ne semble pas porter sur le vice. Un contraste plutôt saisissant quand on sait que Giselle c'est quand même permis de torturer et briser Max à plusieurs reprise dans le passé.
Les autres personnages du livre sont, pour la majorités, tout justes survolés et seul Alexander sortira du lot. Ce dernier est lui aussi une Lame d'Ombre Prime mais d'une sorcière aux tendances sadiques (et comme par hasard, elle est française!). Les événements font qu'il perdra ses liens avec sa sorcière et deviendra une Lame de Max. Dommage que son personnage soit un peu trop manichéen à mon gout et que l'auteur nous bombarde de "je suis ton ancien ennemi, je sais que tu ne peux pas me faire confiance". Pour autant, vu l'excellence du reste du bouquin, c'est un aspect que je pardonne aisément d'autant que la suite semble des plus prometteuse.
Le Cercle des Sorcières est donc une très bonne surprise avec un premier tome qui démarre sur les chapeaux de roues. L’auteur nous offre un récit addictif et sans temps mort avec une héroïne qui sort véritablement du lot. J'ai déjà hâte de lire la suite et vous recommande donc ce tome 1 qui me laisse une très bonne impression.
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Avant de commencer le roman, tout comme Masques, j'aimerais souligner que l'auteur nous offre une postface ou elle indique les raisons et les circonstances qui l'ont poussé à écrire cette suite. Si il s'agit de quelques chose de complétement facultatif à la lecture, j'apprécie beaucoup le coté instructif de la chose.


L'Épreuve du Loup se situe peu après le tome 1. Aralorn revient chez elle pour assister aux obsèques de son père mais très vite, elle se rend compte que son père n'est pas mort, juste ensorcelé et que tout ceci fait parti d'un piège pour l'attirer elle et Loup. Pourquoi? Cela a t-il un lien avec le défunt ar'Magi? Est-il seulement mort comme on le croit?

Après avoir fini le livre, le premier constat est que le roman s'avère bien mieux structurer que Masques. Briggs n'est plus à son premier essai même si elle n'a pas encore parfait son style. Les événements s'enchainent donc avec beaucoup plus de naturel. De voir Aralorn revenir dans un terrain familier (à savoir la maison ou elle a grandi) apporte un plus à l'ouvrage même si tout comme Masques, je n'ai pas ressenti l'étincelle qui fait que j'aurais eu envi de dévorer le livre. Car tout comme le tome 1, le roman pèche un peu dans ses personnages qui nous sont, pour la plus part, sympathiques mais sans vraiment être réellement attachants. C'est malheureusement aussi le cas pour Aralorn et Loup dont la romance ne nous émeut que bien peu. Reste alors l'histoire qui est suffisamment bien écrite pour brouillé les piste quand à savoir qui est le coupable. Pour autant, pas non plus de grands moments ou de passages épiques qui auraient pu augmenter la tension du récit.

En découle de tout ça un récit sympathique mais malheureusement assez anecdotique. Je pense d'ailleurs que sans le nom de l'auteur, ce roman serait rester dans l'anonymat le plus total et n'aurait pas attirer l'attention d'un éditeur français. Un tome qui se réserve donc avant tout aux fans de Patricia Briggs.
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Comme souvent dans cette série, bien que avare en révélation, la fin du tome 5 avait laissé sous-entendre qu'il existe peut-être un espoir de sauver l'âme de Georgina de l'enfer. Bien que nous ignorons encore de quoi il s'agit, on se doute que pour ce dernier tome, nous aurons les réponses à nos questions mais quand à savoir si la fin sera heureuse et si l'amour triomphera...

Alors que tout semble s'arranger dans la vie de Georgina et qu'elle accepte enfin une relation sans compromis avec celui qu'elle aime, un message de l'enfer va venir tout chambouler. Cette dernière se voit donc transférer de Seattle à Las Vegas. Pas d'inquiétude toutefois, la majeure partie du livre se passe bien à Seattle et nous retrouverons tout les personnages que l'on connait. En faite, ce transfert fait surtout figure d'ultimatum au récit (Seth se retrouve donc entre 2 feux, celle qu'il aime à Las Vegas et sa famille qui a grand besoin de lui à Seattle).
Un transfert qui, lors de sa visite professionnel de 2 jours à Las Vegas prend une vision idyllique : un endroit de rêve pour Succube rattaché à l'archidémon qu'elle préfère et secondée par son ami incube de toujours : Bastien. Elle décroche même le poste de danseuse dont elle a toujours rêvé. Une vision sans doute un peu trop idyllique justement...

Mais la véritable star de l'intrigue dans ce tome, c'est Roman. Ce dernier se décarcasse comme un fou pour découvrir se qui se cache derrière les manoeuvres de l'enfer et j'avoue qu'il est dommage de voir Georgina passif de ce coté la. C'est ce dernier qui va découvrir la vérité qui se cache derrière les dernières paroles d'Erik et tout faire pour sauver l'âme de celle qu'il aime. Le point culminant revenant au "jugement" qui sera stressant au possible et d'une intensité rare.

Les personnages ne seront pas en reste car si Georgina reste un peu en retrait sur l'intrigue, elle a quoi faire avec les relations. La mère de Seth et le jeune frère de ce dernier arrivent en ville pour aider. Une relation Succube/Belle mère, voila qui a de quoi intriguer mais hormis un ou deux passages sympathiques, cela reste trop anecdotique à mon gout. Je prend toutefois toujours autant de plaisir à voir la relation qu'entretien Georgina avec la famille Mortensen. Une famille que j'aime vraiment avec toutes ces petites filles adorables avec une mention pour Kayla.
Les amis immortelles ne sont pas en reste et j'avoue que c'est la première fois que Hugh va enfin m'apparaitre par ses bon cotés et véritablement justifié son amitié avec Georgina. Mais l'immortel que l'on retiendra surtout, c'est Carter une fois de plus. La relation qu'il a avec Georgina est toujours aussi touchante et sérieusement, j'ai adoré la scène ou il joue le Père Noel.

Avec ce tome, nous concluons donc l'histoire de Georgina Kincaid. Un peu dommage que l'épilogue soit un peu court mais je retiendrais surtout de cet oeuvre sa protagoniste. Rarement je n'ai eu d'héroïne aussi touchante et qui m'a mis les larmes aux yeux. Le personnage de Seth n'est d'ailleurs pas en reste et j'ai énormément apprécié son coté humain qui fait tant défaut aux autres "amants" dans ce genre de bouquin. C'est un peu avec peine que je les quittes mais l'auteur finit d'une bien belle façon. Richelle Mead conserve toutefois une corde à son arc pour un éventuel spin of mais qui, si il voit le jour, n'aura certainement rien a voir avec notre Succube.
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Georgina ne coule pas vraiment des jours heureux. Si a la fin du tome 4, elle avait préféré quitter Seth pour à peu prêt les mêmes raison que ce dernier l'avait quitter dans le tome 3, elle n'avait certes pas prévu que ce dernier, prit de culpabilité envers Maddie qu'il a tromper lui fasse une demande en mariage. Et comme Maddie ce sent très proche de Georgina, elle insiste pour que Georgina l'aide à préparer le mariage.
Quand aux problèmes surnaturels, Georgina ce sent attirée par une lumière spectrale chaque fois qu'elle a le blues et qui lui fait prendre des risques inconsidérés. Elle doit donc garder le morale mais pas facile quand elle doit préparer le mariage d'une amie qui épouse l'homme qu'elle aime.

Ce tome 5 diffère pas mal des autres tomes. Notamment car l'intrigue avance assez rapidement pour nous offrir quelque chose d'assez inattendu au tiers du tome : Georgina se fait séquestrer! Mais pas par n'importe qui mais par des créatures des rêves et qui la pousse à revivre son passé tout en lui créant son propre enfer personnel. C'est l'occasion pour Richelle Mead de revenir sur certains moments forts du passé de Letha et notamment quelques romances tragiques comme celle de Kyriakos ainsi qu'une histoire en Italie et une autre en France.

Mettre l'intrigue entre parenthèse pour revivre le passé de Letha a de quoi surprendre puisque cela coupe tout avancé de l'intrigue. Ce ne sera toutefois pas le cas car régulièrement, Georgina entrevoit le présent en rêve ou ses amis immortelles font tout pour la retrouver. Un tome 5 ou Georgina restera donc en grande partie passif et ou on la découvrira toujours un peu plus. L'inconvénient d'un tel procédé, c'est que cela coupe tout avancé des relations entre Georgina et les autres. Un peu dommage car c'est aussi l'un des points fort de cette série ou on prend toujours plaisir à voir Georgina interagir avec les autres (j'adore les passages ou Georgina passe du temps avec la famille Mortensen).
Mais avec une héroïne en coulisse, ce sera aux autres immortelles de prendre le devant de la scène avec notamment Roman que l'on retrouve depuis le tome 4. Ce dernier nous apparait bien plus humain et fragile que dans le premier tome et il perd beaucoup de l'antipathie que j'avais ressenti alors pour un monsieur trop parfait. La surprise venant aussi de Jerome qui se montre presque prévenant (je dit presque) envers notre Succube. Cela sera aussi l'occasion pour Georgina et Seth de remettre en question leurs relations l'un envers l'autre. A ce sujet d'ailleurs, la fin est assez amère pour certains personnages secondaires qui ne méritaient pas un tel sort.

Un tome 5 un peu différent des autres donc mais qui n'entache en rien le plaisir de lecture. J'aurais sans doute préféré des Flash Backs un peu mieux répartis sur les 6 tomes plutôt qu'un gros bloc qui prend une grosse partie de ce roman mais cela ne nuit en rien la qualité du récit. Il ne me reste plus qu'a entreprendre la lecture de l'ultime tome de la saga en espérant que Georgina aura finalement droit au bonheur qu'elle mérite.
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Dernier tome de la saga (du moins en apparence), ce tome 4 conclut les événements commencés dans le précédent tome. Pas beaucoup le temps de s'ennuyer puisque tout comme les tomes 1 et 2, les tomes 3 et 4 auraient très bien pu être un seul et unique volume. Donc autant dire que l'on on plonge directement dans le "bain" ce qui coince un peu car après 20 mois d'attente, difficile de retrouver tout ses repères si on n'a pas relu le tome 3 avant. Rien d'insurmontable cela dit et le petit récapitulatif en début de récit aide pas mal.
Donc comme je l'ai dit, les événements s'enchainent à toutes allures et n'offrent guère de répit jusqu'à la conclusion. Pas de grande originalité de ce coté la mais suffisamment d'action pour ne pas s'ennuyer une seconde. Dommage que l'auteur ne prennent pas trop le temps d'approfondir encore un peu son univers et le pouvoir d'invocateur de Tris. Ce dernier tout comme les autres protagonistes demeurent assez conventionnels et sans vraiment évoluer vis-à-vis des précédents romans. On remarque aussi que malgré la noirceur du récit, l'auteur fait preuve d'une certaine naïveté dans son écriture. A savoir donc que si vous recherchez un cycle bourré d'action ou chacun trouve son âme sœur et ou tout finit bien pour les protagonistes principaux, et bien ce livre devrait vous plaire mais il ne faut pas s'attendre à un cycle style "Trône de Fer".
Une saga qui ne fait pas beaucoup de bruit mais qui reste une plaisante lecture. Dommage que la conclusion soit si succincts et laisse un gout d'inachevée pour les personnages de Tris et Kiara. A noté que si les Chroniques du Nécromancien sont belles et bien finies, l'auteur a commencé un nouveau cycle qui fait suite : The Fallen Kings.
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Il n'est pas rare de voir une série décoller après le premier tome et j'ai donc continué la série malgré mon avis mitigé sur le tome 1 : Liens Infernaux. Et bien inutile de tourner autour du pot, la sauce n'a pas pris pour un tome 2 que je trouve même inférieur au précédent.
Le premier gros points négatifs, c'est l'histoire. Celle-ci se situe tout juste après les événements du premier tome et l'on suit donc naturellement les conséquences issues de ce dernier. Seulement voila, passé le premier quart, l'auteur crapahute nos héros au Texas dans une quête complétement indépendante! Et les Virtii dans tout ça? Et les complications liés à l'état de Jessie ou les problèmes d'inculpation de son familier Pal?
Et bien non, nous faisons un détour tel un feuilleton télévisé. Sauf qu'a ce stade, l'auteur ne doit pas "broder" mais au contraire convaincre le lecteur que son livre vaut le coup. Le pire dans tout ça, c'est que son histoire avec la démone Miko ne propose même pas de véritable conclusion et devra se poursuivre dans le prochain tome (ais-je dit que le combat était risible tellement celui-ci est vite expédié?)

Et les personnages dans tout ça? Et bien pas mieux. Les garçons que sont Cooper et le Sorcier qui partagent la vedette de Jessie n'ont toujours aucunes consistances, aucuns charismes. L'auteur peine à nous offrir de réels moments d'intimités avec ses protagonistes et ils en ressort toujours autant de froideur. Ils pourraient mourir 2 pages plus loin que cela ne m'atteindrait même pas. Jessie n'est d'ailleurs pas mieux lotie dans le lot est on est bien loin d'une héroïne attachante. D'autant que dans ce tome, elle est bien décidée à exprimer sa libido pour mon plus grand désarroi.

Ce tome 2 c'est donc avéré une lecture laborieuse et qui ne c'est à aucun moment montré à la hauteur. Une grosse déception qui me fera réfléchir quand a un éventuel tome 3. Je me console toutefois grâce à la très belle illustration de Dan Dos Santos que l'on connait pour ses couvertures de Mercy Thompson et Alpha & Oméga.
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Suite à la rupture avec Seth dans le précédent tome, Georgina fil un mauvais coton et semble en vouloir à la terre entière. Elle recommence à fumer, boit comme un trou et fini en couple avec Dante que tout ses amis réprouves. Elle met même du cœur au travail quand il s'agit de coucher avec des âmes pures pour leurs voler leurs forces vitales.
Elle mets tellement de cœur à l'ouvrage que son patron Jérôme ne la supporte plus et décide de la prêter à un collègue archidémon. Ce dernier est dans une situation délicate suite à un groupe de Sataniste dont les actions créées une mauvaise image pour les démons. Mais ce que Georgina ne sait pas, c'est qu'elle se retrouve en plein milieu d'un complot qui pourrait remettre en cause les hiérarchies démoniaques de la région.

J'avoue que la première partie du récit a été un vrai délice. Cette façon qu'a Georgina de se comporter comme une vraie garce... Une garce oui, mais une garce que j'adore et je sais quelles blessures se cachent derrière cette attitude mesquine. Et puis avouons le, quand on voit la façon dont tout ces amies immortels ont réprouvé sa situation avec Seth... Cela devient un régale de voir ce qu'ils récoltent maintenant que leurs vœux sont exaucés.
Pour autant, Richelle Mead ne pouvait pas laisser cette attitude de Georgina durer trop longtemps et peu à peu, on retrouve notre Georgina habituelle. Mais on est pas au bout de nos surprise puisque vers le tiers du livre, tout les immortels de Jérôme sous contrats voient leurs pouvoirs annuler. Et voila une Georgina qui devient sans prévenir une immortelle sans le moindre pouvoir de Succube et pratiquement humaine.
La encore, le récit nous occasionne de beau passage touchant comme quand Georgina commence à prendre peur de sa propre mortalité. Mais le clou du spectacle, cela reste sa relation avec Seth. Voila qu'elle peut désormais coucher avec l'homme qu'elle aime sauf que ce dernier est en couple avec Maddie. Maddie, un personnage que l'on aimerait détester mais cela s'avère impossible tellement elle nous apparait gentille et vulnérable.
Je peux toutefois dire que ces événements s'inscrivent à merveilles dans la relation Seth/Georgina et que cela permet de faire évoluer la relation qu'ils entretiennent. Alors que leur histoire était dans une impasse, voila qu'ils ont l'occasion de gouter aux fruits défendus sans répercutions apparentes. C'est d'ailleurs l'une des forces de cette saga ou Richelle Mead ne semble pas faire machine arrière dans la romance mais ou chaque tome de la saga apporte une pierre à l'édifice de cette romance impossible.

Niveau intrigue, c'est du tout bon aussi avec une histoire suffisamment complexe pour tenir en haleine. Qui est le(s) traître(s)? J’avoue que rapidement j'ai eu de gros soupçons sur une personne en particulier et mon instinct c'est, tout comme pour le tome 1, révélé juste car par trop évident. Mais l'intrigue est d'autant plus addictive que Georgina doit se débrouiller avec des capacités purement humaines. Pas de transformation et autres comme l'invisibilité pour lui prêter mains forte. Cela va lui créer de mauvaises surprises comme quand elle se rendra compte qu'elle est vulnérable aux viols (un comble pour une Succube).

Encore un tome de Richelle Mead que j'ai savouré avec délices. Le livre nous offre par ailleurs l'une des plus belles scènes "olé olé" de la saga et pour quelqu'un qui n'aime pas trop ce genre de chose, c'est un sacré aveu! J'ai maintenant hâte de pouvoir lire les 2 derniers tomes de cette saga qui fait partie des meilleurs récits Bit-Lit que j'ai pu lire.
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Suite aux événements issus du tome 2, Eugenie est désormais en guerre contre Katrice. Pour s'aider dans la campagne, elle a le soutien du roi Dorian qui c'est allié avec elle mais Eugenie souffre de voir des gens mourir pour des causes qui lui son personnel. Aussi, quand elle apprend qu'il existe une Couronne de Fer dot la simple obtention ferait trembler les dirigeants de chaque royaume, elle n'hésite pas à ce lancer dans cette quête pour mettre fin à la guerre.

Pour ce tome 3, j'avoue avoir traversé des hauts et des bas dans la lecture et pour commencer sur le sujet qui fâche, parlons de la romance. Si Richelle Mead a su faire des histoires qui sortent de l'ordinaire entre Seth/Georgina ou Rose/Dimitri, la romance de Cygne Noir avec les amants Kiyo et Dorian me donne un sentiment de plus en plus d'antipathie. C'est simple, on retrouve exactement le même schéma que dans le précédent tome : Eugenie sort avec un tel, celui-ci joue au con et voila Eugenie qui le plaque pour aller retrouver l'autre prétendant. Ce dernier fini lui aussi pour jouer au con et rebelote, elle le plaque pour aller voir l'autre! Autant j'avais de l'affection pour des personnages comme Seth, Adrian ou Dimitri, autant j'ai qu'une envie dans Cygne Noir (et pas seulement pour ne plus avoir de scènes "olé olé"), c'est que Eugenie redevienne célibataire! Le plus frustrant est de voir l'auteur faire en sorte que Eugenie répète inlassablement les mêmes erreurs sous couvert d'attraction. J'ai déjà du mal à voir un personnage aussi fort jouer les jeux de soumission dans les ébats amoureux alors quand en plus il faut voir cette femme intelligente agir bêtement...

Le plus frustrant dans tout ça, c'est que je prend beaucoup de plaisir à lire toute la partie intrigue de l'histoire. Voir Eugenie gouverner son royaume et malheureusement sous exploité puisqu'elle délègue toutes les tâches mais ces différentes quêtes qu'elle entreprend aux cours de ses aventures son suffisamment addictives pour que je veuille connaitre la suite. J'aime d'ailleurs toujours autant Eugenie (malgré ses choix amoureux exécrables) et j'ai de plus en plus d'affection pour sa sœur Jasmine. Les seconds Shaya ou Rurik qui l'aident à gouverner ne sont pas en reste et il est un peu dommage qu'ils ne soient pas approfondis un peu plus.
Les 150-200 dernières pages sont d'ailleurs tellement addictives (et sans scènes olé olé ni presque aucune partie "romance") que je n'ai pas lâché le bouquin avant la conclusion de ce tome. Certes, je voyais venir la petite surprise final depuis le premier tome et trouve d'ailleurs que l'auteur à mal traité ce point car le revirement d'Eugenie me parait trop abrupte et fait perdre un peu en crédibilité mais cela n’empêche pas le passage d'être addictif au possible.

J'avais cru comprendre que la série qui fera désormais 4 tomes était à l'origine prévue en bien plus de tomes. Quand je vois la manière dont la romance tourne en rond, je ne m'étonne plus de ce revirement et c'est bien dommage car on aurait facilement pu atteindre 6 tomes facile si Richelle Mead c'était bien plus consacrer à l'intrigue et à son univers. J'ai donc un avis mitigé pour ce tome avec une romance qui tire mon avis sur le bas et une intrigue qui au contraire la tire sur le haut. Reste plus qu'a attendre le 4éme et dernier tome que j'attends avec impatience au vu des derniers événements de ce tome 3 en espérant que l'auteur ne refera pas les mêmes erreurs au sujet de la romance.
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Un peu déçu par ce tome 2 car en terminant le tome 1, je voyais déjà Elena revenir à New York avec ses magnifiques ailes noires pour clouer le bec à tout le monde. Ce ne sera malheureusement pas le cas dans ce tome qui se passe en grande partie aux refuge ou Elena va apprendre à devenir un ange et une petite partie à la réception de Lijuan. Rien de dramatique vous me direz et ce n'est que partie remise pour le tome 3.

Donc un tome 2 qui se passe en quasi totalité au refuge. Cette fois-ci, l'intrigue sera plutôt 2 petites intrigues. La première voit des horreurs commises dans le refuge et qui a pour but à un Ange de visé la place d'Archange laissé vacante par la mort d'Uram. Il semble d'ailleurs que tuer Elena, perçut comme le jouet de Raphaël, soit le point d'orgue de ce plan. L'autre intrigue, c'est la réception de Lijuan qui n'est pas sans risque depuis que cette dernière pète les plombs et joue à ressusciter les morts.

Un peu comme pour le premier tome, l'auteur mais souvent en stand by son intrigue pour permettre d'approfondir les relations des personnages. Raphaël et Elena sont encore au state de se découvrir mutuellement. Un peu comme le premier livre, l'auteur joue pas mal sur le jeu de la séduction mais nous offre qu'une ou deux scènes vraiment "olé olé". Les mots employés ne m'ont pas paru trop cru et cela reste assez digeste, même pour quelqu'un qui se passerait bien de ce genre de scène comme moi. Je regrette un peu cependant les allusions qui sont faites un peu trop souvent (mais les lecteurs du tome 1 ne seront pas dépaysés).
La romance Raphaël/Elena ne sera toutefois pas le seul éléments du livre et on se réjouira de nouveau de la présence des sept. On va en découvrir de nouveaux et ils seront tout autant voir plus intrigant que ceux que l'on connait déjà. Certains seront des amis, d'autres percevront Elena comme une menace pour Raphaël. Toujours est-il que c'est un plaisir de revoir ces personnages complexes avec une mention pour Jason et Illium que l'on prend plaisir à découvrir peu à peu.

Pour ce qui est de l'intrigue, je suis un peu moins emballé que celle que nous avons connu dans le tome 1. Bien que sympathique, j'ai surtout pris plaisir à voir Elena découvrir son nouveau statue d'ange et à parcourir ce refuge. Je porte toutefois un gros intérêt aux flashback que subira Elena tout au long du livre et qui ravivera les souvenirs du massacre de ces 2 sœurs ainées.

Ce tome 2 s’avère donc une lecture très plaisante qui devrait ravir les lecteurs du premier tome. Je le place toutefois un cran en dessous du premier tome et j'espère que le prochain tome nous permettra de revoir Sara et la clique des chasseurs qui commence à me manquer.
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Je ne vais pas le cacher, lire Riley Jenson était pour moi une expérience. J'aime beaucoup les romans de Bit-Lit même si je m'insurge souvent sur les scènes "olé olé" un peu trop présentes. Aussi ais-je eu envie de m'essayer sur le genre du Paranormal Romance qui est un cran au dessus afin de mieux me rendre compte des 2 styles. Riley Jenson étant surement l'un des livres les plus en vogues dans le domaine et avec de bonnes critiques de l'histoire, je me suis arrêté sur cette série.

Quand certaines écrivaines inventent l'ardeur pour faire tomber la culotte de leurs héroines, d'autres inventent la chaleur lunaire. Riley étant en grande partie louve, c'est donc les 7 jours qui précédent la pleine lune ou elle est en chaleur (soit 1/4 de l'année en chaleur, qui dit mieux?). Pourquoi pas après tout, on est dans de la paranormal romance et au moins, l'auteur invente un prétexte qui justifie les ébats de Riley. Du coup, quand elle va demander de l'aide quand à la disparition de son frère chez son amant n°1,nous avons droit à une partie de jambes en l'air. Ensuite elle accoste pour le même prétexte son amant n°2 et encore une partie de jambes en l'air. L'amant n°1 la rappelle car il a trouvé des renseignement donc elle passe chez lui et devinez quoi? Gagné, une partie de jambes en l'air!
Le truc quand je lis souvent les commentaires ci et la, c'est que l'on est jamais très précis sur la fréquence de ce genre de scènes. Et bien j'ai été assez surpris car ce nombre n'est pas insurmontable avec tout au plus 6-7 scènes et qui sont ultras courtes. Je m'attendais à 15 pages à chaque fois alors que la plupart ne dépassent pas la simple page quand l'auteur ne met pas la scène sous ellipse.
On peut donc penser qu'en prenant sur moi pendant ces scènes, tout est pour le mieux pour le reste du bouquin mais malheureusement, il n'en est rien. Le problème, c'est que Keri Arthur se sent investie de nous faire savoir que son héroïne est en chaleur à toutes les pages de son livre. Quinn est dans la pièce, elle fantasme, Quinn la touche, elle a du mal à se retenir. Cela devient tellement extrême que cela en est ridicule. La palme revenant au fait que Riley se transforme en folle sanguinaire si elle fait abstinence trop longtemps! Non mais sérieusement Mme Arthur, la chaleur lunaire, je veux bien mais des personnages qui passe en berserk quand ils font abstinences?
Et ce n'est pas tout. Car comble, l’héroïne a aussi des pulsions quand elle combat les méchants et pourrait bien leurs sauter sous la ceinture plutôt que de les frapper si elle ne prend pas sur elle pour se retenir! Alors quand en plus elle se retrouve attachée et que le méchant fait son affaire (vous devinez quoi), elle prend aussi sur elle pour ne pas montrer qu'elle apprécie et la, j'avoue que cela coince. Car oui, une héroine assez libertine ne me dérange pas trop mais j'avoue que voir Riley prendre plaisir sur ce qu'il ressemble de prêt à un viol, cela me pose quelques problèmes d'éthiques

Mais le reste dans tout ça? J'aime plutôt bien l’héroïne quand cela passe outre ses pulsions. Je peux d'ailleurs affirmer que les 3 premiers chapitres on fait illusions un temps en terme d'urban fantasy. Quand aux autres personnages, je passerais le beau vampire millénaire ténébreux qu'est Quinn sous silence (après tout, chaque bit-lit a son spécimen). Reste alors Jack, le patron des gardiens qui est un personnages que j'apprécie pas mal à défaut d'être très crédible en tant que "patron". Quand à Rhoan, le frère de Riley, celui-ci est du même bord qu'elle niveau amant. J'aimerais pouvoir dire que le choix de l'auteur est audacieux ou du moins original mais cela ne l'est pas. En agissant ainsi, l'auteur s'assure surtout que Riley ne soit entourée que de beaux garçons. C'est simple, on ne rencontre qu'une seule autre fille dans tout le roman (au tout début) et la plupart du temps seulement aux téléphones!
Ais-je dit que chacun d'entre eux étaient une véritable gravure de mode? Car oui, les moches sont à bannir quoi qu'il arrive et Riley se fout de qui elle mets dans son lit du moment qu'il est beau et bien membrés. Heureusement que c'est un livre qui se destine seulement aux femmes car il aurait de quoi donner des complexes à la majorité des garçons qui le lisent!

Quand à l'histoire, ce n'est pas la révélation mais le sujet des expériences génétiques est exploités de manière assez naturels pour ne pas en faire un truc trop fourre tout. D'autant que quelques incidence en ce qui concerne Riley est source de promesse pour la suite.


Voila donc que se clôture ma première expérience Romance Paranormal. Et oh surprise, ce ne sont pas tant les scènes de sexes qui m'ont froissé dans le récit (bien moins nombreuses et plus courtes que prévu) mais les trop nombreuses allusions quand à l'état de Riley. Je peux donc conclure que sans surprise, ce récit n'est pas pour moi et que référencé Anita Blake et Charlaine Harris sur la couverture, c'est mentir sur la marchandise (du moins pour les premiers tomes d'Anita Blake).
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Jill Kimset n'est pas la première oeuvre de Lilith Saintcrow à sortir en France. Ceux qui ont déjà lu Danny Valentine reconnaitront sans problème le style de l'auteur. Ici, pas de place à de la Paranormal Romance mais à de l'Urban Fantasy pure et dure.

Jill est une chasseuse. Elle a pour mission de tuer les infernaux qui corrompent les humains et vient d'acquérir son statut il y a tout juste 6 mois suite aux décès de son mentor. Pour accomplir sa mission, elle peut compter sur son entrainement et sur sa marque de démon qui accroit ses pouvoirs (contrat malsain passé avec l'infernale qui dirige la ville). Alors qu'elle cherche encore à se faire respecter dans sa ville, voila que 5 flics viennent de se faire dévorer par un garou qui dissimule ses traces. Sauf qu'une odeur d'infernale traine aussi dans les environs et brouillent les pistes... Pour cette mission, Jill risque bien d'avoir besoin de l'aide de garous.

Comme je le dit plus haut, les points communs avec son autre série Danny Valentine sont assez nombreux. D'une part, il s'agit d'un univers assez sombre et véritablement sanglant. L’héroïne ne fait pas de chichi et passe son temps à se faire estropier. Si on peut reconnaitre un don pour Lilith Saintcrow, c'est bien de créée des héroines torturées. Jill tout comme Danny est une véritable écorchée vif de la vie, son passé et vraiment macabre et ses perspectives d'avenir frôle le néant. Elle ne cherche d'ailleurs même pas le bonheur et s'en croit interdite, refusant tout contact plus qu'amicale. Bien entendu, nous aurons un homme dans l'histoire mais la romance ne s'écoulera guère de ce premier tome hormis quelques signes touchants ci et la.
Pour l'histoire en elle même, pas de grande originalité mais plutôt un récit qui s'attache sur l'univers. Ici, nous avons surtout les infernaux et les garous. Ces derniers forment une communauté distincte et peuvent venir en aide à Jill quand leur espèce est concernée. Un peu dommage que nous n'apprenons pas trop sur leurs us et coutumes mais peut-être que l'auteur s'y attardera plus tard dans la série. Toujours est-il que nous avons dans ce roman un véritable travail sur l'ambiance et l'immersion. Car tout comme Danny, on sent un style d'écriture beaucoup plus "littéraire" que ne le sont les romans de Bit-Lit en général. Lilith Saintcrow effectue un véritable travail quand à la mentalité de son héroïne et s'attarde énormément sur le coté narratif de son récit.

Un récit qui ne plaira pas à tout le monde car il n'est pas aussi facile de rentrer dans ce livre que dans un autre roman de Bit-Lit lambda d'autant que, la narration peut paraitre "lente" pour les lecteurs les plus impatients. Toujours est-il que les fans de Danny Valentine trouveront chaussures à leurs pied pour un récit tout aussi sombre et une héroïne tout aussi torturée. Quand aux néophytes qui ne connaissent pas encore Lilith Saintcrow, il s'agit d'un style qu'ils devront tester par eux même.
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Dernier tome de ce premier cycle, je dois dire que celui-ci est bien mieux passé que les précédents. Les événements s'enchainent rapidement et ne laisse aucun temps mort. Au bout de quelques pages seulement on se retrouve à Idris que l'auteur prend plaisir à nous décrire.

Les personnages ne changent pas beaucoup même si par je ne sais quel miracle, Jace me devient presque supportable. Du moins ce sera le cas passé le premier tiers car dans celui-ci, il se comporte comme un véritable goujat envers sa soeur. Je n'ai d'ailleurs rêvé que d'une chose, un retour de bâton de sa soeur (qui n'aura pas vraiment lieu). Je trouve d'ailleurs que Clary à le pardon bien trop facile à mon gout. Clary qui reste le personnage principale qui s'en tire le mieux une fois de plus. C'est simple, à chaque fois qu'on la quitte au profit de Jace ou Simon, cela me brise le coeur. Sa capacité avec les runes et l'une des plus originales du récits et je regrette qu'elle ne soit pas toujours mis en avant.
La romance impossible restera présent une bonne partie du récit sans surprise. Pas de grande évolution (j'apprécie le petit clin d'oeil d'Angel Sanctuary), je regrette toutefois cette facilité prise sur la fin. Je la sentais venir cette révélation qui aurait d'un coup de baguette résolu tout les problèmes et je suis déçu que l'auteur emprunte un chemin aussi facile et bien pensant.
Quand à l'intrigue, et bien elle se termine en grande pompe et en résolvant la majorité des problèmes. L'auteur termine donc son histoire commencé dans le premier tome et nous laisse quelques grains à moudre quand au cycle prochain.

Un premier cycle qui n'a pas été aussi saisissant que je l'espérais. Pas mauvais en soi, mes attentes étaient beaucoup plus grande que ce à quoi j'ai eu droit. Après, tout reste une histoire de gout et les miens diffère sur cette saga que la majorité des autres lecteurs. Une histoire sympathique avec un volume 3 haletant mais qui ne fera pas partit de mes meilleurs souvenir en tant que lecteur.
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Pour ce second tome de la série, j'aimerais pouvoir dire que j'ai partagé l'engouement sur cette série mais il n'en est rien une fois de plus. Ce tome 2 est agréable à lire mais je n'ai pas ressenti cette attraction que j'ai pu avoir sur des séries comme Vampire Academy. Mon plus gros "rejet" sur la série demeure les personnages masculins que sont Simon et Jace. Le personnage de Jace est toujours aussi immature ce que je trouve irréel pour un guerrier qui a fait ses armes (on se croirait presque dans un shonen). Le personnage de Simon, c'est une autre histoire puisque depuis 2 tomes je me dit sans cesse "mais qu'est ce qu'il fait la?". Que Clary, Jace et cie le laisse partir avec eux malgré les dangers est quelques chose d'irresponsable qui me turlupine et joue sur la crédibilité du récit (on voit déjà comment cela fini dans le précédent tome).
Les autres personnages passent bien mieux heureusement avec une Clary dont on prend plaisir à la voir évoluer. Je n'aurais d'ailleurs pas été contre un récit complétement centré sur elle plutôt que l'alternance Jace/Clary. Le fait qu'elle acquiert des capacités hors normes n'est pas pour me déplaire et met un peu de piment dans l'histoire, surtout que ça capacité est plutôt originale et a de quoi promettre pour la suite. J'aime aussi l'aspect romance qui se dégage de l'histoire. Il est vrai que cet amour impossible frère/soeur n'est pas un sujet très courant (hormis dans quelques manga) et cela renouvelle un peu dans le thème "Je t'aime moi non plus".
Encore une fois, la La Cité des Ténèbres n'est pas un mauvais roman, le tome 2 est même meilleurs que le tome 1 mais si j'ai pris plaisir à le lire, je n'ai pas ressenti l'étincelle qui fait d'un livre un grand roman
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L'attente a pu paraitre longue après les événements finaux du tome 5 qui laissaient le lecteur le bec dans l'eau. Alors que Dimitri était sauvé, celui-ci refusait de voir Rose et c'est montré froide avec elle. Et tandis que Rose est déjà en détresse émotionnelle, voila qu'on accuse ensuite du meurtre de la reine avec preuves tangibles à l'appui. Meurtre de Haute Trahison dont la sentence est la peine de mort...

Dans ce tome, les amies de Rose vont entreprendre de la mettre en sécurité en la faisant évader pendant qu'eux mêmes cherche la trace du véritable assassin. Rose s'évade donc mais pas avec n'importe qui: Dimitri qui a juré fidélité à Lissa. Mais Rose a autre chose en tête que rester cacher et n'oublie pas le message posthume de la reine laissé à son intention : Lissa n'est pas la seule Dragomir encore en vie. Il n'en faut pas plus à Rose pour partir à la recherche de l'enfant illégitime d'Eric afin que Lissa devienne éligible à la cour. Un secret très bien gardé qui va la mettre sur la route des personnes les plus improbables.

Autant dire qu'avec ce tome 6, Richelle Mead fini le cycle de Rose et Lissa en beauté. La tension du récit est toujours présente et l'on souffre de devoir poser le livre pour les taches quotidiennes. Un récit addictives et qui ne cesse de nous surprendre comme par exemple les événements du coté de Lissa. Peut-être pas si surprenant mais hautement improbable de par l'audace dont faire preuve l'auteur sur la fin. Cela a toutefois le mérite de finir le livre en véritable apothéose.
Rose quand a elle poursuit sa quête au coté de Dimitri et avec Sydney que nous avions déjà rencontré dans le tome 4. Si on ne doute pas du succès de la mission de Rose, on se demande toutefois si la glace va se rompre dans le cœur de Dimitri et qui de Adrien ou de Dimitri sera fait le choix. Dans tout les cas, les détresses émotionnelles dont vont être victimes ce triangles amoureux aura largement de quoi serrer le cœur du lecteur.
Les autres personnages ne sont pas en reste la aussi avec une mention pour le père de Rose, Abe qui ne peut que plaire de par son originalité et son comportement.

Un livre qui finit en beauté une des meilleurs sagas de vampires que j'ai pu lire. Peut-être un peu trop "happy-end" dans son déroulement, l'auteur nous offre toutefois des propos acerbes de par le prétendant éconduit de Rose et quelques éléments de grains à moudre pour le spin of à venir. Cela ne nous empêche pas de regretter qu'il ne reste pas 100, 200 voir 1000 pages par plaisir de continuer l'histoire de Rose et Lissa. Reste à projeter ses espoirs sur le spin of à venir de la série en espérant revoir Rose et Lissa même si l'inquiétude me guette toujours dans ce genre de suites qui nous imposent un changement de protagonistes principaux.
En dernier mots, je dirais que Vampire Academy fait partie de ces œuvres qui vous font profondément aimer la lecture. Une série géniale et qui dépasse de loin les autres prétendants du genre tel La Maison de la Nuit. Je tire une fois de plus mon chapeau à Richelle Mead pour nous offrir l'une des meilleurs histoires de Bit-Lit.
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Bref retour dans l'académie dans ce début de tome ou Rose va passée son test pour devenir un véritable gardien avant d'être "lâchée" hors de l'académie. Nous l'avions vu échafaudé quelques plan à la fin du tome 4 dans le but de sauver Dimitri et elle va s'en tenir avec l'aide de sa meilleur amie Lissa.

Cette partie qui prendra les deux tiers du romans jusqu'au combat contre Dimitri est de loin la plus généreuse en scène d'action du livre. Rien qui n'atteigne toutefois la force des événements finaux du tome 3. Je regrette surtout le comportement tête brûlée de Rose alors que je m'attendais à une certaine maturité (et résignation) après ce qui s'était passé dans le précédent tome. Je m'attendais aussi à quelque chose de plus grandiose dans ce qui est le dernier face à face Rose Vs Dimitri et j'avoue que les événements de la bataille étaient trop succinctes à mon gout.

Mais alors que l'on croit que les choses vont s'arranger pour Rose, il n'en est rien, bien au contraire. Après tant de sacrifice, la voir se faire rejeter de la sorte dans le dernier tiers du livre fait parti des passages les plus éprouvants que j'ai pu lire. On partage vraiment sa détresse émotionnelle qui semble devenir les prémices d'une véritable décente aux enfers pour Rose. Le comble venant des dernières pages ou le couperet tombe sans nous prévenir et on se dit que Richelle Mead ne peut pas finir son livre ainsi, il nous faut la suite!

Un tome que j'ai pris tout autant de plaisir à lire que les autres même si le tome 3 reste indétrônable à mes yeux. Vampire Academy reste une grande série et c'est avec fébrilité et beaucoup d'impatience que j'attends le sixième et dernier tome, surtout après un tel clifhanger en fin de tome!
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En terminant le livre, la première chose que je me suis dis est que ce tome 3 m'offrait ce que j'avais toujours voulu pour le tome 2.

Cette fois, Gin est bien décidée à s'attaquer à Mab Monroe et le harcèlement de Roslyn par l'un des bras droit de Mab va lui désigner sa première cible : le géant Elliot Slater.
Gin va aussi avoir quelques surprises car alors que Donovan, le seul flic intègre de la ville est parti, celui-ci est remplacé par un autre inspecteur tout aussi intègre : Bria, la soeur qu'elle croyait morte...

Ce tome 3 débute sur les chapeaux de roues et ne nous laissera que peu de répit. Jennifer Estep gère plutôt bien le combat contre Mab Monroe en en faisant un ennemi de grande envergure. Il n'est nullement question de la tuer dans ce tome mais au contraire de l'affaiblir et de ronger les bases de sa fondation pour faire écrouler son empire. Ce tome 3 commence donc les prémices de ce qui sera la guerre souterraine entre l'Araignée et Mab.

Mais l'auteur n'en reste pas la et elle fait intervenir la petite soeur de Gin : Bria. il s'agit d'un flic intègre ce qui donne un contraste saisissant de par sa soeur Gin qui est une tueuse à gage. Sans surprise, Bria ne sait pas que Gin et sa soeur (ni même l'Araignée) ce qui n'empêchera pas cette dernière de se rapprocher d'elle. Gin se montre assez brutale envers elle afin de la protéger et l'opposition dont elle fait preuve entre ses actes/paroles et ses sentiments envers sa soeur sont parmi les moments les plus touchants du livre. On se demande d'ailleurs si la vérité sur l'identité de Gin éclatera dans ce tome et comment Bria réagira au métier de sa soeur.

Niveau romance, Dononvan n'est plus et cela me convient parfaitement pour ce personnage au comportement irritable. Owen Grayson s'avère bien plus supportable et compréhensif ce qui en fait quelqu'un d'attachant. Comme les précédents tomes, l'auteur ne fait pas de fixation sur la romance ou les sentiments amoureux de Gin. Cela n'empêchera pas Jennifer Estep de nous donner son quota de scènes "olé olé" mais fan d'Urban fantasy rassurez vous, l'unique scène est très courte et peu descriptif.

Alors que le tome 2 était assez fade, ce tome 3 est une véritable réussite et nous propose tout ce que l'on était en droit d'attendre du second tome. Des personnages attachants (mention pour Bria, les 2 soeurs naines, Roslyn et Xavier), quelques scènes de flashback toujours aussi saisissantes, une intrigue qui décolle enfin et beaucoup d'action pour un livre à la tension constante. L'arrivée de la soeur Bria et un plus indéniable et on se demande comment les choses vont se dérouler par la suite entre les 2 sœurs. Mais ce que l'on retiendra avant tout de ce tome, c'est la déclaration de guerre entre l'Araignée et Mab Monroe. De quoi nous offrir de belles perspectives pour la suite que j'attends avec impatience.
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La Cité des Ténèbres fait parti de ces séries ou on en dit tellement du bien sur le net que je me suis acheté les premiers tomes les yeux fermés. Et bien autant dire que ce premier tome m'a déçu. Je pense notamment aux protagonistes dont le comportement ne m'a guère enthousiasmé. Notamment Jace qui ne cesse d'avoir un comportement désagréable avec tout les gens qu'il rencontre. Il a beau être jeune, c'est tout de même un guerrier aguerri et j'en attends donc une certaine maturité. Or chaque personne qu'il rencontre dans leurs quêtes est synonyme de "rentrer dans le lard". Un comportement pour le moins exaspérant et qui ne cesse de m'irriter (je ne comprend pas d'ailleurs pourquoi les autres le laissent faire puisque cela met en péril les négociations). Un autre exemple, c'est par exemple le personnage d'Alec qui n'hésite pas à vouloir chasser Clary (par jalousie) pour préserver son univers, peu importe la détresse de Clary et l'importance capitale de la quête de celle-ci.
Heureusement, le personnage de Clary rattrape le niveau. J'apprécie beaucoup sa débrouillardise et sa vivacité d'esprit. Si je suis déçu, c'est avant tout car j'espérais la voir prendre une part active au combat et gagner un dons hors du commun qui en ferait quelqu'un d'à part. Rien de tout ça dans ce tome 1 et cela me chagrine de voir une héroïne faire le piquet de cru à chaque combat ou partir en courant.
L'histoire quand à elle est sympathique avec de bons ingrédients. Je n'ai pas senti la non plus de grande révélation mais les événements s'enchainent assez bien pour ne pas avoir à s’ennuyer. Je suis juste surpris de la narration à la 3éme personne car je m'attendais à un récit à la première personne. Rien de bien déroutant cela dit et l'auteur se concentre en quasi totalité sur Clary.
Un peu déçu par ce tome car je m'attendais à une grande révélation et que je me retrouve avec une histoire seulement sympathique. Je me permet quand même d'espérer avec le volume 2 et 3 une amélioration.
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Dans ce tome, tout est fait pour que la vie de Georgina devienne un enfer. On lui colle une Succube incompétente qu'elle doit former. Elle fait des rêves qui lui pompes toute son énergie et qui l'oblige à se recharger régulièrement et le clou du spectacle, le Démon qui a acheté son contrat viens en ville pour lui pourrir la vie.

Un peu comme le second tome, ici, l'intrigue n'est pas clair et délimitée. On suit les frasques de notre Succube favorite sans que celle-ci s’inquiète trop. Il faut attendre une bonne moitié du bouquin pour qu'il devienne évident qu'il y a un problème. L'aspect le plus prometteur de l'histoire apparait quand un groupe d'ange mené par Carter arrivent en ville pour une raison bien précise. Raison que le lecteur devine assez rapidement comme ayant un lien avec certains soucis de Georgina mais cette dernière tarde à s'en rendre compte au détriment du lecteur qui a tout compris depuis un bail.
La plupart de ces Anges ne feront que figuration dans ce livre ce qui ne sera pas le cas de Yasmine et Carter. Ce dernier prendra un rôle plus important que dans le tome 2 pour le plus grand plaisir du lecteur puisqu'il s'agit d'un des meilleurs seconds rôles de cette saga. Je reste convaincu qu'il agit avec des desseins bien plus grand qu'un simple soutien pour Georgina. Yasmine quand à elle apparait pour la première fois dans ce tome. On l'apprécie tout de suite et elle nous entraine dans une romance tout aussi impossible que celle de Georgina et Seth. Les événements finaux sont d'ailleurs assez surprenant et j'espère sincèrement qu'on la retrouvera dans la suite de la série.

Quand à la romance, comme on devait s'y attendre, une histoire au beau fixe ne pouvait pas durer jusqu'au dernier tome et nous avons de l'eau dans le gaz entre Georgina et Seth. Si j'ai lu certains commentaires assez dévalorisant sur le comportement de Seth, je ne partage pas trop cet avis (sauf à la toute fin ou il agit vraiment bêtement). Celui-ci n'est peut-être pas aussi attentive qu'il aurait du l'être mais je n'ai pas l'impression d'un changement radicale de sa part et j'espère toujours une fin heureuse entre lui et Georgina à la fin. Georgina qui demeure l'une des héroines les plus touchantes du Bit-Lit. Je reste toujours en émois dans le livre quand celle-ci fait ressortir ses instincts maternelles avec les nièces de Seth. Cette bref vision que nous donne l'auteur de ce qu'elle ne pourra jamais avoir demeure toujours aussi touchant.

Un très bon tome qui ne dévalorise en rien les précédents. Mon seul regret est peut-être le nombre de pages qui a sensiblement diminué depuis le tome 1 et 2 alors que j'en voudrais toujours plus.
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Ce tome 3 s'axera surtout sur la venue des métamorphes à Chicago. Ceux-ci se réunissent afin de décider si ils restent vivre normalement ou si ils décident de partir s'isoler pour se protéger des sombres événements qui pointent à l'horizon. Un choix d'une importance capitale pour la Maison Cadogan puisque le premier cas offre la possibilité d'une alliance future entre les vampires et les métamorphes. C'est pourquoi, quand l'un des 4 chefs de Meutes du continent demande à Ethan la protection de celui-ci et de sa sentinelle, celui-ci accepte sans condition.

Nous avions un peu découvert les métamorphes précédemment mais à peine. Cette fois-ci, ils prennent une grande place dans le roman. On découvre un peu de leurs comportements et autres mais ne vous attendez pas à une créativité digne des romans de Patricia Briggs. Ici, les métamorphes ne sont pas des gens coléreux et aux instincts refoulées mais plus le voisin dans face. D'ailleurs, le même constat se fait avec les vampires puisque sur de nombreux aspects, la Maison Cadogan ressemble énormément à une grande entreprise de 300 personnes.
Même si cela fait un peu perdre de dimension à ces créatures mythiques, cela n'est pas forcément un tord et il est plaisant de voir des vampires qui vivent avec leurs temps (technologie moderne...) plutôt qu'une bande de sociopathe dans un château macabre. Et puis cela n’empêche en rien cet aspect politique qui me plait tant depuis le tout début de la série.
Pour cette fois, un peu plus d'action même si il ne faut pas s'attendre à du carnage car comme je l'ai dit, le roman nous présente des créatures surnaturels assez humaines et ceux-ci font tout pour éviter les bains de violences.

Et Merit dans tout ça? Et bien on la retrouve avec plaisir. Pas de grand changement et sa relation avec Ethan ne cesse d'avoir des hauts et des bas. L'auteur nous pond d'ailleurs sa première scènes de sexe de l'ouvrage. Rien qui ne soit vraiment très explicite et l'on finit assez rapidement par une ellipse quand cela devient trop "chaud". Cela reste donc tout à fait acceptable à mes yeux et j'espère que l'auteur conservera une certaine parcimonie dans ce domaine pour ne pas blaser le lecteur qui cherche autre chose que du cul.

Ce tome 3 reste dans la droite lignée du tome 2. Un très bon moment que l'on passe et ou j'ai atteint la fin du roman sans même m'en rendre compte. Ce n'est pas la série du siècle mais l'auteur injecte suffisamment d'éléments originaux pour en faire une lecture non négligeable que je recommande.
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Avec ce tome 5, il étant de mettre un terme à la saga des Bannis et des Proscrits. J'avais eu du mal avec les derniers tomes en dates et c'est avec un peu de soulagement que je termine la série.

C'est toujours avec un peu d'euphorie que l'on entreprend de lire le dernier tome d'une saga et pourtant malgré mes espoirs, la sauce n'a pas pris. La première moitié du livre reste dans la droite lignée des autres tomes avec ces nombreux détours et embranchement à rallonges souvent inutiles.

Mais ma plus grande déception viens du final en lui même. Les armées converges vers Noircastle, on est donc en droit à s'attendre à une grande bataille. Pourtant, si celle-ci est bien présente, je la trouve raté tout comme celle du tome 3. James Clemens semble incapable de retranscrire la grandeur de ces événements épiques et finit par complétement occulté celle-ci au profit des personnages. Mais cela reste les prémices de ma plus grande déception... Car le duel Seigneur Noir/Elena est quasi-inexistant et complétement raté. L'auteur a fait du Seigneur Noir un personnage surpuissant et semble à cours d'idées quand il s'agit d'en faire un duel épique, faisant de sa défaite quelque chose de risible. D'ailleurs, le Seigneur Noir n'est pas le seul et certains "méchants" que l'on connait depuis le premier tome et qui faisait montre d'une incapacité à mourir finissent eux aussi par succomber de manières expéditives. Mais dans ce cas la, pourquoi ne pas les avoir vaincus dans les tomes précédents en grande pompe plutôt qu'un truc à la va vite dans le dernier tome?
Et les événements finaux dans tout ça? Et bien pas vraiment mieux. Quand Elena ne fait plus le pied de grue pendant 100 pages, James Clemens nous pond quelque chose de métaphysique abracadabrant en guise de magie finale. Note que cela ne m'aurait pas trop dérangé si nous avions au moins eu un véritable combat magique...
La fin en elle même n'est guère mieux, l'on passe très vite à l'épilogue du narrateur sans même quelques mots des compagnons avant. Et ne comptez pas sur le narrateur pour vous donner la moindre indication sur ce que chacun est devenu. Certaines choses restes mêmes en suspens comme la prophétie des Si'lua... Rageant quand on pense que le narrateur écrit ce récit des siècles plus tard et qu'il aurait donc été aisé de nous faire un magnifique épilogue sur chaque personnage mais même ça, l'auteur ne nous l'offre pas. La seule chose qui me console, c'est que l'épilogue reste très émouvant en ce qui concerne le narrateur. Son identité est enfin révélé et l'auteur touche au coeur du lecteur avec les mots justes.

Ma conclusion pour cette saga est bien amère. Après un tome 1 sympathique, la série n'a cessé de décliner à mes yeux pour nous offrir un final décevant qui ne satisfait en rien mes espérances, faisant de ce tome 5 un beau gâchis.
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date : 28-08-2011
Il y a du Battle Royale dans ce roman. Assurément, c'est l'impression que l'ouvrage donne et ce n'est pas totalement faux. Pourtant, les deux œuvres restes assez distincte avec un Battle Royale beaucoup plus vitriol que Hunger Games.
Il faut dire qu'au final, Battle Royale éclipse la critique sociale pour s'orienter sur le lavage de linge sale d'une classe pour nous offrir une pépite d'humour noir macabre.

Dans Hunger Games, l'auteur porte bien plus d'importance aux critiques sociales. Ici, il s'agit d'un univers futuriste décadent avec ceux qui vivent aux Capitole avec tout pour eux : nourritures, technologies, médecines... et les Districts. Les Districts aux nombres de 12 sont des énormes enclos ou des familles entières essayent de survivre en produisant les matières première du Capitole qui régit tout ça d'une main de fer.
Des soulèvements ont déjà eu lieu qui ont été synonymes de massacre et de victoire du Capitole. Pour rappeler aux Districts cet état de fait, chaque année se déroule le Hunger Games. Chaque District se voit tiré au sort 2 candidats : 1 fille et 1 garçons entre 12 et 18 ans (soit 24 au total) qui devront s'entretuer à la Battle Royale et permettre ainsi de gagner quelques privilèges pour son district pendant 1 ans. Pour le Capitole, c'est l’événement de l'année ou chaque gagnant devient une véritable star. Pour les Districts, c'est voir ses propres enfants partir se faire massacrer.
Cette années au district 12, c'est la sœur de Katniss âgé d’à peine 12 ans qui est tiré au sort. Il n'en faut pas plus à Katniss pour se porter volontaire à sa place.

On ne se retrouve pas au bout de seulement 10 pages "lâché" dans l'arène. Bien au contraire, un bon quart du livre s'attarde sur les présentations, l’événement... Le Hunger Games, c'est de la télé-réalité et l'entertainement ultime pour le Capitole. Tout est fait avec grandeur et révèle un contraste entre le Capitole et les gens des Districts. D'ailleurs, ce n'est pas qu'un simple jeu de survie. Si les participants font bonnes impressions, ils peuvent obtenir des sponsors qui peuvent jouer sur le déroulement du jeu en faisant apparaitre objets ou nourritures nécessaire à la survie du candidat (plus l'objet est important, plus c'est cher). Cela joue énormément sur le comportement des participants qui font tout pour bien se faire voir envers les spectateurs du Capitole. J'aime bien cet aspect faux semblant du récit qui pousse Katniss à jouer un peu la comédie (ne pas montrer de faiblesse...) d'autant plus que l'auteur ne s'épargne pas de critiquer cet aspect télé-réalité qui s'est un peu trop développer de par chez nous.
Le récit s’avère écrit à la première personne, un choix que je trouve judicieux à plus d'un titre. On le sait dés le début, Katniss est un personnage fort est indépendant mais la voir survivre dans ce jeu horrible créé une tension constante pour le lecteur qui finit par s'immerger complétement dans le roman. Autre détail appréciable de l'héroïne, c'est qu'il s'agit d'une combattante. Elle n'hésite pas une seule seconde à tuer si sa vie est en danger et nous épargne des états d'âmes à n'en plus finir sans pour autant virer à la "Rambo" peu crédible.

Hunger Games s’avère donc une très bonne surprise pour un sujet bien plus mature que ne laisse présager ce récit au rayon Jeunesse. Un récit que je recommande et qui change un peu de la fantasy que j'ai pris l'habitude de lire.
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