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Extrait ajouté par anonyme 2017-07-16T20:39:14+02:00

« Les idéaux ne coûtaient pas cher tant qu’on ne disposait pas d’arguments solides pour les démolir. »

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Extrait ajouté par feeclochettte 2013-01-03T13:32:35+01:00

"Ma femme est morte et pourquoi étiez-vous à votre lessive alors que ma fille montait dans une fourgonnette grise avec deux inconnus ?"

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Extrait ajouté par feeclochettte 2013-01-01T13:27:57+01:00

"La vie est dure quand on ne veut pas faiblir."

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Extrait ajouté par feeclochettte 2013-01-01T13:21:24+01:00

"La vie est courte et la douleur est longue et on est tous sur cette terre pour s'entraider."

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Extrait ajouté par Jon_Spiro 2011-06-26T11:36:30+02:00

A New-York, on ne fait rien sans fric. Les gens sans fric disparaissent, à New-York ; les trottoirs les avalent, on ne les revoit jamais.

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Extrait ajouté par NicolaK 2021-06-09T11:04:58+02:00

Et, bon Dieu... tu vas payer..., sans compter que tu resteras mort un mois, après ça, comme une vieille radio avec une lampe pétée. Ou six semaines. Ou à jamais, définitivement mort avec la cervelle en marmelade. Et alors, qu'adviendra-t-il de Charlie ?

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Extrait ajouté par BMT33 2019-10-06T00:33:15+02:00

Dès l'enfance, le terrible pouvoir de la petite Charlie s'est révélé: qu'un objet, un animal, un être humain provoque en elle la moindre crainte, la moindre tension........et il se trouve aussitôt livré aux flammes !

Aujourd'hui la douce et jolie Charlie a sept ans et le cauchemar demeure. Certes, elle sait à présent que son pouvoir est un mal qu'elle doit combattre sans relâche pour en être un jour libérée, délivrée.

Alors, de toutes se forces, Charlie lutte, mais la pulsion souvent l'emporte et déferle. Indomptable, criminelle.

Et l'enfant cède au désespoir...

Comment ses parents pourraient-ils lui avouer l'atroce vérité - cette imprudence fatale qu'ils ont commises avant sa naissance ?

A quel destin Charlie est-elle vouée ?

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Extrait ajouté par anonyme 2019-08-07T10:05:06+02:00

– Il est allé de New York à Albany avec un dollar, hein ? » Cap reprit le billet et le détailla avec un intérêt accru. « Le tarif d’une course en taxi est certainement…, qu’est-ce que… ! » Il laissa tomber le billet sur son bureau comme s’il avait été brûlant et se renfonça dans son siège, en clignant des yeux.

« Vous aussi, hein ? fit Al. Vous avez vu ?

– Bon Dieu, je ne sais pas ce que j’ai vu », grogna Cap. Il tendit la main vers la boîte de céramique où il gardait ses pastilles contre les brûlures d’estomac. « Pendant une seconde, ça n’a plus du tout ressemblé à un billet d’un dollar.

– Et maintenant ?

Cap risqua un coup d’œil vers le rectangle vert.

« C’en est un, pas de doute. Voilà George, et… mon Dieu ! » Il recula si violemment dans son siège qu’il faillit se cogner la tête contre les panneaux de bois sombre derrière son bureau. Il regarda Al. « Le visage…, il s’est transformé. Comme si des lunettes avaient poussé, ou je ne sais quoi. Il y a un truc ?

– Oh, oui, un sacré bon truc, dit Al en reprenant le billet. Je l’ai vu moi aussi au début. Maintenant, c’est fini. Je crois que je me suis adapté…, mais je veux bien être pendu si je sais comment. Il n’y a rien, bien sûr. Ce n’est qu’une hallucination complètement dingue. J’ai pourtant réussi à distinguer le visage. C’est celui de Benjamin Franklin.

– Le chauffeur de taxi vous a donné ça ? » demanda Cap. Fasciné, il regardait le billet, attendait qu’il change à nouveau. Mais George Washington ne se transforma pas.

Al se mit à rire.

« Ouais. Nous lui avons pris le billet et nous lui avons donné un chèque de cinq cents dollars. Il ne perd pas au change.

– Pourquoi ?

– Benjamin Franklin est sur le billet de cent, pas celui de cinq cents. Apparemment, MacGee ne le sait pas.

– Montrez-moi ça encore une fois. »

Al tendit le billet d’un dollar. Cap le contempla fixement pendant près de deux minutes. Juste au moment où il s’apprêtait à le rendre à Steinowitz, le visage bougea à nouveau. Troublant. Cette fois-ci pourtant, Cap sentit que le mouvement était dans sa tête, pas sur le billet.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-08-07T10:02:41+02:00

– Il était une fois douze personnes qui ont participé à une expérience, avait commencé Quincey. Il y a six ans. Tu t’en souviens ?

– Je m’en souviens, avait répondu Andy d’un ton sinistre.

– Sur les douze participants, il n’en reste pas beaucoup. Quatre, aux dernières nouvelles. Et deux d’entre eux sont mariés ensemble.

– Oui », avait murmuré Andy. Au fond de lui, il sentait grandir l’horreur. Quatre seulement ? Qu’est-ce qu’il racontait ?

« Je crois savoir que l’un d’entre eux plie des petites cuillères et ferme les portes sans même les toucher. » La voix de Quincey, ténue, traversant trois mille kilomètres de câbles téléphoniques, de centraux, de stations relais, de boîtes de raccordement, dans le Nevada, l’Idaho, le Colorado, l’Iowa. Un million d’endroits pour brancher une écoute.

« Oui ? » avait-il encore dit en faisant un effort pour se contrôler. Il avait pensé à Vicky qui pouvait parfois allumer la radio ou éteindre la télé sans s’approcher des appareils. Elle ne paraissait même pas remarquer qu’elle accomplissait ces choses.

« Oh oui, c’est pas du bidon, continuait Quincey. Ce type est – comment dire ? – un cas répertorié. Il a mal à la tête s’il fait ce genre de trucs trop souvent, mais en tout cas, il le fait.

Ils le gardent dans une petite pièce munie d’une porte qu’il ne peut pas ouvrir et d’une serrure qu’il ne peut pas plier. Ils pratiquent des tests sur lui. Le type plie des clés. Ferme des portes. Et j’ai cru comprendre qu’il est pratiquement fou.

– Oh… mon… Dieu ! souffla Andy.

– Il participe à l’effort de paix. Alors, quelle importance s’il est à moitié dingue ? disait Quincey. Ce type est en train de devenir fou pour que deux cent vingt millions d’Américains restent libres et jouissent de la plus grande sécurité. Tu comprends ?

– Oui, avait murmuré Andy.

– Et les deux personnes qui se sont mariées ? Pour ce qu’ils en savent, rien à signaler. Ils vivent tranquillement dans un État tranquille du centre de l’Amérique, l’Ohio par exemple. Ils sont contrôlés, disons, tous les ans. Juste histoire de vérifier s’ils savent plier des clés, fermer des portes sans y toucher, ou s’ils exhibent leurs dons sur scène au gala de bienfaisance local pour dystrophiques. Heureusement que ces gens ne peuvent pas faire ces trucs, n’est-ce pas, Andy ? »

Andy avait fermé les yeux et senti l’odeur du tissu brûlé.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-08-07T10:00:41+02:00

La tache de sang était là, noire virgule dans la lumière incertaine de la lune. Avant l’expérience de ce week-end on devait lire CORPUS CALLOSUM. À présent, la légende barrée ne laissait voir que COR OSUM. Une virgule.

Un détail tellement insignifiant.

Un détail tellement important.

Il resta là, dans le noir, à la regarder. Il commençait réellement à trembler. Est-ce que cela voulait dire que tout était vrai ? Une partie seulement ? La plupart des événements ? Aucun d’entre eux ?

Derrière lui, il entendit, ou crut entendre un bruit : le craquement furtif d’une chaussure.

Ses mains furent agitées d’une brusque secousse et l’une d’entre elles frappa la carte avec ce même bruit mat, horrible. Le rectangle remonta sur son enrouleur, le claquement parut terrifiant dans le silence de la pièce.

Quelque chose cogna contre la fenêtre givrée de lune, là-bas. Une branche ou peut-être des doigts morts maculés d’hémoglobine et de lambeaux de chair : laissez-moi entrer mes yeux sont restés à l’intérieur oh ! laissez-moi entrer…

Il se retourna comme dans un rêve au ralenti, un rêve en sous-vitesse, horriblement sûr de voir ce garçon, un esprit en robe blanche, deux trous noirs béants à la place des yeux. Son cœur battait dans sa gorge telle une créature vivante.

Personne derrière lui.

Aucune chose derrière lui.

Mais ses nerfs avaient lâché. Quand la branche recommença à cogner implacablement, il s’enfuit, sans prendre la peine de refermer la porte de la salle de classe. Il courut le long de l’étroit couloir. Brusquement, il y eut réellement des pas derrière lui, écho de ses propres pieds qui fuyaient. Il dégringola l’escalier et arriva dans le hall le souffle court. Le sang battait à ses tempes. L’air en passant dans sa gorge piquait comme du foin coupé.

Il ne vit le gardien nulle part. Il sortit, tira le lourd battant et descendit furtivement les marches du perron en direction de l’allée, comme le fugitif qu’il allait bientôt devenir.

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