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Alieh, Rowshanak ou Raeheleh sont souvent à leur fenêtre. Entre le riz pilaf aux lentilles et les pétunias, le voile et une paire de bas, le mari, les enfants, les aïeuls ou les voisines, elles guettent ce qui va venir conforter ou bousculer leurs habitudes.
Au fil des saisons et des générations de femmes flotte sur Comme tous les après-midi un parfum de mystère étrange et pénétrant. En touches légères, prégnantes, se dessine en filigrane, parfois à la lisière du fantastique, un portrait discret mais audacieux de la femme iranienne. Par la simplicité et la sobriété de son style, Zoyâ Pirzâd épingle comme un papillon rare la fuite du temps et déjoue d’un regard incisif les pièges de la vie qui passe.
Le platane et moi étions amis. Lui non plus ne comprenait pas la raison de tous ces va-et-vient. Nous nous demandions tout le temps : « Pourquoi ces gens bougent-ils ? Que cherchent-ils ? Où vont-ils ? » ( Sur le rebord de la fenêtre )
Il s'agit d'un recueil de nouvelles très courtes (2 à 5 pages max) qui portent toutes sur le quotidien (souvent des femmes) en Iran. Langueur, longueur, les jours se ressemblent.
Il ne se passe rien d'extraordinaire dans ces nouvelles, il s'agit juste de tranches de vies instantanées.
livre de nouvelles, très court, brodant toutes autour du même thème, et malheureusement aussi des mêmes éléments: une fenêtre, la cour, un arbre, la cuisine, le mari, les enfants, l'ennui. et c'est aussi ce que j'ai fini par ressentir aussi, tant toutes les nouvelles à l'exception des sauterelles étaient semblables et interchangeables. pas un très bon moment, je ne lirai plus cet auteur
Une lecture contemplative et onirique, comme un après-midi tranquille et ensoleillé.
Une immersion dans le quotidien de ces iraniens de tous âges depuis l'intérieur de leur lieu de vie - mais pas toujours. Nous suivons ainsi des femmes (petites filles, jeunes adolescentes, mères de familles, vieilles femmes) - mais pas toujours.
Les seuls points communs entre toutes ces histoires : la poésie de la prose, la place prédominante de la femme et une fenêtre ouverte sur le monde extérieur.
Un écrin de simplicité qui reflète sans jugement les sentiments de la vie de tous les jours : la joie, l'amour, le souvenir des êtres chers, la routine, la sécurité, la solitude, la peur, la dépression, l'ennui, le temps qui passe...
Pour autant, il ne s'agit pas d'une lecture triste. C'est la vie, tout simplement.
Il va me falloir remercier ma bibliothécaire préférée pour cette recommandation hors de mes sentiers battus.
Résumé
Alieh, Rowshanak ou Raeheleh sont souvent à leur fenêtre. Entre le riz pilaf aux lentilles et les pétunias, le voile et une paire de bas, le mari, les enfants, les aïeuls ou les voisines, elles guettent ce qui va venir conforter ou bousculer leurs habitudes.
Au fil des saisons et des générations de femmes flotte sur Comme tous les après-midi un parfum de mystère étrange et pénétrant. En touches légères, prégnantes, se dessine en filigrane, parfois à la lisière du fantastique, un portrait discret mais audacieux de la femme iranienne. Par la simplicité et la sobriété de son style, Zoyâ Pirzâd épingle comme un papillon rare la fuite du temps et déjoue d’un regard incisif les pièges de la vie qui passe.
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