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- Essaie cette robe.

- J'ai déjà plein de vêtements, insistai-je.

- Oui. Et tu ferais mieux de tous les jeter. Et en particulier ce tee-shirt avec le cheval blanc, le coeur et la lettre I dans le fond. Qu'est-ce que ça veut dire ?

- I love les chevaux arabes. Pour dire que j'aime les chevaux arabes, expliquai-je.

- J'aime la viande saignante, mais ce n'est pas pour autant que je porte la photo d'un steak cru sur le torse.

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Contrairement à ce qu'affirment les féministes, la galanterie ne signifie pas que les femmes n'ont aucun pouvoir.

Au contraire la galanterie est la preuve que l'homme admet la supériorité de la femme.

C'est la reconnaissance de votre pouvoir sur nous.

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Lucius me regarda avec un petit sourire narquois.

_Vraiment? Aucun prétendant? C'est scandaleux. J'aurais pensé que ton aptitude à manier la fourche attirerait des célibataires dans cette région de paysans.

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-Antanasia, dit-il d'une voix tremblante. Et si je l'avais fait...

-Tu ne l'aurais pas fait. Je le savais.

-Et si un jour...

-Jamais, Lucius.

-Non, jamais, confirma-t-il avant de relever la tête. Puis il attrapa mon visage dans ses mains et essuya délicatement mes larmes. Je n'avais même pas remarqué que je pleurais. Je ne savais pas depuis quand mes larmes coulaient.

-Pas à toi, ajouta-t-il.

-Je sais, Lucius.

[...]

C'est vrai, tu es plus forte que moi, admit Lucius. J'ai fait tout ce que je pouvais pour suivre mon idée - que tu ne sois menacée ni par moi ni par les nôtres - mais tu as démontré une détermination encore plus grande, à l'image d'une vraie princesse.

-Je voulais être avec toi, Lucius. Il fallait bien que je n'en fasse qu'à ma tête

[...]

-C'est l'éternité, Antanasia, dit-il à la fois comme un avertissement et une imploration. L'éternité.

Il me donnait une dernière chance de partir - tout en me priant de ne pas le faire.

Je n'avais aucune intention d'aller où que ce soit en dehors de cette pièce ou de ses bras. Je penchai ma tête en arrière, acquiesçant sans un mot, et fermai les yeux lorsque Lucius trouva à nouveau le point où mon pouls battait le plus fort dans mon cou. Cette fois, il n'y eu aucune hésitation au-delà des quelques respirations pendant lesquelles nous savourions ensemble l'instant qui nous lierait l'un à l'autre à jamais. Ses crocs percèrent ma peau, et j'émis un petit cris. Je le sentis plonger, avec force assurée mais une infinie douceur, dans ma veine, et boire en moi.

-Je t'aime, Lucius, soupirai-je, tandis que je me sentais aspirée dans son corps, devenir une part de lui-même. Je t'ai toujours aimé.

Mes propres crocs furent libérés, la douleur cessa, et quand Lucius eut terminé, ma gorge brûlait d'un plaisir vif et inimaginable. Il m'amena sur l'un des canapés et m'attira à lui afin que je puisse aisément atteindre son cou. Cela me sembla si naturel d'appuyer ma bouche contre sa peau.

-Ici, Antanasia, chuchota Lucius en me guidant délicatement vers le bon endroit.

Lorsque je sentis son pouls battre juste sous sa peau,je ne pus attendre plus longtemps pour planter mes crocs profondément, le goûter et faire de lui une part de moi.

Lucius gémit et me serra contre lui pour que mes crocs pénètrent encore plus profondément et que son sang froid et généreux coule plus facilement dans ma bouche. Il avait le goût du pouvoir et de la passion, avec une pointe de douceur...

Une fois que j'eus fini de boire, il caressa mon visage et m'aida à faire rentrer les crocs auxquels je n'étais pas encore habituée.

-Oh, Antanasia, murmura-t-il. Moi aussi, je t'ai toujours aimée.

Epuisés, nous dormîmes dans les bras l'un de l'autre sur le canapé près du feu, comblés, pleinement heureux.

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- Bienvenue, m'annonça Lucius en ouvrant la porte de son appartement. Il fit un pas en arrière pour me permettre d'entrer. Tu es ma première invitée.

- Merde alors.

- Voilà une réaction qui fait plaisir, dit Lucius après avoir refermé la porte. C'est très élégant de la part d'une dame.

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« - Et les pieux ? Est-ce qu'on peut vous tuer avec un pieu ?

- Un pieu peut tuer n'importe qui ... »

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-Alors ? Qu'est-ce que tu en penses ?

Je résistais à l'envie de croiser mes bras sur ma poitrine avant de me retourner pour me regarder dans le miroir .

-Tu es ...fantastique.

Lucius se leva et se plaça derrière moi sans me quitter des yeux .

-Vraiment ?

- Magnifique, Antanasia, murmura-t-il. Magnifique.

Avant que j'aie pu lui rappeler de ne pas m'appeler par ce nom, Lucius fit un pas de plus vers moi, glissa sa main sous mes longs cheveux indisciplinés, et remonta la fermeture jusqu'en haut.

- Les femmes ont toujours besoin d'aide pour les derniers centimètres.

Je retins mon souffle. A quel point était-il expérimenté ?

-Euh, merci .

- Tout le plaisir est pour moi.

Puis, à ma grande surprise, Lucius passa ses doigts dans mes boucles, les rassembla et en fit une torsade qu'il remonta sur le haut de ma tête. Soudain, mon cou parut très long.

- Voilà à quoi doit ressembler une princesse roumaine, chuchota-t-il dans mon oreille. Ne redis plus jamais que tu ne vaux rien, Antanasia. Ou que tu n'es pas belle. Ou que tu es "grosse", bon sang. Lorsqu'il te prendra l'envie de te complaire dans des critiques aussi ridicules et déplacées, souviens-toi de ce moment.

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- Tu m'attendais, n'est-ce-pas ?

Lucius regardait au loin dans le noir.

- C'était comment ?

- Quoi ?

- Il t'a embrassée. C'était comment ?

Je souris alors que les souvenirs me revenaient en tête.

- Sympa.

Lucius émit un petit sourire ironique.

- Sympa ? C'est comme "gentil". L'adjectif "sympa" est surfait.

- S'il te plaît, ne recommence pas avec ça, lui conseillai-je.

Ne gâche pas ça.

- Lorsque tu embrasses la bonne personne, ça doit être mille fois mieux que "sympa", marmonna Lucius.

- Tu n'as pas le droit de dire ça.

Je me levai pour rentrer, relevant ma robe. Il ne gâcherait pas ce moment si important pour moi. C'était hors de question.

A ma grande surprise, Lucius céda.

- Tu as raison. C'était méchant. Je n'avais pas le droit. S'il te plaît, tiens-moi compagnie, me demanda-t-il gentiment en tapotant la marche. Je crois que je suis un peu mélancolique ce soir.

- Tu aurais dû aller à la fête, dis-je en me rasseyant.

Lucius prit une grande inspiration et soupira.

- Il n'y avait rien pour moi là-bas.

- C'était assez amusant. Il y avait des jeux et on...

- Est-ce qu'il t'est déjà arrivé une minute d'essayer de regarder la vie de mon point de vue ? m'interrompit Lucius un peu brusquement. Tu as déjà pensé à ce que je pouvais ressentir ?

Il se tourna vers moi. Ses yeux brillaient légèrement, comme ceux de la citrouille.

- Est-ce qu'il t'arrive de regarder autre chose que toi-même ? reprit-il.

- Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as... le mal du pays ou quelque chose du genre ?

Puis la lueur dans ses yeux se ranima.

- Oui, on va dire ça. Pour l'amour du ciel. Je vis dans un garage, loin de tout ce que j'ai toujours connu. On m'a envoyé ici pour séduire une femme qui me délaisse pour un paysan...

- Jake est un garçon très sympa, Lucius.

Lucius soupira à nouveau.

- Est-ce tout ce que tu attends de la vie ? Sympa ? Est-ce que tout doit être sympa ?

- Sympa c'est... sympa, protestai-je.

- Oh, Antanasia, murmura Lucius en secouant la tête. Je pourrais te faire découvrir des choses qui seraient bien mieux que juste "sympas". Cela te ferait tourner la tête. Ton si joli minois.

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Il respirait fort. Je sentais son torse gonfler et se presser contre mon dos. Lorsque le pieu s'appuya encore plus contre ma chair, s'enfonça, j'essayai de m'en éloigner.

-Ne me défie pas !

-C'est exactement ce que je suis en train de faire.

Le pieu me faisait mal et m'empêchait de respirer correctement. Lorsque je gémis et tournai la tête contre son épaule pour me détourner de l'arme, il céda légèrement.

-Je te défie, Lucius, poursuivis-je, m'efforçant de l'émouvoir pendant qu'il montrait une once de vulnérabilité. Je risque ma vie pour te prouver que tu n'est pas Vasile. Que tu peux retrouver le droit chemin. Que tu m'aimes trop pour pouvoir me détruire. Je te parie ce que tu veux que tu m'épargneras.

-Je ne peux épargner personne ! rugit Lucius qui, à en voir sa main tremblante sur ma cage thoracique, avait totalement perdu son calme. Tous mes choix sont aussi cruels les uns que les autres, Antanasia ! J'ai détruit mon propre oncle, nom de dieu ! J'ai mis tes parents en péril - même s'ils ont éssayé de me souver. Mon cheval, détruit. Mon père, détruit. ma mère, détruite. Toi - peu importe ce que je ferai, tu es déjà vouée à la destruction. Je ne peux ni t'abandonner - tu ne me laisseras pas faire - ni t'attirer dans ce monde... dans mon monde. Tout -tout ce qui m'entoure finit par être détruit !

Il enfouit son visage dans mes cheveux, visiblement à bout. Ses mains glissèrent de ma poitrine et le pieu tomba à terre. Je savais que j'avais gagné. J'avais joué avec ma vie mais j'avais gagné.

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Cinglé. Lucius Vladescu était complètement cinglé. Et j'étais toute seule avec lui, dans une écurie déserte.

Alors je fis ce que n'importe quelle personne sensée aurait fait: je lançai la fourche vers ses pieds et me mis à courir comme une folle vers la maison, ignorant ses hurlements de douleurs

[...]

-Tu as de la chance que mon cordonnier n'utilise que du cuir d'excellente qualité. Tu aurais pu m'empaler. Et tu ne voudrais pas empaler un vampire, n'est ce pas ? A ce propos, est-ce une manière d'accueillir son futur époux... ou n'importe quel invité d'ailleurs... avec une fourche ?

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