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- Ne me quitte pas.
- Te quitter ? Pas question. Je vais t'épouser.
Afficher en entier- Votre relation a-t-elle été intensément sexuelle dès le début ? demanda-t-il.
- Nous sommes très attirés l'un par l'autre, acquiesçai-je.
- De toute évidence, commenta-t-il avec un gentil sourire. J'aimerais cependant discuter avec vous de l'éventualité d'une période d'abstinence pendant que nous...
- C'est absolument hors de question, l'interrompit Gideon. Je suggère que nous nous concentrions sur ce qui ne fonctionne pas sans éliminer l'une des rares choses qui fonctionnent.
- Je ne suis pas certain que cela fonctionne vraiment, Gideon, observa le Dr Petersen d'un ton égal. Pas comme cela le devrait.
Gideon cala la cheville sur le genou opposé et se carra dans le canapé - l'image même de l'inflexibilité.
- Docteur Petersen, déclara-t-il d'un ton grave, la seule façon que j'aurais de me retenir de toucher Eva serait de me donner la mort. Trouvez un autre moyen d'arranger les choses entre nous.
Afficher en entierIl s’empara alors de ma main, la porta à ses lèvres avant de murmurer :
— Je t’aime.
Je me figeai, le cœur battant.
Entrelaçant ses doigts aux miens, il posa nos mains jointes sur sa cuisse. Le va-et-vient rythmé des essuie-glaces semblait faire écho aux battements de mon cœur.
J’avais une boule dans la gorge.
— Tu veux bien répéter ? articulai-je.
Il ralentit à l’approche d’un feu tricolore et me regarda. Il semblait infiniment las, comme s’il avait épuisé toutes ses réserves d’énergie – et Dieu sait qu’il en avait ! Mais son regard était brillant et chaleureux, et le pli de sa bouche tendre et plein d’espoir.
— Je t’aime, répéta-t-il. Le mot est loin d’exprimer ce que je ressens pour toi, mais je sais que tu as envie de l’entendre.
— J’en ai besoin, acquiesçai-je à voix basse.
— Du moment que tu saisis la différence.
Le feu passa au vert et il accéléra.
— L’amour, on le surmonte, on s’en remet, on peut vivre sans et aller de l’avant. Le perdre et le retrouver. Cela ne peut pas m’arriver. Je ne te survivrais pas, Eva.
Le regard qu’il me lança me coupa le souffle.
— Tu m’obsèdes, Eva. Tu es ma drogue. Tu es tout ce que j’ai toujours voulu, tout ce dont j’ai besoin, tout ce dont j’ai rêvé. Tu es tout. Je ne vis et ne respire que par toi. Pour toi.
Afficher en entier-Je savais que tu allais me rendre fou le moment où je t'ai vu.
Je souris en me rappelant commentt nous nous étions rencontrés.
-affalée sur mon cul sur le sol du hall de l'immeuble Crossfire?
-Avant. à l'extérieur.
fronçant les sourcils, je demande
-à l'extérieur où?
-sur le trottoir.
Afficher en entierje pourrais tuer pour toi, renoncer à tout ce que je possède pour toi, mais jamais je ne renoncerai à toi.
Afficher en entier- Merci, Gidéon, dis-je en l'étreignant. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
- Et tu ne risques pas de le savoir un jour.
Afficher en entier"Il se dirigea vers moi à pas lents. La façon dont il avait carré les épaules et la lueur dans son regard ne laissaient aucun doute sur ses intentions.
Il bondit sur moi, me souleva dans ses bras, et nous basculâmes sur le lit. Sa bouche couvrit la mienne, étouffant mon cri de surprise. La violence de son désir et le poids de son corps sur le mien me bouleversèrent...
- Tu m'as manqué, soufflai-je en enroulant bras et jambes autour de lui. Même si tu es sérieusement agaçant, parfois.
- Je te retourne le compliment. Tu es la femme la plus agaçante que j'aie jamais rencontrée.
- Tu m'as vraiment fichu en rogne. Je ne t'appartiens pas. Tu n'as pas le droit de...
- Oh, que si, Eva! coupa-t-til en me mordillant le lobe de l'oreille, me tirant un cri aigu. Et si, j'ai tous les droits.
- Dans ce cas, tu m'appartiens aussi. Et j'ai tous les droits également. (....)
- Ne compte pas être à cent pour cent à égalité avec moi , Eva.
- Oh que si!
Il se positionna entre mes jambes.
- Oh que non! persista-t-il en plongeant les mains dans mes cheveux pour m'immobiliser la tête.
Il se mit à onduler des hanches avec une habileté consommée. Un flot de désir brûlant se déversa dans mes veines.
- Arrête. Je n'arrive plus à penser quand tu fais ça."
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier" Tu m'obsèdes, Eva. Tu es ma drogue. Tu es tout ce que j'ai toujours voulu, tout ce dont j'ai besoin, tout ce dont j'ai rêvé. Tu es tout. Je ne vis et ne respire que par toi. Pour toi. "
Afficher en entier-Tu ne peut pas me sourire comme ça, puis partir. Dit-moi à quoi tu pensais quand j'étais au téléphone.
mes lèvres se tordirent avec une ironie désabusée.
-comme tu est magnifique. C'est écœurant combien de fois je pense à ce sujet.
Afficher en entier— Tu n’as pas le droit de me sourire comme tu l’as fait, puis de te sauver. Dis-moi à quoi tu pensais quand j’étais au téléphone.
J’affichai une expression ironique.
— Je me disais que tu étais vraiment très beau. Ça m’arrive tout le temps, c’est écœurant. Il va falloir que j’entame une cure de désamour.
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