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Extrait ajouté par fraise 2012-07-10T14:25:39+02:00

Il a l’air choqué, et se penche vers moi de telle sorte que sa bouche frôle la mienne quand il parle.

— J’ai un truc à te dire, me chuchote-t-il.

Je fais courir les doigts sur les tendons de sa main et je le regarde.

— Je suis peut-être bien amoureux de toi. (Il a un petit sourire.) Mais bon, j’attends d’être sûr pour te l’annoncer…

— Ça me paraît raisonnable, approuvé-je en souriant à mon tour. Il te faudrait un papier pour lister les pour et les contre, un truc comme ça.

Je sens le rire secouer sa cage thoracique. Son nez glisse le long de ma mâchoire, ses lèvres se pressent derrière mon oreille.

— Peut-être bien que je suis déjà sûr et que je veux juste éviter de te faire peur.

J’ai un petit rire.

— C’est que tu me connais mal.

— Très bien. Alors, je t’aime.

Je l’embrasse tandis que le train entre en zone incertaine, dépourvue d’éclairage. Je l’embrasse tout mon soûl, longtemps, plus longtemps que je ne devrais avec mon frère à trois mètres de moi.

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Extrait ajouté par Rid-kaat 2012-04-21T16:25:46+02:00

-Tu peux être une fille pendant quelques secondes?

Je fronce les sourcils.

-Je suis toujours une fille.

-Tu vois ce que je veux dire. Une pipelette qui aime bien les petits secrets, quoi.

J'enroule une mèche autour de mon doigt.

-Booon...

Elle a un sourire si large que j'aperçois ses dents du fond.

-Will m'a embrassée.

-Quoi? m'écrié-je. Quand? Où? Comment ça s'est passé?

-Mais oui, tu peux être une fille!

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Extrait ajouté par isane3 2012-06-30T09:22:51+02:00

[...]

Il approche son visage du mien et son regard s'attarde sur mon menton, sur ma bouche, sur mon nez.

- C'est parce que tu me plais.

Il le dis simplement, ouvertement, et ses yeux papillonnent jusqu'aux miens.

- Et ne m'appelle pas Quatre. Ça fait du bien d'entendre mon nom.

Tout à trac, il s'est dévoilé, et je ne sais pas comment réagir. Je commence à avoir chaud. Tout ce que je trouve à dire, c'est :

- Mais... Tobias... tu es plus vieux que moi...

Il me sourit.

- C'est vrai que ce fossé de deux ans est totalement insurmontable.

- Je n'essaie pas de me dévaloriser, rectifié-je. C'est juste que j'ai du mal à comprendre. Je suis plus jeune que toi, je ne suis pas jolie, je...

Il rit, d'un rire grave qui semble venir de très loin, et pose sa bouche sur ma tempe.

- Quoi, soyons honnêtes, insisté-je, le souffle court. Je ne suis pas moche, mais on ne peut pas dire que je sois jolie.

Il secoue la tête.

- Admettons. Tu n'es pas jolie. Et alors ?

Il m'embrasse sur la joue.

- Tu me plais comme tu es. Tu es super intelligente. Tu as du cran. Et même maintenant que tu sais pour Marcus...

Sa voix s'adoucit.

- ... tu ne me regardes pas comme un chien battu.

- Parce que tu n'en es pas un.

Il me fixe en silence. Puis il me touche le visage, se penche vers moi et sa bouche effleure mes lèvres. La rivière tonne et une gerbe d'écume me mouille les chevilles. Il sourit jusqu'aux oreilles, et presse sa bouche sur la mienne.

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Extrait ajouté par isane3 2012-06-30T09:08:55+02:00

[...]

- Bon, on va devoir s'accroupir. Prêt ?

Je lui prends la taille pour qu'il se baisse avec moi. Ses côtes se collent contre les miennes et les planches grincent les unes contre les autres tandis que le plafond descend en même temps que nous. Je me rends compte qu'on ne tiendra pas longtemps en maintenant autant d'espace entre nous et je me roule en boule pour lui tourner le dos, la colonne vertébrale plaquée à son torse. Il a une jambe repliée sous moi de sorte que je suis assise sur sa cheville, et son autre genou est replié juste à côté de ma tête. On n'est plus qu'un enchevêtrement de membres. Je sens son souffle saccadé contre mon oreille.

- Ah, lâche-t-il d'une voix rauque, c'est encore pire. C'est clair....

- Chut. Mets tes bras autour de moi.

Docilement, il les glisse autour de ma taille. Je souris au mur. Mais non, je ne savoure pas ce moment, pas du tout.

- La simulation mesure ton niveau de peur, chuchoté-je. Si tu arrives à ralentir ton rythme cardiaque, on passera à la simulation suivante. Essaie d'oublier qu'on est là.

Je ne fais que répéter ce qu'il nous a dit, mais ça l'aidera peut-être de l'entendre.

- Ah ouais ? Aussi simple que ça, hein ?

Je sens ses lèvres bouger contre mon oreille tandis qu'il parle et une sensation de chaleur m'envahit.

- Tu sais que la plupart des garçons se réjouiraient d'être enfermés avec une fille dans un endroit aussi restreint ?

Crétine. Je lève les yeux au ciel.

- Sauf les claustrophobes, Tris.

Il a vraiment l'air sur le point de craquer.

- D'accord, d'accord.

Je pose une main sur la sienne et je la guide jusqu'à mon coeur.

- Tu sens mon coeur qui bat ?

- Oui.

- Tu sens comme il est régulier ?

- Il est rapide.

- Ouais. Peut-être, mais ça n'a aucun rapport avec la boîte.

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Extrait ajouté par Rid-kaat 2012-04-21T16:32:15+02:00

-Des mites? répète Will. T'as peur des mites?

-Pas juste une nuée de mites, se défend-elle. Genre...une armée de mites. Partout. Avec tout ces ailes et ces pattes...

Elle frémit d'un air horrifié.

-Atroce, fait Will, railleur.ça c'est ma nana! Dure comme du coton.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-01-21T10:05:36+01:00

"Je crois aux actes de courage ordinaire, au courage qui pousse une personne à prendre la défense d'une autre."

C'est une belle pensée.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2012-06-29T18:22:06+02:00

Il rit près de mon oreille, d'une voix mal assurée.

-Pourquoi ton coeur bat aussi vite, Tris ?

Je me maudis et je cherche une excuse qui n'ait rien à voir avec ses bras autour de moi.

-Ben, je te connais à peine...

Très insuffisant.

-Je te connais à peine et je me retrouve collée à toi dans une boîte.Qu'est-ce que tu crois ?

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Extrait ajouté par Doby29880 2011-10-30T01:18:17+02:00

Je ne peux pas le tuer. Je ne sais pas si je l'aime , et je ne sais pas si c'est la raison. Mais je sais comment il agirait dans la situation inverse. Je sais que rien ne justifie que je le tue.

Je l'ai déja fait : dans mon visage des peurs,l'arme à la mains, avec une voix qui me criait de tirer sur les gens que j'aimais. Cette fois-là j'ai décidé que je préférais mourir. Mais je ne vois pas comment ça pourrais m'aider aujourd'hui.En revanche je sais, sans l'ombre d'un doute quel est le bon choix.

Mon père dit-disait- qu'il y a du pouvoir dans le fais de se sacrifier.Je retourne le pistolet dans ma main et je le pose dans celle de Tobias. Il appuie le canon sur mon front. Mes larmes se sont arrêtées et l'air est froid sur ma joue. Je tend la main pour toucher sa poitrine et sentir battre son coeur. Au moins, son coeur lui appartient toujours.

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Extrait ajouté par Rid-kaat 2012-04-21T16:40:22+02:00

-Allons-y, dis-je. lève toi, Peter.

-Tu veux qu'il MARCHE? s'indigne Caleb. Tu es folle!

-Je lui ai tiré dans la jambe ? Non. Alors il peut marcher.

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Extrait ajouté par nanine60 2011-10-29T23:15:36+02:00

Je tends le bras. Mon sang tombe sur la moquette entre les deux coupes. Puis, avec un tressaillement irrépressible, je projette ma main en avant et mon sang grésille sur les charbons.

Je suis égoïste.Je suis courageuse.

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