Ecailles
Auteur
- John Farris (Écrivain)
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Après L'ange des ténèbres qui m'avait laissée sur ma faim pour les raisons exposées dans mon retour, je suis une nouvelle fois déçue, par Écailles cette fois.
Pourtant John Farris écrit bien, très bien même. Je ne sais pas s'il est capable du pire comme du meilleur ou si je passe à côté de certains écrits, mais force est de constater que là encore, le récit m'a laissée de marbre, voire ennuyée. On n'arrive pas à cerner les personnages, pour lesquels on n'éprouve absolument rien, et on attend de grands frissons... qui n'arrivent pas.
Pour tout avouer, je n'ai même pas vraiment tout compris, en fait, les événements n'étant pas creusés.
Ce livre peut intéresser les passionnés de vaudou, certains passages sur la culture africaine relevant un peu le niveau, mais bon, ce n'est pas ce que j'attends d'un roman horrifique.
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Ce livre raconte l'histoire d'une famille aisée qui petit à petit sombre dans l'horreur, en commençant par le fils tuant sa femme puis se suicidant le jour de son mariage. Mais les tueries ne s'arrêtent pas là et l'on est vite transporté vers d'anciens rituels de tribus africaines surnaturels et sanglants... Mais quel est le rapport entre tout ça ?
L'intrigue est plutôt bien amenée, l'histoire vraiment sombre... Dommage que l'on ne s'attache pas assez au personnage, ce qui aurait permit d'être bien plus touché au moment où l'un d'eux est en mauvaise posture.
Ça reste un bon bouquin d'horreur qui nous plonge au feu de l'action et ne s'arrête qu'à la toute dernière ligne.
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Date de sortie
Ecailles
- France : 2001-02-26 - Poche (Français)
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Résumé
« William Jebediah Bradwin, acceptez-vous de prendre pour épouse... » La vénérable chapelle fut ébranlée par une violente secousse. Un cri jaillit de l'assistance et les regards se figèrent sur Clipper, le marié. Les yeux hagards, il avait tiré son sabre de son fourreau tandis qu'une nouvelle secousse faisait trembler la chapelle et que les invités se ruaient vers la sortie.
Devant l'autel, Clipper s'approcha de la mariée et, d'un geste précis, lui transperça la gorge. Puis, d'un moulinet gracieux, il trancha la main d'un invité qui tentait de le maîtriser. La chapelle était presque vide à présent lorsque Clipper, au garde-à-vous, renversa la tête en arrière et plongea l'arme dans son gosier.
Personne ne comprit ce qui était arrivé à Clipper. Pourtant, enfouie dans la mémoire ancestrale des hommes, une explication existait...
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