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Liste des extraits

(Monsieur Henson et Tristan)

- Ne te détourne pas de Liz à cause d'un événement dont elle n'est pas responsable. Ne fuis pas l'occasion d'être heureux à cause d'un accident. Parce que, au bout du compte, il ne s'agit pas de tarots, ni de cristaux, ni de tisanes magiques. Ce n'est pas là que réside la magie.

La magie réside dans les petits moments. Dans les petites attentions, les sourires affectueux, les rires muets. La magie, c'est de vivre l'instant et de s'autoriser à respirer et à être heureux.

Mon cher garçon, la magie c'est d'aimer.

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Aucune âme sœur ne quitte ce bas monde seule ; elle emmène toujours un morceau de son autre moitié.

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– C’est quoi le truc entre Tanner et toi ?

– Je te l’ai déjà dit, nous sommes amis, rien de plus.

– À voir la façon dont il te tenait, ce n’est pas ce qu’on pourrait croire.

Elle ricana en regardant ses pieds.

– Qui est jaloux, maintenant ?

– Moi.

– Quoi ?

Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux.

– J’ai dit que j’étais jaloux. Je suis jaloux de la façon dont il a posé la main dans ton dos. Je suis jaloux de la façon dont il t’a fait rire. Je suis jaloux de la façon dont il t’a parlé à l’oreille. Je suis jaloux de ces quelques instants où il t’a regardé dans les yeux et pendant lesquels je n’ai pas pu faire autrement que vous observer.

– Qu’est-ce que tu me fais, là ?

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– Eh bien, en fait je suis venue voir si vous n’embaucheriez pas, par hasard. Je sais que je n’ai pas travaillé ici depuis que j’ai quitté la fac, mais cela me rendrait bien service.

– Mais bien sûr que nous embauchons ! Hé toi, Sam !

Faye pointa le doigt vers un jeune serveur que je ne connaissais pas.

– Tu es viré !

– Faye !

– Quoi ?!

– Tu ne peux pas virer les gens comme ça.

Je voyais la peur se refléter dans les yeux de Sam. Pauvre gars.

– Vous n’êtes pas viré en vrai.

– Oh, mais si, tu l’es.

– Arrête ça, Faye. Mais non, vous ne l’êtes pas. Et d’abord, de quel droit tu vires les gens ?

Elle se redressa et tapota du doigt le badge portant son nom et sur laquelle on pouvait lire « Manager ».

– Il a bien fallu que quelqu’un prenne le poste de directeur, ma vieille.

Je me tournai vers Matty, l’air un peu étonnée.

– Tu as nommé Faye manager ?

– Elle avait dû me droguer.

Il se mit à rire.

– Cela dit, si tu as vraiment besoin de travailler, il y a toujours de la place pour toi. Ce pourrait être à temps partiel, cependant.

– À mi-temps, ce serait super, vraiment.

Je souris à Matty en le remerciant.

– Ou alors on pourrait virer Sam. Il a déjà un autre boulot à temps partiel ! En plus, il est plutôt chelou.

– J’entends ce que tu dis, dit Sam timidement.

– Et alors, qu’est-ce que ça peut faire ? Tu es viré.

– Nous n’allons pas virer Sam, dit Matty.

– T’es pas marrant. Mais vous savez ce qui serait marrant ?

Elle retira son tablier et hurla :

– Pause déjeuner !

– Il est neuf heures et demie du matin ! gronda Matty.

– Pause petit déjeuner !

Faye m’attrapa par le bras.

– On revient dans une heure environ.

– Les pauses sont de trente minutes.

– Je suis sûre que Sam pourra me remplacer. Sam, tu n’es plus viré.

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– Affreux. Alors, Lizzie… si tu ne veux pas de mon amour, dis-le moi tout de suite et j’arrêterai. Je m’en irai et j’arrêterai de t’aimer.

Rejette-moi si tu veux. Dis-moi de partir et je le ferai. Mais si ne serait-ce qu’une toute petite partie de toi est d’accord, une partie même infinitésimale de toi qui accepte que je tombe amoureux de toi par accident , alors serre-moi fort.

Emmène-moi dans ta maison, dans ta chambre, et laisse-moi te montrer à quel point je suis en train de tomber amoureux de toi.

Laisse-moi prouver à la moindre parcelle de ton corps à quel point je suis fou de toi

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Tu connais ce lieu situé juste à la frontière entre le rêve et le cauchemar ? Ce lieu où demain n’arrive jamais et où hier ne fait pas souffrir ? Le lieu où ton cœur bat à l’unisson avec le mien ? Où le temps n’existe pas et où il est facile de respirer ?

C’est là que je veux vivre avec toi. TC

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« – Allez. Raconte. Je suis en train d’essayer de m’envoyer en l’air, là, et ce coup de téléphone me fait perdre mes moyens.

– Que veux-tu dire, tu es en train de t’envoyer en l’air ?

Je poussai un cri étouffé.

– Faye, tu fais l’amour en ce moment ?

– De quoi tu parles ? De sexe ?

– Oui, c’est ça, de sexe ?

– Eh bien, si tu me demandes s’il y a actuellement un pénis dans mon vagin, la réponse est oui. Je suppose qu’on peut plus ou moins appeler ça faire l’amour.

– Oh, Seigneur, Faye ! Mais pourquoi as-tu répondu au téléphone ?

– Hum, parce que les copines passent avant les pines ? Littéralement.

Elle se mit à rire. Je m’étouffai.

– Salut, Liz.

C’était la voix de Matty, en arrière-plan. Je m’étouffai de plus belle.

– J’ai mis ton nom sur le planning pour trente heures la semaine prochaine.

– Je raccroche.

– Quoi ? Non. J’ai tout mon temps là, tout de suite.

– C’est vraiment gênant.

– Oh ! Matty, arrête ! Je t’ai dit de ne pas me mordre là.

Oh, putain, ma meilleure amie n’était vraiment pas nette. »

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Il vint vers moi et s’assit sur le tabouret à côté. Je me tournai dans l’autre sens. Il attrapa mon tabouret et le fit tourner pour m’obliger à le regarder.

– Merde alors, murmura-t-il.

Je vis dans ses yeux qu’il avait compris.

– Tais-toi, Tristan !

Je baissai les yeux, incapable de le regarder en face.

– Tu as fait un rêve érotique à propos de moi ?!

Je lui donnai un coup dans le bras en l’entendant brailler. Monsieur Henson ricana.

– Quel rebondissement !

Un sourire moqueur passa sur le visage de Tristan et c’était officiel : Je. Suis. Morte. De. Honte ! Il se pencha vers moi et me murmura à l’oreille,

– Est-ce que je t’ai fait ce truc avec la langue, sur tes lèvres ?

Je rougis.

– De quelles lèvres est-ce que tu parles ? dis-je tout bas.

Son sourire se fit plus carnassier.

– Espèce de petite cochonne.

En descendant de mon tabouret, je croisai le regard de monsieur Henson.

– Pouvez-vous me le mettre dans un gobelet à emporter ?

– Oh, allez, Elizabeth, je veux en savoir plus ! dit Tristan en riant devant mon air gêné.

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Spoiler(cliquez pour révéler)- Emma et Elizabeth, voulez-vous m’épouser, toutes les deux ?

Il tenait les deux écrins dans ses mains.

J’étais sans voix, incapable de dire un seul mot. Ma douce petite me donna un coup de coude dans les côtes et m’adressa un grand sourire béat – le même qui devait s’afficher sur mon visage.

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– Pourquoi ta fille m’appelle-t-elle toujours Thon ?

– Oh… En fait, la première fois que nous nous sommes rencontrés, je t’ai traité de con, et elle m’a demandé ce que ça voulait dire et, comme je suis une très mauvaise mère, je lui ai dit que j’avais dit “thon”, en lui disant que c’est un gros poisson.

– Alors, elle pense que tu vas m’attraper dans tes filets ?

– En fait, il me semble que la pêche au thon devrait être limitée pour des raisons écologiques, non ? Certaines espèces sont menacées.

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