Endgame : Missions, tome 1

Ce livre est intéressant. C'est sympa de voir comment les Joueurs sont formés chacune de leur coté, et on comprend mieux leur façon d'être dans la trilogie.

Voici la jeunesse des 11 concurrents qui vont s'affronter pour Endgame. Chacun est le descendant d'une tribu ou ethnie millénaire, indépendamment des nationalités modernes. Leur entraînement est digne des spartiates, aucun ne sait à quoi ressemble une vie normale. Et tous devront prouver leur valeur au travers d'une épreuve au mieux très perturbante, au pire carrément ignoble.

Après la lecture de Endgame, j'avais envie de découvrir l'histoire de chacun des personnages.

Une lecture très agréable, qui donne des clés pour comprendre leur comportement au cours de la trilogie principale.

Ce livre nous permet de mieux comprendre les caractères de chaque Joueur, de savoir ce qui a fait d’eux ce qu’ils sont lors de l’Appel, les sacrifices et les devoirs qui en découlent. Un aperçu fort appréciable et bien mené.

J'ai assez aimé ce préquel dans l'ensemble, même si je préfère de loin la série de base.

On découvre les personnages de Marcus, Kala, Chiyoko et Alice, de manière plus détaillée et on comprend mieux leur comportement dans Endgame. Bon, détaillons un peu tous ça...

Premièrement, je suis contente de découvrir plus de chose sur le personnage de Marcus. On ne sait pas grand chose sur lui, et j'apprécie que James Frey revienne sur ce personnage. L'histoire de Marcus m'a quelque peu dérouté sur le moment. On se rend compte dès les premières lignes qu'il est prêt à tout pour devenir le Joueur de sa lignée et qu'il à une grande confiance en lui. Son amitié avec Alexander le rend un peu plus humain même si cela reste une amitié bien étrange. A la fin, on se demande vraiment ce qu'il aurait donner face à An Liu, Baitsakan ou encore Maccabee.

Ensuite, passons à Kala. C'est un des personnages que j'ai le plus apprécié dans le tome 1 de la série originelle. On découvre son côté doux, fragile et rêveur que je ne lui voyais pas à la base. On voit bien dans l'histoire de Kala, qu'elle ne se comporte pas de la même manière que les autres Sumériens. Elle est l'une des rares à pensées à son passé et à se poser des questions sur son envie ou non d'être la joueuse. En tout cas, son histoire m'a énormément touché.

Chiyoko... C'est mon petit coup de cœur d'Endgame alors qu'au début, je ne l'aimais pas tant que ça. Son histoire me fait l'adoré d'avantage. On comprend que son mutisme lui à été très préjudiciable, au niveau de sa légitimité en tant que Joueuse de la lignée Mu. Chiyoko est vraiment un excellent personnage et on comprend un peu mieux son comportement par rapport à An Liu dans le tome 1.

Pour finir, l'histoire d'Alice n'est pas super. On découvre la même Alice que dans la trilogie de base, même si c'est agréable de découvrir la manière dont le Joueur est choisi. Contrairement à Marcus et Kala, je trouve que le choix du Joueur de la lignée Koori se fait très simplement et sans brutalité. C'est un peu la même chose au niveau de la lignée Mu.

En conclusion, ce livre est un bon préquel permettant de mieux comprendre les Joueurs. Je trouve que les quatre histoires ont certains points commun entre eux et que les Joueurs ne sont pas les seuls à blâmer pour la cruauté dont ils peuvent faire preuve dans la trilogie. Il me tarde de découvrir le passé des autres joueurs.

Un livre très prenant ou l'horreur devient fascinant... Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé puisque j'ai dévoré le livre et que je ne peux m’empêcher d'attendre la suite avec impatiente.... Mais la violence à l'état pure décrite dans ce livre laisse un malaise qui ne veut pas se dissiper... Beaucoup de scènes par leur horrible précision quasi chirurgicale donnent envie de détourner le regard.... Bref... A ne pas mettre entre toutes les mains.... (genre interdit moins de 12 ans minimum...)....

J'ai trouvé ces histoires intéressantes. Elles permettent d'en apprendre plus et de mieux comprendre certains personnages par la suite dans Endgame.

Très bonne histoire mais un peu difficile à lire car beaucoup de personnages différents. A voir pour le tome 2...

J'avoue, j'ai lu ce livre uniquement parce qu'il était gratuit sur ma liseuse...

J'avais entendu parler de Endgame, mais je n'ai pas encore eu l'occasion de lire cette série. Ce livre m'a donné encore plus envie de le lire ! J'aime beaucoup l'idée (ça fait un peu penser à Hunger Games) et les personnages sont juste waouh !

J'ai beaucoup aimé ce prequel, et j'ai hâte de pouvoir lire la série !

Pour pouvoir participer avec succès au « Endgame », jeu final organisé par des extra-terrestres, quatre jeunes gens représentant quatre tribus primitives, les Minoens, les Sumériens, le peuple de Mu et les Kooris, doivent s'entrainer très durement et éliminer tous leurs adversaires. En Crète, Markus, le roi de l'escalade, doit choisir entre son amitié pour Alexander, son plus redoutable concurrent, et son destin de Joueur. Dans un désert du Moyen-Orient, Kala apprend le prix de l'amour avec son petit ami Alad. Au moment fatidique, elle n'aura pas la moindre hésitation. Au Japon, Chiyoko luttera jusqu'à la mort contre Akira, sa rivale plus brillante qu'elle, pour rester la Joueuse de sa lignée. En Australie, Alice devra liquider de sang froid un terroriste pour comprendre le sens de la terrible mission qui l'attend.

« Endgame », à en lire ce prequel de plus de 300 pages, s'annonce comme une efficace série d'horreur et de science-fiction pour ados. Les quatre personnages sont présentés successivement au fil de quatre chapitres qui sont autant d'histoires différentes. On se doute qu'ils s'affronteront dans les épisodes suivants et on imagine très bien quel genre d'ambiance va régner dans cette trilogie annoncée. La violence plus ou moins gratuite, la compétition sans la moindre pitié, la rage de vaincre et de tuer. Endgame a commencé. Endgame est un combat sans merci. Il n'y aura qu'un seul vainqueur. Encore et toujours un univers de jeu video, plein de sang, de mort, et de haine. « Aimer est une faiblesse, l'amour est une menace. Tuer est un choix sur lequel on ne revient pas. » y lit-on. Style efficace, à l'américaine, très page-turner, qui ne peut qu'accrocher. Ames sensibles s'abstenir. A réserver à des ados avertis et sachant faire la part des choses.