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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T13:46:19+01:00

Tous les deux, nous sommes désormais bien conscients que notre vie a réellement commencé quand nous nous sommes dit « oui ». Et cet homme-là, je le veux pour toujours. Parce que lorsque nous sommes ensemble, nous sommes plus forts. Bien que parfois, ensemble soit si difficile, c’est même l’enfer ! Ensemble, ce n’est jamais simple. On se hurle constamment dessus. Ensemble, il fait ressortir ce qu’il y a de plus beau en moi.

Ensemble, il me rappelle qui je suis, ce que je suis devenue grâce à lui. Ensemble, la vie me semble plus paisible, plus tranquille. Car ensemble, il devient ma rédemption, ma seule solution.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T13:45:20+01:00

— Je suis certaine que tout ce qu’on a vécu en valait la peine.

— Moi aussi, me répond-il en s’étirant un peu.

— Tu vas faire quoi avec moi, maintenant que tu es enchaîné à moi pour la vie ? murmuré-je.

— Je vais te refaire l’amour une troisième fois et te faire réaliser que de toutes les choses qui me sont arrivés, tu es la plus belle.

— Tu m’as sauvé la vie Brian, pas seulement une fois, mais deux.

— Hein ?

— À mon arrivée ici, tu me cherchais tout le temps et ça m’empêchait de penser à ce que j’avais vécu à New York. Et quand tu es revenu, tu as donné un sens à mon existence. Tu m’as toujours donné le goût de vivre. Sans toi, ça tourne au cauchemar.

— Ma femme est une écrivaine de talent, elle réussit à m’émouvoir avec seulement quelques mots. Épatant.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T13:29:29+01:00

— Passer ma dernière nuit avant le mariage sans toi ? Jamais ! m’avoue-t-il en posant ses lèvres contre mon cou.

— Chéri, on doit dormir un peu.

— Facile à dire, plus difficile à faire. Et puis… tu sais, dans moins de douze heures, tu seras enchaînée à moi pour… toujours.

— Tu doutes ?

Il pose sur moi son regard vert et perçant. Je frissonne. Pourvu que je ne l’aie pas blessé…

— Je ne dirais pas que je doute ni que j’ai peur, c’est une bien drôle de sensation. Un mélange d’excitation, d’appréhension, mais surtout d’impatience. Celle de pouvoir enfin t’appeler madame Lewis, de pouvoir dire à tout le monde que c’est moi qui ai la femme la plus merveilleuse du monde. Et je sais que demain, tu vas être la plus belle mariée sur cette terre. Qu’il y aura un millier d’étoiles dans tes yeux lorsque tu entreras dans la salle. Je suis impatient de découvrir comment tu seras coiffée et maquillée. Et je me demande à quoi peut bien ressembler ta robe. Mais tu sais, depuis que tu es dans mes bras, dans ce lit, je n’arrête pas de me répéter que finalement, tout ce qu’on a vécu, tous ces moments fabuleux, comme ceux plus désastreux, en ont valu la peine, car tu seras mienne pour toujours.

Je le regarde, les yeux embués de larmes et l’embrasse, pour partager avec lui cet amour qui déborde en moi.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T12:35:07+01:00

— Alors, on va vraiment se marier mon amour ? me demande-t-elle en redressant sur un coude pour m’observer.

— Sauf si tu changes d’avis.

— Jamais !

— Bien, parce que moi, j’ai fait mon choix.

Ses yeux brillent de larmes. Je me relève, l’obligeant ainsi à s’asseoir.

— Tu es Abby. Ma princesse, l’amour de ma vie. La femme qui, d’un seul regard, a détruit toutes mes barrières. Je t’aime depuis le début. J’étais trop con pour m’en rendre compte à l’époque, mais maintenant, je suis enfin fier de l’homme que je suis grâce à l’adorable personne que tu es. Pourquoi refuserais-je de me marier avec toi, surtout si tu veux de moi ?

Elle pleure. Je ne la savais pas si émotive. Je ne pensais pas que mon petit discours la toucherait autant.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T01:53:09+01:00

— Abby, veux-tu m’épouser ? Scellons notre union une fois pour toutes.

— Pourquoi pas ?

Il lève les yeux au ciel et souffle en grimaçant.

— Sois sérieuse, ma chérie.

— Oui, Brian. Oui, je le veux.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T01:50:59+01:00

— Pourquoi tu as dit que je chamboulais tout ? demandé-je en me remettant à pleurer.

— Merde… je voulais pas que ça se passe de cette façon !

— Vas-y ! Romps avec moi alors ! Je survivrai…

Je mens. Il le sait. Mais quel autre choix j’ai ? Je ne veux pas le retenir contre sa volonté. Je l’aime trop pour ça…

— Toi ? Survivre sans moi ? C’est une blague ? me taquine-t-il en déposant un baiser sur ma tempe.

Je le frappe sur l’épaule, ce qui le fait rire.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-03T00:48:21+01:00

— As-tu seulement idée de ce que moi, j’ai vécu, toutes ces années, à élever tes enfants, sachant que tu ne voulais pas d’eux ?! Sachant que tu ne voulais plus faire l’effort de te battre pour moi ?! As-tu conscience que j’ai sombré si profondément dans la dépression que j’ai voulu mourir ? Que rien ne pouvait me rendre le sourire ? Que tu n’avais laissé que du silence autour de moi pour mieux me faire mal ?! Et toi, que faisais-tu pendant ce temps-là ? Tu vivais à l’autre bout de la planète, dans un monde complètement à l’opposé du mien !

— Ma chérie, je t’en prie, calme-toi…, m’implore-t-il.

En entendant ces mots, j’explose littéralement. Je sens mon visage virer au rouge, le sang battre dans mes tempes, ma vue se brouiller à cause des larmes.

— Me calmer ?! Tu m’en veux, je peux le comprendre, mais putain de merde, il n’est pas seulement question de ton cœur à toi ! Et le mien, dans tout ça ? Qu’en fais-tu du mien, Brian ? Va-t’en ! Si tu ne peux pas me faire confiance, va-t’en avec ce putain de téléphone et ne m’adresse plus jamais la parole. Putain, je te hais quand tu me mets dans cet état !

J’aimerais qu’il dise quelque chose, mais il reste là, à me fixer comme si j’étais une bête de foire, les yeux écarquillés. Alors j’enchaîne, plus furieuse que jamais :

— J’ai morflé pendant ton absence ! Et ne me dis pas que je l’ai cherché, sinon je te tue de mes propres mains. Je t’en fais la promesse sur la tête de nos enfants.

— Je sais, ma chérie, dit-il doucement en s’avançant vers moi, mon téléphone dans les mains.

— Pourquoi n’arrives-tu pas à comprendre ma douleur comme je peux comprendre la tienne ? demandé-je dans une plainte.

— Parce que je suis un égoïste et que toi, tu… bordel ! Tu es la personne la plus altruiste que j’ai jamais connue…, murmure-t-il en posant ses lèvres contre mon front.

— Je t’aime, je t’en supplie, crois-moi, chuchoté-je en relevant les yeux vers lui.

— Ne dis plus jamais que tu me hais.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-02T23:49:25+01:00

— « Quand il bouge, il courbe le dos. Il se déplace toujours avec une certaine désinvolture, une froideur, une ironie, une assurance qui frôle l’arrogance. Comment peut-il mettre autant de choses dans une simple démarche ? Il parle toujours avec sarcasme, un sourire moqueur sur son visage d’ange. De ses yeux verts à ses si nombreux tatouages, il est ce que j’ai vu de plus sexy dans ce monde. Il m’a captivée, comme toutes les autres filles présentes ce soir-là. Ironiquement, il ne semble pas remarquer les autres. Plus je l’observe, plus il paraît enseveli sous une montagne de sentiments contraires. Plus je l’observe, plus il a l’air torturé et accablé par la vie. Son regard intense derrière cette façade de pierre ne m’a pourtant pas trompée, mais il m’a fait perdre tous mes repères. Qui suis-je maintenant ? Je ne suis qu’une fille, envoûtée par lui. Attirée vers lui comme le fer par l’aimant. Bien sûr, depuis l’instant où il a posé les yeux sur moi dans cet aéroport, je ne peux que subir cette attraction irrésistible. Sans le savoir, j’allais vivre ma plus grande déchéance, ma plus grande dégénérescence, mais aussi ma plus belle renaissance, mon éveil à la vie. Maintenant qu’il a finalement lié sa vie à la mienne, je peux enfin vivre. »

Elle repose le bouquin sur la table. De son index, elle essuie une larme qui glisse douloureusement sur sa joue. C’était quoi ça ?

— Trois cent soixante-cinq pages de passages comme celui-ci. Trois cent soixante-cinq pages pour te dire tout ce que je n’ai jamais pu te dire. Je comptais parler de Chad, de Nate et de toi. Mais plus j’écrivais, plus ça devenait évident. Je ne parlais que de toi. Alors j’ai supprimé tous les passages parlant de Nate et de Chad. Pour ne garder que trois cent soixante-cinq pages qui résument notre histoire.

Je fixe le livre. Si seulement je l’avais lu avant. Si seulement je n’étais pas resté dans mon coin à bouder comme un gamin…

Imbécile !

Elle est vraiment trop bien pour moi. Elle apaise les autres, leur fait du bien. Voit en eux ce qu’eux ne peuvent pas voir. C’est un ange. Un ange qui s’est arrêté en chemin pour me sortir de l’enfer dans lequel j’étais.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-02T17:19:36+01:00

— Nothing lasts forever… except us.

Cette phrase, sur mes côtes, est le symbole de notre amour. Nous avons traversé des orages violents, des tempêtes furieuses, mais nous finissons toujours par nous retrouver malgré les doutes et les coups de gueule.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-02T17:18:22+01:00

— Va-t’en ! ordonne-t-elle en me tournant le dos.

Mais je ne me laisse pas démonter. Je reste là, à la regarder, bouleversé. Suis-je en train de la perdre pour de bon ? Tout ça parce que je ne suis pas capable de lui pardonner alors qu’elle, elle l’a fait un nombre incalculable de fois ? Elle… Elle qui est si magnifique, d’une bonté qui éclairerait le plus sombre d’entre nous, d’une douceur qui rendrait joyeux le type le plus aigri du monde… Et moi ? Je ne suis qu’un abruti. Un mec qui la prend pour la jeter après. Alors que je n’ai qu’elle en tête. Je m’avance vers elle et réalise qu’elle tremble de tous ses membres. Je pose ma main sur son épaule. Abby soupire bruyamment.

— J’ai commis une erreur, j’en suis conscient. Si tu savais combien je me sens coupable de tout ce qui nous arrive. Je sais que tu as toutes les raisons du monde de m’en vouloir. Nos vies auraient été différentes si j’avais composé ton numéro, si j’avais trouvé le courage de t’en parler.

Elle se tourne vers moi et visse ses grands yeux bleus dans les miens.

— Trente mois. Tu es parti trente longs mois. Jamais je n’aurais pu imaginer que tu partirais. J’ai espéré jusqu’à la dernière seconde que tu viennes frapper à ma porte et que tu me supplies de te pardonner. Je l’aurais fait, je t’aurais tout pardonné. Et tu ne peux pas imaginer combien ça me blesse que toi, tu sois incapable de seulement envisager de le faire. Tu m’as fait vivre des choses horribles, à tel point que mon cœur et mon âme sont en lambeaux. Mais je t’ai toujours pardonné.

Dans ses yeux, tournoient des milliers d’émotions. Celle qui me touche le plus c’est la blessure que j’y entrevois. Si profonde. Si vive. Comment peut-elle encore vivre comme ça ? Elle est brisée. À cet instant, je comprends alors la signification de cette lueur dans son regard. Celle que je ne parvenais pas à déchiffrer depuis mon retour.

Ma petite Abby…

— Tu peux partir, je ne vais pas m’effondrer. Je l’ai déjà fait une fois, ça n’arrivera plus jamais.

— Je viens de comprendre… J’ai été long, je m’excuse.

— Hein ?

Je l’attrape par le poignet et l’attire contre mon torse. Je pose ma main derrière sa nuque, elle se blottit aussitôt contre moi, la tête dans mon cou. Elle soupire. Mes doigts caressent tendrement son dos. Je ne sais pas combien de temps nous restons ainsi. Je ne sais pas non plus lequel de nous deux rompt cette étreinte, mais quand nos regards se croisent de nouveau, le sien est rempli d’appréhension.

— Je t’aime, Abby, murmuré-je sans réfléchir. Je n’ai plus envie de réfléchir ni de me mettre des barrières.

Ses yeux s’emplissent de larmes.

— Ma chérie, ne pleure pas.

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