La passion de Victoire [Les Colombes du Roi Soleil]

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i-love-mb-tf

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La passion de Victoire [Les Colombes du Roi Soleil]

Message par i-love-mb-tf »

Bonjour à tous !
J'avais écrit une fanfic' des Colombes du Roi-Soleil pour un concours d'écriture en 2 courts tomes (1er fini, 2ème en cours), je le poste ici pour les fans de la série que ça intéresse
Pour l'instant je met 1 chapitre, si ça vous plaît je mettrai la suite au fur et à mesure...
Mais pour l'instant on dirait que ça a pas un grand succès :oops:
Bonne lecture :D
(P.S: Le titre est "La passion de Victoire")

1. Je m’appelle Victoire de Marsanne, j’ai quatorze ans. Cela fait cinq ans que je vis à la Maison Royale de Saint-Cyr. Mes parents m’y ont envoyée rejoindre ma sœur, Isabeau. Malgré le durcissement du règlement dès mon arrivée, la Maison n’est pas devenue un couvent comme beaucoup le prédisaient. Nous avons même eu la grande satisfaction de pouvoir rejouer Esther, une pièce de théâtre de M. Racine qu’Isabeau et ses amies avaient joué, à mon âge.

Cette annonce nous a été faite en classe. Nous étions en train de broder lorsque Mme de Maintenon est entrée, un livret sous le bras. Nous nous sommes levées aussitôt. Elle nous déclara :
-Mesdemoiselles, j’ai la grande joie de vous annoncer que vous allez pouvoir rejouer Esther, la pièce de théâtre qui avait été écrite par M. Racine il y a quelques années pour les élèves de la classe jaune.
Nous avions très envie de manifester bruyamment notre contentement mais le règlement nous l’interdisait. Nous nous contentâmes donc d’échanger des sourires.
- Je laisse le texte à votre maîtresse, poursuivit-elle, qui se chargera de vous le faire étudier. Seules les plus sages, les plus appliquées et bien entendu les meilleures actrices obtiendront des rôles. Mais prenez garde à ne pas tomber dans l’orgueil et la jalousie comme l’ont fait vos aînées ! Et n’espérez pas porter de bijoux et de robes ouvragées, cela vous entrainerait par la suite à vous plaindre de votre condition… Bon travail, mesdemoiselles.
Après ces instructions, Madame confia le livret à Mlle du Pérou, notre maîtresse, puis quitta la salle.
Toutes les élèves se précipitèrent pour voir le texte mais je restai à l’écart. Je n’éprouvais pas l’envie de déclamer un texte devant une assemblée : cela ne m’attirait pas.

Lors de la première répétition, ce qui me plut aussitôt fut la musique. Elle provenait d’un clavecin, car nous n’avions pas d’orgue à la Maison-Royale. Je fus subjuguée par la mélodie, tantôt douce, tantôt agressive, qui me transporta dans un autre monde. Après deux répétitions, n’y tenant plus, je me pressai vers le claveciniste.
-Monsieur, votre musique est magnifique. Comment faites-vous cela ? le questionnai-je.
L’artiste rit gentiment et me répondit :
- Merci de votre compliment, mademoiselle. Mademoiselle… ?
-Je m’appelle Victoire.
-Merci, Victoire. J’ai appris la musique très jeune, et j’en ai fait mon métier. Je travaille beaucoup pour arriver à ce résultat.
- Oh, monsieur, pourriez-vous m’apprendre ? J’aimerai tant savoir faire de la musique, ne serait-ce qu’un peu ! le suppliai-je.
-Le problème est que… commença le musicien.
-Que se passe-t-il ? le coupa sèchement Mlle du Pérou qui venait d’arriver sur les lieux. Marsanne ! Retournez dans le rang ! Pourquoi importunez-vous M. Moreau ?
Confuse, je rejoignis mes camarades en m’excusant. Mais le claveciniste protesta :
-Cette jeune fille ne m'importune point, bien au contraire. Elle me complimentait sur ma musique et souhaiterait que je lui montre comment je joue du clavecin. Cela ne me dérangerait pas du tout et me ferait plaisir. Aurait-elle la possibilité de venir avec moi, une ou deux heures par semaine, afin que je l’instruise sur la musique ?
Je tressaillis de joie à cette pensée.
-Mais…je…je vais…euh…mander à la mère supérieure, bredouilla notre maîtresse, totalement désemparée.
-Fort bien, je vous remercie, déclara M. Moreau. Je vous souhaite une bonne journée, mesdemoiselles !
-Merci, monsieur. Passez vous aussi une bonne journée, monsieur, répondit la classe en chœur.

Malgré ces formules d’usage, je ne passai pas une bonne journée. Mlle du Pérou ne cessait de m’incendier au moindre de mes mouvements, pour me faire regretter son humiliation devant M. Moreau. Je me soumettais à ses ordres afin de ne pas avoir droit, en supplément, à une correction sévère. C’est pourquoi, vers le milieu d’après-dînée, je fus heureuse de pouvoir enfin parler avec mes amies lors de la récréation.
Nous nous étions installées à l’ombre d’un chêne, car il faisait assez doux. Nous avions pris le soin de nous placer à l’écart des surveillantes, pour ne pas qu’elles entendent nos bavardages. Ce fut Héloïse, la plus impétueuse, qui lança la conversation :
-Pourquoi notre maîtresse vous a-t-elle réprimandée, Victoire ? Nous étions loin de vous durant la répétition et vous cherchions partout, et à cause de l’interdiction de parler pendant la classe et le repas, nous n’avons pu vous questionner à ce sujet…
-Je n’avais pourtant rien fait de mal ! me défendis-je. Je m’intéressais simplement à la musique de M. Moreau, que je trouve fort mélodieuse.
-Mais alors, pourquoi Mlle du Pérou vous a-t-elle rabrouée tout au long de la matinée ? insista Gabrielle.
-Parce que d’après notre chère maîtresse, j’importunais M. Moreau avec mes questions ! rétorquai-je en haussant le ton.
-Quelle injustice ! M. Moreau lui-même a assuré que vous ne l’importuniez pas, compatit Pauline.
-N’exagérons rien, je ne suis tout de même pas maltraitée, repris-je.
-Il est vrai, mais j’ai ouï dire que vous alliez être conduite à la mère supérieure qui attend quelques explications de votre part, nous souffla Marguerite.
-C’est ridicule ! s’écria aussitôt Elisabeth, vous n’avez rien fait. Je pense que Mlle du Pérou vous en veut parce que M. Moreau l’a fait perdre ses moyens.
-Merci de prendre ma défense, mais puisque je n’ai fait que parler à M. Moreau, je l’expliquerai à la mère supérieure et tout se passera pour le mieux, avançai-je pour les calmer.
Je n’étais pas aussi sûre de moi que j’en avais l’air mais je voulais tout faire pour éviter qu’elles soient réprimandées pour avoir élevé la voix par ma faute.
-Ce que vous dites est vrai, approuva Gabrielle qui semblait pressée d’en finir.
-Non, la mère supérieure ne vous croira pas. Elle n’entend que ce que Madame et les maîtresses lui disent, maugréa Héloïse.
-Je suis tout à fait de votre avis, Héloïse, poursuivit Pauline. La mère supérieure ne nous convoque que pour nous féliciter ou pour nous dénigrer, pas pour nous écouter !
-Je pense la même chose, déclara simplement Elisabeth.
-Je propose que nous promettions de vous aider, Victoire, reprit Héloïse. Nous devons toutes nous entraider dans cette maison où tout est considéré comme un délit !
-Comment…comment osez-vous ? glapit Gabrielle.
Mais dans le groupe, personne ne lui prêtait plus aucune attention. J’étais stupéfiée par le sérieux avec lequel mes amies considéraient mon problème. Nous posâmes toutes une main, la paume tournée vers le sol, sur celle d’Héloïse qui s’écria :
-Une pour toutes et toutes pour une !
Nous fûmes interrompues par les maîtresses qui frappaient dans leurs mains pour nous rassembler. Marguerite posa une main compatissante sur mon épaule et me murmura :
- Bonne chance, Victoire !
Je souris. J’avais découvert l’importance et la force de l’amitié.
jesuiscommeca

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par jesuiscommeca »

ton histoire est génial tu as du talent pourrez tu mettre la suite ;)
Evangelia

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par Evangelia »

Bien écrit !
i-love-mb-tf

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par i-love-mb-tf »

Merci :)
Voici le 2ème chapitre...Bonne lecture ;)

2. Pendant que nous nous rangions devant la classe, Mlle du Pérou nous admonesta vivement en nous rappelant qu’il était formellement interdit de crier et de former des réunions, trouvant la nôtre suspecte. Puis elle se tourna vers moi et reprit :
- Et vous, Marsanne, vous ne faites qu’aggraver votre cas : la mère supérieure veut vous voir, ne la faites pas attendre !
Je cherchai désespérément le regard de mes amies. Elles m’encouragèrent d’un signe de la main ou d’un sourire, mais je restai anxieuse. J’avais tellement peur que la mère supérieure me punisse, m’interdise de parler à M. Moreau ou pire, refuse que j’assiste aux répétitions que je peinais à marcher. Une boule me monta à la gorge, quelques gouttes de sueur perlèrent à mon front. Je les essuyai d’un revers de la manche, tout en continuant à déambuler dans les couloirs. Puis j’arrivai à la conclusion que la peur ne menait à rien, il fallait que je me batte.

Je tentai de contrôler mes tremblements nerveux avant de frapper à la porte de la mère supérieure.
-Entrez ! ordonna sèchement la voix redoutée entre toutes.
Je m’exécutai en silence et baissai la tête.
-Alors, Marsanne ! Vous dérangez M. Moreau pendant son travail, c’est bien cela ? fit la mère supérieure agressivement.
-Je…je me suis permis de lui poser des questions …
-Et en plus vous osez lui demander qu’il vous instruise ?
-Mais…cela ne le dérangeait point, me défendis-je, il a dit que…
-Peut m’importe ce que M. Moreau a dit ! tonitrua-t-elle. Vous avez agi avec un égoïsme sans bornes ! Vous vous imaginez peut-être que vous êtes un génie du clavecin, sans jamais en avoir joué, que vous pourriez apprendre la musique avec M. Moreau ? Pourquoi vous donnerai-je l’autorisation de prendre des cours de clavecin à vous, et pas à d’autres élèves ?
Je me tus car tout ce qu’avait dit la mère supérieure était vrai. Je n’avais pas songé une seconde aux désirs de mes camarades, qui, peut-être, appréciaient aussi la musique ? Je gardai la tête baissée en regrettant mon égoïsme.
-Je ne vous sanctionne pas, continua la mère supérieure en se radoucissant un peu, car je sais que vous n’aviez pas l’intention de faire le mal.
-Je vous remercie, ma mère. Je voulais juste essayer le clavecin pour vérifier si ce n’était qu’une envie subite ou un don, hasardai-je d’une voix tremblante. Excusez-moi.
La mère supérieure réfléchit un moment puis m’accorda :
-Il est vrai que ce peut être un don. Mais même si c’est le cas, je trouverai injuste que vous ayez accès à des leçons de clavecin pendant que les autres élèves travaillent.
-Je suis de votre avis, ma mère. Merci de ne pas m’avoir punie, déclarai-je sans y croire vraiment.
-Au revoir, Marsanne.
-Bonne journée, ma mère, répondis-je en quittant la pièce.
Au sortir de cet entretien, j’étais soulagée d’avoir été épargnée par quelque punition mais je restai perplexe. En effet, abandonner la musique me révoltait. J'avais le pressentiment que c’était ma passion, et une passion ne s’abandonne pas facilement.

Je rejoignis mes camarades au réfectoire et ne pus leur parler. Enfin, l’heure du coucher venue, nous nous réunîmes au milieu du dortoir. Nous étions assises en rond, comme à notre habitude, mais ce soir-là j’avais l’impression de participer à un conseil de guerre.
Une fois de plus, Héloïse, notre meneuse, m’interrogea :
-Alors, Victoire, quelle est votre punition ?
-Je n’en ai aucune, répondis-je gaiement.
Toutes mes amies poussèrent un soupir de soulagement.
Voyant que personne ne parlait, je pris la parole :
-Et vous, avez-vous été punies pour nos cris dans la cour ?
Un grand silence s’abattit sur le cercle. Enfin, Marguerite se lança :
-Oui, nous sommes privées de récréation pour une semaine. Et… vous êtes aussi concernée, Victoire. Nous nous occuperons des malades à l’infirmerie pendant ce temps.
Ce fut à mon tour de me révolter :
-Comment peut-on nous supprimer notre seul moment de détente ! C’est impensable !
-Ne vous inquiétez pas, nous serons encore plus heureuses de nous parler le soir, dit Pauline d’un ton qui se voulait rassurant.
Mais nous n’étions pas plus rassurées. Nous étions toujours plus oppressées, toujours plus contrôlées.
-Cela ne durera qu’une semaine, nous pourrons tenir le coup, assura Elisabeth.
Gabrielle n’était pas là pour nous rappeler que c’était de notre faute, et cela n’était pas déplaisant. Nous ne savions plus quoi dire, et nos bavardages habituellement interminables s’étaient tus au bout de quelques minutes. Cette nuit-là, je ne trouvai pas le sommeil. Je pensais à la punition, au clavecin, à la musique, à mes amies, et je me rendis compte qu’à Saint-Cyr, les choses les plus importantes pour moi m’étaient interdites d’accès. Je fis le voeu que l'on me rende au moins le droit de parler et rire avec mes amies, puisque pour le clavecin, c’était fini.
jesuiscommeca

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par jesuiscommeca »

as tu fais une suite ou non
de toutes manières je trouve que tu te débrouilles très bien
BRAVO :)
Mama94

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par Mama94 »

c'est très très bien écrit !! vraiment je n'ai qu'une chose à dire: BRAVO !! :) continue !!
i-love-mb-tf

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par i-love-mb-tf »

Je suis contente que ça vous plaise :]
J'ai écrit un tome entier (9 chapitres) et je suis en train d'écrire un tome 2 (6 chapitres pour le moment)... Donc oui, il y a une suite ;)
i-love-mb-tf

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par i-love-mb-tf »

Allez je vous mets le chapitre 3... Bonne lecture ^w^

3. La semaine sans récréation s’étira péniblement. Nous attendions toutes le soir avec impatience, mais le moment venu, nous n’avions plus rien à nous dire. Nous devions nous occuper de l’infirmerie, presque seules, mais une surveillante était chargée de nous empêcher de prononcer un seul mot. Nous devions panser des plaies, refaire des bandages, soulager des douleurs…
Heureusement, une répétition égaya cette période morose. J’en profitai pour apprendre à M. Moreau que je n’avais pas été punie mais que je n’avais pas l’autorisation de prendre des cours. A ces mots, il afficha un air grave. Il semblait décidé à m’apprendre le clavecin, coûte que coûte.
Finalement, il déclara :
-Je pourrais vous donner des cours en cachette, mais c’est très risqué. C’est illicite puisque vous n’avez pas l’autorisation de Madame. Mais je serais prêt à tenter l’expérience ! J’ai toujours rêvé d’une élève comme vous…
-Oh, Monsieur, vous être trop bon. Je n’accepterai pas que vous courriez le risque d’être vu juste pour moi. Mais, peut-être que Madame voudrait nous couvrir… J’ai appris qu’elle faisait du clavecin, peut-être comprendrait-elle si on lui proposait, suggérai-je.
-Eh bien, il nous suffit de demander à Madame si elle accepte que vous preniez des cours avec moi ! affirma M. Moreau, réjoui.
-Je suis d’accord, répondis-je sur le même ton.
Sur ce, je dus rejoindre le groupe car Mlle du Pérou nous surveillait du coin de l’œil.

J’étais très pressée d’apprendre le clavecin, mais mon excitation s’évanouit d’un coup quand je pensai que Mme de Maintenon n’accepterait peut-être pas de nous cacher. Peut-être même qu’elle irait nous dénoncer… J’avais le gros défaut d’être pessimiste, alors que pendant mon enfance je voyais toujours le bon côté des choses, même pendant les périodes les plus tristes. A cette pensée, une bouffée de nostalgie me rappela mon enfance, ma maison, mon père qui devait mourir de désespoir d’être seul, ma mère, affaiblie par une grave maladie survenue cinq ans auparavant, qui avait succombé à une seconde maladie il y a deux ans de cela, ma sœur que je ne voyais presque jamais…

-Isabeau, pourquoi tu t’en vas ?
Je n’étais pas trop triste, mais juste un brin curieuse.
-Parce qu’il faut que je m’instruise comme une jeune fille le doit.
-Dis, tu m’emmènes avec toi ?
- Tu me rejoindras… quand tu seras un peu plus grande.

-Maman, maman !
-Laisse-la, chérie. Maman est très fatiguée.
-Non, ma princesse, viens me voir… il faut… que tu n’oublies jamais : je t’aimerai toujours, je ne t’oublierai… jamais.



Je fus secouée par de violents sanglots, pleurant à chaude larmes. Je n’attendais pas un geste de réconfort de mes amies : cela était interdit par le règlement. Pourtant, elles accoururent, et malgré l’incompréhension de ma tristesse, elles me consolèrent et m’apaisèrent.
Une fois de plus, je m’aperçus que l’amitié était un point fort. Seules mes amies savaient bien s’occuper de moi, me faire rire, me consoler. Elles m’aimaient et je les aimais.
flo002

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par flo002 »

Bravo, j'aime beaucoup! :D
i-love-mb-tf

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Re: Fanfiction "Les Colombes du Roi-Soleil"

Message par i-love-mb-tf »

Merciii ^w^ :D
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