Au coeur du chaos - (Histoire terminée) - [Survie/Amitié/Amour]

[Joana-d-Occitan]

oooouuuuuuu! Je l'aime pas du tout ce monsieur là!
Il faut qu'il paye!^^ La suite promet d'être très intéressante!

[bazinga]

J'aime pas beaucoup la fin de ton chapitre...Il va s'attaquer à sa mère? Manquerait plus qu'elle se retrouve à la rue elle aussi et finisse dans une zone..
En tout cas, le beau père est un sacré connard!
Les pauvres, vraiment tu peux pas leur laisser le temps de souffler? Ils sont la depuis 1 jour!
J'aimerais pas être un de tes personnages!
En tout cas, j'ai quand même envie d'avoir des nouvelles des deux autres...Qui sait, ils vont peut etre en profiter pour se rapprocher (même si je n'oublie pas que Josh est fait pour Zane hein!)

[Elfi49]

Me revoila apres une longue absente pour commenter le tome 2. Let's go.
alors avant tout, ton ecriture est genial, j'aime et je ne vois plus de fautes.

chapitre 1 tome 2 :
Ouf sa mère n'a pas déménager loin.
ouah elle s'est remariée et a des gosses !!!!
Oh c'est le moment du verdict. >.<
Super comme commencement. Franchement, ouais, si elle aurait voulu, elle aurait pu empecher son mari de renvoyer teo.
Oh mais quel accueil. Super la mere.
De l'eau dans les accoudoirs xD en effet ils sont feinéants ses richous.
La ga*** elle a it qu'il avait fugué et n'a pas gardé de photo. Meme si elle croyait qu'il était mort, elle aurait pu en gardé.
Elle a le droit de oisser sans l'accord de son mari ?
Ils demandent d'être poli, et c'est les premiers a snober Talis. C'est l'hopital qui se fout de la charité.

bon chapitre. Mais bon sang sa mere quelle ga***. J'espère que le mari sera plus agréable mais je le sens pas non plus.

chapitre 2, tome 2,

Putain, il est maire.
C'est sûr que leur maison doit etre un palais pour Thalis.
XD je kiff Teo. Le mec c'est pas grave si sa meuf couche avec son ami, parce qu'il est comme ca et qu'ils sont pas marie. XD
Oh trop mignon, il a porte jusqu'a la douche.
Oh la pauvre bonne, dans quel etat elle doit etre. T shit, elle a cassé l'ambiance. Grrrrr.
Ils vont se marier !?
Ah j'ai envie de pizza maintenant. XD

Trop Bien ce chapitre, tranquille et romantique ^.^

Chapitre3, tome 3.

J'espere que sn maux de tête n'est pas un symptôme d' une commotion. :s
Apprendre à se battre peut être en effet utile pour thalis.
Profite du confort talis, profite.
Le "pavre con de bourge" n'étais pas intellignt du tout. Talis aurait du s'abstenir. Ok, ce beau-pere est con, mais elle n'aurait pas du quand meme. U.U
Bizarre ce maire, je le trouve très louche.
Alors, ok, la mere remonte dans mon estime avec son mariage force avec ce con. Ok, je comprends mieux. La pauvre mere ok, je retire ce que j'ai dit sur elle.
Aaah ils vont le faire >.< j'espère qu'ils ne seront pas interrompus cette fois-ci.
Oh putain, j'espère que ce con va payer pour ce qu'il a la mere dans le passé, je suis sûre que ce maire le frappe.
Ah ton histoire est de plus en plus intéressant. Je kiffe, et ne peux plus m'en passer, ca m'avait manque. Satane grippe. Ah quel plaisir de te lire, hâte à la suite.

[elenwe]

Bonjour la compagnie.
Je vous présente mes excuses pour le court chapitre qui suit.
En plus d'être court il est certainement bourré de fautes, mais je ne les voit plus.
Il n'est pas palpitant non plus, mais je promets de me rattraper dans le chapitre qui suivra (je me mets la pression parce que je ne l'ai pas encore écrit et je ne sais pas trop quoi y mettre )
Si vous voyez des fautes n'hésitez pas à les signaler.

Bonne lecture


Chapitre quatre

Je n'ai pas le temps de comprendre, que je pars à la suite de Teo dans le long couloir.
Ce mec court vite, ce n'est que l'écho de ses pas qui me permet de me diriger dans sa direction. Cette baraque est disposée en soleil apparemment, au vu de la configuration des couloirs ce qui ne simplifie pas ma poursuite.
Bordel, il faut que je rattrape Teo avant qu'il n'aille encastrer son poing dans la face de Ladislau. Je ne comprends pas pourquoi le fait qu'il ait passé l'après-midi avec Renaudina est si important. Bien que la phrase de Ladislau sur le fait qu'il soit revenu plus tôt me revienne en mémoire. Est-ce que ce con avait interdit à sa femme de voir son fils ?
Possible il a l'air d'être assez salopard pour ça.
Ca m'énerve un peu de ne pas être capable de saisir tout ce qui entoure l'influence des familles ici. J'ai un peu l'impression d'avancer à l'aveuglette dans ce monde, surtout qu'ici je ne vois juste que l'influence de ce con arrogant sur sa femme.
Je me rassure en me disant que Teo me guidera, mais pour ça je dois l'empêcher de démolir son beau-père.
Je m'arrête net, je ne l'entends plus et j'arrive à une intersection, en fait cette baraque est plus construite comme une toile d'araignée et pas moyen de savoir quelle direction prendre.
Je n'ai cependant pas le temps d'hésiter longtemps que j'entends la voix de Teo retentir :
"Lâche la !
On dirait presque le son d'un animal en train de gronder.
Je me précipite. Une porte est grande ouverte et je me jette quasiment à l'intérieur.
Teo est à deux mètres de Ladislau qui tient Renaudina par le poignet. Il doit lui faire mal car elle grimace et tente en gigotant de soulager la douleur.
Ladislau m'avise du regard est dit étrangement calmement :
— Sortez tous les deux de mes appartements et retournez dans votre chambre.
— D'abord lâche ma mère.
— Je te prierais de me vouvoyer et je fais ce que je veux sous mon toit et à mon épouse si elle me désobéit.
Putain mais ce type tient vraiment à s'en prendre un. Il ne se rend pas compte de l'état de rage qu'à atteint Teo. Peut-être que dans leur monde propret tout se règle en joute verbale, mais pas chez nous.
Renaudina s'adresse à Teo :
— Quitte cette pièce Teofra... Aïe.
Ladislau la fait taire en tordant son poignet et lui aboie de ne plus parler.
Je passe rapidement devant Teo pour l'obliger à me regarder et à ne pas faire de conneries.
— Teo, on sort.
Il me fait non de la tête sans pour autant quitter son beau-père des yeux.
La situation est devenue inextricable.
— Teofrast écoute moi, ta mère veut que nous sortions.
Ca me fait mal au cul de bien m'exprimer, mais je me dis que Teo comprendra que c'est ce qu'il doit faire aussi. Et que les deux autres cons de bourges, voient que je suis capable de me tenir correctement.
Teo plonge ses yeux chocolat dans les miens alors que jusque là il fuyait le contact visuel.
J'ai l'impression de le voir se déchirer sous mes yeux, la part de lui qui déteste l'injustice et celle qui sait que pour que nous restions tous sauf, il doit se résigner à regarder sans rien faire.
Il détourne la tête, je pense avoir gagner, mais dans un mouvement tout aussi vif il se retourne, me dépasse et va se planter à moins de dix centimètres de Ladislau. Il le fixe et dit d'une voix parfaitement maitriser (il faudrait vraiment que j'apprenne à faire ça) :
— Je vous avertie, je n'oublierais pas.
— Tu pourras y penser quand tu seras de retour dans ta Zone et pas plus tard que cette nuit. Répond Ladislau, un sourire triomphant étirant ses traits.
Mais Teo émet un petit rire méprisant et lâche :
— Je me demande comment vous comptez expliquer à mes grands-parents mon retour là bas.
Le visage de Ladislau se décompose, moi je suis surprise même si j'essaie de le cacher. Je ne sais pas si Teo bluffe. Mais peu importe tant que l'autre le crois.
— Quand as-tu eu l'occasion de les voir ?
— Je les ai appelé pour leur annoncer que ma fiancée et moi allions mangé chez eux, dans six jours.
Merde il a dit "fiancée" ce con.
Ladislau est devenu écarlate de rage. Il lâche Renaudina qui s'écarte en se massant le poignet, puis attrape Teo par le haut de son tee-shirt et se met à vociférer :
— Je te jure que si tu mets ma carrière en danger ou que tu écornes ma réputation je te fais tuer, toi et cette garce galeuse que tu te trimballes. Il est hors de question que tu l'épouses. Que vont penser les gens ?
Teo est resté stoïque et calme, même si chez lui ça ne veut rien dire. Il écarte les bras de Ladislau de son torse et répond non sans sourire.
— Ne vous inquiétez pas, si vous nous laissez en paix et que vous nous aidez à quitter votre propriété au plus vite et à obtenir un chez nous et de l'argent pour entretenir le tout, nous nous comporteront parfaitement.
— Tu oses me faire chanter ? Tu n'es rien, tu étais peut-être un caïd au milieu de ses brutes décérébrés, mais ici tu n'es que de la saleté dont je dois me débarrasser.
— Ne me faite pas rire, si je n'étais rien, vous ne nous auriez même pas gardé une nuit. La seule chose qui vous en empêche c'est le fait que la milice dépende entièrement de la famille de mon défunt père et que vous savez que mon éventuel retour dans la Zone pourrait ne pas passer inaperçu. Alors maintenant vous avez plutôt intérêt à garder vos menaces et vos coups, car osez toucher encore une fois à ma mère ou à Zenòbia et je vous jure de vous rendre méconnaissable et ce n'est pas une menace, c'est une promesse. Sur ce, nous n'allons pas vous importuner plus longtemps.
Il m'attrape par la main et m'entraine avec lui. Je jette un dernier regard à Ladislau qui est passé du rouge écrevisse de tout à l'heure à la blancheur de la mort.
Bordel, moi je viens d'apprendre que le "père" de Teo était de son vivant, le chef de la milice. Merde alors!
Durant le long trajet jusqu'à notre suite, je ne dis rien. Je réalise qu'en fait c'est logique cette histoire de milice, car avec l'épidémie la frontière devait être fermée quand Amanieu a envoyé Teo à la mort. Il n'y a qu'une personne influente qui pouvait faire ça. Comme envoyer des miliciens finir le boulot plus tard.
Nous arrivons dans la pièce, Teo ferme la porte, il a lâché ma main et il tremble.
Je ne sais pas trop quoi faire, même si jusqu'à maintenant notre histoire était assez instinctive. Je faisais ce que je sentais, là je ne sais pas si je dois le laisser seul ou le prendre dans mes bras ou essayer d'en parler.
J'hésite, juste devant lui, il secoue la tête vivement et m'attire à lui avec force, avant de m'emprisonner contre son torse.
Sa poitrine se soulève vite. Il m'étreint avec de plus en plus fort. Je l'enlace à mon tour et j'attends.
J'attends qu'il aille mieux ou qu'il s'ouvre.
Contre lui, je cogite. Je le sens pas de vivre ici. L'autre con de Ladislau va essayer de se débarrasser de nous. C'est obligé. Ca va être vicieux, pervers et on ne va rien voir venir...
Bordel on vient de quitter la tanière d'un putain de psychopathe pour se jeter directement dans le terrier d'un autre...
Le côté positif c'est qu'ici on bouffe mieux et je n'ai plus à baiser avec n'importe qui.
Quand tout sera calmé j'ne parlerais avec Teo.
Notre câlin dure longtemps. Le cœur de Teo a reprit un rythme normal depuis déjà un certain temps, mais il reste immobile.
A force il rompt le silence, sa voix est posée et il parle doucement :
— Tu peux parler tu sais.
J'essaie de quitter la chaleur de son corps, mais il maintient mon buste contre lui.
— Je n'ai pas dis que tu pouvais partir. M'explique-t-il avec un large sourire.
Je suis contrainte de le regarder en relevant la tête, c'est pas spécialement confortable, mais être contre lui est vraiment agréable, alors je ne vais pas me plaindre.
J'inspire à fond et me lance, je chuchote, je ne sais pas si on nous écoute ou non :
— Leur balancer notre mariage t'es sûr que c'était une bonne idée ?
— Autant que de l'avertir que j'avais déjà prit contact avec le reste de ma soit disant famille.
Je ne suis pas sûre de comprendre pourquoi il hésite à ce sujet là.
— Non pour tes grands-parents c'était une bonne idée. A moins que tu es menti.
— Non, je les ai vraiment appelé. Mais je pense que Ladislau en sait plus que moi. Car je ne sais pas s'ils savent que je ne suis pas réellement leur petit fils ou non. Ni s'ils savent que mon "père" a essayé de me tuer. Au téléphone je n'ai pas réussis à savoir.
— On verra bien.
— Rien ne t'inquiète jamais tant que tu ne t'y retrouves pas en face. Déclare-t-il
— C'est un reproche ?
— Non je t'envie. Dit-il en rigolant et en me soulevant pour que ses lèvres effleurent les miennes.
— Tu veux faire ton Josh ?
— Tu vas penser à ça à chaque fois que j'aurais un geste envers toi ?
— Non juste quand on sera dans la merde et que tu auras un geste envers moi. Fis-je, taquine.
— Ca n'arrange pas mes affaires ça... mais tant pis je prends le risque que tu me prennes pour un dépravé.
Il m'attrape et me pose en travers de son épaule, avant de saisir le sac avec les préservatifs, puis il va jusque dans la salle de bain. Je ne peux pas m'empêcher de rire.
Il me laisse glisser doucement sur le sol de la douche et dit avec une moue amusée :
— Tu étais censée, au moins faire semblant de te débattre. Tant pis. Je compte bien terminer ce que nous n'avons pas pu finir hier de toute façon. Dit-il en allumant l'eau."
Je ne sursaute pas, je l'avais vu venir.
Teo m'embrasse avec fougue et je m'abandonne à lui.

Une semaine. Ca fait une semaine que nous sommes là.
La mère de Teo s'est écrasée même devant Teo la seule fois où elle est venue lui parler de notre mariage.
La faiblesse de caractère de cette femme me donne constamment envie de la frapper.
En parlant de frapper, Teo trouve que je ne fais aucun progrès. Bon en même temps il ne m'a pas entrainé longtemps, mais ça me fait quand même chier.
On a passé tous les derniers jours à faire l'amour et à manger. J'ai d'ailleurs prit du poids. J'ai même un peu plus de poitrine, la classe.
Par contre ça n'a pas trop plus à Renaudina qui nous avait acheté des habits suite aux mesures prisent.
Là je l'attends dans la salle de bain de notre suite, elle est allée en urgence trouver de quoi m'habiller pour rencontrer la famille paternelle de Teo.
Hier, j'ai d'ailleurs passé la journée à m'entrainer avec ma future belle mère à faire la conversation. C'était horrible.
Elle me prenait de haut constatent. Mais en partant elle a dit à Teo qu'il aurait pu ramener pire. J'ai décidé de le prendre comme un compliment.
En attendant Renaudina, je regarde Teo. Il est magnifique.
Habillé d'une chemise bordeaux et d'un pantalon noir, décontracté chic. Sa mère a voulu qu'il soit moins décontracté, il a refusé et comme d'habitude elle s'est écrasée.

Elle revient demi heure plus tard avec une robe noire. Je ne suis pas étonnée, elle ne veut pas qu'on me remarque, elle n'allait pas me mettre avec un truc rouge pétard.
Elle me donne aussi un soutient gorge après que j'ai refusé avec véhémence de foutre un de ses machins en silicone sur mes seins. Elle a été moins docile avec son fils qu'avec moi. Mais je crois qu'au final elle a cédé car je lui fais peur.
Je ne vais pas m'excuser, c'est son problème à elle si elle est incapable de s'affirmer, c'est déjà pas mal que je me retienne de l'insulter.

Après avoir enfilé les habits Renaudina m'a maquillée elle même, m'expliquant plein de chose, à propos de lumière et d'ombre. Je n'ai rien comprit. Je n'ai même pas vraiment écouté de toute façon. Je sais que je dois faire des efforts, mais je commence à stresser et dans ces cas là je devient hermétique à tout.
Je me découvre et m'apprivoise en me regardant dans le miroir... Je suis belle. Une petite poupée, certes un peu maigrichonne, mais jolie quand même. En plus la robe noire, accentue ma taille marquée et s'évase pour donner un semblant de volume pour les fesses et elle n'est pas courte, m'arrivant à mi-genou. Je n'ai pas de décolleté affolant, il y en a un de rond qui s'arrête à la naissance de mes seins, mais avec le soutient gorge rembourré dessous, ça ne rend pas trop mal. Et de toute façon la robe est échancrée derrière. Ce qui me rend assez sexy.
Le maquillage est tellement léger qu'on le distingue à peine. Sauf qu'on ne voit pas non plus les bleus presque entièrement résorbé non plus. Mon visage est parfait. Je ne m'étais pas vu sans marques depuis longtemps.
"Tu es parfaite. Déclare Teo, tout en me dévorant des yeux.
Je ne peux pas m'empêcher de rougir suite à son compliment, ce qui me doit un regard mauvais de la part de sa mère. Je ne comprends pas pourquoi. Je décide de ne pas relever et je retourne le compliment à Teo.
— Toi aussi tu es parfait comme ça.
Renaudina frappe dans ses mains et s'exclame :
— Dépêchez vous, le chauffeur vous attend.
J'enfile les escarpins de six centimètres de talon à la hâte et je m'avance vers la porte. Renaudina donne quelque chose à Teo à la hâte, je ne vois pas ce que c'est et ne lui prête pas plus attention. Ensuite Teo enlace ses doigts au miens pour traverser la maisons jusqu'à la voiture dans le garage qui se trouve en sous sol.
C'est aussi grand que la maison elle même, je pense.
Il y a une dizaine de véhicules ici, ainsi que deux motos. Je les regarde avec envie, ses engins m'ont toujours fait rêver.
Nous montons dans un véhicule noir, dont le moteur tourne déjà. Le conducteur nous salue. La voiture est sobre, même si c'est un gros machin tout terrain. A l'intérieur les siège son noir, comme tout le reste en fait. Il n'y a que les matières qui changent et donnent du relief à l'ensemble.
Une fois la voiture en marche, Teo sort de sa poche une petite boite et dit un peu gêné :
— Bon je ne te fais pas la version romantique. De toute façon au vu de ton enthousiasme quand nous en avons parlé, je l'aurais fait dans les règles de l'art tu m'aurais mis un pain ou pire encore tu te serais moqué de moi.
Je vois qu'il est mal à l'aise et que son trait d'humour est là pour le camoufler, je trouve ça craquant. Comme le reste. Tout me plait chez lui.
Je soupire, heureuse.
Mais Teo l'interprète mal car je l'ai fait au moment exact où il a ouvert l'écrin pour dévoiler la bague.
— Ca ne te plait pas ? s'enquit-il.
Je regarde le bijoux. Une bague grise stupéfiante, fine, ornée d'un solitaire magnifique, d'une pureté presque irréelle.
— Si, répondis-je après une seconde de contemplation.
— C'est de l'or blanc avec un diamant. Bon c'est pas très gros, mais sur toi, ça ne ferais pas jolie sinon. Je te la mets ? Demande-t-il doucement.
J'acquiesce.
Il m'attrape la main droite et l'a met à mon annulaire. Elle est pile à ma taille. Mais ça ne m'étonne pas.
— Toujours prête à amadouer mes grands-parents pour qu'il nous fournissent de l'argent ?
— Oui même si je suis certaine que je vais t'handicaper dans cette tâche. Comment ça se fait qu'ils aient accepté quand tu leur as dit.
— Disons que je suis resté évasif...
Putain je ne le sens pas. J'ai apprit à connaitre Teo cette semaine, on a beaucoup parlé. J'étais persuadée avant ça que c'était un mec toujours sûr de lui parce qu'il savait où il allait, mais il s'avère qu'il est juste doué pour retomber sur ses pattes. Il reste néanmoins sûr de lui et je lui fais donc confiance. Mais je ne sens pas ce repas. En même temps je ne sens rien. Quand nous avons abordé le sujet de Chaz je me suis rendue compte que Teo ne voulait pas le tuer, ou du moins qu'il hésitait. Alors qu'au final un jour si on veut avoir la paix on va devoir se débarrasser de lui, même si ce ne sera pas pour de suite.
Je ne sais pas où on va, mais on y va... et je sens que ça va faire mal... surtout pour nous.
La voiture s'arrête devant un portail blanc, moderne et sobre. Tout est sobre dans ce monde. Ca me déprime.
Teo et moi descendons de la voiture et avançons dans l'allée car un portillon sur le côté c'est ouvert à notre approche.
Je respire un grand coup et avance sur le chemin pavé.


Chapitre cinq

[monacre]

J'arrête pas de sourire comme une débile ( Ne me demande pas pourquoi)
J'étais en stress ( j'exagère un peu) au début et vers la fin.
Au début parce que, Teo m'impressionne et puis à la fin parce que je pense que comme Talis, ils vont avoir du mal à obtenir leur argent.

Cette histoire me fait plus rire que stresser, mais bon que veux tu ?

[opheliepeudupin1997]

Coucou!!! Après. Une longue absence je viens de lire tout tes chapitre et le seul mot pour decrire ce que jen pense est WOOO c'est toujours aussi bien!! Vivement lundi

[Elfi49]

Ouah j'ai vraiment cru que teo allait le frapper. Bonjour les soucis s'il l'aurait fait.
Non mais l'autre il croit réussir a faire peur à teo. Je te jure.
rien de tel qu'une partie de jambes en l'air pour remonter le moral xD
Déjà une semaine.
cette mère craint en effet. C'est qu'une faible. Moi je lui aurais foutu une baffe et fait mes sacs depuis belle lurette.
Ah cool elle a prit du poid. ^-^ elle a raison de profiter mais oui faut pas oublier l'entrainement, sinon elle ne survivra pas si elle retourne dans les zones.
Ohi a meme une bague >.< la totale, trop fort.
Je me demande si ce n'etait pas mieux les zones, tu savais a quoi t'attendre a la longue. U.U
encore un bo chapitre hate de savoir ce que va donner ce repas.

[bazinga]

C'est vraiment une ordure ce type!
Par contre j'ai pas très bien compris pourquoi ils allaient chez les grands parent? Pour avoir de l'argent?
Mais apparemment le beau pere est prêt a leur en donner pour qu'ils fichent le camps d'ici non?

Contente de voir qu'ils ont quand même eu un peu de répit et que Tal se remplume...elle en avait bien besoin.
La mère de Teo me fait de la peine sinon...elle est vraiment trop soumise cette femme. En meme temps je suppose qu'elle n'a pas trop le choix. je trouve ça chou que Teo prenne sa défense même si leur relation ne sont pas top.
Et puis elle s'occupe aussi de Tal, elle essaye de lui enseigner deux trois trucs. Elle était pas obligée, elle aurait pu laisser une servante le faire je suppose...

Bon je suppose que l'accalmie va pas durer mais j'aime bien ces chapitres mignons et reposants moi!!

[plumenchantee]

Quoi que tu en dises, c est un bon chapitre. J ai vu quelques fautes mais je ne les aies pas relevées. Désolé.
Je veux la suite !

[Joana-d-Occitan]

Quelques fautes effectivement mais qui ne gâchent en rien ton histoire, rassures toi!
Je trouve cette seconde partie très intéressante, j'ai hâte de voir se que tu nous réserves pour la suite!!

[Ayat]

Je suis soulagée, il ne se passe rien d'horrible...
Et elle a pris de la poitrine, bonne nouvelle!

On voit un autre côté de Teo, je ne pense pas que ce soit le meilleur.
On voit qu'il est mal, qu'il est triste de ne pouvoir rien faire pour sa mère.
Son beau-père est un homme horrible...
Vivement que Teo mette un poing dans sa tête.

On va découvrir les grands-parents de Teo, ça va être cool.

LA SUITE!

Ayat.

[princess78]

Hello !

J'ai rattrapé mon retard, un comble alors que d'habitude je suis toujours en avance sur tout
Pour le chapitre 3 :
Son beau père est vraiment une enflure, ça se voit à des kilomètres qu'il est pas net le type... Il ose lever la main sur une femme, on devine tout de suite le genre d'individu que c'est.
La mère de Teo a l'air vraiment faible, on a l'impression qu'elle n'est pas maîtresse de sa vie, qu'elle laisse les autres dicter sa vie comme bon leur semble. Une parfaite soumise quoi, je sais pas si elle est plus à plaindre qu'à gifler celle-là.. M'enfin bon.

Chapitre 4 :
J'ai vraiment eu peur que Teo fasse une grosse bêtise et tabasse Ladislau... Déjà que leur présence lui est imposée, si en plus il n'arrive pas à se contrôler, ça va sentir mauvais pour eux.
Je me demande aussi si ses grands parents sont au courant que Teo n'est pas vraiment leur petit fils, biologiquement parlant. Je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que son beau-père va tout gâcher...
En tout cas j'ai vraiment hâte de voir comment Talis va se comporter devant eux.
Bon sinon la mère de Teo semble de plus en plus sympathique.. Je suis certaine qu'à la longue elle va finir par apprécier Talis ! De toute façon, elle sera obligée de faire avec parce que son fils compte l'épouser coûte que coûte, pas trop le choix la daronne.
Super mignon le moment où il lui donne la bague... Teo ne fait pas les choses qu'à moitié ^^

[percabeth76]

Ce chapitre est vraiment bien. J'ai vraiment eu peur que Teofrast transforme la tête de Ladislau en compote. Heureusement que Talis étais là. Je commence à apprécié un peu plus Renaudina même si ça faiblesse envers les autres m'agace. Je suis assez pressé d'avoir la rencontre avec les grands-parents. Je sens que ça va pas être de la tarte d'obtenir cet argent. J'ai vraiment envie de voir Talis se comporter convenablement devant eux. Oh trop mignon, le moment avec la bague. J'ai hâte de lire la suite.

[fan2vamp]

Coucou !
Je crois que je n'ai plus assez de vocabulaire pour dire a quel point ton histoire me plaît et continue de me plaire toujours plus ! J'ai adoré tes deux dernier chapitres, je suis fan de Teo, j'adore ce mec et Talis m'embarque toujours plus dans sa vie, tu n'imagine pas comme j'ai eu envie de frapper Ladislau ! Quel enflure ce mec … j'avais bien envie que Teo lui explose la tronche mais on dit toujours que la vengeance est un plat qui se mange froid et puis il aurait risquer de tout foutre en l'air, n’empêche que j'attends une belle paires claques pour ce c******
J'ai hâte de voir ce que va donner le dîner avec les grand parents de Teo, ça promet ! Pourvus que tout se passe bien et qu'ils arrivent à obtenir un peu d'argent.
Et voilà qu'ils sont enfin officiellement fiancés avec la bague et tout ! dommage que la scène n'est pas durée plus longtemps et que Teo est changé tout de suite de sujet, mais bon ça na pas du être facile pour lui ! ^^
En résumé J'ADORE et je n'en peux plus que de lire la suite !

[etoileee]

J'accroche toujours autant ! Hâte de connaître la suite !!

[DML12]

Coucou! J'ai encore une fois beaucoup aimé ce chapitre
Le face à face avec Ladislau est très tendu et j'ai vraiment cru que ça allait dégénérer. En même temps, je comprends la position de Teo, Ladislau est vraiment un con, et je déteste comment il traite la mère de Teo.

Je trouve la mère de Teo très courageuse de faire face à son mari en faisant bonne figure plus ou moins.

Alors comme ça, Teo et Talis vont rencontrer ces grands-parents ? C'est plutôt une bonne chose ?
Talis m' a fait rire par sa réaction au mot "fiancée" aha.
N'empêche je suis fière de Téo qui ose tenir tête à Ladislau malgré les dangers que cela représente. Je le trouve plutôt courageux.

C'est touchant de voir que Teo s'attache à Talis pour ne pas perdre pied après la confrontation.

C'est triste de voir que malgré tout la mère de Renaudina s'écrase à chaque fois devant tout le monde. Devant son mari, je comprends. Mais devant Teo et pire Talis, ça me fait de la peine…
Mlagré tout, j'arrive quand même à sympathiser avec elle, elle n'est pas méchante, elle aide même Talis à être prête. Mais j'ai l'impression qu'elle n'ose plus rien faire de peur du retour. Et c'est triste qu'elle n'ose même plus se battre et qu'elle ait perdu un peu de sa volonté…

Teo est vraiment trop craquant avec Talis. Ils s'entendent vraiment bien tous les deux.
J'espère que tout se passera bien face à leur grands-parents même si j'imagine bien que les choses seront toujours compliquée…

J'ai hâte de lire la suite ! Pourras-tu me prévenir ? Merci!

[princess78]

Bah alors... J'attends la suite moi
Petit up en attendant ^^ En espérant que tu aies le temps de pouvoir poster ton chapitre aujourd'hui ^^ Sinon tant pis, on patientera ! Après tout, tu as bien droit à un petit répit

(haha désolée pour le faux espoir les filles, ce n'était que moi, la groupie )

[elenwe]

Désolée pour le contre temps... j'ai eu l'impression que l'univers se ligué contre moi pour ne pas avoir la suite de fini.
Bonne lecture


Chapitre cinq

Nous sommes assis sous une tonnelle, je fais face à Teo alors que monsieur et madame Bòrrel sont chacun à une extrémité de la table.
L'accueil a été glacial, tout du moins à partir du moment où Teo leur a dit que je n'avais pas de nom de famille, c'est à dire deux secondes après notre arrivé.
L'ambiance à ce moment même est toujours froide. Heureusement que le bruit des cigales et des oiseaux égaillent le tout parce que sinon même le resplendissant soleil ne réchaufferait pas un tableau comme celui là.
Je m'applique à manger proprement découpant bien ma viande et mâchant avec lenteur.
Teo a tenté plus d'une fois de lancer la conversation, mais rien à faire, les vieux restent muets.
La patience de mon fiancé va forcément arriver à ses limites, j'espère qu'il attendra le dessert, qu'on ne se fasse pas chasser avant de l'avoir bouffer.
Putain "mon fiancé", rien que de le penser ça me parait bizarre.
Il faut dire que c'était même pas une éventualité dans le parcourt de ma vie. Je m'étais imaginée beaucoup de choses : différentes morts plus ou moins sympathiques, quelques histoires plus ou moins passionnés et aussi des moments douloureux et désagréables, mais le mariage... C'est simple ça ne se fait même pas dans la Zone, on ne vit pas assez longtemps pour ça et la baise et le gagne pain de beaucoup, du coup pour le principe de la fidélité c'est pas franchement possible. C'est bien une coutume de riche tout ça, il faut qu'ils cérémonisent tout.

Nos assiettes nous sont retirées et remplacées par une nouvelle, présentant une magnifique part de gâteau. Enfin je pense que c'est un gâteau, il est composé de deux biscuits assez plat, rose dont celui du dessus et surmonté d'une framboise, comme sur le contour. A l'intérieur il y a une crème pâtissière avec des morceaux de litchis dedans. C'est ce que Teo m'a précisé en me voyant lorgner bizarrement les petits morceaux blanc après en avoir goûter un précautionneusement.
Le goût m'a plu alors je m'attaque franchement à l'ensemble. Dans la crème il y a une note de rose. J'ignorais que les fleurs se mangeaient, mais c'est excellent. Non c'est pas excellent, c'est juste parfait.
Je me retiens de ne pas dévorer le contenu de mon assiette en trois bouchers.
Teo n'a pas encore fini sa part quand il brise le silence et le bruit des cuillères sur la porcelaine.
"Je suis attristé de voir que vous ne faites aucun effort. Puisque c'est ainsi, j'aimerais que vous me donniez au plus vite l'héritage de mon père.
Son grand-père dont j'ignore le prénom, en lâche sa cuillère, apparemment sidéré par la demande. La vieille par contre dépose son couvert sur son assiette, puis s'essuie la bouche avant de dire très posément :
— C'est hors de question.
— Ce n'était pas une demande grand-mère, vous allez me donner cet argent il me revient.
— Ton père n'aurait jamais approuvé que tu souhaites épouser une moins-que-rien, dit-elle en m'avisant, presque dégoutée.
Je me retient de ne rien dire, mais je commence à en avoir ma claque d'être considérée comme de la merde. La vieille bique au joue trop rose n'a pas intérêt à me chatouiller longtemps car sinon je vais lui donner des couleurs et elles ne seront pas artificielles.
Heureusement que la cuillère est en argent massif et épais, sinon je pense que je l'aurais tordu, sous le coup de la colère.
Teo lance un regard presque meurtrier à son ancêtre avant de dire d'un ton tranchant :
— Je vous interdit de lui manquer de respect. Contrairement à vous, elle n'a commis aucune impolitesse pour le moment, vous seriez peut-être avisée de faire comme elle.
— Toi jeune effronté, tu ne crois tout de même pas que je vais accepter ce mariage juste parce que tu l'as mise enceinte. Je ne suis pas dupe.
Je n'arrive pas à cacher ma surprise. La vieille peau est complètement à côté de ses pompes.
Teo accuse le coup dans un léger froncement de sourcils avant que ne se devine un léger sourire sur ses lèvres.
— J'ai pourtant apprit que mes cousins n'avaient toujours pas engendrer, il ne ferait peut-être pas de mal à la famille que l'un de nous commence à travailler sur la prochaine génération.
Les lèvres ridés de sa grand-mère se pincent, elle me dévisage puis fixe le grand-père.
Elle ouvre ensuite la bouche mais aucun son ne sort. Je ne comprends pas ce qui lui arrive, mais apparemment Teo oui.
— Le fait que je n'ai aucun lien de sang avec vous vous gêne ?
— Non. Lâche-t-elle.
— Tant mieux, car ce serait dommage que ça se sache.
— Tu n'oserais pas! Déclare-t-elle une pointe d'inquiétude dans la voix.
— Vous croyez ?
Je jubile, ils sont coincés.
— Les choses sont compliquées. Que vont penser les gens ?
— Pas plus que maintenant, j'ai entendu dire que des rumeurs plutôt fondées déclaraient vos deux seuls et uniques petit fils stériles. Je pense que si vous accédiez à la requête de l'argent et aussi à célébrer notre mariage ici, ce serait une belle preuve de votre amour à notre égard.
Le vieux tape sur la table et gronde :
— Ca suffit, je ne tolèrerais plus que nous parle sur ce ton, espèce de dépravé. Qu'est-ce que tu nous veux à la fin ?
Teo regarde son grand-père d'un œil suspicieux et demande :
— Dépravé ?
Pour changer, je ne comprends plus rien.
— Oui tu m'as très bien entendu. Je sais que tu as déjà vendu ton corps, tu devrais avoir honte de remettre les pieds ici après avoir osé faire de telle chose.
— Vous saviez...
J'aperçois un éclair de compréhension passer dans les yeux de Teo. Il fixe désormais sa grand-mère, qui a l'air attristé et quand Teo demande, plus pour la forme je pense que pour avoir une vraie réponse, si ça faisait longtemps qu'ils avaient connaissance qu'il était toujours en vie. La grand-mère se referme complètement.
Teo se met à trembler.
— Les miliciens venu pour me tuer, c'était vous pas vrai ?
Je reste con. Mais vraiment, j'ai même mal pour lui.
Les vieux ne répondent pas. En même temps il n'y a rien à dire, rien à justifier, c'est juste horrible.
Teo prend une grande inspiration avant de demander dans avec une voix difficilement contrôlée :
— Pourquoi ne pas avoir tenter à nouveau de me faire assassiner quand vous m'avez retrouvé ?
J'attends la réponse certainement autant que lui.
Le temps reste figé et personne ne bouge, ne parle ou ne respire.
Puis son grand-père visiblement toujours en colère déclare :
— Parce que tu avais déjà accès au Quartier depuis longtemps et que tu ne donnais à personne ton prénom complet. Il était évident que tu avais tourné la page sur ta vie ici.
Teo secoue la tête, il digère l'information.
Les yeux plus brillant qu'avant, sûrement due aux larmes qu'il doit retenir il déclare d'un ton bas :
— Tourner la page, hein ? La blague, je pensais juste que mon père qui avait essayé de me tuer par deux fois était toujours là à attendre une autre opportunité. Alors que la seconde tentative venait de vous.
Sa grand-mère a une petite exclamation dédaigneuse et assène d'une voix tranchante :
— Ton père était un homme faible et stérile par dessus le marché. Il n'a jamais su pour les miliciens envoyés pour te tuer. Nous avions déjà eu un mal fou à l'empêcher d'envoyer une expédition de recherche à peine quelques heures après t'avoir fait conduire dans la Zone. Nous n'allions pas le mêler à ça.
Le visage de Teo a blanchi à vu d'œil.
— Vous êtes des monstres. Craché-je malgré moi.
Tout le monde me regarde.
Je ne suis pas du genre sensible, ni à compatir. Je pars du principe que tout le monde en chie. Mais là, pauvre Teo. Je commence à me lever pour dire leur quatre vérité bien enrobée d'insultes aux vieux croulants, mais Teo m'arrête d'un simple signe de tête.
Il inspire profondément et ordonne d'un ton dur :
- Vous me virerez l'argent sur mon compte avant la fin de la semaine et vous allez vous occuper d'organiser notre mariage à Zenòbia et moi, la fête et la cérémonie se feront ici, chez vous. Je n'accepterais aucune objection, je ne suis plus votre petit fils naïf de dix ans, je sais que vos autres petits enfants sont tous stériles et que vous faites votre possible pour étouffer les choses. Comme je sais d'autres choses que vous ne souhaiteriez certainement pas ébruiter. J'aimerais que la cérémonie se fasse dans trois semaines, nous sommes assez pressés. Puis vous allez montrer au monde à quel point vous êtes heureux de me retrouver en m'offrant une habitation. Pas une immense maison, je pencherais plutôt pour un appartement en centre ville. Il me semblait qu'à l'époque vous en possédiez. Si ce n'est pas le cas, je vous donne une semaine pour ça aussi. J'ai du mal à supporter mon beau-père et j'estime avoir perdu assez de temps.
Sa grand-mère grogne presque de rage et tout en postillonnant elle s'emporte :
- Ta mère n'est qu'une sale trainée, je suis sûre que c'est elle qui t'a raconté tout ça. Tu n'as même pas honte d'être revenu nous dépouiller, alors que tu n'es même pas de notre sang.
Teo reste calme et répond d'une voix atone :
- Ca veut dire que vous acceptez je suppose.
Madame Bòrrel ne répond pas, mais ordonne à son mari d'aller chercher les clefs de l'appartement place du Supliciar. Celui-ci s'exécute non sans jeter un regard plein de haine à Teo.
Moi je reste abasourdie par tout ça. Teo m'avait caché que sa mère lui avait raconté des choses sur les Bòrrel. En même temps pas sûr que ça m'est intéressée, il avait évoqué une fois le fait que ses deux cousins plus âgés étaient toujours sans enfant, mais je n'avais pas relevé.
Comme je ne comprends pas pourquoi après tout ce qu'il vient d'apprendre il veut faire la fête du mariage ici. Mais Teo ne fait jamais rien au hasard et jusque là nous nous en tirons pas mal à chaque fois, je lui fais confiance.
Teo saisit les clefs que son grand-père tient dans la main et il m'invite à le suivre.
Nous quittons la table et les deux nouveaux ennemis que nous nous sommes fait. Car je suis certaine que ça n'en restera pas là.
Je pense qu'on est en train de se mettre dans un merdier sans nom au plutôt j'en prends conscience.
Teo m'entraine à la sortie, il ne dit rien et je fais pareil.
Le chauffeur nous attend toujours. Mais il le congédie. L'homme n'a pas l'air d'accord, il a dû recevoir l'ordre de nous surveiller.
Teo s'énerve un peu je le sens à sa main qui se crispe sur la mienne et il demande sur un ton qui n'attend pas le refus :
- Votre téléphone, prêtez le moi.
L'homme obéis.
Je regarde le cirque qui se joue, Je ne comprends rien. L'appel de Teo est bref, apparemment il a appelé un taxi. Notre ancien chauffeur le regarde complètement éberlué est dit peu sûr de lui :
- Mais monsieur Bòrrel, monsieur le maire a été très clair je suis chargé de vous menez chez lui.
- Ce ne sera plus nécessaire, nous avons un nouveau chez nous. Nous n'abuserons plus de son hospitalité un jour de plus.
L'homme hésite et propose :
- Dans ce cas là, puis-je vous conduire à votre nouvelle demeure ?
- Non ça ira, maintenant allez-y.
Le pauvre homme reste perplexe un temps avant d'obéir.
Enfin seul Teo, m'entraine un peu plus loin du portail sur un banc au milieu de quelques pins qui servent de giratoire.
- Je suis désolée que ça ait mal tourné Talis.
Mes yeux s'écarquillent, pourquoi il s'excuse cet abruti.
- T'es bête ou quoi tu n'as rien fait de mal.
- Si j'aurais dû aborder les choses plus diplomatiquement, mais la colère m'a submergé et j'ai tout raté. Nous allons les avoir sur le dos aussi, comme si le maire n'était pas suffisant, même ici nous allons nous retrouver avec la milice qui nous cherchera des noises.
- Ils ne peuvent rien nous faire ici, il y a la police pour faire respecter les lois, non ?
J'avoue que je n'en sais trop rien, mais c'est ce que j'ai toujours cru avoir comprit. Même si des miliciens patrouillent pour gérer les gens de la Zone qui viennent travailler, ils ne font rien de plus.
Teo a un petit rire sans joie et m'explique :
- La police dans cette ville est dirigée par le maire. En ce qui concerne les miliciens même s'ils sont moins présent que chez nous, ils voient tout, nous auront du mal à passer inaperçu avec ce que Chaz veut que nous fassions.
Je me passe la main sur le visage, oubliant mon maquillage. Je n'ai pas la moindre idée de comment nous allons nous sortir de ça.
Teo m'attire à lui et appuie son menton sur ma tête.
Alors que le silence s'étire il déclare d'une petite voix :
- Mon père est mort pour rien.
J'ai senti l'étranglement qu'il retenait en parlant aussi doucement. Il n'y a rien à dire. Je ne sais pas au juste quels sentiments se battent en lui, en plus de la tristesse. Certainement de la culpabilité et d'autres choses qui me sont hors de portée.
Plus le silence s'installe, plus je le sens triste, alors je tente de lui remonter le moral :
- Ta mère nous a bien aidé. Sans ce qu'elle t'a dit tu n'aurais jamais pu les faire chanter.
Il rit doucement et déclare :
- Tu sais elle ne m'a rien dit de particulier, je ne savais rien de plus que ce que j'ai dit, j'ai joué le reste au bluff.
- Putain, mais tu crains si ça n'avait pas marché. Je m'exclame en lui mettant un coup de coude dans le vendre, mais en riant un peu.
Il hausse les épaules et m'embrasse pour toute réponse. C'est à ce moment là que le taxi arrive.

Le trajet ne prend pas plus d'un quart d'heure, Teo paye l'homme avec de l'argent qu'il avait dans sa poche, au moins il le sort pas de son boxer, c'est déjà ça, mais j'avoue que j'ignorais qu'il en avait. Je m'en veux un peu de ne même pas avoir pensé à ça.
De toute façon j'ai l'impression de ne penser à rien. Je me laisse complètement aller. Mais comment me battre dans ce monde dont je ne comprends aucune règle.
Teo saisie ma main me faisant revenir à la réalité. Nous sommes à un endroit par lequel nous sommes passé en venant. Je lève les yeux pour détailler à nouveau l'immense château couleur sable qui sert de mairie. C'est beau comme endroit mais me retrouver aussi près du lieu de travail du beau-père de Teo je ne suis pas certaine que ce soit la meilleure solution.
Mon ami me regarde en souriant et dit :
- Je sais c'est ironique, mais bon, l'endroit est sympa.
Je ne dis rien et le suis après qu'il ait revérifier l'adresse sur le porte clef.
L'immeuble fait cinq étages, composé de pierres claires dont celles autour des ouvertures sont ouvragés dans un style assez strict, très géométrique. Mais néanmoins ça a de la gueule, la grande porte en bois vernis servant d'entrée aidant à donné du chic à l'ensemble.
Teo referme derrière moi, je frissonne dans ce hall frais, puis il demande :
- Escalier ?
- Bien sûr.
J'avise d'un œil mauvais l'ascenseur, je sus montée une fois à l'intérieur de l'un d'eux, j'ai cru mourir en laissant mes organes sur place dès que l'engin avait bouger.
Bien évidement l'appartement que l'on nous a gentiment offert est au cinquième, mais l'effort physique me fait du bien.
Nous arrivons sur le palier où il n'y a qu'une seule porte, alors que sur tous les autres s'en trouvaient deux. Ca doit être immense.
Je n'avais pas tort à l'intérieur c'est très lumineux et surtout très grand. Nous arrivons directement dans une grande pièce ouverte qui fait office de salon, salle à manger et cuisine. Un ilot gris fait office de table, il y a même dans un coin un immense meuble à alcool d'après ce que je peux en voir.
je regarde les deux fente vitrée au plafond qui permette à cette pièce blanche d'être aussi bien éclairé, elles ne sont pas large mais je distingue néanmoins du mobilier de jardin. Je ne suis pas plus curieuse que ça, de toute façon je visiterais bien assez tôt et j'ai d'autres choses en tête.
- Teo ?
Il se retourne et s'approche de moi avec un sourire rassurant. Pourquoi faut-il qu'il prenne cette tête avec moi, je sais qu'on est dans la merde. Mais bon il est mignon de ce donné du mal.
- Qu'est-ce qu'il y a Talis ?
- Tant que tes vieux te refourguent pas d'argent comment on va vivre ?
- J'ai pas mal d'argent sur moi, ça suffit largement pour une semaine. Je pense que ma mère nous enverra les habit qu'elle a fait faire sur mesure pour nous de toute façon. Tu n'as vraiment aucun soucis à te faire pour ça, tu peux te détendre, surtout que ce soir nous sortons.
- On sort ?
- Oui, répond-il avec un large sourire. Maintenant profite du lieu.
Je n'argumente pas plus et m'empresse de me débarrasser de ces escarpins qui me compriment les pieds. Le sol frais me fait du bien et je soupire de contentement.
Teo va se servir un verre et s'installe sur le canapé couleur taupe. Je sens qu'il est tendu et qu'il a dû mal à afficher sa bonne humeur, mais je préfère attendre qu'il s'ouvre de lui même. De toute façon je ne vois pas bien en quoi je pourrais l'aider. Je m'installe près de lui, les pieds ramenés sous mes fesses et j'attends.

Le soleil disparait petit à petit, les appartements de l'autre côté de la place ce sont allumés. Teo a fini son verre depuis longtemps et est resté enfermé dans son silence, les yeux dans le vague. Il a tremblé à un moment et je me suis collé à lui pour lui montrer que j'étais là, ça l'a calmé, mais il n'a rien dit.
Je ne brise le silence, même si j'ai faim, j'ai aussi envie d'aller pissé mais je n'ai pas osé bougé.
Teo inspire fort est dit, d'un ton légèrement amusé :
- Tu n'as, encore une fois, pas osé parlé.
- Je ne sais pas quoi te dire.
- Ce n'est pas grave. Tu as faim ?
J'acquiesce vivement.
- Tu aurais dû me le dire plus tôt. Désolée d'avoir été de mauvaise compagnie. Des pizzas ça te dit ?
- Ouais.
Teo se lève et cherche un téléphone sans en trouver donc il me laisse et va déranger un voisin pour commander, j'en profite pour visiter et chercher les toilettes.
Elle n'était pas dure à trouver car elles étaient indiqué à même la porte. Mais non loin d'elle il y a des escaliers et je ne résiste pas à jeter un œil sur l'étage du haut.
Il n'y a pas grand chose à voir à part une grande chambre avec la salle de bain dans la même pièce, dont une immense baignoire, encore mieux que dans mon box chez les putes. Il me tarde de l'essayer. Il y a une porte vitrée qui mène à une terrasse, celle là même que l'on aperçoit en bas. D'ici on a une vu imprenable sur la ville, le seul bâtiment plus haut étant la mairie.
Mon tour de notre nouveau lieu d'habitation est fini, il n'y a rien de plus, mais c'est largement suffisant.
Après avoir fait mon affaire j'attends Teo, en regardant par la fenêtre l'agitation en bas.
J'essaie de ne pas trop penser, pour ne pas me rendre compte que je suis morte de peur devant l'avenir.
Je suis soulagée quand Teo arrive. Il allume le compteur puis la lumière et vient m'enlacer avant de m'embrasser dans le cou. Je ne devrais pas autant m'appuyer sur lui, sur sa présence, j'ai beau me le répéter je ne change pas.
- Les pizzas seront là dans quinze minutes.
- Ok.
Le quart d'heure me parait interminable, mais l'attente et vite balayé par l'excellence du repas. Ce sont les deux même pizzas que la dernière fois avec du jambon, des champignons, des olives et tout ça. Mais même si on sent qu'elles n'ont pas été faite par la même personne, elles en restent néanmoins un délice.
Teo et moi faisons presque un concours du plus gros glouton. Je finis quand même avant lui et regarde le pot de glace sur la table d'un air gourmand. Il est plus rapide que moi et s'en empare en déclarant d'un air triomphant :
- Tu vas devoir m'attendre pour en manger.
Je grogne.
- J'ai presque fini, tu ne vas pas me bouder pour si peu, si ?
- On verra. Répondis-je d'un air faussement grognon.
- De toute façon après ce soir tu ne m'en voudras plus car je suis certain que ce que nous allons faire va te plaire.
Je suis sceptique, mais je demande à voir.
Teo à les doigts qui rougissent à force de tenir le pot froid mais il ne le lâche pas et mange son dernier morceau avec une lenteur calculé. Il pousse le vice jusqu'à se lécher les doigts et lance :
- J'aimerais que tu me regardes comme tu regardes la nourriture, ce pot ne mesure pas sa chance.
Je ris malgré moi et attrape la cuillère que Teo me tend. Je vais m'asseoir sur ses genoux car il n'a pas l'air prêt à lâcher le pot.
La glace est à la vanille, c'est une tuerie. J'ai découvert ça il n'y a que quelques jours, mais maintenant je comprends pourquoi il y a des gros ici, avec de la bouffe aussi bonne je pense que je pourrais devenir énorme aussi.

Après le festin, nous passons à la salle-de-bain à l'étage arranger nos frimousses barbouillés de sauce tomate et de glace, bon en fait il n'y a que moi qui en ai partout, mais bon, on ne va pas chipoter car Teo se nettoie aussi.
J'enfile à nouveau mes escarpins et nous partons.


Chapitre six

[Elfi49]

Oh super bon chapitre. XD J'aime surtout la fin.
Bon, un, fais chier ils ont encore des ennemis. -_-' les pauvres. Quand pourront-ils avoir une peu de chance.
Et l'appart en face de la mairie, pas de bol. XD
Talis est trop mignonne quand elle reste silencieuse auprès de Téo. *^-^*
Ce que je retiendrais surtout c'est la phrase de Téo : " - J'aimerais que tu me regardes comme tu regardes la nourriture, ce pot ne mesure pas sa chance. " Trop fort. Elle va me rester celle-là. :p
Hâte à la suite. Mais j'attendrais patiemment.

[Ayat]

SUPER CHAPIIIIITRE!

Talis a toujours faim!
Ça étonne personne bien sûr...
Mais ça ce comprend vu son passé.

Ils ont beaucoup trop d'ennemis, je me méfierais à leurs places.
Teo me fait de plus en plus mal au coeur, il apprend des choses horribles!

AYAT!

[princess78]

Oh... Ce sont de vrais salauds ses grands-parents dis-donc... Surtout la vieille, je lui en foutrais une belle à celle-là. C'était donc eux qui ont envoyé les miliciens terminer le boulot.. Très glorieux tout cela. Ambiance merdique en tout cas, je m'en doutais que ça allait se passer de cette manière.

Teo est un bon bluffeur, il devrait se mettre au poker.
Ils peuvent enfin être tranquilles, loin de Ladislau. Un peu de répit ne leur fera pas de mal. Ils sont bien lotis ces deux-là quand même ! Chanceux ^^

Je suis impatiente de savoir où il compte emmener Talis !
J'ai pas vu Josh. Je suis déçue... ce sera donc pour le prochain chapitre.

[DML12]

Coucou! Encore une super super chapitre encore une fois.

Aïe dès le départ, ça se passe vraiment mal avec les grands parents de Teo… Je trouve ça franchement pas terrible de leur part que ça soit à cause de Talis et de ses origines… C'est un peu limite.

Talis me fait encore beaucoup rire avec son franc parler, et ses idées
Mais depuis le début, ça se voit qu'elle a évolué, elle a apprit à être plus posée, même si elle n'a pas perdu de sa hargne.
Talis me fait aussi bien rire dans son rapport avec la nourriture aha

La discussion avec les grands parents est explosive, et pleine de tensions, j'ai adoré.
Teo est franchement courageux d'oser attaquer frontalement ses grands parents!
Je trouve ça aussi bien qu'il défende Talis ,même si honnêtement, c'est rabaissant pour elle, qu'elle soit constamment traitée comme une pestiférée…

Alors comme ça, ce n'est pas les vrais grands parents de Teo ?
Tu nous as réservé une avalanche de révélations! Alors comme ça, les "grands parents" de Teo savaient qu'il était toujours envie et n'ont rien fait pour l'aider ? Et pire ont envoyé la milice pour le tuer ? Mais pourquoi ? Pourquoi agir aussi ignoblement ?
Teo doit se sentir tellement bouleversé… J'ose même pas imaginer à quel point ça doit faire mal.

Aïe du coup les voilà avec des ennemis supplémentaires même si je trouve que Téo a parfaitement réagi face à ses grands parents. Et tu prouves par cette scène à quel point Teo st effectivement intelligent. Il sait parfaitement manipuler les gens à son avantage, et agir comme un stratège.
Est-ce que sa mère lui a donné volontairement cette information pour qu'il ait des cartes d'avances en main ?

Talis et Teo me font rire quand ils sont ensembles! Ils sont tout mignon, tout doux l'un envers l'autre aha. Et leur repas sont toujours des scènes très comiques
Ils sortent le soir même ? Où aha ?

En tout cas j'ai hâte de connaître la suite, mais prend le temps de l'écrire. Je trouve déjà exceptionnel que tu arrives à tenir deux chapitres par semaine alors tu peux te permettre de prendre un peu plus de temps surtout si c'est pas facile en ce moment - Bref bon courage, et que ton chapitre arrive dans trois jours, une semaine ou plusieurs mois, (d'accord j'exagère aha), je prendrais toujours autant plaisir à le lire.

[opheliepeudupin1997]

Pauvre Teo:( heureusement que Talis et la sa fait beaucoup de personne contre eux... Mais il y en aura surment d'autre sinon c'est toujours aussi bon!! Vivement la suite :3

[Joana-d-Occitan]

Très beau chapitre, ça s'enchaîne tout seul; vraiment très intéressant. La suite m'intrigue beaucoup

[bazinga]

Bon, les grands parents, c'est fait!
J'ai pas compris en quoi c'est un problème que ses cousins ne puissent pas avoir d'enfant....
Bon, au moins ils ont un toit pour les prochaines semaines..
Mais pourquoi Teo tient tant à se marier?
Donc en fait, son père n'a jamais cherché à le tuer..Coup dur..enfin tant mieux d'un autre coté...
Pourquoi ses grands parents sont obligés d'accéder à toutes ses requêtes?

En espérant que l'endroit ou ils vont aller dans le prochain chapitre va etre sympa et qu'ils vont pouvoir se détendre un peu..!

[plumenchantee]

Désolé de n'avoir lu ce chapitre que maintenant mais il est SUPER. Et je pèse mes mots. Je devrais dire géniale, magnifique etc. Bref, je veux la suite !!!
Par contre, tu m'as eu. Je ne pensais pas que ses grands-parents étaient les investigateurs des assassins envoyés contre Teo.

[Analia]

Mais c'est un malade Teo ?! Sérieux ce mec est trop fort ! D'où il joue tout ça au bluff ?! Mais si ça avait pas marcher il se serait retrouver dans une de ces m*rdes ! O.o

Et les grands parents sont les pires enfoirés de la planète ! Pauvre Teo... Dire que pendant toutes ses années il a cru que c'était son père qui avait tout fait pour le tuer
Moi je dis il mérite un bon câlin de réconfort

En tout cas ils sont en sécurité pour un petit moment ce qui est pas plus mal /D mais je me demande où Teo va bien pouvoir emmener Talis... Talis qui semble d'ailleurs s'être habituée aux escarpins !

J'espère qu'on va continuer à apprendre des trucs sur le passé de Teo et d'ailleurs il pourrait pas revoir des amis ? Doit bien avoir un mec sympa dans cette ville ! X)

M'enfin, encore un super chapitre et j'ai hâte de lire la suite

[angel40]

Super Teo
Où vont ils aller ?
Vivement la suite!

[percabeth76]

J'adore ce chapitre. Pauvre Teo, ses grand-parents sont vraiment d'horrible personnages qui ne pensent qu'à leur réputation. Je ne les aime pas du tout. Eh bien, il commence à en avoir beaucoup des ennemies, Talis et Teofrast. J'adore leur nouvelle appartement. Il à l'air trop bien. J'adore le moment où ils mangent. Ils sont trop adorable. J'ai hâte de lire la suite pour savoir où Teo emmène Talis.

[fan2vamp]

Coucou !
Encore un super chapitre, je m'attendais a ce que se soit glaciale ce diner mais toutes ces révélations ... pauvre Teo, heureusement il a réussis a obtenir l'argent et le reste mais a quel prix ?
Enfin ils se barrent de chez ce c****** ! yeeees ! bon c'est pour s'installer en face de son boulot mais bon c'est quand même mieux que de vivre sous son toit ^^' c'est un vrai palace qu'ils ont en tout cas et j'ai hâte que les mecs les rejoignent, en espérant qu'il ne vont pas se faire choper avec la drogue et tout ... y a tellement de problèmes en vues ! mais apparemment une petite sortie a deux intéressante de prévue, j'ai hate de savoir comment ça va se passer !