Perdue... chapitre 18 en cours

[Alice16]

J'aime beaucoup la suite de ton histoire et les personnages sont sympas :3

[lybou]

Après que tu m'ais prévenu, j'ai relu tes chapitres et c'est beaucoup mieux comme ça. Ah, la couleur foncée m'a fait vraiment plaisir. Par contre, tu n'as pas changé tous les chapitres et c'est dommage.
Ensuite les descriptions, on est ravies d'en avoir maintenant donc merci!
Par contre, quelques questions: Pourquoi Lina pleurait avant d'avouer à Léa qu'elle est Nirina?
Pourquoi est-ce que ce n'est que maintenant que les pouvoirs de Luc et Léa se manifestent? Est-ce que c'est un truc de puberté, ou autre chose? Je pense qu'il faudrait que tu l'expliques.

Contente que tu ais tenu compte de nos avis donc bonne chance pour la suite, j'ai hâte de la lire!

[CoeurVanille]

Alors merci pour vos réponses. Je tiens à dire pour ceux qui ne l'ont pas remarqué ou ceux qui suivront cette histoire plus tard que j'ai modifié quasiment tous les chapitres selon les remarques qu'on m'a fait. Pas tous car il y en a certains que j'aime beaucoup et d'autres que je fais petit à petit.

Par contre, quelques questions: Pourquoi Lina pleurait avant d'avouer à Léa qu'elle est Nirina?
Pourquoi est-ce que ce n'est que maintenant que les pouvoirs de Luc et Léa se manifestent? Est-ce que c'est un truc de puberté, ou autre chose? Je pense qu'il faudrait que tu l'expliques.

Ce sera expliqué dans le 16 ou le 17 . Pour les 2 prochains chapitres,on entrera dans le vif du sujet donc soyez attentifs. Et continuez à poster des remarques constructives, elles m'aident à avancer <3 <3 <3

[vampires00]

Salut salut ! Comm promis je suis là !

Je ne sais pas trop par où commencer...

D'abord le négatif :
Il a un trucs qui m'a perurbé, mais vraiment vraiment vraiment beaucoup c'est l'emplacement de tes points, virgule... Il ne sont pratiquement jamais bien placés normalement pour les point et les virgules c'est collé au précédent mot et pas au milieu de deux mots. (Désolé je suis chiante..)
Ensuite quand tu met des points d'exclamation tu en met 150, moi aussi je raffole des points d'exclamation mais cela fait vraiment trop pour une histoire.

T'es chapitres son malheureusement très (trop) court, mais je pense qu'on te l'a déjà fait remarquer.

Je trouve Ue ton historie est longue, enfin qu'il y a des choses que tu pourra passer, généralement' on ne donne pas assez de détails mais toi tu en donne peut être un peu trop des fois...

J'avoue Que je suis perdue (référence nulle au titre..) je ne comprend pas ce qu'il se passe.. Entre Luc et ses dons de séduction, qu'elle a des dons de téléphérique et qu'elle peux parler avec je ne sais qui, sa grand mère qui lui explique mais sa mère n'est pas au courant, la mère de Lina... Je trouve qu'il y a beaucoup trop d'informations pot si peu de texte. Là c'est très dur de ne pas être perdue et de comprenne pleinement ce que tu as voulu nous dire.

Positif :

Je n'est pas vu de fautes, il y a beaucoup de description (même s'il y en a trop c'est un point positif),
Tu as du vocabulaire, c'est plutôt bien écrit et je comprend totalement le sens du titre


Désolé pour cette grande partie négative mais j'espère que tu ne le prendra pas mal et que mon commentaire t'influencera dans ton point fume vie face à mon histoire...

Je vais malheureusement te demander de ne pas me prévenir pour la suite pas parlé suentin histoire est nulle ou autre mais que je lis déjà beaucoup d'histoire sur ce site et que je n'ai pas le temps. Sauf si j'adore vraiment virement vraiment vraiment beaucoup l'histoire...

Encore désolé... Et à bientôt

[mange-livre]

Ok ok ok. C'EST QUOI CE CHANGEMENT? Nan mais sérieux tu as TOUT refait! J'ai mis du temps à tout comprendre...
Bon, sinon pour les fautes c'était bien, il n'y en avait pas... Jusqu'à ce que tu gâches tout avec un mot simple pourtant! "En dormant" s'écrit ANT et non ENT!

[Charlie84]

Coucou ^^
Alors j'ai relu tous tes chapitres et ils sont supers ! J'ai vu quelles fautes mais ce qui m'a le plus interloqué c'est dans le chapitre 7, tu parles d'un certain Marc, je pense que c'est Charles et que tu as changé de prénom sans le faire exprès. À moins que ça soit moi qui ne comprends plus rien
Voilà sinon j'ai hâte de lire la suite !

[ArsenalCanary]

Hey ! (c'est Julie)
D'abord je tiens à dire que l'idée est très intéressante... Mais il y a quelques défauts dans l'écriture. Bon d'abord, une faute d'étourderie :
Chapitre 7 : Marc c'est Charles, non ?
Ensuite...
Voici quelque chose qui pourrait peut être t'aider..
Blablabla... < Après cette ponctuation (trois petits points ) un espace
blablabla, < collé avant, espace après.
blablabla. < Pareil que la virgule, Collé au dernier mot puis un espace et tu enclenches la phrase suivante.
Voici un "texte tutoriel"

En mangeant mes céréales, je ne pensais qu'à Luc... Et à sa soeur. Sa réaction face à moi me paraissait très surprenante. Même si nous sommes dans des clans qui n'ont pas l'air de s'entendre, elle n'aurait jamais dû réagir comme ça. De toutes manières, ses menaces n'ont aucun effet sur moi. Je suis bien trop puissante pour elle. La seule personne qui a de l'influence sur moi est Luc. Mon amour de toujours, mon âme-soeur, mon tombeur...

Voilà ! Je sais pas si c'est bien écrit, mais les règles de la ponctuation sont respectées (celles en vert)

Maintenant j'en reviens à l'histoire...
Elle avance trop vite ! Une quinzaine de chapitres et :
-Elle tombe évanouis
-Elle est dans un hopital
-Elle est censée y rester 3 semaines, mais elle sort ~ 4 lignes après (ou un truc du genre)
-Sa grand-mère lui parle de ses pouvoirs en plein milieu de... Rien. Pour aucune raison. Ah, si "Parce qu'elle est grande MAINTENANT"
-La chanson fait très gamine..
-Et cette façon d'annoncer son amour... Ne le prends VRAIMENT PAS mal, mais... Ca ne fait pas 13 ans DU TOUT. Je veut bien qu'elle soit timide, je suis pareille, je veut bienqu'il fasse comme s'il ne l'aimait pas devant ses copains, les garçons sont souvent comme ça au collège... Mais ça fait plus... Primaire.
- More DESCRIPTION PLEASE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!beef!!!!!!!!!!!!
-Tu vas décrire Gaëlle dans ton prochain paragraphe ?
-Son petit nom est magnifique !
-Ca te dérange si je le prends ?
-Je ne vais pas prendre ton personnage, juste le nom
-Parce que je compte écrire une petite histoire... Mais pas sur ce site !
-Si tu voudras voir tu me le dis.. (je l'ai pas encore commencée)
-c'est un peu confus, j'ai eu du mal à comprendre certaines fois...

Sinon c'est super !!

[Helodes]

Ah ! C'est mieux, beaucoup mieux ! je te reprochais précédemment ton manque de description, tu en a rajouté dans la plupart des chapitres ! Concernant les transitions parfois trop brutales entre les actions, le problème a été réglé pour la plupart des chapitres et tu as aussi rajouté des actions ce qui est un atout pour le développement de l'histoire. Encore des fautes et quelques problèmes de ponctuations mais par rapport aux gros progrés que tu as fait je ne vais pas m'attarder la dessus. Ton style est certes un peu enfantin mais le concept est bien, tu commences à assimiler le principe de développer et de décrire les actions et le caractère de tes personnages ce qui apporte du cachet a l'histoire et donnes envie au lecteur de poursuivre. C'est bien de ne pas tout dévoiler de suite, cela amène le lecteur à vouloir connaître la suite.
En résumé depuis la première lecture que j'ai faîtes de ton histoire je trouves qu'elle s'est beaucoup améliorer et malgré le fait que ton écriture ne soit pas trop mon style, je trouve que tu as fait des progrès de rédaction. Certes il y a toujours des erreurs mais avec le temps et l’expérience ça ne pourra que s'arranger.

[CoeurVanille]

Chapitre 16

Chapitre 17

Mon crâne me fait mal, j'ai l'impression d'être saoule. Je n'ai jamais bu mais cette expérience ne me donne pas envie de m'y mettre. J'ouvre un oeil, puis l'autre. Ah, ce soleil! Il me brûle l'œil. Je suis moitié dans mon lit, à moitié au sol, mon bras se raccrochant à ma couette. En quelques secondes, je suis passée d'un monde irréel à ma chambre. À moins que ce ne soit un rêve. Je m'extirpe difficilement de mon lit puis je me lève, prends mon téléphone sur la table de chevet puis me dirige machinalement vers la salle de bains. Aujourd'hui, samedi. Juste envie de passer ma journée en pyjama à me gaver de popcorn devant un bon vieux film à l'eau de rose. Mais c'est impossible: bye bye Titanic et bonjour le musée de la chaussette. Cela fait 3 mois que ma mère a prévu cette sortie, je ne veux pas la décevoir.
Je me poste devant le miroir, petite inspection matinale. Un nouveau bouton d'acné sur le front. Bon, c'est pas dramatique, hein. Une éraflure sur ma joue me confirme que mon escapade nocturne était bien réelle. Autrement, tout est en règle. Avant de prendre ma douche, je déverrouille mon téléphone, puis je lance une chanson du nouvel album de Maître Gims. Je me lave sereinement, les images de la veille se bousculant dans ma tête. D'abord le baiser, ce baiser qui m'a procuré tant d'émotions. Luc me pressant contre lui, ses lèvres douces contre les miennes. Puis Manon la furie,qui aurait pu être top-modèle. Son père, si chétif, qui en quelques secondes était devenu fou. Rien que d'y penser, j'en ai la chair de poule. Ma gorge se serre et des pensées horribles prennent la place de tous mes souvenirs. Et si le père de Luc était entré chez moi pendant la nuit? Et si il était venu tuer ma mère pour se venger? Pire, si il avait tuer ma mère et m'attendait derrière la porte pour m'enfoncer un couteau dans le cœur? Je dois en avoir le cœur net.
Je sors en trombe de la salle de bains, de la mousse dans les cheveux, ayant à peine pris le temps de m'enrouler dans une serviette de bain. Personne... Je cours dans toute la maison, morte de peur, regrettant presque ce bon vieux Charles. La maison est vide. Je me souviens de ce que ma mère me disait petite: si tu as un soucis, appelle moi. Ok. Le numéro, le numéro, vite... je n'ai plus de souffle, je fais pendre ma langue comme un chien, la respiration haletante. Ah ça y est je l'ai. Vite, appuyer sur les touches. Pas de précipitation. 06... ok... 56...68...35...12...Répondeur... Oui allo je t'appelle pour te rappeler que tu as une fille... qui est morte de peur. Puis je fonds en larmes, sans me soucier de mon mascara qui coule ou du regard des autres. De toute façon, il n'y a personne ici. Je suis seule, mes voisins ont déménagé. Ah si, il y a la voisine d'en face, une mamie gâteau qui doit sûrement dormir. C'est la plus vielle du quartier, elle habite là depuis plus de 30 ans et ne compte pas partir. Elle me fait de la peine. L'autre jour, le directeur de la Maison des Fleurs est venue la chercher et elle s'est accrochée à la rambarde de l'escalier. Le directeur, sans pitié, continuait à la tirer par les jambes. La pauvre dame pleurait tout son soul en priant. Au bout d'une demi-heure de résistance, la vielle dame s'effondre. Toute cette histoire s'est finit en justice, après un détour par l'hosto. Au final, le commandant de la maison de retraite écope de trois mois de prison ferme pour atteinte à personne agée et n'a pas le droit de s'approcher à moins de 50 mètres de ma voisine. Elle a gagnée et coule désormais des jours heureux dans sa maison de toujours. Je suis prise de soubresauts, roulée en boule par terre comme un chiot apeuré. Aujourd'hui, 10 juin, c'est mon anniversaire. J'ai 13 ans et je ne me suis jamais sentie aussi seule. Dehors, le ciel est gris et c'est le début du plus gros orage de l'année.

Quelques heures plus tard, je suis toujours en position fœtale dans l'entrée. Quelqu'un tourne une clé dans la serrure et ma mère apparait, un grand sourire aux lèvres, chantonnant et tournoyant, comme si elle ne m'avait pas du tout abandonné un jour d'orage ( j'ai une peur phobique des orages) qui plus est le jour de mon anniversaire. Mais non, on dirait qu'elle ne me voit pas, que je n'existe pas. Elle attrape son téléphone dans son sac à main, puis part s'enfermer dans sa chambre comme une ado qui veut tout raconter de sa nouvelle idylle à sa " best friend". Je l'entends rire depuis le rez de chaussé. Ah, petite parenthèse, je ne vous ai pas parlé de la disposition des pièces de ma maison.On dirait que ma mère à fermé les yeux et à fait la ploum pour savoir comment organiser la maison. Au rez de chaussée, le salon-salle à manger- cuisine ouverte, à droite de la porte d'entrée, qui prend tout l'étage. Au premier, la chambre de ma mère, une autre "cuisine" ( pourquoi? ), une salle de bains, des toilettes, encore des toilettes,... Vous allez dire: mais où est la chambre de Léa? Toute seule, au second étage, sans salle d'eau ni toilette. Je suis isolée du reste du monde, et si la nuit j'ai une envie pressante, je dois descendre l'escalier à pas de loups dans la pénombre. Parenthèse fermée. Sortie définitivement de ma transe, je monte dans ma chambre, récupérant quelques bribes inutiles de la conversation de ma mère, peut-être inutiles mais je ne peux m'empêcher de m'arrêter, d'autant que j'ai oublié mon portable dans la salle de bains:
- Il est tellement beau, blablabla, il est attentionné, blabla... ha haha ha non... t'es con toi quand même,blabla...
Bon, on va pas y passer la journée, je penses qu'il est inutile de lui rappeler notre sortie " mère et fille" d'autant que Charles va bientôt rentrer du travail. Je récupère mon portable, et me dis qu'il n'y a finalement rien à faire dans ma chambre. Je décide donc de descendre me préparer un grand bol de popcorn sucré (un délice...) en regardant Titanic (mon film préféré). Juste au moment où rose prend la pose pour Jack, la sonnerie de mon téléphone me sort complétement de l’ambiance du film. A contrecœur, j'appuie sur la touche pause, puis écoutes mon interlocuteur, après avoir bien évidemment décrocher. Mon cœur s'emballe dés que j'entends la voix de Luc, sa voix, si chaude qu'elle réchauffe automatiquement mon âme.
- Salut Léa, c'est Luc, commença-t-il, et moi et quelques personnes voudrions te dire quelque chose...
- Quelques personnes? Qui s’intéresse à moi? Même ma mère me laisse tomber. Et c'est le retour de la fontaine... Même les gentils mots de Luc, qui se veut rassurant, ne réussissent pas à m'arrêter. Mais il est patient, et m'écoute me plaindre et gémir pendant un long moment, sans stopper son flot de paroles rassurantes. Mes larmes cessent peu à peu,et je reprends enfin le contrôle de mon esprit.
- Snif... Merci de m'avoir écouté Luc
- C'est normal... Bon maintenant la surprise tombe un peu à plat mais...
-... joyeux anniversaire ! reprennent plusieurs voix, dans lesquels je reconnais Nirina, Luc, ma grand-mère et même la voisine d'en face.
-M... merci... je ne mérite pas tout ça...
Et c'est le retour de la fontaine. Je suis vraiment émotive aujourd’hui. Bon, ce coup ci se sont des larmes de joie, mais quand même! Heureusement, ce coup ci, les larmes ne durent pas longtemps.
- Et c'est pas fini, nous t'invitons au Grand Baobab, le resto le plus chic de la ville.
Bon rester à convaincre ma mère. Après les "au revoir merci" d'usage, je raccroche, puis commence la période "convaincre ma mère". Je fais la lessive, ponctue mes phrases de " maman chérie" et de " je t'aime mamounette". Puis il faut que je lui demandes la permission:
- Mamounette, mamie m'invite au restaurant ce soir, tu sais pour MON ANNIVERSAIRE.
-Pas ce soir ma puce on a un invité. D'ailleurs il sonne. Va ouvrir.
- Et Charles?
- Il reste au travail cette nuit.
A contrecœur, je vais ouvrir et pousses un cri de surprise.

[ChaFreiheit]

Les différentes couleurs de correction :

- en rouge : Fautes d'orthographe et de conjugaison.
- en rose : Les espaces et les ponctuations
- en orange/jaune : Ce qui est en trop.
- en orange/marron : Les Majuscules.

Ceux qui lisent ce texte, dites moi ce que vous en pensez

Chapitre 1
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Moi, c'est Léa Camille Perdue mais tout le monde m'appelle LC . Ça leur donne une excuse pour se ficher de moi (elle s' est perdue, c'est vrai que c'est drôle). Avant, j'habitai pas de -s en Italie et ça sonnait exotique, ça ne dérangeait personne. Mais ma mère et son bourge de..._Argh... Ça me donne envie de vomir... Petit copain se sont mis dans la tête de déménager en France, une sorte de retour aux sources pour ma mère. Elle, elle s'appelle Melissa. Elle n'a jamais voulu pas de -e prendre le nom de mon père car il est parti quand j'avais trois ans . Moi, je l'aimais bien. Je l'aimais plus que cet idiot de Charles qui l'a remplacé dans le cœur de ma mère .
J'ai douze ans et cela fait maintenant un an que nous avons déménagé à Où-Crois-Tu-Allais, le trou perdu où ma mère a passé son enfance. Cette année a d'abord été un cauchemar puis j'ai rencontré Lina, ma meilleure amie. Sans elle, je n'aurai pas de -s pas pu tenir une année entière. D'ailleurs je la vois arriver :

-_Hey , Lina , t'as passé un bon week-end ?
-_Ouais, ça va . Et toi ?
-_Moi , j'ai dû passer toute une journée avec Charles à réparer son ordi . L'enfer, quoi .
-_Tu ne crois pas que tu exagères a propos de Charles ???? Il ne peut pas être si terrible, non_?
-_La dernière fois, il a mangé des limaces et juste après , il m'a craché à la figure.
(En fait, non mais j'imagine que s' il mangeait des limaces , il me cracherait à la figure.)
-_C'est pas Luc, là-bas ?
Luc, c'est la deuxième raison pour laquelle je ne demande pas de -s pas à ma mère de rentrer à la maison. C'est l'amour de ma vie mais il ne semble pas me remarquer.



Chapitre 2 http://booknode.com/forum/viewtopic.php ... #p14435184

Voilà. J'avais déjà posté quelques commentaires sur ton histoire. J'ai décidée de revenir lire et t'aider à t'améliorer donc, s'il te plaît, prend en compte mes conseils.

Description et détails :

Ça manque de description et de détails. On ne sait pas où elle est n'y a quoi ressemble son amie. On ne sait vraiment rien. Déjà, si tu mettais des descriptions, ton texte serait beaucoup plus long.

Conjugaison et orthographe :

Bon, il n'y a pas beaucoip de fautes mais fais quand même attention. Tu confonds imparfait et passé simple. Je n'ai corrigé que de ce dont je suis sûre mais il se peut que j'en ai raté.

Ponctuation :

Pourquoi mets-tu des espaces entre ton texte et ta virgule ou point ? Ça ne sert à rien. Voici un petit récap' de la ponctuation :

- le point : [texte].
- la virgule : [texte],_ [texte]
- le point virgule : [texte]_;_ [texte]
- le point d'exclamation : [texte]_!
- le point d'interrogation : [texte]_?

Ne mets pas plusieurs points d'interrogations et d'exclamations à la fin de tes phrases.

[JohanneX]

Bon. Je suis passée. J'ai lu tous les chapitres.
J'apprécie le contexte surnaturel. Le monde parallèle, les mini-mois... C'est une excellente idée. Seulement, je trouve que tu devrais plus décrire les scènes. Je m'explique:
-L'environnement: qu'est-ce qui entourent les personnages.
-Les sentiments: que ressentent les personnages.
Déjà, en faisant cela, tu allongeras un peu tes chapitres.
Secondement, pense à te relire. Elles ne sont pas constamment présentes, mais quelques fautes bêtes pourraient être évitée.
Exemple, dans ton sondage:
TrouveZ!!
Au niveau ponctuation, il n'est pas nécessaire de mettre plusieurs points d'exclamation quand Léa s'extasie. Pareil pour les points d'interrogation.
Je trouve aussi que tu enchaînes un peu trop vite les événements.
Exemple, un chapitre, on est à la Saint-valentin. Deux chapitres plus loin, c'est déjà le mois de mai. D'accord, elle a subi une opération, mais rien ne t'empêche d'écrire un petit paragraphe qui explique ce qu'elle a fait pendant les trois mois.
Niveau conseil/ critique, je vais m'arrêter là. Tu as du potentiel. Les idées sont présentes, il suffit juste de les retourner et ton histoire passera d'agréable à extraordinaire.
Je suis très franc-parlé. Alors excuse moi si je t'ai un peu trop bousculée dans mes critiques. Tu m'as demandée de jeter un coup d'oeil. Je l'ai fait, mais à ma manière.
J'espère que ce que j'ai dit t'aidera dans l'avenir.
J'aimerais être prévenue pour la suite.
Si tu as besoin d'aide ou de conseils, viens en privé quand tu veux.
Je te souhaite une bonne continuation et beaucoup de courage et de patience.
Bonne soirée.
JojoX

[ginny2002]

encore mieux, j'adore !!! Je suis trop fan, je veux la suite !!!!!!! AAAAAAAAAH !

[CoeurVanille]

encore mieux, j'adore !!! Je suis trop fan, je veux la suite !!!!!!! AAAAAAAAAH !

Merci, toi au moins tu es venue lire. Petit challenge: si tu devines qui est derrière la porte ( en MP) tu gagnes en exclusivité les lignes principales ( du genre lui va être méchant puis elle va le tuer, etc... où le dessin du baiser de Luc et Léa par mail

[CoeurVanille]

Chapitre 18


Bonjour, petits moustiques insignifiants. Mon nom est Florent, Florent Y Mariotta. Comme le signifie mon prénom, je suis d'un naturel malsain. Je cite le magazine Elle, "Un brin manipulateur, il sait flatter et amener les gens là où il le souhaite. Il peut être très légèrement hypocrite, mais rares sont ceux qui détectent ce trait de caractère tant Florent agit en finesse. Il a beaucoup de charme et ne l’ignore pas. Au point de, parfois, jouer au petit coq paradant au milieu de sa basse-cour. Il aime déléguer et se reposer sur les autres surtout quand il considère une tâche inintéressante." ou encore "Il n’aime pas se trouver dans un endroit sale ou désordonné, en revanche il déteste faire son propre ménage. Capricieux, il n’est pas toujours très stable émotionnellement." Ces phrases peuvent paraître stéréotypées, mais elle sont vraies, en tout cas pour moi.
Mon fils, Luc Y Mariotta, a commis la plus grande erreur de sa vie. Il est tombé amoureux, d'une Lupis qui plus est; Nous avons tous les pouvoirs sur cette terre, nous les hommes, les mâles dominants, à condition de ne pas nous laisser submerger par les émotions. La colère, la haine ou la tristesse sont les seules émotions nous renforçant. Les chagrins nous forgent et la haine améliore nos forces. Pour ce qui est du reste , elles nous affaiblissent. J'ai moi aussi commis l'erreur d'aimer, il y a de cela un petit moment. C'est lors de cette histoire que nous avons eu Luc et- que je me suis marié pour la première fois. Puis les Lupis, ces bêtes, ces animaux de foire, nous ont menacé, moi et ma famille. Alors l'amour de ma vie à pris peur et cette femme à disparu du jour au lendemain, sans laisser de trace. J'étais un homme con, vraiment con, j'étais gentil et insouciant. Mais ce chagrin m'a rendu plus fort, a fait de moi l'homme que je suis devenu. Un vrai homme, froid, travailleur et sérieux. La seule personne à laquelle je m'autorisais à m'attacher, c'était mon fils. Ce petit bout de chou était tout ce qu'il me restait. Au travail, j'ai rencontré une femme d'âge mur. Elle me répugnait au plus au point, mais elle avait de l'argent, l'héritage de son défunt mari. Et je lui plaisais. Nous nous sommes marié, après quelques mois de relation. Enfin, de relation, pour moi c'était un espèce de mécanisme robotique, mais j'allais hérité de son argent, et c'est tout ce qui comptait. Alors bien sûr, dans un premier temps j'ai voulu oublier. Je me suis mis à boire, de plus en plus, pour oublier la perte de ma première femme, et le dégoût que m'inspirait la deuxième. Fumer aussi, pour oublier ma honte de me réfugier dans l’alcool, et tout le reste. Au final, c'est devenu un cercle vicieux. Je buvais pour oublier que j'avais fumé, et je fumais pour oublier que j'avais bu. Je me suis rapproché peu à peu de Manon, ma belle-fille qui avait la même vision du monde que moi. Et maintenant, je suis là, devant la maison d'un famille d'une putain de Lupis, dont je viens de séduire la mère. Je vais me venger de cette Léa, ça c'est sûr. Pendant que ces pensées tournent dans mon esprit, je frappe à la porte, et plein d'assurance, je passe une main dans mes cheveux bruns.

C'est Léa qui vient m'ouvrir, et vu son air surpris quand elle me voit, elle ne s'y attendait pas. Je décides de la jouer cynique, et après lui avoir lancé un regard moqueur, j'éclate d'un rire mauvais.

- Ha ha ha ha ha ! Ha ha ha ! Ferme un peu la bouche ou tu vas avaler des mouches. Bon, assez ri, où est ta mère, puis je siffle entre mes dents,petite garce.

La mère de Léa arrive. Elle s'appelle Mélissa, je crois. En réalité elle n'est pas si mal foutue que ça, elle serait même plutôt mon style si elle n'était pas la mère d'une petite conasse de ce genre. Je ne laisse rien paraître devant elle, et par habitude, un faux sourire apparaît sur mon visage. Avec elle, il faut jouer la carte de la courtoisie, et je l'ai bien compris.

-Bonjour mademoiselle
-Oh, monsieur Y Mariotta, vous êtes bien en beauté ce soir, susurre-t-elle.
-Votre robe rose vous va à merveille, très chère.

Mon compliment fait effet, et Mélissa rosit de bonheur

-Bon, alors, passons au présentations. Léa, je te présente Florent Y Mariotta, un... ami proche. Florent, voici Léa, ma fille unique, la prunelle de mes yeux. Florent va manger à la maison, et vu qu'il n'a pas de logement, il dormira ici aussi.

Je riais sous cape; Ma nouvelle conquête mentait comme une arracheuse de dents. Léa me lance un regard plein de haine et de dégoût, mais elle n'ose rien dire devant sa mère. Mel me fait entrer. Il ont une maison pas mal, les saligauds. Le salon est imm... ah non en fait j'avais pas vu mais dans la même pièce il y à la cuisine, le salon, et la salle à manger. Mel me fait signe de m'asseoir sur une chaise en paille; Léa est en face, perdue dans ses pensées, sûrement en train de ruminer le sale coup que je lui ai fait. Les enfants résistent au charme des Cartis ayant la vingtaine ou plus. Et heureusement ! Vous imaginez une gamine de 13 ans comme Léa, qui tombe amoureux d'un beau mec comme moi? Non mais franchement, quel gâchis ça serait. Léa décide de continuer à jouer à la petite garce, et sous ordre de sa mère, passe à l'interrogatoire.

- Vous avez une femme, monsieur Y Mariotta.
Elle est maligne, la petite, elle veut me piéger. Mais je ne vais pas me laisser faire.
- Non, j'ai une petite amie.
A ces mots là, une mine inquiète passe sur le visage de Melissa.
-Et elle est dans cette pièce.
Melissa semble rassurée, et Léa mime un vomissement une fois le dos de sa mère tourné. Quelle petite peste, cette mioche. Elle continue ses questions, toujours dans le but de nous mettre mal à l'aise.

- Avez vous des enfants, MONSIEUR?

Elle voulait jouer, on allait jouer. Je me souvins soudain de la fille d'une de mes amies. Elle habite loin et est vraiment magnifique.

- Oui j'ai un fils. Et il a une petite amie. Elle s'appelle Nina et elle est très belle. De longs cheveux blonds platines, et des jambes interminables. Elles habite en Bretagne, et mon fils et elle ne se voient que 2 fois par mois. Elle a 17 ans. Mon fils préfèrent les filles plus vielles que lui.

Et toc, dans les dents mademoiselle petite fille parfaite. Tu à perdu ta langue, c'est ça ?

-Excuse moi maman. Je me sens pas bien. Je peux aller dans ma chambre s'il te plaît.

Oh la pauvre petite. Elle va aller pleurer ? Je vais aller la consoler moi, elle va voir.

-Chérie? Excuses moi mais où sont les toilettes ?
- Au premier étage mon cœur.

Après avoir déposé un baiser sur la bouche de "la mère du diable" pour la forme, je monte à l'étage et cherche la chambre de Léa. Elle n'est pas au premier... Étrange... Je passe au second, où il n'y a bizarrement qu'une pièce: SA chambre. Je ne prends pas la peine de frapper et ouvre brutalement la porte. ELLE est là, agenouillée sur son lit, des larmes coulant sur son visage si... Horrible. Elle ne m'a pas entendu entrer. Tant mieux, je vais pouvoir profiter de l'effet de surprise. Ce que je vais faire me répugne, mais il le faut. Je prends mon élan, et je saute sur Léa. Elle est trop surprise pour réagir, enfin dans un premier temps. Une fois qu'elle a repris ses esprits, elle me fout une droite magistrale. Je me tiens la mâchoire. C'est qu'elle a de la force, la garce.

- Bon alors monsieur-le-séducteur, je suis polie et mature, vous vous êtes un adulte, on peut parler non ?
- PARCE QUE TU CROIS QUE J'AI ENVIE DE PARLER AVEC TOI ?? NON. J'AI JUSTE ENVIE DE T’ÉTRIPER.
- Bon, on est d'accord que je ne suis pas d'accord avec votre relation, à ma mère et à vous. Mais si vous l'aimez vraiment... je veux bien faire un effort.
-TU CROIS QUE JE PEUX AIMER TA MÈRE ? ELLE ME DÉGOÛTE ! TOUT COMME TOI, D'AILLEURS. ASSEZ DISCUTE, TU VAS CREVER !

Je me passe un doigt sous la gorge, comme pour lui montrer un couteau qui lui tranche la gorge. Je fais craquer les poignets. Je ne vais pas avoir peur d'une gamine, je vaut mieux que ça. Je la poursuis, c'est un jeu de chat dangereux. Nous savons tous les deux qu'une personne dans cette maison va souffrir, et que cette personne c'était Léa. Ça y est, je la tiens. Elle va payer. Un flash m'éblouit, je cligne des yeux quelques fois, et après avoir recouvert la vue, je reste là, au milieu de la pièce, et je lève les mains en l'air.

-Léa... regarde je me rends... nous sommes grands, nous pouvons parler...

A suivre...

[Diane-45]

Salut,
J'aime bien ton histoire! Je lis petit à petit et j'aime bien!
Continu comme ça!

[CoeurVanille]

J'ai trouvé une photo de Florent



Et ça ça pourrait être Léa (à part les yeux )



Çà Lina ( peut être un peu vielle)



Luc petit



Et là Gaëlle





Donnez moi votre avis

[ginny2002]

pas mal, mais hugh jackman c'est mon chouchou donc pas touche !

[CoeurVanille]

Chapitre 19


Elle… Elle brille… Ou non, plus exactement elle luit… Cette sale mioche luit dans les airs !! Vous allez me prendre pour un fou, mais c'est la réalité. Sa vois résonne dans ma tête, forte et grave, mais je ne vois pas ses lèvres bouger, c'est horrible !!!

-Non, c'est trop tard. Tu vas payer !!!

Son corps semble inconscient. Elle ne bouge pas, les yeux fermés, mais une aura incroyable l'entoure.

-Tu vas m'écouter maintenant…
-Mais… mais…
-On ne me coupe pas la parole ! Tu vas m'écouter. Tu vas te plier au désirs de ma mère, pendant la soirée et la nuit et puis demain matin tu rentreras chez toi. Tu partiras d'ici sans laisser de nouvelles, et tu iras passer 2 semaines à l'étranger avec Manon. Tu n’appelleras personne.

Je voulus protester mais ma gorge était comme prise par un étau, et je peinais à respirer normalement. Après quelques minutes à essayer de lui résister, je secouai positivement la tête et m'agenouillai devant elle, en signe de soumission. Elle relâcha la pression, et redevint normale… Enfin plus ou moins. Elle avait l'air déboussolée, comme si elle n'avait pas vécu les même dix dernières minutes que moi. Je penses quelques secondes à profiter de son désarroi pour retenter une approche, mais j'ai trop peur que l'autre Léa réapparaisse. Je sors de sa chambre. La queue entre les jambes. Comme convenu, je suis les instructions de la gamine, puis part au petit matin rejoindre Manon à l'aéroport. Je l'avais appelé la veille, la prévenant que nous partions dès l'aube pour le Brésil. Le trajet est long, très long. Treize heures à ruminer contre les Lupis. Treize heures à me rappeler toutes les souffrances qu'ils ont faits engendrer à ma famille, depuis des générations. Ce que j'avais vécu la veille est vraiment… Impossible… Incroyable...Inimaginable. Je me demande presque si je n'ai pas totalement déliré. Les Lupis sont forts, leur clan dominait le monde il y a de cela plusieurs centaines d'années. Mais avec l'arrivée de la technologie, leurs pouvoirs avaient commencés à être brouillés par les ondes. Et puis aucun cas de Lupis pouvant… Je ne sais pas… Je ne trouve pas les mots.

-Manon… commençais-je prudemment
-Oui père ?
-Sais tu pourquoi nous allons au Brésil ?
- Vous m'avez dit hier que c'était pour que vous revoyez une ancienne connaissance
-En effet. J'ai un ami scientifique, spécialisé dans l'étude du paranormal. Et j'aimerais lui parler de Léa,expliquais-je rapidement.
- Cette p*te ? Puis elle se reprit. Je veux dire… qu'est ce que cette abomination possède de si intéressant ?
-Elle… elle peut… elle peut avoir un pouvoir de pression sur les gens, littéralement. Elle luit et sa voix sort de son corps. Mais c'est comme si elle ne lui appartenait pas.

Nous arrivons à Rio vers vingt heures, heure française, ce qui équivaut à dix-sept heures là bas. L'hôtel que j'avais réservé la veille soir est à une centaine de mètres de l'aéroport. Nous marchons d'un bon pas, nous avons tous les deux hâtes de nous poser dans notre chambre, nous sommes épuisés.

Arrivés devant l'hôtel, je pousse la porte vitrée , puis un groom monte nos valises dans notre chambre.

C'est une suite nuptiale, j'avais réservé en dernière minute et c'était la seule chambre qu'il restait.C'était vraiment magnifique, des dorures sur les murs et un splendide lit à baldaquin au centre de la pièce. C'était également la chambre la plus chère de l'hôtel, raison pour laquelle elle était libre. Les jeunes mariés prenaient une des chambres simples, qui coûtent dix fois moins chères que celle-ci. Nous nous jetons tous les deux sur le lit, morts de fatigue.
Mais mon dieu ce que ce lit était confortable !!! Après un court moment de gêne sur le fait de dormir dans le même lit, nous nous sommes décidés à dormir habillés, pour évité tout quiproquo.Manon s'endormit directement, et je la rejoignis quelques minutes plus tard dans les bras de Morphée.

J'ai passé une nuit agitée… Mais dans le bon sens du terme. J'ai rêvé de dizaines de Manon nues , qui étaient entièrement à mon service. Rien de vraiment hot, quelques unes m'éventaient avec des feuilles de palmiers, d'autres me servaient des corbeilles de fruits. Et moi, j'étais au centre de la pièce, en boxer, allongé sur le ventre, à me faire masser...

[ginny2002]

Ton histoire est assez... décousue. Le style est très bon, voire excellent, mais les situations s'enchainent trop vite, tout est très confus...
Pourrais-tu faire un petit résumé de l'histoire pour qu'on puisse se repérer ???
Merci
Kissous
Alix ♥

[CoeurVanille]

Je vous laisse faire un choix. Je suis plutôt fière des 3 chapitres qui vont suivre ( en fait normalement c'est un mais il se passe beaucoup de choses dedans donc...) et donc j'aimerais remplacer les chapitres 18 et 19 précédents par ceux là, et ces trois là correspondraient à la fin du tome 1 de perdue ( suis-je compréhensible?). Du coup je vous invite à donner votre avis sur le sondage ( en haut de l'écran XD). Si vous avez des questions, en mp

Chapitre 18

C'est Luc. Mais mon dieu que lui est-il arrivé? Il y a à peine deux heures je l'avais au téléphone, et maintenant il est devant ma porte, l’œil tout bleu et des griffures sur les deux joues. Il boite, et beaucoup de sang coule de ce qui semble être son bras droit. Il est bien mal au point. Inquiète par ma réaction, ou mon manque de réaction d'ailleurs, je ne sais pas trop, ma mère arrive en courant, son mascara dans la main droite et du dissolvant dans l'autre. En voyant Luc, elle semble aussi désorienté que moi puisqu'elle lâche tout au sol et se précipite pour l'aider. Notre tapis se retrouve décoré de manière contemporaine avec des grosses taches de dissolvant et des traits de noir. Mais pour une fois, ma mère se fiche bien du désordre et appelle aussitôt les pompiers.

-Luc, que t'es-il arrivé, déglutit-elle péniblement, et où es ton père ?

-MON PERE ??
-SON PERE ??

Nous venons de parler en même temps, totalement synchrones. Enfin, parler, c'est un bien petit mot. Nous avons criés de toutes nos forces, tellement l'idée que ma mère et son père se connaissent nous dégoûte. Ma mère allait pour parler, sans doute dans le but de reposer sa question, pensant peut-être que nous ne l'avions pas comprise, mais elle s'y prend trop tard. Les pompiers sont devant la maison et emmènent aussitôt Luc, après l'avoir allongé sur une civière. Malgré nos multiples supplications, nous ne pouvons pas accompagner Luc à l'hôpital, et je n'ai donc aucune nouvelle avant le lever du soleil.

Le téléphone sonne, c'est Luc. Je décroche aussitôt, les mains tremblantes d'inquiétude. Il semble essoufflé, sa voix est rauque et pressante, mais je le reconnais quand même.

-Léa, écoutes moi bien s'il te plaît je n'ai pas beaucoup de temps. Hier, j'ai été blessé par des créatures étranges. Je penses même qu'elles étaient... comme nous, si tu vois ce que je veux dire. C'est la raison pour laquelle tu DOIS prévenir Lina, je vous rejoins chez ta grand-mère.
- Mais...

BIP...BIP...BIP... Luc a décroché, mais j'ai compris l'essentiel de ce qu'il m'a dit.
un, prévenir Lina. Et deux, aller chez ma grand-mère. J'appelle Lina, et elle rapplique dans la minute même.
Je lui parle juste de l'empressement que j'ai senti dans la voix de Luc, et elle comprend aussitôt qu'il y a un problème. Quelques secondes plus tard, elle nous téléporte chez ma grand-mère. Luc n'est pas encore arrivé, mon aïeule n'est donc au courant de rien et sursaute en nous voyant arriver. Un peu plus et elle nous faisait une crise cardiaque !!

- Ah, c'est vous les filles ! J'étais dans mes pensées et je n'ai pas senti les vôtres. Sinon, j’aurais su que vous étiez arrivé, dit-elle à toute vitesse. Il y a un problème? Du nouveau concernant tes pouvoirs, Léa?
-Non, mamie, de ce côté là, c'est le calme plat.
-Bon. Qu'est ce que vous faites là alors? demande ma grand-mère.
-Luc a des problèmes. Il est arrivé à la maison avec des écorchures de partout, saignant et boitant. Tu connais maman, elle a appelé les pompiers et il a passé la nuit à l'hôpital.
-Oui et? Je suis très triste pour ton ami, ma chérie, mais je ne peux pas l'aider.
-Je ne sais pas. Il m'a appelé tout à l'heure, essoufflé, en me demandant de le rejoindre chez toi. Il ne devrait pas tarder, je pense.

Le temps passe, et Luc n'est toujours pas là, nous sommes de plus en plus inquiètes. Ça fait déjà 1h que je suis arrivée, et la maison de ma grand-mère n'est qu'a une demi-heure de voiture de ma ville adoptive. J'entends comme une présence dans mon esprit, ce n'est pas normal. J'en parles à ma grand-mère et à Lina, elle ressentent la même chose. Elle m'expliquent que cela arrive quelquefois aux gens comme nous, quand une menace approche. Nous sommes donc sur nos gardes.

Chapitre 19

Luc arrive enfin, il ouvre la bouche et…

-FUYEZ !!! AHAHAHA !!!

Il se jette littéralement sur moi et me plaque au sol. Sur le coup je ne comprends pas, et je penses qu'il est complètement taré. Mais en voyant Lina et ma grand-mère se jeter à terre, je remercie mentalement Luc de m'avoir sauvée. Effectivement, une trentaine de créatures étranges entre en trombe dans la pièce, enfin je devrais plutôt dire qu'il fracasse le mur. Ce sont des créatures de taille humaine, avec huit paires de ce qui pourrait s'apparenter à des bras palmés, une longue queue se terminant par une tête de serpent, des plumes sur tout le corps, sauf le visage, et des tous petites jambes. Sur le visage, un nez très gros et très long de couleur verdâtre, une toute petite bouche aux lèvres bleues et deux paires d'antennes. Ils nous cherchent, ça se voit, ils reniflent l'air (bah oui je vous rappelle qu'ils n'ont pas d'yeux). Leur gros nez pointe sur nous, et la peur devient mon principal moteur. Mon cerveau tourne à toute vitesse. Vite, une cachette, un moyen de changer d’odeur corporelle…J'ai un plan. Je commence par entrer en télépathie avec Nirina/Lina et ma grand mère, et elle même joint, d'une manière qui m'échappe, Luc à la conversation. Je leur fait part de mon idée, qui consiste à courir dans les marécages et à se rouler dans la boue. Ainsi, nous serons sale, mais les créatures hideuse ne pourront pas nous retrouver. Mon idée est acceptée à l'unanimité et nous partons pour un sprint de l’extrême. Les monstres mettent quelques secondes à réaliser que nous ne sommes plus dans la pièce et partent à notre poursuite. Je m'étais dit qu'avec leurs petites jambes il ne pourraient pas nous rattraper, mais il y a un détail que je n'avais pas vu.
Des ailes, immenses et de la même couleur que le corps (raison pour laquelle je ne les avais pas remarqué) mais qui une fois déployées leur permettent des vols planés très très rapide.

Les marécages ne sont qu'a 500 mètres et sans me vanter nous courons tous assez vite, mais les quelques minutes qui nous séparent de ce lieu qui nous sauvera la vie nous paraissent comme des heures tellement nous avons peur de nous faire attraper. Mon cœur bat à mille à la seconde et je respire difficilement... pam pam fiou.. mes pas n'ont jamais été aussi bruyant et pourtant je n'en ai rien à carrer... pam pam fiou... le bruit du vent dans les ailes de nos poursuivants se rapprochent de mes oreilles de plus en plus... pam pam fiou... nous y sommes, vite, se rouler, se salir, se salir le plus possible...
glouglou... de la boue me rentre de partout, dans les oreilles, le nez, la bouche et même les yeux... j'aurais sûrement râlé, peut-être même pleuré en temps normal, mais encore une fois je n'en ai rien à carrer... je me fais même la réflexion que je dois ressembler à ces gens qui se roulent dans la boue dans Koh-Lanta, pour info je kiffe Koh-Lanta, c'est genre tellement bien !! Mais bon, là j'essaie juste de penser à autre chose car je stresse de finir bouffée par une créature qui ça se trouve sort de mon imagination, on m'a peut-être drogué, qui sait ? Dans ce cas là, l'illusion est vraiment réelle… je sens même l'odeur du sang…

Chapitre 20

Du sang ? Mais qu'est ce qui se passe ? Le temps que mon cerveau se remette en route, et je suis aussitôt emportée par la réalité. Ma grand- mère est en train de se battre contre 4 de ces créatures, tandis que Luc protège ses arrières.
Lina, quand à elle, utilise ses pouvoirs d'une manière que je ne pensais possible que dans les films ( mais bon au point où j'en suis plus rien ne m'étonne…). Elle projette ses ennemis avec uniquement la force de sa pensée. L'odeur venait en fait d'un tas de cadavres de nos ennemis, rassemblé au centre du champ de bataille. J'allais pour me jeter dans la bataille, mais je me fais la réflexion qu'en fait, il vaut mieux réfléchir à un plan. Je rejette un coup d’œil circulaire sur la scène et quelque chose m'étonne. Les Plumeney, comme je les ai baptisé, n'ont pas d'yeux, ils ne peuvent donc nous repérer qu'avec leur nez. Et nous sommes tous recouverts de boue… Ah non, en fait je n'ai rien dit, Luc était un peu à la traîne. Donc il sent encore son odeur naturelle, n'ayant pas eu le temps de se rouler dans la boue. Quelque chose d'autre retient mon attention… Un des Plumeney est plus gros que les autres, et des sons très graves sortent de sa «bouche», de manière autoritaire. Je le catégorise comme le chef. Et sa particularité est qu'il a une sorte d’œil sur le ventre… J'ai compris !! Les «soldats» ne savent pas où sont Lina et ma grand-mère, c'est le chef qui leur donne les indications (et apparemment je ne suis pas une menace pour lui car il n'envoie personne sur moi). Donc si nous tuons le chef, les Plumeney serons désorientés car sans repaire, et nous pourrons tous les massacrer. Ok, ça doit pas être si compliqué. Je fais signe à tout le monde d'attaquer le chef, signe compris pas tous. Nous nous jetons à quatre sur lui, il ne s'y attends pas mais se ressaisis vite. Il donne un ordre à ses ordres, ordre qui, je pense, peut se résumer par « Nos proies m'attaquent, aidez moi». Puis, à l'aide se sa première paire de bras, il projette violemment Luc sur le sol. Je vais pour vérifier qu'il va bien, mais il se relève aussitôt. Le chef, encore une fois, ne se préoccupe que de mon trio de compagnons. Ces pouvoirs vont peut-être enfin me servir à quelque chose !! Dans les films, les héros se concentrent très fort, et leur pouvoir jaillit d'un coup. Essayons ça… Je me concentre sur l'image de mon ennemi, mais je ne sens rien… Après plusieurs essais, j'en viens à la conclusion que ma tactique n'est pas la bonne. Il faut que je fasse le vide dans mon esprit et que je m’immisce dans le sien afin de le forcer à se frapper lui-même. Pfou pam pam… une respiration, deux battements de coeur… pfou pam pam… le vide se fait dans mon esprit, je ne penses plus à rien… pfou pam pam… seul le bruit de ma respiration m'indique que je respire encore.




J'y suis, ça y est, j'y suis arrivée, je suis dans son esprit. Étonnamment, je pensais qu'il serait vide, qu'a part à de la nourriture la bête ne pensait à rien mais je me trompais. Plein d'équations et de plans d'attaque se mêlent et s'entremêlent autour de moi.
C'est la première fois que je fais ça, je n'ai aucune idée de comment m'y prendre… J'ai tellement faim… Enfin, Léa, reprends toi, ce n'est pas le moment… Oh, une glace apparaît devant moi, juste ce que je voulais, et à la fraise en plus, mon parfum préféré… Comment est-ce possible? C'est son esprit, pas le mien, c'est lui qui est censé décider de son mode de fonctionnement, non? Enfin, encore une fois au point où j'en suis arrivée, il n'y a plus aucune logique à avoir, autant prendre les choses comme elles viennent. L'idéal serait d'avoir un bouton envoyant directement l’ordre de se punching-baller à son bras. C'est trop facile, franchement. Seize boutons rouges sont devant moi, un pour chaque bras. J'appuie sur tous les boutons une dizaine de fois, histoire qu'il se fracasse bien, puis je suis transportée contre ma volonté dans «le monde réel». A en juger par l'air admiratif de mes compagnons, j'ai fait du bon boulot. Le chef est mort, et quelques temps après tous ses soldats subissent le même sort. Luc nous explique que ce sont ces créatures là qui l'avaient attaqué la veille.


Ça fait maintenant dix jours que tout cela est arrivé et Luc est très inquiet… Son père est introuvable.


/!\ Je sais là il n'y a plus les différences de couleur mais je ne suis plus fan de cette idée /!\

[mickaela]

Bonjour !
Alors quelques mots: J'adore ton histoire elle est super
Je l'ai dévorer, bravo tu écrit très bien