en participant au jeux "jeux poème a partir d'une image" et "petit jeu de poete" qui se trouve dans la même section,j'ai découvert que les images ou les débuts de phrases m'inspirais pour créé des poèmes.alors je me suis dit,pourquois pas demander les avis des booknautes pour m'améliorer ?alors voilà mes petites créations a partir d'images ou de débuts de vers donné par des booknautes .
Un bruit se dégage de la nuit.
Je retiens ma respiration,
Pendant un instant l'espoir surgit,
Est-ce la délicieuse apparition ?
Une nuit elle est apparue,
Brillante de mille feux dans le reflet de la lune,
Je ne l'avais pas entendue,
C'était une fantôme brune.
Elle était belle comme le jour,
Mystérieuse comme la nuit,
Je me rapellerai toujours,
Cet être d'une beautée infinie.
Et quand je plongeais dans son regard,
Guettant chaque battement de cils,
J'admirais ses magnifiques yeux noirs,
A la prunelle subtile.
La nuit que j'ai passé,
Rien ne pourra l'éffacé,
Je ne pourrai jamais l'oublié,
Elle m'a illuminé.
Alors voilà pourquois aujourd'hui,
Entendant un chat dans la rue,
Qui marchait dans la nuit,
J'ai crue à sa venue.
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La tempête faisait rage,
Le vent un vrai carnage,
On ne voyait plus la plage.
Mais la jolie demoiselle,
Cette jeune fille si belle,
N'est plus sur la passerelle.
Le vent l'avais poussé,
Les vagues l'avaient hapé,
Et lentement elle avait coulé .
Impuissant j'y avait assisté.
Mes larmes se sont misent à couler,
Pendant que la tempête était en train de tout ravagé.
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Reine de moi même,
Cheveux qui se démènent,
J'inpire l'air marin,
Sur mon visage,je sens les embrins.
Les vagues se brisants ,
Sur les écueils ardants,
Le sable s'envolait,
De nouveau je respirais.
Dans ma robe fleurie,
Lentement,je reprennais vie,
Cette balade sur la plage,
M'a redonné courage.
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Dans la forêt je me suis isoler,
Seule pour marcher,
En trainant des pieds,
Et ruminant mes pensés.
La solitude a eu raison de moi,
Elle m'écrase,elle me pèse,
Je pleure tout bas,
Je ne suis jamais a l'aise.
Les autres me rejettent,
Et je suis délaissée.
Mais jamais je ne regrette,
De leur avoir avoué
Mon secret.
Mon terrible secret.
Vraiment, il me pesais,
Il y avait trop d'horreurs que je savais.
Devant tant d'horreur,
Les autres se sont écartés
Ils ont pris peur,
A tout jamais ils m'ont délaissé.
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Je sens le pouvoir me submergé,
Au fond de mon coeur,
J'ai peur,
Aurai-je les capacitées ?
Ce combat, je l'attend depuis de longues années.
Je sais que c'est mon dernier.
Quoi qu'il advienne je ne pourrais le supporter.
Mais aurai-je le temps de tué se monstre avant que la mort vienne m'emporter ?
Le combat a commencé,
Je lance des sorts en cascade.
La respiration du monstre se sacade,
Je le voit s'écroulé.
Puis,épuisé,je me laisse tombé.
Je sens le froid de la mort qui m'emporte
Elle me conduit au royaume des morts dont j'apperçois la porte.
Mais je l'ai tué.j'ai eu le temps.j'ai gagné.
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La vie est comme un manège a sensation,
Sa nous donne des frissons,
On voltige,on est heureux,
La vie,c'est merveilleux.
Mais parfois le manège nous secout,
On a envit de vomir,on pert tout.
Mais parfois le manège est trop fort pour nous,
Il nous tape sur le siège par accouts.
A d'autres moments on veut frimer,
On monte dans un manège qu'on ne peut suporter
Alors on s'hummilit.
Le manège s'est comme la vie.
Alors le mieux c'est de se laisser voler
Dans ce manège pour nous bercer
Sans jamais rien regretter,
Apprendre a profiter.
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Depuis toujours elle existe,
Cette pierre de vie,
A peine réaliste,
Elle est empreinte de magie.
Une fillette y est graver,
Ballon a la main.
On croirai l'entendre rier
Avec son rire enfantin.
Malheureusement cette pierre,
Qui nous redonne l'envie,
Et réconcilit la terre,
Est le souvenir d'une terrible tragédie.
Oui,la fillette est morte,
Dans de conditions affreuses,
Et seul les feilles mortes
Se rappellent de cette histoire malheureuse.
Le père de l'enfant,
Fou de chagrin,
Grava avec son propre sang,
En souvenir,ce dessin.
Les gens ont oublié son origine,
Mais même si elle parait dormir
Jamais la pierre et ses ruines,
N'effaceront ce souvenir.
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Mon coeur s'affole,
Et je m'emporte,
Des escaliers je dégringole,
Puis je claque la porte.
Saisie d'un doute profond,
Qui,si il se confirmait tel quel,
Pourrait m'entrainer au fond,
D'une abisse mortelle.
Je m'emballe,
Je chute,
Me réinstalle,
Culbute.
Mes pieds se croisent,
Et je m'effondre,
Restant pantoise,
Sur le pavé de Londre.
Sans pouvoir me relever,
Mon cerveau tourne à 100 à l'heure,
Les idées néfastes viennent me submerger,
Il me semble que je me meurs.
Les passants ,étonnés,
Me regardent, abasourdis,
Et reprennent sans se presser,
Le chemin de leurs logis.
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Je sens la bise des alpages
Qui me carresse les cheveux ;
Elle fouette mon visage
Et soulève une vague de souvenirs heureux .
Si près de la nature,
Au coeur de ses murmures,
Que le vent ammène à mes oreilles,
Me faisant comprendre ces merveilles.
Je saute,je cours ,je danse.
Je ne fait qu'un avec le vent.
J'éveille tous mes sens,
Et m'envole lentement.
M'envole un instant,
Ne tourne plus le monde,
S'arrête le temps,
Et moi, je vagabonde .
voilà !qu'en pensez-vous ?
n'hésitez pas à critiquer ,au contraire !ça me permet de m'améliorer !
j'en remettrais d'autres dés que j'aurai eu de l'inspiration !
en espérant que sa vous à plu,
Juliette
je sais ce qu'il ont de négatif mais j'ai eu beaucoup de plaisir a les lires.
merci
tes petits vers tout mignons m'ont touchés,même si ils n'égales pas ceux de Rahan !