Premièrement, j'aimerais vous dire que c'est ma première fan fiction, et que ce projet me tiens vraiment à coeur, j'accepte donc toutes sortes critiques, le but étant de partager avec vous cette histoire sortie de ma petite tête, et j'espère qu'elle vous plaira !
Pour revenir à cette histoire, elle se passera donc dans l'Univers de Percy Jackson (par ce que sinon ce ne serait pas drôle, et en plus ce ne serait pas un fan fiction), sans Percy Jackon car elle se passera quelques années avant l'arrivée de notre Percy à la colonie.
Vous inquiétez pas ! On y retrouvera toujours les personnages plus vieux, tel que Chiron, Monsieur D., peut-être même Annabeth.
Petite précision, étant fan de Doctor Who, il y aura peut-être des références, mais je vous expliquerai.
Personnes à prévenir :
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Avant de vous lancez, voici quelques petits mots à propos du personnage :
"Mon nom est Ariane Mair. Et voici à peu prêt tout ce que je sais. Je me suis réveillée le dernier jour de classe, celui juste avant les vacances, entourée d'inconnus. J'ai rencontré un garçon dont je ne me souviens pas. Je suis seule et amnésique. Je fais des rêves étranges.
Puis de nouveau je me réveille. On me parle de choses insensés sur mon passé, sur ma famille mais surtout, tout le monde ne parle que de mon futur. On me dit que je suis dans une colonie, où vivent des héros, des demis-dieux, la descendance mortelle des Dieux de l'Olympe. Mais le plus improbable, c'est que je suis l'une des leurs. Tout le monde me connaît, mais moi je ne me connaît pas encore, je ne connaît personne, et je suis sensée arrêtez une menace imminente dans le futur, ou dans le passé, selon un certains point de vue."
Chapitre 1
Lorsque je repris lentement conscience, aucune chose ne me vint à l’esprit. Aucun souvenir. Aucun visage. Aucun nom. Sauf le miens.
Ariane. Ariane Mair.
Je percevais un vague chuchotement. Puis petit à petit, je reconnus des voix. Une voix assurée, d’autres ricanant ou parlant doucement tout autour de moi. Avec un effort qui me parut insurmontable, je relevai la tête, ouvrai les yeux. Face à moi se tenait un homme d’une quarantaine d’année, le visage marqué, les cheveux sagement coiffés. Il me faisait face alors que j’étais assise à une table de classe à côté d’une inconnue aux joues roses, avec un visage rondelet et souriant, qui m’adressait un regard plein d’encouragement. Je pris compte que je me trouvais au dernier rang d’une large salle de classe aux murs bleus, couvert de cartes du monde, d’exposés, entourée d’une vingtaine d’adolescents qui me dévisageait d’un regard moqueur.
- Mademoiselle Mair, m’interrogea l’homme qui devait être mon professeur de géographie, voudriez vous restez éveillée au moins jusqu’à la fin de ce dernier jour de classe ?
Je commençais à balbutier quelques mots d’excuses lorsque la sonnerie marquant la fin des cours retentit.
Après être sortie de la salle avec hâte, je me mêlais à la foule d’élèves dans les couloirs, qui se dirigeait vers les escaliers en criant, hurlant ou chantant tous ensemble.
J’étais perdue, mais mes jambes avançaient seules, comme si elles savaient ce qu’elles faisaient.
Quelques instants plus tard, je me retrouvais derrières les imposantes grilles de l’établissement qui allait se fermer pour les deux prochains mois à venir. Ma tête bourdonnait, mes yeux me brûlaient, voulant laisser couler des larmes que je me forçais à ravaler. Alors que j’étais entourée des quelques derniers élèves qui sortaient en se précipitant vers le bus, je décidai de les suivre, faute de me remémorer ou j’habitais, si j’avais des parents, s’ils m’attendaient à la maison, si je devais les rejoindre…
Ne panique pas, ça va me revenir, me dis-je à moi même.
Une fois installée dans le bus, quelques élèves que j’avais aperçu quelques minutes plus tôt dans la salle, m’interpellèrent sans que je n’y prête attention. Cherchant à me faire oubliée, je m’installais à une place au fond du bus, lorsqu’un garçon se posa à côté de moi, pris ma main avec un grand sourire et avant même que je n’ai pu l’interroger du regard me dit :
- Prête pour la colonie ?
- Qu… Qui es-tu ? lui ai-je répondu, surprise.
D’un geste, il me toucha le front. Sa main était chaude et douce. Son visage, joviale il y a quelques instants, exprimait maintenant de l'étonnement . Ses boucles dorées qui lui tombaient sur ses yeux que je devinais marrons, tâchés de gris. Ses joues étaient parsemés de tâches. Sa peau bronzée en rajouta la beauté de son visage.
Il serra ma main plus fort dans la sienne.
-Ariane … Mais, c’est moi, Owen. Tu plaisantes ? m’interrogea-t-il, Tu sais qui je suis, pas vrai ?
Je ne savais plus quoi lui dire. La seule chose dont je me souvenais en me réveillant dans la salle était mon nom. Son visage m’était inconnu, et son nom aussi, jusqu’à présent. J’étais tenaillée par la peur et par le sentiment horrible de ne pas savoir qui j’étais. Je ne savais rien, ni mon âge, ni qui était mes parents. Ni même à quoi je ressemblais, ce que j’aimais. La frustration m’emporta lorsque je tentai de matérialiser leurs visages dans ma tête et que rien n’apparut. Toutes sortes de questions me vénèrent à l’esprit lorsque de lourdes larmes mouillèrent mes joues et que le battement qui vrillaient mes tempes l’emporta, et que tout redevint noir.
Allez, n'hésitez pas, lâchez un com' !
. Sinon tu peux faire ce que tu veux.