☼ Percy Jackson ☼ I - Une arrivée plus que tardive

[Shinato]

Et voilà pour ma première fiche. J'espère qu'elle vous plaira. Si quelque chose ne va pas n'hésitez pas à me le dire.
Ma deuxième fiche sur Karen arrivera dans la semaine.

[Sunblood]

Et du coup mon deuxième perso ^^

Sunblood j'ai bien aimé ton fils d'Arès ^^ pas sûr qu'il s'entende avec Oswald, mais avec Nadya peut être ^^

LSGI j'ai aussi bien aimé ta perso, si tu veux un lien n'hésite pas, même si je ne suis pas sûr qu'elle s'entendre avec Nadya ^^'

Merci Najo! J'adore tes fiches comme toujours ^^ C'est vrai que Kyle risque d'avoir du mal avec les persos super renfermés

Merci Naji Pour ma part j'ai bien aimé tes perso mais j'ai surtout hâte de voir Nadya casser des trucs dans une colère x') Oswald semble plus inaccessible mais ça devrait être intéressant de le voir évoluer dans un lieu où ça grouille de jeunes^^
Pour un lien je suis intéressée mais j'ai pas trop d'idées^^

Sunblood, j'aime trop Kyle (surtout son sac qui a l'air vachement pratique tout de même )

Merci ^^ Je pense que Fay et Kyle peut s'entendre surtout si Fay fabrique des armes hors du commun

Décidément c'était une bonne idée ce sac

[MikoAsuna]

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Heather Sun Erika Colins | 16 ans | Fille d'Athèna | Petit génie orgueilleuse |Fumeuse excessive | Sourire ravageur

Histoire

• C'était une histoire d'amour. A la fois belle et tragique. Triste et écœurante. Comme toutes les autres, elle avait pourtant si bien commencé. Elle avait connu haut et bas, en essayant de gravir le plus haut mont, pour finir par dégringoler le plus grand ravin. Et la fin c'était l'apogée, l'apothéose, d'un déchirement sentimentale, d'une rupture, bruyante et destructrice.
  Dans cette histoire, c'était ma mère le monstre. Ma belle mère en réalité une information que j'ai eu à l'âge de mes 13 ans. Avec elle, c'était toujours la même chose, elle était douée pour vous embobiner, vous montrer les étoiles et vous faire croire au père Noël. Elle venait vers vous, vous prenez la main avec son sourire d'ange, en chuchotant "c'est entre nous", "c'est notre secret", "toi et moi, c'est différent". Et vous tombez dans le panneau, heureux au début puis torturé lorsque le rideau se ferme. Parce que oui, c'était un spectacle pour ma mère, et on était les acteurs de cette tragédie idiote. On devait tomber, c'était si beau de tomber à ses yeux. C'était de l'art, c'était son art. J'ai hais avec tellement de puissance ses convictions, j'ai ressentis tant de dégoût à l'idée de voir son visage dans l'entrebâillement de la porte, j'ai voulu avec un plaisir fou la voir se massacrer elle même. Mais malgré mon aversion, j'étais comme elle. Son portrait craché. Telle mère, telle fille. C'est ce que je m'étais mise dans la tête, je ne savais pas au début que ce n'était pas ma vraie mère. Et lorsque l'on se met un truc dans la tête, impossible de s'en défaire. Aussi brune qu'elle, des yeux tout aussi grand et profond, une taille presque similaire et des goûts tout aussi horrible. Oui, j'ai toujours eu au plus profond de moi, cette fascination pour les monstres, ce gout pour le cruel, le macabre. J'ai recouvert de noir des feuilles entières, initialement blanche, en cachette. Comment aurais-je fais face, si elle avait su, que j'étais son reflet dans le miroir, plus jeune, plus ambitieuse.
  Je suis née dans une maison reculée de tout, au beau milieu de la forêt. J'avais une petite sœur et un père, adorables tous les deux. Ma petite sœur était l'enfant biologique de ma mère. Nous étions pas si mal. Je me souviens aisément de l'odeur des roulées à la fraise que nous faisions ensemble, tous les trois. J'étais très proche de mon père, je l'accompagnais au jardin, à la chasse, à la pêche, dans son atelier.
  Je ne doute pas une seule seconde qu'il aimait profondément ma mère et que c'était cette amour qui le retenait auprès de nous, mais je n'ai jamais réussi à concevoir comment c'était possible, qu'on aime quelqu'un de si renfermée que ma mère. Elle était malade. Personne n'osait le dire. Ni même le démontrait. Mais c'était bel et bien le cas. Paranoïaque et dépressive. Aimer une femme comme ça c'était du suicide. Mon père en avait laissé des plumes il y a bien longtemps. J'avais des paroles très tranchées sur la question, ma sœur était beaucoup plus douce, lui trouvant des excuses à tout va. Ma sœur était une hypersensible, qui pleurait parce que ses œufs étaient trop cuit, parce que elle avait renversé sur ses vêtements son bol de lait du matin, parce que son collant s'était effilé. Elle venait toujours poser son menton sur mon épaule, en me disant "sœurette, ça va pas ma vie là, il me faut des guimauves au dessus de mon chocolat chaud", je souriais distraitement bien motivée à lui préparer sa tasse de réconfort. Ma sœur était mon petit rayon de soleil sur pattes.
  Nous avons passé toute notre enfance à l'écart des gens, personnes ne nous rendaient visite, il arrivait que notre père allume de la musique, et ces jours là, c'étaient des jours de fêtes, nous dansions à s'en épuiser le petit corps. Ma mère elle, n'était pas très musique, en fait, elle ne parlait pas beaucoup, elle ne mangeait presque jamais, son regard était la plupart du temps vide, elle regardait tous le temps dehors sans jamais sortir. Sa tête était le martyr de son corps, il fallait se faire une raison. Je n'ai jamais su ce qu'elle pensait, et je ne le saurais jamais. Ses mains étaient sans cesse abîmés et tremblantes. Rongées et tailladées. Parfois il lui arrivait de dessiner ou de coudre et de brûler ce qu'elle faisait juste après. Nous n'existions quasiment pas à ses yeux. Il n'y avait que mon père, a qui elle offrait de temps à autres des petits sourires. Et c'était sans doute ça le plus dur, nous étions la, les pieds ancrés dans le planché, devant elle, mais elle ne nous répondait jamais, et ils nous étaient interdit de la remplacer. Alors moi ma solution, ça a été de la haïr, de l'insulter dès que je le pouvais sans jamais qu'elle ne me regarde. Puis cette haine arrivait toujours sur le chemin de mon père, pourtant si gentil. Il avait tendance à me dire, tous le temps, la même chose sur elle:
  -Ne lui en veut pas ma puce. Ta mère est un peu une extraterrestre, tu sais ma chérie. Tu vois, c'est un peu comme un papillon, qui se lasse du monde après 24h pour se laisser périr. Elle reste belle et gentille quand même.
  -Maman est un papillon ? Ça veut dire que nous aussi, c'est pour ça qu'on est enfermé dans un bocal ?
  -Tu peu voir les choses comme ça si ca te réconforte, oui.
  Ça ne me réconfortait pas du tout. Vu que nous faisions l'école à la maison, je me réfugiais dans les livres et le dessin, un hiver, celui de mes 10 ans, je me suis même décidé à lire l'encyclopédie entière malgré ma dyslexie, après tout, rien ne pouvait arrêté ma soif de connaissance. J'avais la tête sur les épaules, j'étais responsable et je faisais preuve d'un discernement à toute épreuve. De grosses disputes éclataient souvent, mais il n'y avait que moi qui hurlait, j'étais seule dans cette guerre contre ma mère qui avait cessé d'exister depuis tant d'années. Ce n'est pas la solution qu'à utilisé mon père, il n'y avait jamais aucune animosité chez lui, ce qui lorsque j'ai grandi à commencé à m'énerver. L'année de mes 8 ans mon père à commencé à boire. Au début je ne m'en inquiétais pas particulièrement. Si cela pouvait lui faire oublier les faiblesses de ma mère. Mais ça à très vite posé problème. Il buvait de plus en plus. Ma mère ne faisait rien, lorsqu'il était dans un état pitoyable, elle le regardait avec des grosses larmes sur les joues. Comment aurait-elle pu savoir quoi faire ? Elle ne savait même pas couper un concombre sans se trancher le doigt. Alors, mon père restait assis dans les toilettes des nuits entières à décuvés. Parfois il dormait dans son garage, trop ivre pour se rendre jusqu'à la maison. Une nuit, ma mère m'a réveillé en panique, nous commencions à avoir l'habitude, moi et ma sœur, de voir notre père tituber et se casser la gueule dans les escaliers; mais cette nuit là, c'était la goutte de whisky de trop. Si je ne m'étais pas levé, si j'avais fait semblant de ne pas entendre ma mère me chuchoter "Heather, j'ai besoin de toi, je sais pas quoi faire, papa est bizarre", surement qu'il serait mort, étouffé par son vomi. J'ai dis à ma mère de me suivre et je suis descendu, j'ai trouvé mon père dans la cuisine, gisant dans son vomi et son urine. Je n'ai paniqué qu'une fraction de seconde avant de courir vers son corps. Sans réfléchir, j'ai tout de suite su quoi faire. Je l'ai mis sur le côté, et j'ai demandé à ma mère de m'aider à le traîner jusqu'à la douche. Je l'ai déshabillé. Ma mère tournait en rond, et je devais lui donner me fâcher pour qu'elle arrête. On l'a posé dans la douche, il a eu des hauts le cœurs plusieurs fois, et après de longues minutes, il est revenu à lui en gémissant. Je n'arrêtais pas de lui parler. J'étais persuadée que le silence allait le faire retomber dans les vapes. On a fini par l'essuyer et le poser dans son lit. Après ce jour, j'étais bien décidée à m'occuper de lui. Les disputes avec mon père on commencés, moi qui était si proche de lui. J'ai abandonnée ma complicité pour protéger ma petite sœur et le protégée de l'alcool. Et lorsqu'il avait trop bu, c'était moi qui le couchait, qui nettoyait, qui rangeait et rassurait ma sœur.
  L'année de mes 11 ans, fatiguée, épuisée de devoir jouer la bonne de la maison, je me suis dis que je devais un peu m'éloigner de la maison. Après avoir tapé des crises pendant des mois à mon père, il a enfin était d'accord pour que j'aille à l'école de la ville la plus proche. C'était une victoire pour moi. J'allais enfin être une petite fille normale. Mais ce fut un véritable désastre. Ce fût la pire année de ma vie. Entre la culpabilité de laisser ma soeur avec un ivrogne et folle, entre mon incapacité à communiquer avec les autres. A la maison, j'étais une tête brûlée, provocante avec ma mère, docile avec mon père et responsable pour ma sœur. Mais là bas, j'étais une peureuse et une idiote devant les autres.Mes camarades m'ont vite attribué à un rôle: celui du bouc émissaire. J'avais des tonnes de connaissances, j'étais intelligente, j'étais la meilleure à mon sens, mais mes notes ne suivaient pas. Et en plus de cette déception, quelque chose m'échappait complètement. Je ne comprenais pas comment des enfants pouvaient être si cruels, c'était illogique. Et finalement c'était horrible dans ma tête, cette incompréhension, cette injustice. Ce sentiment de ne pas appartenir à leur classe. Je rêvais parfois d'être stupide et ignorante comme les autres. Jusqu'à mes 12 ans, ou l'on m'a traîné dans les toilettes pour me déshabiller. Juste ça. Sans but. Pour faire mal, blesser. Et pour laisser à terre. Cette épisode était de trop.
  J'ai commencé à ronger mes ongles, comme ma mère. A dessiner au fusain comme ma mère. A pleurer de tristesse et non plus de rage, tout comme ma mère. J'avais décidé de ne plus manger, je n'avais quasiment plus aucun contact avec ma petite sœur. Je pense que je lui faisais peur. C'était ironique finalement. Je me suis enfermée dans mes livres. Ça a continué comme un cercle vicieux un an de plus.
  Un jour un peu avant mes 13 ans, la plus grande folle de la famille est arrivée. J'avais vu des monstres. Ils étaient réels. Je le savais. Et intimement, au fond de moi, j'avais conscience qu'ils étaient la pour moi. En me voyant descendre la tête en sang, prise de sanglots, ma mère est tombé dans les pommes. Mon père était mord d'inquiétude, mais incapable de se lever de son fauteuil. Il bredouillait des trucs incompréhensibles. J'étais terrifiée, dans ma chambre, un forme bizarre m'avait attaqué. Pour une fois que je demandais qu'on vienne m'aider. Pour une fois que c'était moi celle en détresse. Personne n'est venu. Alors j'ai couru. Aussi vite et aussi loin que j'ai pu. Dehors, les champs s'étendaient à perte de vue, je ne savais même pas ou j'allais. Désarmée et impuissante, plus que ça, abattu, je suis tombée.
  Lorsque je me suis réveillée pile le jour de mon anniversaire, j'étais à la Colonie des Sangs-mêlés. Un homme que j'avais vu à mon école était à mon chevet (j'ai compris après que c'était un satyre). J'ai été revendiquée par ma vrai mère le même jour.
  Depuis, je suis permanente. Personne de mon ancienne vie de méritait ma présence. Je n'étais pas faite pour rester entourés de gens malsains. A part les lettres que l'on s'envoi avec ma sœur, je n'ai pas repris le contact ni avec mon père, ni avec ma mère. Je me suis de suite prise en main, avide d'apprentissage. J'adoré m’entraîner, me documenter, je ne me laissait pas une seule seconde de répit. La seule chose qui m'échappait encore, c'était mon identité. Même si j'étais fière d'être une fille d'Athèna, je ne savais pas quelle était mon réel caractère. J'avais toujours subi l'influence de ma mère, et ensuite de mon père. A présent, comment je devais agir avec les autres ? Très vite je me suis rebellé contre mon ancien moi. J'avais une seule certitude: je refusais de redevenir cette petite idiote. Je devais devenir moi même, même si ce fût un chemin plutôt long.
  Apprendre que j'étais une sang-mêlée m'a libérée. J'en suis convaincu. Ça m'a libérée de mes convictions et des responsabilités que je pensais avoir auprès de ma famille. Je n'avais plus besoin d'être influencé par eux. Surtout pas par eux. Ma mère n'était pas ma mère. Et mon père était un impuissant. Ma sœur qu'une victime. Je ne suis pas fière de qui je suis, ni de qui j'ai été. Mais je suis fière d'être la fille d'Athèna. Personne ne m’enlèvera cette fierté.

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Caractère

• Je suis intelligente. Je vous assure, ça, il ne faut pas en douter. Comme toute fille d'Athéna qui se respecte, je suis une fine stratège et sur le terrain, mon cerveau carbure à toute vitesse. J'ai toujours la tête sur les épaules, je suis extrêmement réaliste, je déteste me bercer d'illusions et de rêves. J'ai les pieds sur terre, et lorsque c'est impossible, j'aime le dire, lorsqu'une attitude me parait débile, j'ose le dire. Cela va ainsi de sois que je fais preuve d'une franchise à couper le souffle. Parce que si je n'aime pas m'inventer une vie irréalisable, je n'aime pas non plus perdre mon temps (sauf dans le cas ou j'ai quelque chose derrière la tête). En d'autres termes, si je ne t'aime pas, ne t'inquiète pas, je n'aurai aucun problème à te le dire. D'ailleurs, à ce sujet, mes camarades de bungalows ne sont pas mes meilleurs amis. Ils me trouvent relativement peu intégrée et socialement dérangée. C'est à dire que je n'aime pas réellement qu'on me fasse chier. Je n'aime pas réellement non plus qu'on me contredise. De plus, je suis un peu invivable, je dis des injures à longueurs de temps, je ne fais preuve d'aucune pudeur, je fume énormément et je prend très peu soin de mes affaires. Niveau sagesse dans le sens savoir ou est sa place et être prude et socialement multifonction, je ne suis pas la plus douée. Le savoir vivre me rappelle de mauvais souvenirs en réalité. Il est vrai que je me dis parfois qu'avoir des gens sur qui compter, ça serait vraiment très sage de ma part; mais je ne me mens pas à moi même, je reste une quiche dans ce domaine. Les seuls réels liens que j'ai avec les autres c'est via deux traits de caractères très ancrés chez moi: mon sens de la provocation, et mon hubris. Je suis née provocante et orgueilleuse. C'était déjà le cas avec ma fausse mère, je la faisais chier dès que je le pouvais, et je ne supportais pas quand elle réussissait des choses mieux que moi. Je suis compétitive et acharnée. Mon ambition me pousse toujours à rester à l'affut, à ne jamais baisser ma garde. Je reste une déterminée de première, lorsque j'ai quelque chose en tête, je ne lâche pas si facilement le morceau. Une fois passé cela, c'est à dire mon mauvais caractère,je peu être très ouverte, très rieuse et joueuse. Il suffit de forcer un peu.
  Passé cette étape, il est possible également de me prendre au dépourvu, et cela fait, je redeviens une petite idiote, à pleurer et à me morfondre de na pas avoir réussi quoique ce soit. Trop fragile, trop capricieuse, trop authentique, trop responsable: je déteste cette partie de moi. Je préfère de loin être celle qu'on traite d'insolente et de sal*pe.
  En résumé, mon point fort c'est bien sur mon intelligence et ma vivacité d'esprit, accompagné de ma détermination. Je sais ce que je vaut et je n'en démord pas. Je peut être un atout majeur dans une équipe, lorsque l'enjeu est suffisant, je sais mettre mon appétit de côté pour faire gagner l'équipe. Je suis forte, je ne me laisse pas facilement prendre par l'émotion et je sais tenir tête. Et mes points faibles, sont bien sur mon orgueil et mon ambition. Lorsque je ne réussi par, lorsqu'on met en miette ces deux points, je deviens impuissante et fragile. Je ne supporte pas d'abandonner, et lorsque je suis contraint à le faire, je retrouve la gamine de 8 ans, incapable de soulever son père du canapé. Oh, je pourrais ajouter aux ponts faibles: ma libido insatisfaite. Je suis une dérangée du sexe, parfois je pourrais vraiment sauter sur tout ce qui bouge.
  

Pouvoirs

• -> J'ai une mémoire visuelle et auditive très développée
  -> Je suis capable de me concentrer sur des temps très longs: par exemple, je peu lire pendant des heures sans décrocher une seule seconde.
  -> Je suis, bien entendu, une stratège hors pair, j'aime le répéter.
  -> Je suis aussi douée manuellement que intellectuellement.

Informations supplémentaires et liens

• -> Je suis cheffe de Bungalow, ce qui est plais pas à tout les habitants du bungalow. Mais que voulez vous, j'excelle dans tous les domaines, ce n'est pas ma faute.
  
  
  Nadya -> Je ne me suis jamais très bien entendu avec les enfants d'Aphrodites. Trop beaux, trop bêtes, trop soigneux, trop hautains. Et Nadya, c'est un peu à mes yeux, la pimbêche de service. C'est vrai quoi, je ne comprend pas ce que les gens lui trouvent, avec sa grosse poitrine, ses lèvres roses et ses longs cils collés par le mascara. Déjà que son physique est superficiel, je ne vous parle pas de ces discours: j'ai jamais vu des discours aussi long et ennuyant de toute ma vie. Malgré qu'elle envoûte tout le monde en tant qu'enfant d'Aphrodite, il faut arrêté de se mentir, si parfois on l'a trouve intéressante, c'est juste parce que c'est une fille d'Aphrodite. En bref je l'aime pas. Je dirais pas que c'est ma pire ennemi, mais disons que lorsqu'elle dans les parages, j'aime lui rentrer dans le lard. De son côté, elle me déteste aussi, cela va de sois, je suis tout le contraire d'une fille d'Aphrodite: je ne fais pas attention à mon apparence (même si je sais que je reste physiquement bonne), au plus grand jamais je ne me maquille, je suis absolument pas pudique et me promener en sous vêtements dans toute la colonie ne me pose pas le moindre soucis, et sexuellement parlant, disons que j'ai une réputation pas très correcte. L'amour c'est pas mon refrain préféré. Ça, c'est un premier point. Le second concerne une histoire ou sois disant j'aurais couché avec une de ses "proies". Et rancunière comme une hyène, depuis, elle m'en veut. Alors que c'est tout sauf ma faute si je b*ise plus qu'elle et peut être mieux qu'elle.

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[MikoAsuna]

Voilà ! J'ai pas corrigée ni relu ma fiche, je le ferais dans la soirée, donc désolée pour les fautes ! Si il y a des choses à changer redis moi Momo'

[naji2807]

LSGI j'avoue que moi aussi j'ai hâte qu'elle se mette en colère mais attention aux oreilles, ça risque de crier et oui Oswald est beaucoup moins facile à aborder ^^' je n'ai pas non plus d'idée de liens, mais on ne sait jamais, si ça me vient je te le dirai ^^

Shinato merci beaucoup ^^

[Shinato]

Je viens de finir de lire toutes vos fiches et je dois dire qu'elles sont toutes uniques en leur genre. J'ai hâte de pouvoir converser avec chacun.

[LSGI]

Naji on se tient au courant si des idées nous viennent

Sunblood je crois bien que tu as raison Au moins ils auront des choses à se dire x)

Shinato super fiche mais du coup j'ai hâte de voir Karen !

Miko j'aime bien Heather mais je me demande comment elle va s'intégrer^^ (j'ai bien envie de la voir se disputer avec quelqu'un xp)

[ChapelierFou]

Hello! J'avoue ne pas avoir finis de tout lire, mais j'aime beaucoup l'univers de Percy Jackson et je vois déjà des têtes connus et sympathiques ici, je me demandais si ce serai possible de faire une fille de Dionysos (promis je lis la présentation en entier après, et je ressors pas mes Mary Sue de quand j'avais 10 ans XD)

[Springbloom]

Ah mais je voulais travailler aujourd'hui, comment je suis censée faire avec tout ce que vous me donnez à lire ? en plus je vais culpabiliser de mettre 100 ans à faire mes fiches T . T

@LSGI : je crois que c'est la première fois qu'on participe à un même RPG toutes les deux Fay a un nom à coucher dehors et une histoire tragique (comment ça les deux ne vont pas ensemble ?) Comme j'avais oublié de le demander pour Sunblood, je te le demande : tu voudrais être cheffe de bungalow ?

@naji2807 : Tu sais déjà mon point de vue sur Oswald, je te l'ai envoyé par mp' excepté ça, je n'ai aucun problème avec lui, mais je suis d'accord avec LSGI, ça pas être facile pour lui à la Colonie

@Shinato : Nathan est accepté. Je dois t'avouer qu'au début je captais pas du tout pourquoi il vivait dans des conditions aussi terribles, je me suis sentie con en lisant les explications à la fin x) Juste, quand tu rédiges, décide si tu écris au passé ou au présent, c'est difficile à suivre sinon ^^ '

@MikoAsuna : dans mes souvenirs tu mettais toujours 20 ans à faire tes fiches, c'est assez inhabituel de te voir si tôt en poster une ! Rien à redire pour Heather, si ce n'est que je te demanderais si tu aimerais qu'elle soit cheffe de bungalow ^^

Hello! J'avoue ne pas avoir finis de tout lire, mais j'aime beaucoup l'univers de Percy Jackson et je vois déjà des têtes connus et sympathiques ici, je me demandais si ce serai possible de faire une fille de Dionysos (promis je lis la présentation en entier après, et je ressors pas mes Mary Sue de quand j'avais 10 ans XD)

Je sais que la présentation est longue, je m'en excuse x) J'ai déjà un fils de Dionysos de prévu, mais il est plutôt jeune, donc je pourrais accepter un autre enfant de Dionysos (même si je dois t'avouer que je préférais qu'elle soit issue d'une autre divinité du Panthéon).

Tu valides ton choix ?

[MikoAsuna]

Miko j'aime bien Heather mais je me demande comment elle va s'intégrer^^ (j'ai bien envie de la voir se disputer avec quelqu'un xp)

Elle à un caractère de m*rde, c'est vrai ! Mais dans le fond elle n'est pas méchante, et elle reste quand même sociable, même si elle adore se disputer avec les gens biien sur

@MikoAsuna : dans mes souvenirs tu mettais toujours 20 ans à faire tes fiches, c'est assez inhabituel de te voir si tôt en poster une ! Rien à redire pour Heather, si ce n'est que je te demanderais si tu aimerais qu'elle soit cheffe de bungalow ^^

Je l'ai fais en un temps records. Je dois avouer que c'est fort inhabituel, mais elle est moins longue aussi que ce que j'avais l'habitude de faire. ^^
Eh bien, cela change quoi si elle est cheffe de bungalow ? Mais ça me va qu'elle le soit !

[Springbloom]

@MikoAsuna : dans mes souvenirs tu mettais toujours 20 ans à faire tes fiches, c'est assez inhabituel de te voir si tôt en poster une ! Rien à redire pour Heather, si ce n'est que je te demanderais si tu aimerais qu'elle soit cheffe de bungalow ^^

Je l'ai fais en un temps records. Je dois avouer que c'est fort inhabituel, mais elle est moins longue aussi que ce que j'avais l'habitude de faire. ^^
Eh bien, cela change quoi si elle est cheffe de bungalow ? Mais ça me va qu'elle le soit ! [/quote]

Grosso modo, elle est en charge de la gestion de son bungalow, que ce soit emploi du temps, rangement et ménage. C'est également elle qui représente Athéna lors des conseils de la Colonie

[naji2807]

J'ai modifié ^^

Et Shinato j'aime bien ta fiche aussi, si tu veux un lien pareil, je suis ouverte ^^

Et Miko pareil, j'aime beaucoup ta fiche, même chose pour les liens, même si je ne suis pas sûre que Nadya s'entendrait très bien avec Heather ^^'

[MikoAsuna]

J'ai modifié ^^

Et Shinato j'aime bien ta fiche aussi, si tu veux un lien pareil, je suis ouverte ^^

Et Miko pareil, j'aime beaucoup ta fiche, même chose pour les liens, même si je ne suis pas sûre que Nadya s'entendrait très bien avec Heather ^^'

Je t'ai envoyé un mp

[MikoAsuna]

@MikoAsuna : dans mes souvenirs tu mettais toujours 20 ans à faire tes fiches, c'est assez inhabituel de te voir si tôt en poster une ! Rien à redire pour Heather, si ce n'est que je te demanderais si tu aimerais qu'elle soit cheffe de bungalow ^^

Je l'ai fais en un temps records. Je dois avouer que c'est fort inhabituel, mais elle est moins longue aussi que ce que j'avais l'habitude de faire. ^^
Eh bien, cela change quoi si elle est cheffe de bungalow ? Mais ça me va qu'elle le soit !

Grosso modo, elle est en charge de la gestion de son bungalow, que ce soit emploi du temps, rangement et ménage. C'est également elle qui représente Athéna lors des conseils de la Colonie[/quote]

Ca me va ! Je le rajoute à ma fiche

[LSGI]

@LSGI : je crois que c'est la première fois qu'on participe à un même RPG toutes les deux Fay a un nom à coucher dehors et une histoire tragique (comment ça les deux ne vont pas ensemble ?) Comme j'avais oublié de le demander pour Sunblood, je te le demande : tu voudrais être cheffe de bungalow ?

Haha oui effectivement Et oui je veux bien

[ChapelierFou]

Hello! J'avoue ne pas avoir finis de tout lire, mais j'aime beaucoup l'univers de Percy Jackson et je vois déjà des têtes connus et sympathiques ici, je me demandais si ce serai possible de faire une fille de Dionysos (promis je lis la présentation en entier après, et je ressors pas mes Mary Sue de quand j'avais 10 ans XD)

Je sais que la présentation est longue, je m'en excuse x) J'ai déjà un fils de Dionysos de prévu, mais il est plutôt jeune, donc je pourrais accepter un autre enfant de Dionysos (même si je dois t'avouer que je préférais qu'elle soit issue d'une autre divinité du Panthéon).

Tu valides ton choix ?

Non ne t'excuse pas, ça prouve que tu es passionnée, c'est bien!
Je t'avoue que j'avais prévu une histoire qui tournait pas mal autour de la folie, mais du coup je suis en train de chercher des dieux ou déesses équivalents pour ce côté là ^^
En tout cas je pense que ce sera une enfant non reconnue.

[ChapelierFou]

Est-ce que Zendaya a déjà été prise comme avatar ?

[LSGI]

Doucement… Une belle nuit. Des étoiles. Des flocons. Un cri. De la joie. De la douleur. Un sourire. Du sang. Voilà le décor, c’est assez clair ? Non évidemment. Ce n’est jamais clair pour vous. Je vais tenter de parler votre langage pour me présenter. Je suis né durant une très longue nuit au Groenland. Un 6 Janvier. Il y a 15 ans. Ma mère aime me dire qu’à peine sorti de son ventre j’ai baillé et qu’elle aussi et qu’elle s’est endormie. Et dans son sommeil elle a vu mon père. Et c’est généralement quand elle en arrive à cette partie de l’histoire qu’elle s’endort comme une souche.





Je ne courais pas. Je n’aime pas courir. Je n’aime pas me déplacer rapidement. Mais j’y allais. Et quand j’ai vu les portes c’est là que je me suis souvenu : il ne s'agit que d'un rêve et je ne suis pas censé vous le raconter ici.

Au départ il n’y a pas grand-chose. Un enfant et sa mère vivant dans la partie nord du Groenland. La mère dort beaucoup. L’enfant également. Mais ils ne dorment pas pour les mêmes raisons.

Depuis toujours ma mère me rabâche que je suis le fils du dieu Hypnos. Waouh trop classe… Sauf que ma mère est bourrée à longueur de journée. Elle est bien capable de me dire que dehors il fait soleil alors qu’elle est en train de fixer l’ampoule au plafond et qu’il fait nuit par la fenêtre. Donc non je ne la croyais pas. Mais j’aimais ses histoires. J’aime ma mère, profondément. Elle dit que si elle boit c’est pour retrouver mon père, pour dormir. Ma mère est insomniaque. Elle boit depuis très longtemps, pour dormir. Les médicaments ne l’aidaient pas. Et puis mon père est arrivé et c’est la première fois qu’elle a été sobre depuis des années. Elle a pu dormir. Mais il est parti. Et elle doit désormais boire pour retrouver le sommeil. Bon moi je vous dis tout ça mais c’est ce qu’elle me raconte. Franchement je ne suis pas certain de la croire. Mais très franchement peu m’importe. Il se peut qu’elle m’ait menti, il se peut que j’ai mal compris… Ça m’arrive souvent. Je trouve que les gens ne sont pas clairs, je ne suis pas fan de la communication orale. Je ne la comprends pas. Peut-être parce que je ne suis pas spécialement concentré sur ce que l’autre me dit. En même temps c’est d’un ennui. Et généralement j’ai juste envie de dormir. Donc mon esprit s’égare… Je suis rarement là où mon corps est, dans le sens où même quand je parle à quelqu’un il y a une part de moi qui somnole, une part qui rêve. Ce qui fait que forcément je ne saisis pas tout d’une conversation. Ça mène à des quiproquos notamment. Et lorsque la personne en face ne me connaît pas il y a un risque qu’elle s’agace en me reprochant de ne pas l’écouter… Bref, de quoi je parlais ? Ah oui mon histoire.

Alors ma vie a été plutôt simple et tranquille. Une mère aimante même si elle buvait beaucoup. Je lui préparais ses cocktails, il se trouve que j’ai beaucoup d’imagination et parfois des idées farfelues. Mes cocktails sont généralement étranges voire carrément suspects mais toujours excellents. C’est peut-être ça mon don. Par contre ne me mettez pas aux fourneaux, à part si vous voulez un sandwich. J’ai tendance à m’endormir en attendant que les pâtes cuisent dans la casserole ou autre… Le résultat n’est jamais très bon.

Je passe le plus clair de mon temps à dormir. Je suis un professionnel pour ça. Sérieux sans me vanter. Je peux dormir n’importe où n’importe quand ! Debout, assis, couché… Pendant une discussion les yeux ouverts, avec le soleil dans les yeux en écoutant Chiron parler, en pleine nuit sur le sable… Si vous avez du mal à dormir : appelez-moi. Je suis très doué pour amener les autres au sommeil, souvent il suffit que je parle d’oreiller, de rêve, de draps, de sommeil… et pouf on est tous en train de dormir. Cette capacité s’est développée quand j’ai grandi, ma mère disait que j’étais comme un hypnotiseur (« tes paupières sont lourdes… si lourdes… et tu veux dormir… et tu dors… profondément… »)
Mince je me suis encore perdu.

Bon il n’y a pas grand-chose à dire. Quand j’ai eu 10 ans ma mère m’a dit qu’il fallait que j’aille dans une colonie spéciale, que c’était un ordre de mon père. Elle m’y a emmené, à New York. Ça m’a changé de mon chez moi. Et là j’ai compris que ma mère n’était pas si à l’ouest qu’elle le paraissait. J’ai dormi dans le bungalow Hermès au départ. Quand j’ai eu 13 ans mon père m’a reconnu. C’était pas une grande surprise, tout le monde se doutait de mon ascendance. Mais c’est cool d’être reconnu. J’ai changé de bungalow. (Et il y a plein de coussins dedans !!!)

Aller à la Colonie était sympa, j’aimais bien avoir cette famille… Mais ma vraie famille restait ma mère. Mon pouvoir grandissait en même temps que moi. Et progressivement ma mère dormait de mieux en mieux. Et surtout elle dormait sans alcool. Ça faisait un an qu’elle n’avait pas bu une goutte. Un an. J’avais 14 ans. Et les vacances arrivaient. Je devais aller à la Colonie. Mais je savais : si j’y retournais elle replongerait. Et j’aime ma mère. Mais si je n’y allais pas des monstres allaient débarquer… du moins c’est ce qu’on m’a dit. Alors j’y suis retourné. Et je ne suis pas reparti.

Je suis désormais un résident permanent de la Colonie. Elle est ma famille. Mes rêves sont ma consolation, mon échappatoire.

Ma mère n’est pas vraiment morte durant cet été, mais c’est tout comme. Coma. J’essaie d’aller la voir le plus souvent possible. Mais ses rêves sont différents de ceux des gens conscients. Ils sont embrouillés, confus. Si j’arrive à comprendre sans peine le rêve d’un être lambda, ceux de ma mère me sont presque opaques. C’est comme si elle s’était perdue dans son propre esprit.





Endormi. C’est un trait de caractère ?

Je suis quelqu’un d’aimant, de gentil, je crois. Je m’attache facilement. Même si la personne en face ne m’apprécie pas. Etant donné qu’il m’arrive de comprendre les choses de travers, il est possible que je gonfle quelqu’un et pourtant je trouverais cette personne sympathique.

J’aime rire quand je suis éveillé. J’aime qu’on me fasse des blagues. Et plus que tout j’aime les rêves. J’aime l’océan et j’aime le ciel. Mais dans ma tête. Dans la vraie vie c'est différent. J'aime me perdre dans la contemplation d'un paysage mais voler demanderait trop d’énergie et retenir ma respiration n’en parlons pas… Alors que dans les rêves tout est possible. J’ai donc beaucoup d’imagination et je dessine d’ailleurs plutôt bien. J’aime bien poser les paysages qui tournent dans mon esprit sur une toile ou du papier.

Soyons francs j’ai un caractère plutôt malléable, dans le sens où je suis cool, je m’adapte à la personne en face, je ne cherche pas le conflit, je suis posé, je suis dans les nuages… C’est facile de me parler, ce qui est difficile c’est de vous comprendre.





Physique simple : 1m80. Paupières lourdes.


Mes supers-pouvoirs de super-fils-dormeur...

Dodo ! J’aide les gens à dormir, je ne dirai pas que je peux les endormir sur commande, non, juste ils se sentent fatigués en ma présence. Surtout s’ils me voient bailler. Mais ça fonctionne surtout quand je parle, parce que ma voix est toujours ensommeillée et lente, un peu pâteuse, et certains disent envoûtante. Vraiment je suis un peu comme un hypnotiseur, certains sont plus réceptifs que d’autres, et ça dépend également de l’humeur de la personne. Il est clair que je vais pas envoyer dormir une personne surexcitée.

Je peux entrer dans les rêves des autres. Et ça j’adore. Les rêves sont clairs, limpides. Et on peut y faire apparaître tout ce qu’on désire. Je peux me projeter dans la tête du rêveur et lui parler, en parlant ou en utilisant des images. Apparemment c’est le seul lieu où je suis pleinement éveillé, paradoxal, non ? Je suis vif dans les rêves et je ne baille jamais.





Je ne prends rien au sérieux, je pense que c’est un énorme point faible (mais aussi un énorme point fort admettons-le !) Et puis il y a également ma paresse et le fait que je repousse tout à plus tard. Oh et ne me mettez surtout pas un arc entre les mains : pour viser il faut que je ferme une paupière… vous imaginez bien que sa sœur est jalouse, donc je ferme les yeux et je ne vise rien du tout parce que je m’endors. J’ai déjà mentionné que je m’endormais souvent et n’importe où ? Pour moi il s’agit clairement d’un point fort, mais je ne pense pas qu’en cas de combat s’en soit véritablement un.

Si, j’ai quand même un point fort, il passe par un instrument. Je ne joue d’ailleurs que d’un instrument : la flûte de Pan. Alors oui je sais je ne suis pas le fils du dieu Pan et nianiania mais il se trouve que je joue depuis toujours de cet instrument. Il ne demande pas d’énergie comme la guitare ou la batterie, ou même le violon. Je trouve la musique de cette flûte très apaisante et très puissante. Elle canalise mon pouvoir, quand je joue les gens autour se mettent à somnoler. Mais plus que ça il s’agit également d’une arme. Bah oui il faut bien que je me défende ! (Si je me débrouille à l’épée c’est quand même loin d’être mon point fort). C’est une fille d’Héphaïstos qui me l’a confectionnée. Si je fais une certaine combinaison alors des compartiments internes s’ouvrent et ça devient une sarbacane à plusieurs tuyaux. Dedans il y a des fléchettes endormantes.


Etant quelqu'un de plutôt avenant j'ai parlé à quelques personnes...

Oswald… ah mon ami Oswald dont j’ignore et me fiche du nom de famille. Non ce n’est pas vraiment un ami, il est arrivé il y a trop peu de temps et j’ai dû lui parler une fois… ou deux ? Je ne sais plus bien. Mais il est marrant ce type. Et solitaire. Je ne sais pas depuis combien de temps il était là mais un jour je me baladais dans la Colonie et je l’ai vu assis seul dans un coin avec un livre. Je m’ennuyais un peu et puisque je venais de me réveiller je ne pouvais pas aller me recoucher. Donc j’ai été le voir. Je me suis assis à côté et j’ai ressenti une sensation très étrange. Jamais personne ne m’avait fait me sentir aussi… mal à l’aise. Non vraiment, je ne sais pas si je pourrais dormir totalement en sa présence. Mais bon j’ai fait abstraction et on a parlé… euh… de la forêt ? De la renaissance des feuilles ? De la beauté du vert ? De la douceur de la mousse, qui cela dit en passant fait un très bon matelas ? C’est fort probable. Mais ce garçon est d’un pessimisme ! C’en est amusant. En sa compagnie j’ai bien ri. Pas lui. Je crois que la communication n’est pas très bien passée. Qu’importe, moi au moins j’ai passé un bon moment. Je pense que je retournerai le voir à l’occasion, quand j’aurai besoin de sourire.

J'ai également rencontré Felix Felicis, il ne s’appelle pas vraiment ainsi mais étant donné sa chance ce nom lui conviendrait. Avec lui la conversation n’est vraiment pas bien passée et il me la dit. Ça m’embêtait parce que ne comprendre personne ce n’est tout de même pas toujours amusant. Donc je lui ai fait une proposition : venir le visiter dans ses rêves. Généralement les gens n’acceptent que s’ils me connaissent bien. Mais Felix a tout de suite dit oui. Et… bah je n’ai pas grand-chose à ajouter. J’ai vu l’intérieur de sa tête, la manière dont lui-même se représente, ses émotions qui transparaissaient dans le décor… Tout était clair. Et j’ai finalement pu discuter avec lui. Une conversation fort agréable où cette fois nous avons pris du bon temps tous les deux. Mais le plus important : Felix a apprécié, donc je vais pouvoir revenir.

Victoire !! Enfin j’ai réussi à parler à quelqu’un avec qui la communication passe alors que je suis à peu près éveillé ! (Bon ce n’est pas la seule, mais ça m’amusait d’écrire ça). Et oui c’est une victoire et oui elle s’appelle Victoire. La première fois que je l’ai vue j’ai été si surpris que j’en ai sursauté. En même temps elle était penchée au-dessus de ma tête, comme vision au réveil ça fait bizarre. Je m’étais endormi sous un arbre, dans un coin où il n’y a pas grand-chose, et Victoire m’a réveillé en pensant que j’avais peut-être un problème. Depuis nous sommes amis. Souvent on s’assied dans l’herbe, au soleil, et elle amène un livre. Elle lit beaucoup. Pas moi. C’est pourquoi je lui propose de faire une pierre deux coups en lisant à voix haute. Le problème ? Eh bien il s’agit de moi. Elle lit deux lignes et déjà je sens ma tête partir en arrière, je me retrouve allongé au sol quand elle termine la troisième ligne et quand elle parvient à la quatrième je suis en train de dormir.

Elias, lui je suis sûr à 90% que l’amitié que j’éprouve à son égard est réciproque. Si au départ mes certitudes ne s’élevaient qu’à 65% c’était avant que je ne m’incruste dans ses rêves ! Il me ressemble par certains aspects, il ne se prend pas la tête, il est calme, a le sourire facile… Je ne suis pas certain qu’il comprenne toujours ce que je baragouine mais en tout cas il ne s’en agace pas. Fait intéressant : je crois qu’il a le même don que moi, il est capable d’endormir les gens ! (Enfin juste moi mais ça marche vachement bien). Il suffit que je le vois pratiquer un sport quelconque et je me fatigue pour lui, tombant raide endormi.

Une autre rencontre surprenante : Hope. La première fois que je l’ai vue c’était à l’infirmerie. Et je n’ai jamais compris comment je m’y étais retrouvé. Tout ce que je sais c’est qu’un matin je me suis réveillé dans l’un des lits et qu’Hope était là. Pourtant je ne suis pas vraiment du genre à me faire mal (difficile de se faire mal quand on s’endort sur un banc durant les séances d’entraînement !) Je suis attaché à Hope depuis ce réveil, je trouve sa présence particulièrement rassurante, comme s’il ne pouvait rien m’arriver quand elle est là. Ce sentiment est probablement né parce que nous avons passé une nuit de sommeil dans la même pièce. Dormir (je dis bien « dormir » pour ceux qui se feraient des idées) avec une personne crée des liens. Je vous assure ! Donc depuis je vais de temps à autres à l’infirmerie juste pour la voir, son contact est agréable et entre son agitation et sa présence rassurante, je m’endors facilement et paisiblement.

Et un pensionnaire amusant : Theo ! Rencontré il y a plusieurs années il m’a fait quelques farces. Enfin « ils » … Dans ma tête ils étaient deux. Mais aujourd’hui il n’est plus qu’un… J’aimais bien leurs farces, quand ils essayaient de me piéger ou autre, ça m’amusait énormément. Et j’aime rire, beaucoup, énormément, à la folie, à l’infini. Je crois qu’ensuite Theo et… Scotty ? Oui voilà il s’appelait comme dans Star Trek ! Mais bref, donc ils se sont endormis. Si mon père représente le sommeil qui ne dure pas, ce n’est pas le cas de son frère, et de la même manière si Theo a fini par se réveiller, ce n’est pas le cas de Scotty. Et c’est triste. Mais c’est la vie, ou plutôt c’est la mort, c’est ainsi que ça fonctionne. Theo a rouvert ses yeux et il vit de nouveau, et de nouveau j’aime passer des moments à sourire avec lui. Je crois pouvoir dire que si je l’apprécie ce n’est pas à sens unique, et – autre particularité très intéressante – généralement quand il est là je suis plus ou moins éveillé !

Ma petite exploratrice des fonds marins, Derya ! La première fois que je l'ai vue je m'étais endormi sur la plage et elle était là à mon réveil. J'ai cru voir une apparition divine, son visage apparaissant nimbé de lumière car devant le soleil. Et c'est ensuite devenu notre point de rendez-vous : la plage. Généralement je reste éveillé en sa présence car j'emmène du papier et un crayon et je dessine ce qu'elle me raconte. Ou du moins j'essaie. Parfois ma vision est très décalée de la sienne, est-ce dû à une mauvaise écoute ? Il y a de grandes chances. Elle me parle de l'univers se trouvant sous la surface, de l'eau, du monde bleu et des habitants qui le peuplent… Et je tente d'illustrer ses magnifiques histoires. Oh et je crois qu'une fois on a été intimes, mais honnêtement je ne sais pas s'il s'agissait d'un fantasme de mon subconscient ou d'une réalité.



Bon j’ai suffisamment parlé, je vais me coucher !





Oh mince j'allais oublier :
Je m'appelle Sacha Yeraz Jensen

[naji2807]

LSGI j'aime beaucoup Sacha, sa fiche est amusante ^^ si tu veux des liens, là encore, n'hésite pas ^^

[Shinato]

Ouah LSGI quelle fiche incroyable!! La présentation est super cool et j'ai adoré l'histoire de ton personnage. Et puis la petite touche d'humour à la fin était top aussi

[ChapelierFou]

Je suis en train de lire la présentation et vos fiches (j'ai presque finis), je vous dit a quel point j'apprécie ce que vous avez fait dès que j'ai finis ^^
Juste pour dire que je pense que je vais faire une fille d’Éris si c'est possible pour toi, Morgane (je me sens hyper mal de pas prendre un des dieux de ton super panthéon, mais j'avoue avoir trouvé une idée qui m'enthousiasme pas mal ^^')

[LSGI]

Merci beaucoup Shinato

[Eparm12]

∞ ADÈLE LEIGH ∞

17 ANS ∞ DEMI-DIEU FILS DE NÉMÉSIS ∞ ANGLO-AMÉRICAIN

“When you’re dead already, you’re free.” Polly Gray

∞ Hole ∞



∞ HISTOIRE ∞
Je hais ce monde, je hais ma mère et, surtout, je hais ce que je suis.

Tout le monde connaît la mythologie grecque, ou tout le monde en a déjà entendu parler du moins. J’ai lu quelques-uns de ses mythes et légendes, des histoires, mais ce n’en sont pas : je l’ai découvert il y a quelques heures à peine, à dix-sept ans. Pendant dix-sept années, j’ai vécu dans l’ignorance, mais mon père y a vécu toute sa vie et j’en voudrai toujours à ma génitrice pour ça. Je me doute fortement qu’elle n’en a rien à faire, que ça l’indiffère, qu’il n’y a rien de plus insignifiant à ses yeux que la haine et la rancœur que lui voue son propre fils, mais peu m’importe : je continuerai de la haïr et de lui en vouloir quoiqu’elle en pense, si elle en pense ne serait-ce qu’une chose, mais je n’y crois pas. Étant une déesse, ce qu’un mortel peut ressentir à son égard n’est rien et ça me convient, du moment où je peux la haïr et lui en vouloir en paix. À cause d’elle, mon père s’est retrouvé avec un enfant et a dû l’élever seul ; à cause d’elle, nous sommes entrés dans un monde dans lequel nous n’aurions jamais voulu entrer si nous avions eu le choix, si nous avions connu son existence, si nous avions su ce qu’il en était ; à cause d’elle, mon père en est mort. Papa est mort. À cause d’elle… À cause de moi : si je n’étais pas né, mon père serait encore vivant à l’heure qu’il est. Plus qu’à cause d’elle, c’est à cause de moi s’il a perdu la vie, à cause de mon être. Je me hais pour ça, mais je le vengerai.
Mon père était un Américain d’origine anglaise, dont la famille est venue s’installer aux États-Unis il y a une dizaine de générations et y a demeuré depuis, mais ses membres avaient également du sang français dans les veines, d’où mon prénom. Mon père m’a appelé Adèle, qui est un prénom français féminin, dont la racine germanique signifie « noblesse » et l’origine arabe « juste » et « équité », parce que son arrière-grand-mère s’appelait ainsi et qu’il tenait beaucoup à elle. En réalité, Adèle est un prénom mixte et il existe son équivalent masculin, Adel, mais mon père préférait l’orthographe féminine, qu’il trouvait bien plus élégante, le -e accent grave étant une lettre latine et donc française, faisant honneur à son sang français. Il habitait à Portland, dans l’Oregon, et était un policier doué. À trente-et-un ans, lui qui fréquentait de temps en temps les bars, a rencontré dans l’un d’eux une femme qui lui a immédiatement plu et avec laquelle il a passé la soirée. Tout ce qu’elle lui a raconté sur elle lors de leur discussion était faux, mais mon père n’avait aucun moyen de le savoir et ce n’était pas le plus important : il était dans l’optique de passer une bonne soirée, ce qui est arrivé, mais il n’avait pas prévu que sa partenaire d’un soir tomberait enceinte de lui. Un beau jour, elle est réapparue sur le pas de sa porte avec un bébé dans les bras, moi, et l’a donné à mon père sans plus d’explication avant de se détourner. Elle avait de nouveau disparu et ne s’est plus jamais montrée, jusque la veille.
Dans tous les cas, mon père avait un enfant qu’il n’attendait absolument pas, ça a été un véritable choc pour lui, lui qui croyait, à tort, qu’ils avaient fait attention en tant qu’adultes responsables, mais ça ne l’a pas empêché de m’aimer, de s’occuper et de prendre soin de moi. Mon enfance, jusque mes huit ans, a été heureuse, même si, en voyant les autres enfants venir à l’école et en partir avec leurs deux parents la plupart du temps, je me demandais pourquoi est-ce que je n’avais que mon père. Si ça me pinçait légèrement le cœur, je n’y prêtais pas plus d’attention, car j’avais mon père et que c’était la seule et unique personne au monde dont j’avais besoin. J’aurais aimé avoir aussi une mère et connaître l’amour maternel, mais ce n’était pas l’essentiel, et je me souviens d’avoir interrogé Papa : pourquoi est-ce que je n’avais pas de Maman comme mes camarades ? Il m’a simplement répondu que ma mère était partie, ce qui n’était pas faux, mais pas l’entière vérité. Je me rappelle son doux regard où y brillait une faible lueur de chagrin et de son triste sourire, et je le regardais dans les yeux, les miens écarquillés, en faisant la moue, parce que je sentais que mon père me mentait, dans le sens où il ne me disait pas tout, il omettait volontairement les détails. Néanmoins, je n’ai pas insisté, car je voyais que ça rendait mon père malheureux et que je ne voulais pas qu’il le soit, parce que nous étions tous les deux et que c’était le principal, qu’il n’y avait rien d’autre qui comptait.
Cependant, je ne sentais pas le mensonge ou la dissimulation uniquement chez mon père, mais chez n’importe qui d’autre qui mentait ou dissimulait quelque chose devant moi. À l’époque, je le faisais inconsciemment, c’était normal pour moi, aussi normal qu’est l’acte de respirer, et je savais aussitôt que la personne quelle qu’elle soit était coupable de mensonge ou de dissimulation. J’ignorais le comment et le pourquoi, ne me posant pas plus de question et sachant seulement qu’il y avait mensonge, ce qui ne me plaisait pas, pas du tout même, alors je mettais cette personne en face de son ou ses mensonges en l’interrogeant, car c’était désagréable d’entendre quelqu’un parler, mais sans exprimer sa vérité. Ça me provoquait une réaction épidermique, une sorte de piqûre indolore, mais que j’avais l’impression de recevoir dans ma chair et, dans l’instant, je faisais cesser cette sensation en accusant mon interlocuteur de mentir, afin que ça s’arrête. Autrement, je m’entendais plutôt bien avec mes camarades et étais très proche de mon père, notre relation ayant été fusionnelle. Nous n’avions que l’un et l’autre au quotidien, même si mon père avait de la famille et m’a déjà emmené chez ses frères et sœurs, où je voyais mes cousins, que j’adorais. J’aimais ma famille et c’était réciproque, moi qui n’étais pas difficile à vivre. J’étais un petit garçon sage, calme et patient, assez expressif, mais qui avait des problèmes de gestion de la colère.
Je ne m’énervais pas rapidement ni souvent, mais, quand je le faisais, je faisais des grosses crises de colère, devenais incontrôlable et étais un danger pour autrui : je n’hésitais pas à hurler, frapper et blesser. J’étais sauvage et ça a pris d’énormes proportions, une fois à l’école et une dans ma famille, un de mes cousins ayant usé ma patience. Il n’y avait pas grand-chose à faire pour éviter ça, si ce n’était justement éviter ce qui entraînait ma colère, tels le mensonge et l’injustice. Lorsque je n’étais pas en colère, j’étais posé et obéissant, et il fallait que je le sois ou ça signifiait que la colère était présente. Il n’y a pas d’entre-deux : soit je suis en colère soit je ne le suis pas et, quand je le suis, je suis ingérable jusqu’à ce que ma colère redescende. C’était les seuls épisodes pénibles et, à part eux, mon père travaillait, j’allais à l’école, avais des copains, passais du temps avec mon père et voyais de temps en temps ma famille, mais ça a brutalement pris fin l’année de mes huit ans. J’ai eu huit ans le 9 novembre et, vers le mois de mars, le 3 pour être exact, mon père et moi nous sommes fait surprendre chez nous tandis que mon père était en train de me coucher. Nous nous sommes fait violemment attaquer par plusieurs choses qui n’étaient ni humaines ni animales, que je n’oublierai jamais. Elles ont failli nous tuer, mais nous avons réussi à leur échapper d’extrême justesse et nous enfuir en prenant la voiture.
C’était des créatures qui semblaient tout droit sorties d’un univers fictif et, mon père et moi, qui n’y comprenions rien, avons roulé durant un long moment, jusqu’à ce que mon père s’arrête des heures après parce qu’il tombait de fatigue. Nous avons quitté l’Oregon direction l’État de Washington, le plus proche, et avons dormi dans la chambre d’un motel, avant que mon père ne décide le lendemain de faire demi-tour, de revenir chez nous et de rassembler le nécessaire de nos affaires. Nous ne comprenions toujours rien, nous ne savions pas ce qui s’était produit, ce qu’était ces créatures qui s’en sont prises à nous et pourquoi, en revanche, nous savions que nous ne pouvions plus rester ici ou nous aurions pris le risque de nous faire attaquer de nouveau. Encore aujourd’hui, j’ignore comment nous en sommes arrivés à cette conclusion, si c’était notre instinct qui nous poussait à partir ou quoi, mais, puisque nous nous étions fait attaquer chez nous, nous n’en avions plus et nous devions partir. J’ai eu si peur cette nuit-là… J’ai ouvert de grands yeux, hurlé, me suis débattu dans tous les sens, ai mordu, lorsque mon père a jailli de nulle part, m’a récupéré et s’est rué dehors en me portant avant de me jeter dans la voiture. Une fois dedans, j’étais tétanisé, le cœur battant la chamade au point où on aurait cru qu’il allait crever ma poitrine, en sueur, la respiration hachée. Et ces créatures m’ont laissé un cadeau empoisonné, une entaille cicatrisée depuis sur la jambe gauche, de la cheville jusqu’en dessous du genou, en passant par mon mollet.
Mon père et moi avons été blessés un peu partout ailleurs, mais ce n’était que des blessures superficielles alors que celle-ci était profonde et, mon père, qui avait pris les choses en main, s’en est occupé comme il a pu. Il ne pouvait pas me conduire à l’hôpital : qu’est-ce qu’il leur aurait expliqué ? Que nous nous étions fait attaquer par des créatures surnaturelles ? On ne l’aurait pas cru, on aurait pris mon père pour un fou et on m’aurait certainement enlevé à lui, car on l’aurait sûrement tenu responsable de mon état même si mon père ne m’avait rien fait de mal, lui qui m’avait même sauvé. Nous ne pouvions pas non plus prendre ce risque et c’est pourquoi il a désinfecté et recousu lui-même ma plaie, me faisant hurler de douleur. Heureusement, la plaie s’est cicatrisée sans qu’il n’y ait de complication et c’est à partir de là qu’a commencé une seconde vie pour nous deux, une vie sur les routes des États-Unis. Mon père avait l’intime conviction que cette attaque ne serait pas la dernière, conviction que je partageais, et nous roulions, nous arrêtions dans une ville pendant deux ou trois mois voire moins, puis repartions. Nous avons fait une première fois le tour du pays de la sorte, en coupant par l’intérieur des terres, et, la seconde fois, nous en avons longé les frontières et bordures. Nous ne demeurions jamais plus de quelques mois à un même endroit et je ne suis plus jamais allé à l’école, suivant des cours en ligne. Je ne sortais que rarement au début tandis que mon père enchaînait les petits boulots par-ci par-là afin de nous permettre de payer l’essence, le loyer et la nourriture.
Nos vies étaient rythmées par le travail pour mon père, les cours en ligne pour moi et l’entraînement : un jour, j’ai presque ordonné à mon père s’il pouvait m’entraîner. Il a refusé au départ, mais j’ai insisté, tant et si bien qu’il a fini par accepter quand j’eus douze ans. Il m’a d’abord appris les bases en combat rapproché, du corps-à-corps, à mains nues, et, vers quinze ans, j’ai eu le droit de m’entraîner avec des armes, des couteaux, des pistolets et des fusils que mon père avait achetés. Si je m’entraînais avec lui, je me suis vite entraîné seul lorsque je ne suivais pas mes cours, m’entraînant encore et encore, sans relâche, tenace. Je me préparais à affronter ces créatures de nouveau parce que je pressentais que je devrai le faire à un moment ou un autre, mais j’ignorais que j’avais raison. Je me suis mis en tête de les combattre, de leur rendre ce qu’elles nous avaient fait et je le gardais dans un coin de mon esprit. Aux alentours de seize ans, j’imitais mon père et travaillais, faisant des petits boulots pour le soulager, et nous nous débrouillions, jusqu’à ce que nous fassions une erreur qui nous a été fatale. J’ai eu dix-sept ans et ça faisait neuf années que nous n’avions pas été attaqués par ces étranges créatures, mais, durant toutes ces années, nous étions prudents, attentifs, nous nous déplacions régulièrement, nous faisions attention, et nous avons baissé notre garde en faisant le choix de rester quelques semaines de plus dans la ville où nous étions, à savoir Boston. Nous n’aurions jamais dû.
Je ne sais pas ce qui nous a pris, mais nous avons fait le choix inconscient d’y rester plus longtemps que prévu, car la ville nous plaisait, nous nous y sentions biens, comme chez nous. Nous nous sommes fait attaquer la seconde fois une nuit de mai. Je n’oublierai jamais cette nuit-là non plus. Encore une fois, nous ne nous y attendions pas, les créatures étaient plus nombreuses et elles ont tué mon père. Comme ça. Nous nous sommes fait coincer, piéger et submerger, et mon père m’a protégé d’elles en se sacrifiant pour moi, ce qui m’a choqué. J’étais interdit, incapable de dire ou faire quoique ce soit, uniquement de regarder mon père se faire déchiqueter sous mes yeux. Mon père. Papa. L’homme de ma vie, celui qui a toujours été là, à mes côtés, du début à la fin, qui m’a aimé sans condition, qui m’a plusieurs fois sauvé… J’étais impuissant malgré mon entraînement, tout ce que j’avais fait pour pouvoir m’opposer à ces créatures, parce que le souvenir de la première nuit m’a envahi. Ce que je voulais était sauver mon père à mon tour, c’était ce que je voulais le plus au monde, être digne de lui, mais les créatures m’ont pris mon souhait en me prenant mon père. Elles l’ont griffé, massacré et ont fait un carnage. Je me suis effondré. Je n’avais plus qu’une envie, mourir, car à quoi bon vivre alors que la seule personne que vous aimez est morte. Je n’avais plus aucune raison de vivre : mon père était ma famille, mon pilier, mon tout, il a été tué et je l’ai été en même temps que lui, mais je ne suis pas mort.
Subitement, il y eut une lumière aveuglante et toutes les créatures se sont évanouies dans l’air. J’étais toujours en état de choc, mais j’ai lentement relevé la tête et ai vu une magnifique femme qui se tenait debout devant moi et me regardait droit dans les yeux, le port de tête altier. Son visage était de marbre, lisse et froid, aucune émotion n’émanait d’elle et elle a tendu un bras dans ma direction, neutre. De la lumière m’a enveloppé et deux dagues et une lance sont apparues devant moi tandis que la femme prononçait des mots d’une voix claire, assurée et forte, qui n’avaient aucun sens pour moi : elle a déclaré qu’elle était la déesse Némésis et qu’elle me reconnaissait moi, Adèle Leigh, comme son fils. Ce n’était pas possible… C’était un rêve, non, un cauchemar, et j’allais me réveiller… Mon père ne pouvait pas être mort, il ne pouvait pas, il… Mes pensées n’étaient rivées que sur mon père, mais, soudain, la femme m’a asséné que mon père était bel et bien mort et qu’il ne reviendrait pas, jamais. Ça a ouvert les vannes : j’ai pleuré comme rarement j’ai pleuré dans ma vie, je vidais l’eau de mon corps, mes larmes étaient intarissables. J’étais assis sur le sol, avant de basculer et de m’étendre par terre sans plus aucune force, seulement bon à pleurer. Mon cœur s’était fait arracher, avait été piétiné, brisé. J’étais ravagé, dévasté, le ciel m’était tombé sur la tête, la terre s’était ouverte sous mes pieds, mais ça n’a pas ému la femme, qui m’a alors raconté qu’elle était ma mère, la femme avec laquelle mon père s’était amusé un soir, celle qui m’avait eu, celle qui m’avait confié à lui. Celle qui était partie.
Je ne réfléchissais plus rationnellement, elle aurait pu me raconter n’importe quoi que je ne l’aurais jamais cru, mais c’est quand elle a évoqué la Brume et les monstres que j’ai compris, au fin fond de mon esprit éclaté, qu’elle ne mentait pas. Alors je me suis énervé. Je suis entré dans une colère noire, ce qui n’était pas arrivé depuis bien longtemps, et lui ai hurlé dessus, m’époumonant, m’égosillant, me cassant la voix et fracassant tout ce qu’il y avait autour de moi, démentiel. Elle n’a pas bronché, elle a demeuré là, à me regarder, et ce n’est que lorsque ma colère est retombée qu’elle a repris la parole afin de me parler de la Colonie. Je ne l’écoutais plus, j’étais apathique et elle m’a amené à cette Colonie sans que je ne résiste.





∞ CARACTÈRE ∞
Je suis solitaire et indépendant, et ces neuf années de fuite font que je me suis éloigné des gens : je me tenais loin d’eux, sauf pour baiser, ne m’attachais pas et étais froid, distant et hautain. Ça n’a pas changé. Je préfère observer que parler et ne prends jamais la parole si ce n’est pas utile, si ce n’est pas pour transmettre un message, si c’est parler pour ne rien dire. Je réponds lorsqu’on m’adresse la parole, mais je le fais de manière économique, sobre et efficace : je suis clair, net et précis, ne passe pas par quatre chemins et dis ce que j’ai à dire sans fard. Je suis sûr de moi, du moins je l’étais avant la mort de mon père, mais je suis sûr de moi comme toute personne devrait l’être, se faire confiance, avoir confiance en elle. J’ai l’air prétentieux, arrogant et présomptueux, mais je ne le suis pas : je suis conscient de mes capacités, de mes forces et de mes faiblesses, de mes qualités et de mes défauts. Néanmoins, je suis impitoyable, intraitable et inflexible : je mets tout le monde sur un pied d’égalité, ne fais aucune distinction et suis implacable. Têtu voire borné, quand j’ai quelque chose en tête, on ne peut m’en détourner et je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour l’atteindre. Et quand je fais un choix, une promesse ou prends une décision, je ne reviens jamais dessus. Je ne me décourage pas facilement et suis persévérant et déterminé. Cependant, je suis orgueilleux et c’est sans doute mon pire défaut, avec la rancune : je ne pardonne pas, jamais. Avant, j’étais expressif, mais, à présent, je suis neutre et ne montre pas ce que je ressens, excepté ma colère, que je ne contrôle toujours pas contrairement à mes autres émotions. Comme lorsque j’étais enfant, je ne m’énerve pas rapidement ni souvent, mais, quand c’est le cas, je ne contrôle plus rien et ma colère est explosive. Il n’y a qu’elle qui s’exprime chez moi. Je ne tolère pas l’arrogance, le mensonge et l’injustice, et c’est pourquoi je pense ce que je dis, suis franc et veux qu’on le soit avec moi : encore une fois, j’ai été pendant dix-sept ans dans l’ignorance et refuse de l’être à nouveau, alors si je sens que mon interlocuteur me ment, je le lui fais savoir. Parfois, je le laisse s’enfoncer dans son mensonge afin de voir jusqu’où il est prêt à aller et tenter de comprendre pourquoi est-ce qu’il a opté pour le mensonge plutôt que la vérité, mais je finis immanquablement par l’interrompre et lui demander plus ou moins sèchement soit de dire la vérité soit de se taire, il a le choix. En somme, je suis fermé et en quête de vengeance. Je n’ai plus que ma vengeance à l’esprit, celle de tuer toutes les créatures que je croiserai et d’anéantir leur source, s’il y en a une, parce que je ne connais pas encore le nouveau monde dans lequel je suis. Néanmoins, lorsque j’aime quelqu’un, je m’ouvre, je place une confiance aveugle en cette personne et suis prêt à tout pour elle. Je suis d’une loyauté sans faille, d’une fidélité indéfectible et protecteur. Mais je n’aime plus personne sur cette Terre, si ce ne sont les autres membres de ma famille, que je n’ai pas revus en neuf années et que je ne reverrai probablement jamais. Afin de moins souffrir de mon amour blessé, la haine, la rancœur et le sentiment de vengeance me consument.




∞ POUVOIRS ∞
L’unique pouvoir dont Adèle a conscience est celui de détecter le mensonge : lorsque quelqu’un prend la parole, il peut instantanément savoir si cette personne ment ou non, si elle dissimule quelque chose ou non.
Quand quelqu’un éprouve le désir de vengeance, Adèle a la capacité de l’exacerber et alors ce désir peut prendre toute la place chez cette personne.
Adèle ne se trompe jamais lorsqu’il juge quelque chose ou quelqu’un.
Sa mère étant Némésis, qui se fait obéir des Furies, Adèle partage une connexion avec elles : elles ne lui obéissent pas, mais elles le reconnaissent, ne lui font aucun mal et il est capable de les comprendre.




∞ POINTS FORTS/FAIBLES ∞
Encore une fois, Adèle est très perspicace et sait directement quand une personne ment ou dissimule quelque chose ; il « voit » le vrai visage de chacun. Il est très intelligent, vif d’esprit et calculateur. Modéré, il a une grande maîtrise de lui-même et contrôle très bien ses émotions, sauf la colère. Son esprit est fort, même s’il a volé en éclats à la mort de son père, et son jugement toujours juste. Il sait également survivre, soit vivre avec le strict minimum, se cacher et se faire oublier. Il est patient, attend son heure et frappe à ce moment-là. Discret, il reste en retrait et ne se met pas en avant. Cependant, il ne s’efface pas pour autant. Il se bat au corps-à-corps, à mains nues ou avec des couteaux, tire avec un pistolet ou un fusil et est rapide et très endurant.
Néanmoins, si Adèle contrôle effectivement très bien ses émotions, il ne contrôle pas sa colère, qu’il ne sait pas encore gérer. Aussi, il est rempli de haine, s’est entièrement dévoué à la vengeance et est trop orgueilleux. Il n’a confiance en personne, se méfie de tout le monde et ne compte que sur lui-même : il estime qu’il doit s’en sortir seul depuis la mort de son père, sans personne. Enfin, au plus profond de lui, il demeure traumatisé des deux attaques qu’il a subies et a viscéralement peur des monstres et du noir. Cependant, il regarde ses peurs en face et celle du noir est devenue une crainte.




∞ AUTRES ∞
Je porte en permanence un collier que mon père m’a offert pour mon quatorzième anniversaire.
Je fume du tabac depuis que j’ai quinze ans.
Je suis tatoué : un serpent remonte le long de ma jambe gauche en suivant le tracé de ma cicatrice, qu’il camoufle, un scorpion, mon signe astrologique, trône dans le bas de mon dos, sur ma chute de reins, à l’emplacement exact de mon autre cicatrice, et une tête de tigre orne mon pectoral gauche, mon cœur, représentant mon père.




∞ PHYSIQUE ∞
Je mesure un mètre quatre-vingt, suis assez épais parce que mon entraînement m’a musclé et ma peau est blanche. Mes cheveux châtain, tantôt clair tantôt foncé en fonction de la lumière, sont bouclés et coupés courts, mon visage est de forme arrondie, parsemé de taches de rousseur et de grains de beauté, mais ma mâchoire carrée, et mes yeux sont verts. Je suis tatoué et ai deux imposantes cicatrices laissées par les créatures, une sur la jambe gauche et une dans le bas du dos, sur ma chute de reins.

[Eparm12]

@Naji et @LSGI : Vous savez déjà ce que je pense de vos fiches.

@Sunblood : J'aime bien Kyle! Plus précisément, j'aime beaucoup son caractère et, comme tout le monde, d'après ce que j'ai compris, je trouve l'idée du sac géniale. Ca m'a rappelé Hermione et son sac magique dans HP, dans lequel elle peut mettre tout et n'importe quoi, même si celui de ton perso contient des armes. En tout cas, ton perso m'est très sympathique.

@Shinato : Déjà, tu as pris Taylor Lautner (oui, j'ai eu une période Twilight et j'adore les livres, même si ce n'est pas le cas des films), alors forcément, mon jugement allait être biaisé. J'aime bien Nathan, son histoire est très triste, mais il ne s'est pas laissé abattre, et j'ai dû manquer l'info, mais Karen est l'enfant de qui? Bref, j'ai hâte de voir Nathan en RP.

[Sunblood]

@Sunblood : J'aime bien Kyle! Plus précisément, j'aime beaucoup son caractère et, comme tout le monde, d'après ce que j'ai compris, je trouve l'idée du sac géniale. Ca m'a rappelé Hermione et son sac magique dans HP, dans lequel elle peut mettre tout et n'importe quoi, même si celui de ton perso contient des armes. En tout cas, ton perso m'est très sympathique.

Merci ^^ j'ai pas voulu faire le même sac qu'Hermione parce que sinon ça serait vraiment trop fort ahah donc je me suis restreint.
J'aime bien Adèle même si je sens que sa relation avec Kyle sera complexe ahah

[Lievre_de_Mars]

Salut ! Est ce que je pourrais m'inscrire avec des faux jumeaux enfants d'Eos ?

[Eparm12]

@Sunblood : Je comprends et tu as bien fait.
Merci d'avoir lu ma fiche, merci encore pour Adèle et en effet, je le sens aussi. Mais Kyle ne sera pas le seul, toutes les futures relations d'Adèle seront compliquées... Ou pas.

[ChapelierFou]

Ok j'ai tout lu cette fois (yay)
Déjà la présentation est vraiment incroyable, on voit les efforts et j'ai beaucoup aimé le règlement (et les dieux savent que d'habitude c'est pas mon passage préféré ) et le panthéon que tu as fait est sublime et très complet, les avatars sont très bien choisit et j'ai hâte de voir les prophéties!

Naji: Déjà je mets deux jours à me décider à m'inscrire et toi tu postes deux fiches J'aime beaucoup tes personnages, ils sont très diversifiés, comme d'habitude, et tu as fait des superbes mises en pages! Je trouve Nayda très sympa, elle me rappelle Piper Mcclean mais en plus extrême et qui s'assume plus en tant que fille d'Aphrodite, et étant donné que d'après ce que j'ai lu jusque là, c'est l'une des rares à pas être complètement associable et/ou traumatisée, ça promet d'être intéressant
Oswald est hyper sympa et ça fait toujours plaisir de retrouver Cole Sprouse en ado edgy X). J'aime beaucoup le coup des nonnes, et j'ai hâte de rp avec lui!

MikoAsuna: Coucou, ravie de te rencontrer! J'aime beaucoup Heather, elle a un caractère bien trempé et j'adore les rapprochements avec les tragédies grecs, je trouve ça hyper intéressante et ça apporte vraiment quelque chose à ta fiche!
Par contre l'histoire à laquelle je pense ressemble pas mal à a tienne mais mon personnage y réagira de manière totalement différente, du coup j'espère que ce sera pas un problème... (sinon tu n'aura qu'à me le dire et je m'arrangerai)

LSGI: J'aime beaucoup Fay, sa montre est hyper stylée et j'aime beaucoup son côté génie solitaire, je trouve que ça correspond bien à ce que je connais de tout ce qui est trouble de l'attention et hyperactivité, et je sais pas pourquoi je sens qu'elle va être très efficace pour fabriquer des armes ^^

Shunblood: Kyle est cool, c'est une tête brulée mais une gentille et désireuse d'apprendre, j'aime beaucoup! Et oui, bien sûr, le sac est très très sympa

Shinato:L'histoire de Kyle est grave triste, et je l'avais pas du tout vu venir pour le retournement de situation avec la mère! Et en plus près elle meurt . Sinon Kyle est un personnage bien sympatique, et la contradiction entre ses conditions de vie misérables et le fait qu'il soit le fils de Zeus est très sympa, et j'ai hâte de voir la fiche de Karen, elle m'a l'air toute gentille cette enfant ^^

Eparm: Epaaarm! C'est toi qui m'a corrompu pour venir ici, mais ça j'ai déjà râlé en privé
J'aime trop Adèle, j'adore son prénom et son histoire est hyper triste (pauvre Papa, il avait l'air si gentil!) et j'ai hâte de voir ses pouvoirs e action, ils m'on l'air fort interessants!

[naji2807]

Naji: Déjà je mets deux jours à me décider à m'inscrire et toi tu postes deux fiches J'aime beaucoup tes personnages, ils sont très diversifiés, comme d'habitude, et tu as fait des superbes mises en pages! Je trouve Nayda très sympa, elle me rappelle Piper Mcclean mais en plus extrême et qui s'assume plus en tant que fille d'Aphrodite, et étant donné que d'après ce que j'ai lu jusque là, c'est l'une des rares à pas être complètement associable et/ou traumatisée, ça promet d'être intéressant
Oswald est hyper sympa et ça fait toujours plaisir de retrouver Cole Sprouse en ado edgy X). J'aime beaucoup le coup des nonnes, et j'ai hâte de rp avec lui!

Ah Chap ça fait plaisir de te voir ici ^^ et oui désolée ^^' (et la troisième arrive!) en tous cas je suis contente que ça t'ait plu, mais je ne sais pas du tout qui est Pipper x) (si c'est un perso des livres, je n'avais aucune chance de trouver, je ne les ai pas lu ^^'), mais oui elle est beaucoup plus sociable que d'autres, donc ça devrait être sympa ^^
Oui, il fallait bien que je l'utilise, tout le monde le prends comme avatar sauf moi! Et merci ^^

[Analia]

Bonjour bonjour par ici !
Ca fait bien une éternité que je suis pas repassée sur BN mais une certaine Miko m'a convaincue d'y revenir passer le temps, surtout que du temps on en a revendre en ce moment XD

Je voulais du coup savoir si il était possible de réserver une fille de Dionysos avec comme ava Taylor Hill ?