Anomédé - La Fin du Monde [fantastique/magie] [Terminée]

[vampiredelivres]

C'EST FINI noooooooon je veux une suite!!!! sérieux là tu ne peux pas nous laisser comme ça alors que notre ano adoré trouve un bébé devant sa porte ! Et puis c'est qui cette petite elfe??? Je veux savoir!

Pour le moment, je fais une pause, je vais déjà travailler à une réécriture, et ensuite je verrai pour la suite. Mais si j'en fais une, je te préviendrai, promis

Oh mon dieu c'est super!

Merci !

Coucou ! Une revenante est là !
Et non soumise à Ano, s'il vous plaît !
Passons.

Cette fin est assez surprenante, surtout avec le bébé. Même si je l'avais envisagée, puisque le seul truc qui manque à Démona, maintenant, c'était de transmettre ses connaissances, comme Chiron l'a fait, ça m'a un peu étonnée, mais pas plus que ça, finalement. Le lien avec la "faveur"
que demande le roi des elfes a été rapidement fait, du coup, je n'ai pas été prise de court. Mais je pressens que miss Ano sera une préceptrice dure et exigeante avec sa pupille, aussi noble qu'elle soit. Tant mieux, dans un sens : elle sera mieux instruite que Sheidan l'aura été.


Globalement, ton histoire est intéressante, peu commune, et bien travaillée, même si ton style d'écriture reste assez simple et "ado". Ce n'est pas un reproche, note-le. Comme tu fais très peu de fautes, et que c'est simple, ça rend addict facilement, donc ça passe.

Le personnage d'Anomédé en lui-même est très intéressant, mais, outre les capacités - tu connais mon avis là-dessus - je trouve que les nuances de son caractère, que tu as rendu très complexe, ce qui n'est pas une mince affaire, je devine le boulot qu'il y a là-dessous, ne sont pas très bien exploitées. Outre le fait des émotions, qui sont soit absentes, soit amenées trop brusquement, il y a ton obstination à faire en sorte qu'Ano soit toujours la tête haute, sans émotions, en position de victoire, même si on sent qu'elle a souffert, qui gâche un peu le tableau. Et enfin, le fait que ce soit elle qui narre le récit, toujours ironique, maléfique, à distance, ça, c'est vraiment le pompon. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a ni mystère, ni impartialité.
Anomédé aurait beaucoup gagné à être plus mystérieuse et racontée à la troisième personne.
Le fait que ce soit une "méchante" ne me dérange pas, c'est même attirant au début, parce que pas commun. Mais que ce soit une méchante + hyperdouée + sans émotions nuancées + une narration sans part des choses = AU SECOURS !
Là-dessus, je trouve que tu as totalement foiré. Mais vraiment foiré. Brut de décoffrage ? Oui. Mais personne ne te le dira, alors il faut bien que quelqu'un s'y colle.

C'est dommage, vraiment, parce que la trame est bien pensée, originale, mais le personnage... En fait, imagine que tu es dans une carrière de pierre pour faire une sculpture. La pierre est de super qualité, avec plein de potentiel, mais la sculpture finale ne le retransmet pas.
En gros, t'as déniché la carrière, la base, donc ça, chapeau !
Mais pour faire une sculpture qui va diffuser et faire naître l'émotion, t'as du boulot.
Tu vois ce que je veux dire ?
Et ce n'est pas Ano qui me dérange, parce que je l'avais bien aimée dans Le Complot De Gaïa, mystérieuse et flippante à sa façon, vue par les yeux des autres.

Voilà. Le comm' est dur, mais c'est un avis sincère qui fait tout pour t'aider.

Alors déjà, bienvenue à la revenante !
Je vais glisser sur les compliments, qui me font très plaisir, pour te remercier. Tu as été honnête, c'est tout ce que je te demandais, à toi en particulier. C'est vrai que personne d'autre n'était là pour le dire. Jolie comparaison avec la carrière au fait
Je vais travailler sur les points que tu as cités, et je te donnerai sans doute un aperçu bientôt par courriel, le temps de vraiment revoir ça.
Mais encore une fois, c'est un peu dur, mais c'est sincère, et c'est ça qui fait plaisir.

[vampiredelivres]

Bonjour bonjour ! (ou plutôt bonsoir dans le cas actuel pour moi)
Je vous laisse un dernier petit souvenir, j'attends d'ailleurs vos avis dessus, étant donné que ce texte est très différent d'Anomédé. Mais enfin vous verrez.

Et message destiné à Flamboyante, j'attends ce que tu en penses, étant donné que ce texte respecte plus les critères que tu avais déclarés comme manquants dans les aventures d'Ano.

Nalaya Sìverdìn
Une rencontre

Nalaya gémit. Sa soirée s’annonçait mal. Peinarde dans le grand fauteuil en face de la cheminée, elle pensa évidemment à son ex. Malgré le fait qu’il se soit conduit comme un idiot, il lui manquait beaucoup. Elle avait passé d’excellents moments avec lui, mais à force, avait fini par craquer devant les monumentales stupidités qu’il arrivait parfois à sortir ou à faire. Alors, elle l’avait mis dehors, au sens propre. C’est du passé, se morigéna-t-elle. Malheureusement, son esprit ne semblait pas le prendre de la même façon, et ses pensées continuaient inlassablement de revenir vers lui. Elle se secoua un peu, alluma la télévision, et pointa un doigt vers une plante en pot posée en plein centre de la cuisine. Placement bizarre, il fallait admettre. La plante en question sembla prendre vie. Elle étira ses longues lianes feuillues vers divers tiroirs, les ouvrit, sortit une casserole, une louche, un sachet de spaghettis, ouvrit le robinet, versa de l’eau dans le récipient, y plaça les pâtes, et alluma le réchaud, avant de mettre le tout à cuire. Nalaya n’avait pas bougé.
- Quelques fois, murmura-t-elle pour elle-même, ça sert d’avoir Isis pour aïeule.
Tout en écoutant les informations d’une oreille distraite, la jeune femme d’une vingtaine d’années dîna, se repassa rapidement les révisions à faire, puis grimaça.
- Il faut que je me change les idées, souffla-t-elle.
La présence de son ex dans sa tête devenait vraiment envahissante, elle avait besoin de prendre l’air. La plante termina de laver l’assiette et les ustensiles, puis retourna à son état habituel, passive. La fille, elle, se leva, et partit en direction de sa chambre. Elle ouvrit une armoire, hésita un moment, avant d’enfiler une mini-jupe, des collants, et un t-shirt à manches longues. Puis, elle fila vers la salle de bains. Arrivée, elle se maquilla sommairement, coiffa sa longue tignasse brune, souligna légèrement ses yeux noirs d’un trait de même couleur, et avança vers la porte. Elle habitait dans un petit appartement au troisième étage d’un immeuble bien équipé, malgré ses modestes revenus. Son sens moral lui interdisait de démultiplier l’argent par magie, bien qu’elle ait parfois envie de le faire. Elle saisit son manteau, fourra quelques billets dans sa poche, chaussa des bottes hautes, et sortit. Aussitôt, l’air froid des couloirs s’infiltra sous ses vêtements. Elle frissonna. La saison des neiges était déjà arrivée, même si septembre avait à peine commencé en Finlande. Un mot murmuré en égyptien forma une colonne d’air chaud tempéré d’elle, avant de se dissoudre. Elle appréciait trop le froid pour s’en priver. Et puis, ça aurait puisé son énergie, et elle en avait besoin.

Elle marcha un certain temps, pensive. Les craquements de la neige sous ses pieds se répercutaient dans les rues presque vides à cette heure. Il devait sans doute être minuit, mais elle s’en moquait. Finalement, sa destination apparut. Le mur illuminé de mille et une couleurs sautait aux yeux parmi les façades aux couleurs tristes. “La Lyre d’Apollon”, discothèque renommée, connue pour être aussi surnommée “Là où l’on entend la musique des dieux”. Un endroit au nom approprié pour quelqu’un comme elle. Mais occupé par de simples mortels. Tant mieux, elle avait envie de se défouler ce soir.

Aussitôt entrée, le volume sonore augmenta de façon douloureuse, agressant les tympans de Nalaya. Mais le rythme entraînant de la mélodie fut plus fort que l’envie de faire demi-tour. Elle se fraya un chemin parmi les corps ondulant et s’accouda au bar, avant de commander un coca. Elle ne buvait pas, contrairement à beaucoup. Oh, certes, son organisme aurait pu le supporter sans mal, mais elle n’appréciait pas l’odeur et le goût de la plupart des boissons fortes. Un homme dont l’haleine empestait sérieusement posa une main sur ses hanches. Une tape combinée à une légère brûlure le dissuada d’avancer davantage, et il recula en serrant les dents. Elle regarda autour d’elle en sirotant le coca, à moitié aveuglée par les lumières éblouissantes. Il lui sembla reconnaître l’une de ses amies dans la foule, mais trop vaguement pour avoir envie de s’en approcher. Avec une grande politesse, un homme lui tendit la main, l’invitant à danser. Nalaya posa son verre et se leva avec grâce. Elle s’était délestée de son manteau à l’entrée. La chanson était très en vogue dans ces années. Sans être trop “rentre dedans”, l’homme était agréable. Elle ne l’observa guère, et l’éconduisit gentiment à la fin d’une danse. Elle tourbillonna et valsa aux bras de beaucoup, pendant une bonne partie de la nuit. Lorsque les danseurs poussèrent des grognements déçus, elle songea à se rasseoir. La tête lui tournait un peu, elle était fatiguée et lasse. De plus, c’était la demi-heure des slows, elle avait sérieusement du mal à ne pas s’endormir sur place. Des fauteuils confortables, chose étrange dans un tel lieu, étaient disposés sur les côtés, loin de la piste, pour éviter de gêner. Elle s’y allongea et bâilla largement. Un dernier reste de civilisation fit qu’elle cacha sa bouche grande ouverte par une main posée au dernier moment. Elle entendit, par dessus le hurlement des basses, un “pouf” sonore qui lui indiqua qu’elle avait un voisin de repos. Sans daigner de regarder, elle ferma les yeux, se laissant bercer par la musique plus calme.

Un quart d’heure de torpeur plus tard, Nalaya se secoua pour sortir. Alors qu’elle quittait à regret son fauteuil, une ombre voila la lumière des projecteurs.
- Mademoiselle ?
Elle leva la tête, polie.
- Étant donné que vous alliez partir, et que moi aussi, je souhaitais vous demander si vous accepteriez …
Allez, pensa-t-elle, agacée, il va me demander si il peut me raccompagner !
- Une dernière danse ?
La fin de la phrase, incongrue, surprit Nalaya. Elle dévisagea un instant l’homme.
- Et pourquoi pas ? murmura-t-elle, plus pour soi que pour l’autre.
Il eut un sourire joyeux, et la conduisit galamment vers un espace dégagé sur la piste. Le DJ avait choisi le thème Reality, sorti du film “La Boum”. Sans hésiter, Nalaya entoura le cou de l’homme en face d’elle de ses bras, et posa la tête sur son torse comme la plupart des filles autour d’elle. Lui posa les mains sur ses hanches, sans être aussi vulgaire que le premier qui l’avait fait. Au contraire, son toucher était doux, remarqua-t-elle, respectueux. Elle se sentait étrangement bien. L’image de son ex s’était évaporée dès qu’elle l’avait touché. Il semblait presque irradier la plénitude et le bonheur, et ces sentiments étaient contagieux. Leurs mouvements étaient souples et harmonieux, parfaitement coordonnés. Il chantonnait doucement à côté de son oreille. À son grand regret, la danse prit fin. Il retint légèrement sa main dans la sienne lorsqu’elle se détacha, mais n’insista pas. Elle récupéra ses affaires, plongée dans une douce rêverie, sans remarquer qu’il la suivait. Le froid la frappa encore une fois par surprise lorsqu’elle passa la porte. Ce ne fut qu’après quelques pas qu’elle réalisa qu’il était derrière elle. A son air étonné, il répondit:
- Je vais dans la même direction que vous.
Sa voix débordait d’une sincérité contenue. Il la mettait en confiance dès le premier mot. Avec lui, elle avait l’impression que rien ne pouvait lui arriver. Sans répondre, elle continua sa route. Pendant un instant, il y eut un silence derrière elle. Puis, l’homme reprit sa marche. Une boule de neige vint frapper le talon droit de Nalaya. Elle le dévisagea, à la fois surprise et amusée. Pour toute réponse, il lui sourit. Elle attendit qu’il la rejoigne pour cheminer à son côté. Pour la première fois, sous la lumière des réverbères, elle le regarda vraiment. La vingtaine, comme elle, il était assez grand, athlétique, un peu musclé, sans l’être à l’excès. Il avait des cheveux noirs, coupés quelques millimètres au dessus des épaules, légèrement bouclés à la pointe. Son regard, d’une nuance très étrange, un bleu vert teinté de gris, semblait enregistrer le moindre détail, sans être trop inquisiteur. Un genre d’homme qui n’était pas vraiment son style, mais il avait quelque chose d’indéfinissable qui l’attirait. Ils continuèrent leur route dans un silence parfois fragmenté par des questions sans intérêt. À un moment, il la poussa dans une pile de neige fraîchement accumulée. Elle eut un hoquet stupéfait, trempée jusqu’aux os, avant qu’un sourire ne s’étire d’une oreille à l’autre sur son visage.

Peu avant son immeuble, il s’arrêta à un angle de rue.
- C’est ici que je vous quitte, mademoiselle … merci beaucoup pour la danse.
Elle s’empourpra légèrement, mais trop peu pour qu’on le voie dans la faible lumière.
- Mais de rien, parvint-elle à répondre sans bégayer, c’était un plaisir partagé.
Elle se tut un moment, ne sachant quoi ajouter. Puis, sans y croire vraiment, elle demanda:
- Puis-je vous inviter chez moi ce soir ? Il est tard.
- Je ne voudrais surtout pas abuser ! se récria-t-il.
- S’il-vous-plaît, murmura-t-elle doucement.
Il hésita quelques instants, puis se décida enfin:
- Si ça vous fait plaisir …
- Moi, c’est Nalaya.
- Laurent, enchanté de te connaître.
- Moi de même.
Entre temps, ils étaient arrivés devant le bâtiment où elle vivait. Elle sortit sa clef, poussa la porte et s’engagea dans les escaliers. La transition au tutoiement s’était faite sans heurts, naturellement. Un sourire flottait sur les lèvres des deux. Au troisième étage, elle ouvrit son appartement, alluma la lumière, et l’invita à entrer. Il observa l’appartement, petit, mais sympathique.
- Une boisson ? demanda Nalaya, déjà de l’autre côté du bar.
- Sans façons.
Elle acquiesça, et se tut. Un silence s’installa dans la pièce. Finalement, la jeune femme partit se coucher après avoir échangé quelques banalités, laissant l’homme faire son choix. Il décida finalement de rester.


Le lendemain matin, Nalaya se réveilla d’excellente humeur. Laurent dormait encore. Elle se leva, se doucha et s’habilla prestement, et resta un instant à contempler le corps à demi couvert de son amant. Puis, elle se secoua, et se dirigea vers la cuisine. Arrivée, elle agita une main, comme à son habitude, et la plante entreprit de mettre la table, comme tous les jours. Tout en faisant cuire une omelette parfumée aux herbes, Nalaya souriait. Elle n’entendit pas, par dessus le bruissement du réchaud, Laurent, qui entra soudainement dans la pièce. Ses cheveux noirs étaient encore ébouriffés, mais ses yeux pétillaient déjà. Il s’immobilisa en plein milieu d’un pas en apercevant la plante bouger. Elle le remarqua enfin, et rougit violemment. D’un discret tour de main, elle lui envoya un sortilège destiné à effacer l’action de sa mémoire. Il secoua la tête, l’air perdu, puis s’assit à table. La plante n’avait plus bougé. Laurent eut un petit sourire en commençant à manger, mais ne dit rien. Puis, alors que Nalaya était en train d’avaler une bouchée, il demanda:
- Tu es magicienne ?
Elle manqua de recracher ce qu’elle avait dans la gorge, stupéfaite. Elle s’étouffa à moitié, puis parvint finalement à faire passer le tout dans son estomac, avant d’avaler un grand verre d’eau. Enfin, tâchant de se redonner une contenance, elle répondit d’un ton pince-sans-rire:
- Oui, je suis la descendante d’Isis. Et toi ?
Il eut un rire franc, amusé.
- Je ne m’appelle pas Laurent, mais Loki en fait.
- LOKI !? Oh, mes dieux !

Neuf mois plus tard, à l’hôpital.

Nalaya venait d’accoucher. Le corps entier encore douloureux, elle vit s’approcher d’elle un homme. Sa vue la fit tressaillir, avant qu’un sourire n’étire sa bouche. Il lui prit la main, et toucha d’un geste tendre les cheveux de la petite fille posée contre son sein.
- Nalaya …
- Lo … rent.
Elle fit un effort pour l’appeler par un nom humain. Loki n’était pas un prénom courant.
- Vous êtes le père ? demanda une infirmière, suspicieuse.
- Oui, répondit-il tranquillement.
La femme s’éloigna en pestant à voix basse contre les naissances des couples non-mariés. Nalaya eut un petit rire silencieux. Puis, elle leva la tête vers Loki:
- Pourquoi es-tu venu aujourd’hui ?
Il sourit, amusé:
- Parce que tu viens de mettre au monde ma fille, peut-être ? Pour connaître ton avis sur le choix de son prénom, et pour t’informer de son destin …
Elle sembla surprise:
- Quel destin ?
- Elle sera, selon une prophétie de Frigg, la plus puissante de mes enfants. Mais aussi la plus destructrice. Elle est faite pour accomplir le Ragnarök. Elle risquera et perdra beaucoup en accomplissant sa mission, mais au final, elle sera heureuse …
- Sans moi.
La constatation était simple, dure, mais véridique. Nalaya semblait lasse, mais étrangement joyeuse.
- J’ai senti qu’elle devait accomplir de grandes choses. Rien qu’en sachant qui est son père. Mais regarde ce qui a confirmé mon impression.
Elle pointa du doigt la main de la petite. Des voûtes de fumée bleue s’échappaient de ses poings fermés. Elle dormait. Lorsque sa mère souleva une paupière, l’iris était d’un bleu-vert-gris, mais la pupille était rouge, et la peau glaciale. Un vent venu de nulle part agitait ses courts cheveux noirs. Et “Laurent” posa la question fatidique:
- Comment allons-nous l’appeler, cette petite démone ?
Nalaya ferma les yeux, et réfléchit un instant.
- Un acronyme ? proposa-t-elle.
- Avec Démone, ou Démona … Anomèd, ce n’est pas terrible … un “e” en plus peut-être ?
- Un “é” plutôt.
- Anomédé.

Voilà donc comment toute l'histoire a commencé. Avis ?

[cerise14]

Pas mal, pas mal mais je m'attendais à voir un Loki plus...diabolique mais je 'aime bien aussi comme ça il en serai presque mignon

[vampiredelivres]

Flamboyante: Ah, petit moment de flottement, c'était volontaire. Non, je ne suis pas à l'aise avec ce genre de scènes - en même temps, à mon âge, il y aurait un problème à mon avis.
Oui, je voulais montrer ce côté un peu timide et rebelle à la fois ... je n'étais pas sûre d'avoir réussi.
Loki ... dis toi bien qu'il est à cette époque physiquement enchaîné dans une grotte sous l'Olympe, avec du venin ultra-toxique qui lui coule sur le visage. Pas tip top comme situation, non ? Donc il vient plus pour décompresser pour le coup, parce que faire le malin, ruminer ses idées de vengeance etc, il en a largement eu le temps pendant les deux à trois précédents millénaires.
Une petite rancoeur ? Je ne l'avais pas faite volontairement, mais quand tu le dis, ça me semble presque évident. Dans un sens, elle peut lui en vouloir, parce que c'est à cause de son origine qu'Ano subira ce qu'elle a vécu. Née autrement, je suis certaine qu'elle aurait fait une "gentille petite" .
Et pour te dire, je ne les voyais pas non-plus sur une aventure vraiment longue ; un soir, puis quelques visites de temps à autre (surtout pour dire "Grouillez-vous de déménager, il y a mon frère et/ou ses copains qui vont se pointer d'une minute à l'autre !".

cerise14: Comme je le disais à Flamb', le fait qu'il vienne sur Midgard, c'est vraiment pour se détendre après le boulot de "captif torturé et maltraité ayant des envies de vengeance meurtrière". Mais oui, il en est presque mignon. Presque.

[dianabeth]

Je suis très très voir même extrèmement en retard pour commenter la fin de cette histoire Désolé d'avance Bon alors d'abord je commente la fin puis le récit en générale Pour le fin, je vais être honnête moi qui suis très porté sur les happy end j'ai eu beaucoup de mal avec ta fin. Elle est bien écrite et totalement dans la continuité de ton récit mais je ne l'aime pas des masse c'est un peu trop "sombre" pour moi: elle se retrouve seule... Après ce n'est que mon avis Par contre j'aime beaucoup l'idée du bébé même si je ne comprends pas trop d'ou il vient et de qui il est VOila pour le fin
Sinon pour l'histoire en générale, j'ai aimé. Elle était originale et assez facile a lire même si certains chapitre avaient quelques longueur et que le certains aspect du personnage d'Ano sont a retravaillé mais en gros j'ai bien aimé. TU as du talent Préviens moi si tu écris autre chose
EDIT: je viens de lire ton texte sur la rencontre des parents d'Ano ! J'ai adoré !! C'est assez mignon je trouve bref et puis la naissance est pas mal

[vampiredelivres]

Hey dianabeth !
Alors je vais t'avouer, je ne croyais plus à ton retour.

Pour te répondre. C'est vrai que la fin peut être considérée comme "sombre", mais pour moi, disons que c'était plutôt évident. Elle a grandi dans la solitude, c'est logique qu'elle y finisse aussi. Après, je peux comprendre que ça puisse être différent pour chacun. Le bébé, dans son arrivée un peu mystérieuse et silencieuse, représente l'occasion pour Ano de transmettre son immense savoir. Mais ce n'est que ce qu'il représente. En réalité, c'est la fille du roi des elfes noirs, qui l'envoie chez Ano pour l'éduquer.
Je sais qu'il y a des choses à revoir, et j'y travaille. Mais à l'origine, cette fic était plutôt destinée à me laisser faire n'importe quoi (et tu vois d'ailleurs ce que ça a donné ), je voulais juste me lâcher un peu, parce que depuis l'arrivée d'Ano dans le Complot de Gaïa, elle et ses origines me trottaient dans la tête sans me laisser en paix. Des longueurs ? Où ça par exemple ?

Ah, le petit texte sur les parents ... je me suis beaucoup amusée à l'écrire. J'ai aimé le fait d'imaginer un autre aspect de l'histoire d'Ano, ce qui s'est passé avant qu'elle n'arrive. Le couple Nalaya-Loki ... je l'adorais.

Enfin bref, merci beaucoup pour ton avis, et peut-être à une autre fois.

[louji]

Nalaya Sìverdìn

Okay.

You see what I see ?

Alors, simple reprise de nom ou lien ? (sachant que tu as l'air d'apprécier de relier tes différentes histoires...)


SARAH MDR JE CROIS QUE JE SUIS EN TRAIN DE ME SPOILER MÉCHAMMENT

EST-CE QUE JE DEVRAIS VRAIMENT PARCOURIR CE FORUM ?

Ohlala, je devrais arrêter... En même temps, si j'extrapole, je crains rien...

...

mais... oups

J'ai lu la fin de ton dernier chapitre, ça fait quand même beaucoup de coïncidences.


J'crois j'ai trouvé une pépite en vrai Si je peux n*quer le système et en apprendre plus sur Lily, je le fais ? J'attends ton accord, parce que j'ai l'impression de tricher

En même temps, je suis perplexe. Parce que si Anomédé avait réellement un lien avec le Cycle, tu l'aurais précisé, disant que les deux histoires peuvent être lues pour se compléter, non ?
Puis est-ce que cette Nalaya (??? j'arrive comme une fleur, je connais personne ) a accouché à Reykjavík ? Car si non... Je me suis pas spoilée Si oui... OSKUR PARDON SARAH


ET ET WAIT
"Kalian Odinson,
Journal"

I see what you did there
Bon, Kalinou a l'air d'avoir changé de papa en cours de route, mais c'est un détail
En vrai, ça me rassure, je crois être tombée sur ce qui était ton bac à sable du Cycle, non ?


Alley, j'ai terminé de déterrer cette histoire (j'en ai d'autres, non ? je suis sûre que je vais trouver des trucs rigolos)

[vampiredelivres]

NAAAAAAAAAAAAAN, DÉGAGE DE LÀÀÀÀÀÀ !

[louji]

QUOI ? Y'A DES CHOSES COMPROMETTANTES ?

[vampiredelivres]

Pardon. C'est juste que ce sujet devrait ne jamais être remonté à la surface…

Plus sérieusement, oui, c'était la VO de la VO du Cycle, j'ai envie de l'enterrer plus profond que terre. Ça remonte à… mon dieu, cinq ans… L'histoire a bien changé depuis, donc tu ne risques pas de te faire spoiler, en principe, mais… bref. J'ai envie de pleurer.
(Nope, Kal est fils de Thor, mais vu que c'était à moitié tiré des films Marvel, il portait le nom de son cher papa… Thor Odinson. XD)

[louji]

Pardon. C'est juste que ce sujet devrait ne jamais être remonté à la surface…

Plus sérieusement, oui, c'était la VO de la VO du Cycle, j'ai envie de l'enterrer plus profond que terre. Ça remonte à… mon dieu, cinq ans… L'histoire a bien changé depuis, donc tu ne risques pas de te faire spoiler, en principe, mais… bref. J'ai envie de pleurer.
(Nope, Kal est fils de Thor, mais vu que c'était à moitié tiré des films Marvel, il portait le nom de son cher papa… Thor Odinson. XD)

Désolée

Mais, du coup, je suis contente, quand même, de l'avoir retrouvé, car c'est l'origine des origines des origines
(Aaah, j'ai tiré une conclusion trop vite alors )