Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 598
Membres
993 221

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Il sourit.

- J'ai dit ''bonjour'', Julianne.

Elle referma la bouche.

- Euh, bonjour.

Il s'approcha, se pencha et lui déposa un baiser ferme mais tendre sur les lèvres. Quelques gouttelettes tombèrent sur les draps.

- Tu as bien dormi ?

Elle hocha lentement la tête, commençant soudain à avoir bien trop chaud.

- Tu n'es pas très bavarde.

Il se redressa et lui adressa un petit sourire satisfait.

- Tu es à demi nu.

- C'est vrai. Tu préférerais que je le sois complètement ?

D'un geste provocant, il souleva légèrement la serviette sur sa hanche et se fendit d'un large sourire.

Julia manqua de rendre l'âme.

Afficher en entier

Discussion entre Gabriel et Julia :

- On aurait dû te cajoler, t’aimer et te traiter comme une princesse. Comme Rachel.

– Je ne crois pas aux contes de fées, lâcha-t-elle.

– J’aimerais pouvoir t’y faire croire.

Il se pencha et l’embrassa sur le front.

– La réalité vaut bien mieux que tous les rêves, Gabriel.

– Pas si la réalité est un rêve

Afficher en entier

- Je me souviendrai de ton parfum, de ton contact et de la sensation que ça me procurait de t'aimer. Mais par-dessus tout, je me rappellerai ce que ça fait d'avoir une véritable beauté sous les yeux. Car tu es belle, ma bien aimée, aussi bien d'âme que de corps. Généreuse d'esprit et de cœur. Et jamais plus je ne reverrai de mon vivant plus beau que toi.

Il l'étreignit, l'embrassant sans relâche, tentant de lui faire comprendre avec ses lèvres à quel point il l'aimait. Il toucha les diamants à ses oreilles et approcha sa bouche.

- Après t'avoir vu nue, je te demanderai de ne plus porter en ma présence que ces boucles d'oreilles. Tout le reste est superflu.

Afficher en entier

« – Approchez la chaise de mon bureau. Que je puisse vous voir sans me tordre le cou.

Elle se leva et s’exécuta, faisant maladroitement tomber son sac à dos par terre. Elle fit la grimace et rougit de la tête aux pieds lorsqu’une partie de son contenu se déversa sur le sol, dont un tampon qui roula sous le bureau du Pr Emerson et s’immobilisa à quelques centimètres de sa serviette en cuir.

Peut-être ne le remarquera-t-il qu’une fois que je serai partie…

Gênée, elle s’accroupit et commença à rassembler ses effets. Elle venait de terminer quand la bandoulière de son vieux sac céda et que le reste de ses affaires se répandit par terre avec un gros « boum ! ». Elle s’agenouilla aussitôt, tandis que des feuilles de papier, des stylos, son iPod, son téléphone portable et une pomme verte se dispersaient sur le magnifique tapis persan de M. le professeur.

Ô, dieux des étudiants et des éternels maladroits, achevez-moi à l’instant, je vous en supplie ! »

Afficher en entier

— Absolument. Gabriel n’est peut-être pas parfait, mais il l’est pour moi. On est faits l’un pour l’autre.

— Je lui ai dit que je comptais sur lui pour prendre soin de ma petite fille chérie. Que s’il ne se sentait pas prêt, on allait avoir des problèmes. Il m’a répondu que s’il te traitait moins bien que le trésor que tu étais, je pouvais le pourchasser avec mon fusil.

Afficher en entier

-Je ne te mérite pas, murmura-t-il.

-Peut-être qu'on ne se mérite ni l'un ni l'autre, mais laisse-moi le droit de choisir qui je veux aimer. Et c'est toi que j'ai choisi. (Il fronça les sourcils, comme s'il avait du mal à la croire.) Je t'en prie, laisse-moi t'aimer.

Afficher en entier

En travaillant à son projet, elle se retrouva à contempler tour à tour la toile de Holiday suspendue au-dessus de son lit, et une carte postale qui représentait la sculpture de Rodin, Le Baiser. Rodin avait sculpté Paolo et Francesca de telle manière que leurs lèvres ne se touchent pas. La sculpture n’en était pas moins sensuelle et érotique, et si Julia n’en avait pas acheté de réplique lors de sa visite au musée Rodin à Paris, c’était parce qu’elle avait trouvé l’œuvre trop émoustillante. Et trop déchirante.

Elle s’était contentée d’une carte postale qu’elle avait fixée au mur.

En plus de son « français de boulangerie », elle en savait suffisamment sur cette langue pour se rendre compte que le nom de la sculpture faisait partie intégrante de sa subversion. Car en français, le terme « baiser » pouvait tout aussi bien représenter l’innocence d’une caresse du bout des lèvres que la bestialité de l’acte sexuel. L’innocence et la bestialité étaient représentées dans l’étreinte de ces deux amants dont les lèvres ne se touchaient jamais. Ils étaient figés ensemble à tout jamais, mais séparés pour l’éternité

Afficher en entier

Quand tu n’es pas là, Julianne, mon existence ressemble à une interminable nuit sans étoiles.

de Gabriel à Julia

Afficher en entier

– Julianne, sache que jamais je ne te prendrai quoi que ce soit et que jamais je ne tenterai de te manipuler pour te pousser à faire quelque chose dont tu n’as pas envie. Je te prie de me croire.

– Je te crois, Gabriel. (Elle prit l’une de ses mains et la posa à plat sur sa poitrine, entre ses seins.) Sens-tu mon cœur battre ?

Il fronça les sourcils.

– Il bat trop vite. Comme les ailes d’un colibri.

– C’est ce qui se produit chaque fois que je suis près de toi. Chaque fois que tu me touches. C’est toi qui me mets dans cet état, Gabriel. Ne l’as-tu pas encore compris?

Il passa son pouce sur sa peau nue et porta délicatement son attention sur sa lèvre inférieure gonflée.

– C’est moi qui t’ai fait ça… Ça te fait mal ? chuchota-t-il.

– Uniquement en ton absence.

Il l’embrassa révérencieusement.

– Tu vas me tuer.

Elle rejeta sa chevelure en arrière et se fendit d’un sourire.

– Mais ce sera une mort délicieuse.

Il éclata de rire et l’enlaça.

Afficher en entier

Il frissonna, se demandant comment une jolie fille comme Mlle Mitchell pouvait habiter un lieu si sordide. Même s’il dut reconnaître que l’appartement était parfaitement propre et très bien tenu. Étrangement.

– À combien s’élève votre loyer ? s’enquit-il en grimaçant, tandis qu’il pliait en accordéon son 1,85 mètre afin de se rasseoir sur cette abomination qui se faisait passer pour une chaise pliante.

– Huit cents dollars par mois, charges comprises, lui répondit-elle juste avant de se glisser dans la salle de bains.

Il songea avec regret au pantalon Armani dont il avait dû se débarrasser à son retour de Pennsylvanie. Il aurait été incapable de porter un vêtement qui avait été trempé d’urine, même après l’avoir fait nettoyer. Il s’était donc contenté de le jeter. Mais avec l’argent que Paulina avait dépensé pour l’acheter, Mlle Mitchell aurait pu payer tout un mois de loyer. Voire un peu plus.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode